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Maude à New-york

Chapitre 3

Les choses s'accélèrent

Inceste
Maude à NYC 3Les choses s’accélèrent !Ma fille Maude vient de me demander explicitement de lui refaire une bise sur la bouche.
Pourquoi suis-je pris de cette irrésistible envie de goûter ses lèvres à nouveau? C’était accidentel cette bise dans le noir de la chambre, mais cette fois je veux le faire volontairement. Ma conscience me hurle de me retenir de faire cela, mais je ne l’écoute pas.Quel diable me pousse donc à rapprocher mon visage du sien?
Avec délicatesse, mes lèvres entrent en contact avec les siennes, je lui fais un petit bécot, puis un autre, puis encore un autre. Soudainement, elle ouvre la bouche et j’en suis surpris ! Ma bise ratée produit un petit écho dans sa cavité buccale.
Je comprends ce qu’elle souhaite, mais aussi constate sa grande inexpérience quand ma langue cherche la sienne. Nos salives s’insinuent entre nos visages et comme c’est plutôt désagréable j’entreprends de lui essuyer les joues et la bouche avec le drap avant de lui souffler à l’oreille :
— je vais t’apprendre à embrasser...— Oh oui mon amour !
Elle vient de dire "mon amour" et ces mots me vont droit au cœur. En effet, je n’ai pas le sentiment que c’est ma fille que je tiens dans les bras, mais une jeune femme qui me trouble énormément. Est-ce une inconnue ou une amante de longue date ? Je n’en sais plus rien, sauf que je vis un moment d’intense bonheur !
Ses progrès en matière de baiser sont rapides et nous ne faisons que cela durant plus de vingt minutes. Si nous nous interrompons, c’est uniquement à cause de ma femme qui change de position dans le lit et se tourne vers nous en grognant dans un demi-sommeil.
Maude attend que sa mère se mette à respirer plus régulièrement pour me glisser à l’oreille :— Merci ! Merci ! Merci mon amour ! C’est si agréable !— Moi aussi j’aime t’embrasser ma chérie !— On recommencera ?— Oui ! Même si c’est inconvenant! Mais soyons prudents vis-à-vis des autres gens, d’accord ?— D’accord, mon amour... de toujours !
Je m’endors sans éprouver la moindre culpabilité d’avoir échangé tous ces baisers avec ma fille.J’ai même l’impression de revivre au contraire, et me sens rajeuni d’au moins vingt ans!
JOUR 3
Quand je m’éveille, je constate que mon épouse est déjà lavée et habillée. En plus, elle a eu la gentillesse de nous préparer un café. Maude ouvre les yeux et son premier regard est pour moi. Ses yeux pétillent de bonheur, mais je lui fais comprendre par une petite moue, qu’il nous faut rester discrets.
Alors que nous sirotons notre café, Florence déclare : — je vais vite fait faire un tour dans la rue d’à côté, j’y ai vu un magasin qui m’intéresse.— À cette heure-ci? Il doit être fermé ! Lui réponds-je— Ce n’est pas grave, j’ai trop envie d’aller me balader dans les rues— Décidément ! L’air de New York semble te revigorer.— Oui c’est super ! Allez, je vous laisse !
À peine la porte de la chambre refermée, Maude se blottit contre moi et me dit:— j’aimerais que tu m’embrasses encore— Je n’ai pas l’haleine bien fraîche pour cela— Je m’en fiche !— Dans ce cas alors...
Je pivote le corps vers elle et l’embrasse passionnément. Ma main coure sur son ventre soulève son haut de pyjama pour découvrir son torse. D’un geste vif, elle se débarrasse du tissu et m’expose fièrement une poitrine... de rêve.Ses seins sont admirablement proportionnés, pas trop gros, juste ce qu’il faut pour me plaire.
Je regarde son torse nu avec admiration, avant d’y faire courir un doigt léger lors d’un nouveau baiser. Maude perd son souffle quand je caresse chaque sein de la paume de la main. Je sens que sa poitrine est gonflée de plaisir, ses globes sont fermes sous mes doigts; ses tétons dressés sont à vif quand je les effleure.
Ma fille se contorsionne quand je me mets à lécher et suçoter ses aréoles rose pâle.Prise par la passion, elle glisse une main dans son short de pyjama et s’active sur son clitoris alors que je mordille ses tétons entre deux baisers.Sa jouissance est fulgurante et je l’encourage à la hurler, tout en malaxant ses dômes si doux au toucher.
J’ai pu remarquer que la chambre est bien insonorisée et qu’il n’est pas utile que Maude contienne ses cris de plaisir. Elle retombe du septième ciel et s’écroule vaincue par cet orgasme intense. Elle ne remarque même pas que je lèche ses doigts enduits de cyprine.Enfin, elle rouvre les yeux et me regarde avec une expression de gratitude infinie.
Moi, j’ai une trique pas possible que je cherche à dissimuler, mais que Maude a bien perçue quand nos corps étaient collés l’un à l’autre.
Je la laisse aller faire sa toilette en premier et reste contemplatif en regardant sa silhouette gracile s’éloigner. Elle se retourne et me dit :— je te laisse choisir mes habits, pourras-tu me les apporter dans la salle de bain?— Bien sûr ma chérie !Je ne sais pas ce que l’avenir nous réserve mais là, nous vivons l’un comme l’autre un moment de bonheur intense.Je lui choisis un string très mignon avec le soutien-gorge assorti, une robe légèrement décolletée et lui demande :— tu préfères mettre des collants ou des bas ?— Des bas ! Bien évidemment ! Me répond-elle très sûre d’elle.
Décidément quelque chose a radicalement changé dans son comportement. Elle passe de la fille studieuse et effacée à la vamp amourachée d’un homme plus âgé, en l’occurrence moi, son père !Je sais que c’est la première fois qu’elle va oser porter des dessous sexy et même mettre des bas!Si elle brave ses habitudes vestimentaires, si elle lâche prise, c’est à coup sûr pour me plaire!J’en suis profondément ému.
Je toque à la porte de la salle d’eau et elle m’invite à y entrer.
Après la douche qu’elle a prise, l’atmosphère de la pièce est humide et chaude, à tous les points de vue. Je sens ma queue gonfler en voyant l’entièreté de son corps nu. Son triangle d’or attire mon regard, mais aussi ma main, qui ne résiste pas à caresser cette douce pilosité pubienne, blonde comme les blés.
Maude se colle à moi et me tend ses lèvres. Je l’enlace pour l’embrasser langoureusement alors qu’elle frotte son bassin sur la protubérance de mon caleçon. C’est chaud comme situation! Me dis-je.C’est aussi très risqué car Florence peut revenir à tout moment!
Je le signifie à Maude, qui le comprend bien et me laisse quitter la pièce d’eau, alors qu’elle finit de s’apprêter. Pendant ce temps, je vais à la fenêtre pour constater que le jour se lève et que ma queue se baisse. Il était temps, car la porte de la chambre s’ouvre sur mon épouse qui revient du petit tour qu’elle a fait sans nous.
Maude est absolument ravissante quand elle nous apparaît. La coquine profite de ce que sa mère ait le dos tourné pour soulever sa robe et m’exposer ses globes fessiers, séparés par la dentelle de son string. Ses jambes gainées de ces jolis bas sont également superbes à regarder, même si cette vision est très fugace.Non décidément, je ne la reconnais plus!
***

Dans la matinée, nous partons tous trois en excursion jusqu’à Haarlem, pour assister à du gospel dans une église. Dans le car de tourisme qui nous y emmène, Maude regrette de ne pas être à coté de moi. Elle a dû céder sa place à sa mère. En effet, Florence a voulu se mettre près de la fenêtre, tant elle est fascinée par les buildings et belles demeures qui longent Central Park.
Arrivés à l’église d’Haarlem, nous sommes invités à gagner l’étage, une sorte de mezzanine surplombant le lieu du "spectacle". En montant l’escalier, j’ai une vue exceptionnelle sur les jambes de ma fille. Maude se doute que je la mate, car elle tourne la tête vers moi et me décroche un sourire complice.
Dès que nous prenons place, ma fille prend ma main dans la sienne, nos doigts se croisent et nos paumes s’écrasent fermement l’une contre l’autre.Lors de l’office, sa jambe se colle à la mienne et le léger crissement de son bas sur mon pantalon est vite couvert par les chants du chœur. J’avoue être troublé par la beauté de ces voix et quand je me tourne vers ma femme, puis vers ma fille, je constate qu’elles pleurent, tant elles sont submergées par l’émotion.
Je dis à l’oreille de Maude :— tu as les yeux bien humides ma chérie !— Il n’y a pas que mes yeux qui sont humides ! Me susurre-t-elle avec un regard si coquin, que mon trouble me va directement entre les jambes.
Ma fille chérie se libère à une vitesse vertigineuse ! Il y a quelques jours encore, jamais je n’aurais pu croire qu’elle me fasse une telle allusion. Il est vrai que notre intimité s’est bigrement renforcée ces dernières heures.
***
L’après-midi, nous décidons d’aller nous promener à Central Park pour y trouver un peu de calme.Maude a troqué sa robe pour un pantalon de jeans, moulant à l’extrême ses belles fesses bien fermes. Son string se devine aisément, mais c’est aussi son top décolleté qui attire le regard car elle a quitté son soutien-gorge et ses tétons saillent à travers le tissu fin de son haut.
Après avoir arpenté plusieurs allées de ce parc immense, nous décidons d’aller jusqu’au zoo, car il fait référence au vieux film d’animation "Madagascar". C’est dans un passage étroit que Maude, alors qu’elle me précède, fait quelque chose d’inattendu. Très discrètement, elle glisse sa main en arrière pour se saisir brièvement de mon service trois-pièces. Le geste est bref, moins d’une demi-seconde, mais suffit à me surprendre et surtout à m’émouvoir!
Elle ose tant de choses désormais que je m’en inquiète un peu.Cherche-t-elle à me provoquer, au risque de dévoiler notre relation qui devient si intime ?Une nouvelle fois, elle me lance un regard taquin au-dessus de son épaule, alors que moi, je la gronde des yeux.
Quoi qu’il en soit, je suis tout aussi impatient qu’elle de pouvoir l’enlacer amoureusement.Vivement ce soir !
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