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Maude à New-york

Chapitre 4

Non Maude, pas ça !

Inceste
Après avoir fait toutes ces excursions dans la ville, nous sommes enfin de retour dans notre chambre. Outre que nous ayons les pieds endoloris d’avoir beaucoup marché, c’est surtout que, Maude et moi, sommes pressés d’être à nouveau dans le grand lit pour échanger des caresses en cachette.
Hélas, mon épouse Florence ne semble pas être fatiguée, malgré nos activités du jour. Elle est totalement passionnée par le programme diffusé sur la télévision de notre chambre. Discrètement, sous le drap, ma fille chérie et moi nous tenons la main, en attendant que ma femme s’endorme.
Le moment arrive enfin où elle commence à respirer profondément et à fermer les paupières. Maude lui chipe la télécommande qui est sur le point de tomber de ses mains, et éteint le téléviseur. Je me lève et contourne le lit pour border le drap du coté de mon épouse à qui je dépose une bise affectueuse sur la joue.
Maude me regarde faire, puis en m’adressant un sourire complice, quitte son haut de pyjama pour m’exposer fièrement sa poitrine. Ce qui, à la fois, me fascine, mais aussi m’inquiète, si d’aventure Florence rouvrait les yeux. Quelle serait sa réaction si elle voyait que notre fille m’aguiche en me montrant ses beaux seins pâles ?
Je gronde des yeux ma blondinette, tout en la rejoignant dans le lit, avec empressement. Avant d’éteindre la lumière, je m’imprime une dernière fois la vision enchanteresse de ses deux beaux cônes dressés.
Maude s’allonge sur le dos alors que je me penche sur elle. Tous deux, nous attendons depuis trop longtemps ce moment où nos langues pourront batifoler. Dès que nos bouches s’unissent, je sens mon membre se gonfler. Je ne sais quelles sont les liaisons nerveuses entre ma langue et mon sexe, mais je me mets à bander instantanément.
Ma main court sur le ventre de ma belle avant de s’activer à pétrir la douce et ferme poitrine.
Maude se contorsionne sous mes caresses, alors que nos bouches restent unies. Elle replie les jambes sur elle et écarte ses genoux. La proposition est trop alléchante et rapidement, je glisse la main sur son pubis soyeux. Du bout du doigt, j’ouvre sa vulve en quête de son petit bouton d’amour.
Son clitoris particulièrement sensible réagit à la délicate caresse que j’imprime avec la pulpe de mon majeur.
Maude est prise de sursauts, ou plutôt de convulsions, elle respire fort et finit par hurler son orgasme en une plainte silencieuse.
Si j’utilise cet oxymore, c’est pour exprimer combien elle aurait pu crier son bonheur si cela avait été possible. Sa lamentation de plaisir se veut discrète, mais semble résonner dans cette chambre car, jusqu’alors, seul le léger ronron de la climatisation se faisait entendre.
À nouveau pris par la passion, je quitte le lit et tire Maude par les jambes. Si ma fille est surprise de prime abord, très vite elle m’accompagne pour se mettre les fesses au bord du matelas. Je m’agenouille sur le sol, retire son bas de pyjama, lui écarte les genoux et ma langue trouve facilement son abricot. Je lèche consciencieusement sa vulve ruisselante d’une mouille délicieuse, alors que Maude apprécie particulièrement ce cunnilingus paternel.
Je me régale à suçoter son bouton et à faire courir ma langue au bord de son vagin.

La sachant vierge, j’évite mais à contrecœur, de glisser mes doigts dans son antre au risque de briser son hymen.
Maude tressaille puis, avec ferveur, me presse la tête entre ses cuisses alors qu’un nouvel orgasme s’empare d’elle, la faisant trembler de la tête aux pieds. Ma petite chérie reste pantelante, alors que je réajuste délicatement son short de pyjama et m’essuie, à l’aide d’un pan de drap, toute sa cyprine qui enduit mon visage. Elle trouve la force de se mouvoir dans le lit pour me laisser me glisser près d’elle.
Très vite, elle me quémande un nouveau baiser alors que sa main glisse sur mon abdomen, puis sur mon pubis jusqu’à entrer en contact avec mon sexe tendu. Ses doigts s’enroulent sur ma colonne de chair pour imprimer une délicate caresse. Même si elle est maladroite dans ses gestes, je ressens une vive excitation, comme si c’était la première fois qu’une femme me touchait.
Tous deux, nous avons le souffle court, tant nous sommes passionnés par ce moment torride.
Toutefois, nous sommes contraints d’en rester là, car mon épouse, probablement dans un rêve, émet un petit râle et grogne quelque chose d’incompréhensible.
Maude attend quelques minutes avant de renfiler son haut de pyjama. Elle me tourne le dos alors que je me colle à elle, en cuillère, mon sexe coincé entre ses cuisses serrées et la main en contact direct sur son sein que je ne peux m’empêcher de flatter délicatement.
Maintenant que Florence s’est rendormie, je susurre à l’oreille de ma fille : "Je t’aime ma chérie !" sur un ton réellement passionné. Car oui, je suis pris de passion pour ma fille. Je sais que c’est inconvenant, mais comment lutter contre cela !
JOUR 4
C’est Maude qui me réveille en me caressant avec douceur le sexe et les testicules, je réalise alors que je suis à poil, mon caleçon est resté au fond du lit, aussi je m’empresse de le remettre après avoir fait un rapide bécot sur les lèvres de ma fille.
Je constate que Florence n’est plus dans le lit, mais indistinctement, je l’entends parler depuis la salle de bain. J’entends seulement qu’elle dit : "ne t’inquiète pas, c’est pour bientôt. Je t’embrasse très fort".
Alors qu’elle nous rejoint, je lui demande :
— A qui parlais-tu ?— J’étais au téléphone avec mon papa. Tu sais, avec le décalage horaire, c’est mieux de l’appeler tôt le matin.— Effectivement, tu as raison, il est à peu près midi là-bas. Ton père va bien ?— Oui très bien ! Vous voulez du café? Demande-t-elle sans plus en dire sur son paternel.— Oui, c’est gentil, merci.
Maude me caresse discrètement la cuisse, tout en sirotant son café et j’avoue que ça me trouble. D’un regard, je la prie de ne pas insister au risque que nous soyons découverts, surtout que ses caresses me font avoir une trique d’enfer.
***

Le reste de la journée, nous prenons le métro pour visiter la partie basse de Manhattan soit: le pont de Brooklyn, Wall Street et bien sûr le "One World Trade Center". Au retour, alors que la soirée approche, nous décidons de visiter l’Empire State Building pour profiter d’une vue magnifique sur la toute la ville de New York.
Dans la cabine de l’ascenseur qui nous mène au sommet, nous sommes si serrés que Maude, une nouvelle fois, colle sa main sur ma braguette et en profite pour malaxer mon sexe qui durcit vite sous ses doigts. Cette coquine abuse des situations à risques, mais je ne lui fais aucune remarque, car j’aime ce qu’elle me fait, même si c’est totalement audacieux.
Florence, quant à elle, est métamorphosée, elle doit avoir rechargé ses batteries avec l’air new-yorkais, tant elle est enjouée et dynamique. Ça me fait plaisir qu’elle sorte enfin de son état dépressif. Ce voyage a du bon pour chacun de nous.
Elle rit de tout et ne semble pas choquée quand je préfère donner la main à notre fille, plutôt qu’à elle. Dès que l’occasion s’y prête, Maude me fait une caresse dans le dos, parfois le bas du dos et même une fois, elle parvient à me palper les fesses.
À un moment, alors que je suis derrière elle pour admirer l’Hudson river, cette coquine n’hésite pas à frotter délicatement, et délicieusement, son fessier contre mon sexe. Heureusement qu’il fait presque noir, personne ne remarque que je bande terriblement.
Pour ma part, j’essaie de rester le plus discret possible malgré ma forte envie de la serrer contre moi.
Un peu plus tard, j’arrive quand même à échanger avec elle un bref baiser, et pas dans un endroit romantique, car il a lieu dans le couloir menant aux toilettes du restaurant que nous avons choisi avant de regagner l’hôtel.
***

Au lit, dès que Florence est endormie, Maude tend le bras pour éteindre la lumière puis se tourne vers moi. Elle fait glisser sa jambe repliée sur mon bas-ventre. Évidemment, elle sent très bien, sous son mollet, mon sexe durcir lors de notre long baiser. Très rapidement, elle ajuste sa position et sa main vient enserrer mon membre. Très maladroitement, elle entame un mouvement masturbatoire.
Bien que je sois aux anges, je pose ma main sur la sienne et lui précise la pression qu’elle doit appliquer de ses doigts, le rythme idoine, ainsi que le mouvement que doit avoir son poignet.
Désormais, la coquine s’y prend très bien pour me masturber et surtout ressentir les effets que ça a sur moi, ainsi que la montée progressive de mon plaisir.
Ma petite chérie se met à glisser sous le drap et ses lèvres viennent entourer mon gland.
Ma fille innocente et pucelle me taille une pipe !
Bien sûr, ce n’est pas techniquement la plus belle fellation du monde, mais émotionnellement mon plaisir s’en trouve multiplié.
D’un coup, comme prise de déraison, Maude me chevauche, se saisit de mon membre et le pointe à l’entrée de son vagin.
Je lui souffle :
— Non ma chérie ! NON ! Ne fais pas cela !— Si ! Je le veux ! Murmure-t-elle.
Ce disant, elle s’empale sur mon sexe et émet un petit cri quand sa fleur se déchire et que mon membre la pénètre à fond.
J’éprouve un sentiment nouveau, car c’est une première pour moi aussi, qui n’avais connu que des filles déjà déflorées, je ressens comme de la honte de l’avoir fait avec ma fille.
Ce n’est pas ce que je souhaitais ! N’était-ce pas à quelqu’un d’autre, comme son futur mari par exemple, de bénéficier de sa virginité ?
Maude se penche à mon oreille pour me susurrer " J’ai toujours voulu que ça soit toi le premier !".
Outre que ses mots me déculpabilisent, le va-et-vient qu’elle imprime en montant et descendant avec lenteur, me fait vite oublier mes remords.
Mes mains s’activent sur son dos, ses fesses, ses seins, sa nuque, ses cuisses. Elle me mordille, l’épaule le cou, l’oreille avant de réprimer son orgasme en un râle silencieux.
Elle continue malgré tout à se faire l’amour sur ma queue, à tel point que je sens monter ma sève et suis contraint de la repousser tendrement pour éviter d’éjaculer en elle.
Et, bien m’en prend, car à peine s’est-elle dégagée que ma semence est propulsée avec une puissance rare. Nous en sommes éclaboussés tous les deux.
Néanmoins, dans la pénombre de la chambre, je vois que Maude récolte quelques gouttes de mon sperme et porte ses doigts à la bouche pour les lécher.
Elle s’affale sur moi et me susurre à l’oreille:
— Je suis la fille la plus heureuse du monde, merci papa !— Je t’aime Maude, je t’aime comme un fou !
FIN
Amies lectrices, amis lecteurs,
Une suite, et une autre fin, va vous être proposée dans le chapitre 5 et peut-être va-t-elle vous surprendre.
Aussi, d’aucuns peuvent s’arrêter là dans cette histoire, sans s’obliger à lire le chapitre suivant.
Cela, afin de garder l’ambiance romantique qui nimbe jusqu’alors ce couple atypique.
yphos
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