J’étais seins nus, allongée sur le matelas gonflable posé au sol. Ses lèvres qui venaient tout juste de quitter les miennes firent une courte escale à la hauteur de mes mamelons et descendirent lentement vers mon entrejambe. Il atteignit enfin mon sexe toujours protégé par ma culotte brésilienne rose. Sa langue léchait doucement ma chatte encore vierge à travers le délicat tissu déjà détrempé.
La journée s’était déroulée tout bonnement sans aucune idée de ma part de ce qui allait se passer. J’avais été invité à une fête d’amis chez un copain de classe, Michael. Ma meilleure amie Arianne avait acceptée de venir avec moi. C’était une bonne soirée en perspective, les parents absents pour le weekend, des dizaines de personnes allaient être sur place, dont mon fantasme de toujours, le frère aîné de Michael, Antoine. Je n’avais jamais osé lui parler, je ne pouvais concevoir qu’il s’intéresse à moi, ni même qu’il m’ait déjà simplement remarquée. Je me trompais. Durant la soirée, il s’était mis à me jeter des regards complices, était venu me parler, puis avait entrepris de me draguer carrément. J’étais en admiration devant ce mec plus vieux que moi, beau, grand, musclé et populaire. Rapidement, nous nous embrassâmes, je me sentais minuscule dans ses bras, il était grand, j’étais en revanche assez menue. Pendant que tous fêtaient et buvaient à l’intérieur, il m’entraîna a l’extérieur, près de la piscine. Nous étions seuls, installés sur une chaises de patio, à l’abri des regards. J’étais assise sur lui, il m’embrassait et baladait ses mains sur tout mon corps qui en demandait davantage. Il me proposa de nous déplacer à l’intérieur du cabanon adjacent à la piscine pour plus d’intimité. Je savais qu’en acceptant, je franchissais un point de non retour, que je perdrais ma virginité ce soir. Il tassa ma culotte, sa langue goûta à mon clitoris, la sensation fut renversante, il était si habile. La tête renversée vers l’arrière accueillant cette nouvelle sensation, je me surpris moi-même à me prendre les seins, de mes deux mains, il éveillait en moi une facette de ma sexualité qui m’était inconnue jusqu’ici. Antoine continua de me lécher sans relâche, le chaleur montait en moi, il activait sa langue férocement sur tout mon vagin, concentrant ses efforts sur le clito. Je m’abandonnai au moment présent, relâchai tout contrôle, l’orgasme m’envahit de façon puissante, ma chatte se contracta, mes mains enserrèrent mes seins fermement, ma jouissance fut très vocale. C’était la première fois qu’un homme me faisait jouir et c’était beaucoup mieux qu’avec ma propre main. Mon orgasme à peine consumé, il s’installa à califourchon à la hauteur de mon visage, sa verge déjà appuyée contre mes lèvres, maintenant en quête de son plaisir. J’ouvris à peine la bouche qu’il y fourra sa queue. Je pratiquais ma première fellation, j’étais soumise à la passivité de par ma position. Tout ce que je pouvais faire était de serrer mes lèvres au maximum autour de son membre durci, il me tenait par les cheveux et forçait ma tête à des mouvements de va-et-vient en même temps qu’il enfonçait son pénis parfois jusque dans ma gorge. Il me prenait littéralement la bouche avec sa verge que je le veuille ou non. Ses gestes virils et autoritaires contrastait beaucoup avec la tendresse et la dévotion de sa langue contre ma chatte un instant plus tôt. Il se branlait avec ma bouche et me regardait le sucer, l’air fier de m’exhiber sa volumineuse queue. Heureusement, il se retira rapidement de ma bouche, me permettant de respirer un peu, il me dit qu’il ne pouvait plus attendre, il avait trop envie de me baiser. Il me prit aussitôt par la taille et me retourna sur le ventre comme si je ne pesais qu’une plume. Me faire diriger de la sorte par ce mâle m’excitait complètement, je sentais qu’il avait très envie de moi et ça m’emballait. Il releva mon derrière, je me retrouvai à quatre pattes. Il plaça son membre entre mes deux jambes juste sous mon con et me titilla le clitoris avec son gland. La cyprine coulait sur son dard pendant qu’il s’en servait pour m’exciter et me préparer à la pénétration. Je commençais à être un peu nerveuse à l’idée de me faire dépuceler la chatte, la grosseur de son engin m’effrayait un peu. Il se repositionna derrière moi et avança son pénis vers mon orifice, il était trop haut, je me cambrai davantage et remontai mon cul en l’air pour lui faciliter le chemin vers mon sexe. Il positionna son phallus entre mes deux fesses et son gland toucha mon anus, il était mal aligné. J’ouvris mes lèvres avec mon index et mon majeur pour lui faire comprendre par où passer, il ignorait toujours mes signaux, empoigna plutôt mes deux petites fesses de ses grandes mains, les écarta et plaqua sa queue contre mon anus en me disant sans détour qu’il allait me la mettre dans le cul. J’étais sous le choc, ne sachant trop comment réagir, j’étais encore vierge et voilà que le premier gars avec qui je couche veut me baiser directement dans le derrière! Il n’attendit pas mon approbation et essaya de forcer l’entrée par mon sphincter anal qui était trop contracté. Je pensai un instant à contester mais me ravisai et tentai de me détendre pour faciliter la chose, je ne voulais pas le décevoir et puis, qu’est-ce qu’il allait dire à ses amis. Mon anus s’ouvrait légèrement sous la pression de son gland, heureusement, il était enduit de ma mouille. Il poussait de plus en plus fort ne laissant d’autres options à mon cul que de s’ouvrir pour lui. Son gland se fraya finalement un chemin en moi causant une douleur que je réprimai silencieusement, la tête accotée sur le matelas, ma croupe sous son emprise. J’étais sa poupée sexuelle. Tranquillement, son membre entrait en moi par cet orifice indécent, il faisait des mouvements de va-et-vient très lents qui à chaque fois, permettaient à son pénis d’explorer quelques millimètres plus profondément dans mes entrailles. Je réalisai que j’étais maintenant déviergée de l’anus mais toujours vierge de la chatte, comment était-ce possible? Peut-être allait-il me prendre le vagin tantôt? Je l’espérais. Il continuait ses aller-retour parcimonieux ainsi plusieurs minutes, à l’occasion, il laissait tomber un filet de bave sur son dard pour le lubrifier davantage. Je sentis bientôt ses abdominaux musclés frapper contre mon derrière, je compris alors qu’il était entré de toute sa longueur, j’étais maintenant complètement empalée. Il accéléra légèrement ses mouvements, malgré des petits cris d’inconfort et de protestation, il continua de m’enculer. Il me demanda si c’était ma première fois dans le cul, après une légère hésitation, je lui avouai que c’était le cas. Si seulement il savait que j’étais vierge! Ma réponse l’excita de toute évidence, il accéléra la cadence me disant que j’étais désormais une petite salope. Il me dit aussi que j’avais le plus minuscule cul qu’il avait baisé, que vu d’en haut, il était impressionné de voir que son ’’big cock’’, comme il l’appelait, avait pu entrer dans mes petites fesses de poupée. Je n’allais pas le contredire! Sa queue était tellement présente dans mon rectum, elle occupait tout l’espace, mon anus était étiré au possible, je sentais cette masse en moi jusque dans mon intestin. Il m’entourait fermement la taille de ses mains et ramenait ma croupe vers lui, à chaque fois entrant et sortant sa verge complètement, il poursuivait mon dépucelage anal de façon incessante, j’étais à sa disposition. Tout l’alcool qu’il avait bu avait pour effet de retarder son éjaculation. J’avais hâte qu’il jouisse, je voyais bien qu’il avait commencé et qu’il finirait dans mon derrière, je voulu l’exciter avec des paroles cochonnes, pour que ça se termine au plus vite. Je lui dis qu’il avait fait de moi une petite garce, que j’étais sa petite salope. Mes paroles eurent l’effet escompté, il devint surexcité et me pénétra avec davantage de fougue, il respirait de plus en plus fort. J’en rajoutai, je lui ordonnai de me sodomiser pour vrai, de me défoncer. J’avais peut-être exagéré un peu, ses mains agrippèrent mes deux fesses sauvagement, il les écarta sans ménagement et pistonna mon cul à un rythme impossible, l’inconfort se transforma en douleur. La prochaine minute fut pénible, mes cris ne le firent pas broncher, au contraire, il me sauta le cul brutalement, me défonça sans considération me traitant au passage de petite pute et de chienne. Chacun de ses coups de boutoir était fait avec une intention décisive, sa queue entrait en moi plus profondément que jamais, je n’étais qu’une poupée de chiffon entre ses mains puissantes, mon petit derrière était son jouet. Alors que je criais de plus en plus fort, même les gens dans la maison auraient pu m’entendre, il fourra sa verge énorme une dernière fois au plus creux de mon rectum, retint mon cul dans cette position, poussa un énorme cri rauque, je sentis un déversement puissant de liquide chaud au fond de mes entrailles, il avait enfin éjaculé. Les jets de foutre n’arrêtèrent pas, un après l’autre, ils s’accumulèrent en moi. Antoine me remplit de son sperme. Il se retira rapidement, se rhabilla puis retourna avec les autres sans davantage de considérations à mon égard. Je m’affaissai au sol, étendue sur le côté, le sperme coulant de mes fesses, je ne pouvais l’en empêcher. Mon derrière me faisait mal, j’avais l’impression qu’un train m’avait traversée. je me rhabillai éventuellement et rejoignis les autres à la fête. Et dire que j’étais encore vierge!
