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Mauricette aime la quéquette....

Chapitre 4

La crème de nuit...

Hétéro
Quand j‘avais vu la patronne s‘avançait jusqu‘à moi, je m‘étais dit : ça y est, elle va me demander de la suivre jusqu‘à un endroit discret, et une fois sur place exigera de ma part de la satisfaire en garant ma verge dans son sexe.
— Alain il serait possible que vous accompagniez ma marraine jusqu’à la petite maison. Me demanda la patronne. — Oui bien sûr avec plaisir madame. Répliquais-je en posant le plateau que je tenais en main sur un petit guéridon.
Ce soir c’était jour de fête dans le domaine. Une centaine de convives se partager les lieux. J’avais rendu mon costume de gardien contre celui de serveur. Pour l’occasion j’avais avalé un comprimé de Cialis. Pour satisfaire, si le cas se produisait, les besoins sexuels débordants de ma patronne. Que rien ne pouvait briser. Pas même une fête avec ses proches. J’avais patienté un long moment près de la porte d’entrée, avant que Geneviève (la marraine) daigne arriver. Emmitouflée dans un manteau de fourrure.
— Je n’ai pas été trop longue ? — Si peu madame, montais-je.
Elle en avait ri.
— J’avais tellement de personne à saluer avant de m’éclipser. Je ne tiens plus les soirées comme je le faisais plus jeune. — Mais vous êtes encore très jeune. — Et vous un grand hypocrite. Répliqua-t-elle en riant. Savez-vous seulement l’âge que j’ai mon cher ami ? Alors qu’il marchait dans l’allée. — Je n’ose pas vous donner une réponse à votre question chère madame. De peur de me faire traiter à nouveau. — Je vais sur mes quatre-vingt-deux ans. — Et bien bravo madame, vous ne les faites pas.
Torche en main je la guidais jusqu’au foyer qui lui était alloué. Avec mon passe j’avais ouvert l’accès. Après avoir allumé l’entrée je m’étais effacé pour laisser passer Geneviève.
— Il fait meilleur ici que dehors fit-elle.
Effectivement le chauffage tournait à plein pot. Je l’aidais à retirer son manteau que j’allais poser sur une chaise. Pas question de le suspendre sur une patère.

— Me permettez-vous d’aller jusqu’à votre chambre pour fermer vos volets. — Mais oui ! Faites... faites mon cher Alain... je vous accompagne. Comme vous m’aiderez à monter les marches.
Et ce fut en sa compagnie que je franchis le pas de la chambre. Tout de suite mon regard fut attiré par une culotte couleur sombre qui était posée sur le dossier d’une chaise. Elle se précipita jusqu’à elle, s’en saisit pour la fourrer dans sa valise.
— Il faut m’excuser. Je ne suis pas douée pour le rangement. Et en plus j’ai laissé ma bonne à la maison.
J’avais tout de même eu le temps de la scruter cette culotte noire. Comme étant chiffonnée, preuve qu’elle avait été portée récemment. Tout en fermant les volets, je l’avais imaginé la faisant glisser le long de ses cuisses, ce matin ou ce soir, avant d‘aller prendre sa douche. Que fut ma surprise en me retournant de trouver Geneviève en jupe et soutien-gorge blanc. Les bonnets de dentelle couvraient à peine la moitié de ses seins.
— Vous avez besoin de quelque chose ? Avais-je bafouillé. — Je ne sais pas. Une verveine peut-être. Il y a ça dans le magasin. — Je vais voir s’il y en a dans la cuisine. — Sinon vous laissez tomber Alain.
N’en trouvant pas dans la cuisine de la petite maison, j’allais jusqu’au manoir. Avec la certitude d’y en trouver sur place. Effectivement il y en avait. Je m’en saisis d’une poignée que je mis dans un bol, sous les yeux témoin de ma patronne.
— Elle veut une verveine ? — Oui madame. — Pressez-vous de lui faire sa tisane parce que j’aurai besoin de vos services.
Tiens ! Tiens ! L’envie d’être fourrée lui venait.
— Oui madame, tout de suite.
J’avais bien fait de prendre le comprimée, après réflexion. Le temps qu’il infuse il s’était bien passé cinq minutes. Je l’apportais alors jusqu’à la chambre. Sur un plateau avec une cuillère et un pot de miel. Elle me reçut en peignoir. Assise sur le rebord de son lit elle se passait de la crème sur ses genoux.
— Oh excusez-moi. J’aurai dû frapper. — Mais non entrer mon cher ami. Il n’y a pas de mal. À votre âge vous savez comment est composée une femme ? Non, rassurez-moi. — Oui ! Fis-je en riant. Excuser mon retard, il n’y en avait pas ici. Alors je suis retourné jusqu’au manoir. — Mais il ne fallait pas. — Je pose le plateau sur la table de nuit. — Oui, merci Alain— Avez-vous besoin d’autre chose, madame ? — Oui j’aurai besoin d’aide mais je ne sais pas si je dois... vous importuner avec cela. J’aurai dû faire appel à ma nièce. — Dîtes toujours madame. J’improviserais après si c’est dans mes cordes ou pas. — J’aurai aimé que vous me passiez de la crème sur le dos. Mais si cela vous ennuie je comprendrais. Je ne vous en voudrai pas. — Mais cela ne m’ennuie aucunement, madame. — A la maison c’est Camille qui me passe la crème.
Je m’étais saisi du flacon.
— Où dois-je vous en passer madame. — Je vais m’allonger sur le lit. Cela sera plus simple pour vous.
Elle s’installa sur le ventre dénudant ses épaules. Le flacon émit un petit bruit, quand je l’ouvris. Je posais une noix de crème et massais pour bien la faire pénétrer dans les spores comme elle me l‘avait si aimablement demandé.
— Juste les épaules madame ? — Le dos aussi, Alain, s‘il vous plaît. Si cela ne vous dérange pas. Elle avait soupiré, avant d’ajouter : — C’est bon, ça détend.
Alors que je m’affairais à remplir la tâche qui m‘était affectée, elle me parlait de tout et de rien. Mais aussi de mon massage.
— Vous avez des doigts magiques. Je suis certaine que si je me laissais aller je m’endormirai. — Ceci est dit pour que je continue ? — Oui s’il vous plaît. Fit-elle en faisant glisser le peignoir jusqu’à la naissance de ses fesses. Prenant ainsi une position nonchalante. La tête tournée sur la joue droite. Posée sur ses bras croisés. — Votre main est d’une douceur incomparable. Une sensation exquise. Fit-elle. — Madame est trop bonne. — Cela serait profiter de l’occasion de vous demander d’en passer aussi sur mes jambes et pieds. Comme en dit : Où il n’y a pas de gêne il n’y a pas de plaisir. — Parfaitement madame.
Pour combler son désir je m’étais attardé sur ses jambes, puis sur ses pieds. Pas un millimètre carré n’avait été oublié. Mais comme ce n’était pas assez pour la chère Geneviève, la coquine poussa le vice de me demander un drôle de faveur :
— N’oubliez pas mes fesses. — C’est que je vais gêner par votre peignoir. Répondais-je au tac au tac. — Que cela ne tienne, fit-elle en se l’enlevant d’un coup sec et l’envoyer valdinguer sur le sol.
Ne portant pas de culotte, je fus frappais par la vision de ses fesses nues que le temps avait un peu fripées. Comme une pomme délaissait dans son panier. Il n’en fallait pas plus pour m’exciter. À faire que mon pénis prenait du volume dans mon caleçon. Il se trouva très vite coincé, dans une position qui me faisait extrêmement souffrir. J’aurais dans d’autres circonstances bien plongé ma main dans mon pantalon pour la déplacer, mais là, avec Geneviève toute proche s‘était mission impossible. D’ailleurs elle me suivait des yeux. Alors qu’elle courbait le dos, relevant son cul. M’exhibant de la sorte tout ce qu’elle avait à m’étaler. Entre ses fesses d’une blancheur de lait, sa raie s’étirait, parfaitement glabre. Son anus se devinait au creux du sillon. Pris d’un coup d’une ardeur pervers, je lui pris fermement ses fesses à pleines mains. Avec mes pouces, je pressais le gras des fesses. Le cul s’entrouvrit devant moi. La gorge sèche, je tirai davantage sur les côtés, écartant davantage les fesses. Faisant ainsi connaissance avec l’anus parfaitement mis en lumière. Rose foncé, orné de fronces très marquées. Très vite mes narines furent taquinées par une odeur forte de pisse, de sueurs anales. Qui était loin d’arranger l’état inconfortable où se trouvait ma verge dans mon caleçon. Comme tout m’était permis à cet instant, je pris l’initiative d’écarter davantage les fesses. Lui déformant par cette impulsion l’anus en largeur. Comme l’aurait fait un étrange rictus de bouche. Geneviève ne réagissait pas. D’une voix rendue sourde par l’excitation, je lui demandais :
— Cela vous ira ?
Sans qu‘une réponse ne sorte de sa bouche, elle pivota sur elle-même. M‘exhibant son côté face. Son ventre pendait un peu au-dessus d’un sexe lui aussi épilé. J’en restais bouche bée. Elle se saisit alors de mon poignet et le porta jusqu’à son sein droit tombant ; s‘étalant sur sa poitrine.
— Là aussi... enfin si cela de vous ne contrarie pas. Dit-elle d’une voix changée. Un peu rauque. Tout en me regardant droit dans les yeux.
Il me fallut que peu de temps de réflexion avant de m’exécuter. Lui massant un sein puis l’autre. Insistant bien autour des mamelons. Geneviève avait fermé les yeux. Se laissant aller sous la bienveillance de ma caresse. Puis je fus alerté par quelque chose qui se posa au centre de mon corps. Sur mon sexe pour être plus précis.
— Vous avez l’air drôlement excité.
J’eus pour toute réponse un embrouillement de mots intelligibles. Il lui en fallut pas plus pour venir à mon aide.
— Attendez ! Je vais vous calmer sinon vous aurez du mal à vous faire comprendre.
Elle avait eu un petit rire, que je dirai de coquin, alors qu’elle baissait la fermeture Eclair de ma braguette. Sans attendre, elle avait fourré sa main à l’intérieur et après m’avoir palpé, se mis à me masturber pour mon plus grand bonheur. Mais très vite, elle trouva la condition loin d’être maniable. Elle décida, de son propre chef d‘abaisser mon pantalon et puis mon slip. Ma queue se trouvait à l’air libre. Elle en profitait pour poser ses lèvres sur mon gland, dans un baiser mouillé.
— Vous sentez bon ! Vous avez l’odeur de mâle en rut.
Après ces quelques paroles aguichantes, elle m’avait pris dans sa bouche. Ses lèvres serrées montaient et descendaient de plus en plus vite le long de ma verge. Puis elle happa le gland. Je me raidis. Elle avait les paupières closes. Sa langue le pourléchait, humectant de salive le moindre millimètre carré de peau. Des petits grognements que je tirais d’animal montaient de ses lèvres distendues. Je profitais qu’elle s’affaire sur mon jouet de plaisir pour m’intéresser au sien. Dont les lèvres écartées mettaient en valeur la chair nacrée de la vulve nue. J’introduisais deux doigts joints entre les petites lèvres tout en observant sa réaction. Elle s’était tout bonnement cabrée. De mon autre main, je lui caressais les seins. Puis fis alors coulissais mes doigts dans son antre. Les faisant entrer et sortir en un mouvement rapide qui me mit très vite au supplice, par la difficulté de la posture. Cela additionné à l’excitation, il m’en fallait pas plus pour passer à autre chose. À celui de faire l’amour avec cette vieille dame. Non, pas faire l’amour, j’allais la prendre, la posséder, la saillir comme une femelle en rut. Et j’allais faire ça ici, à quelques mètres d‘une fête organisée par sa filleule, ma patronne. Je me retirais de sa bouche. Geneviève eut un rire chatouillé.
— Cela ne vous plaît pas ? Je ne le fais pas assez bien ?
Son intonation n’avait rien de vraiment froissé. Sa réprobation n’était que de pure forme. Cette pensée me fit comme bondir entre ses jambes. J’aurais parié qu’elle n’avait pas encore fait sa toilette tant l’odeur de son con était forte. Un parfum poivré et puissant. À tel point que je me collais à lui pour le respirer. Les effluves de sa chatte me piquaient les narines.
— Qu’est-ce que vous attendez ? Il ne suffit pas de sentir ! Posez votre bouche... je n’ai pas fait autant de manières, moi...
Presque sans m’en rendre compte, je m’étais mis à la lécher. À la laper sans délicatesse longeant la fente de haut en bas, me régalant de la saveur acidulée de son sexe. Repliant les jambes sur sa poitrine, j’exhibais à mes yeux le renflement rougeâtre de l’anus. Qui en s’épanouissant, laissant voir le cratère des muqueuses. J’y plantais deux doigts sans cesser de lécher la chatte. Chatouillant le clitoris du bout de la langue, le gobais même. Mes doigts entraient et sortaient sans encombre tant elle était souple de ce côté-là. À un tel point que j’apercevais les parois mauves et lisses à l’entrée du rectum. Rien sur le visage de Geneviève ne trahissait la montée de plaisir. Comme si tout ce que je faisais était insipide pour elle. Alors j’enfonçais trois doigts entre ses fesses, avec l’intention de visser par la suite ma langue. Loin dans le rectum. Tant l’envie de la goûter m’avait submergé. D’ailleurs sa réaction ne s’était pas fait attendre.
— Que faîtes-vous ? C’est sale ! Fit-elle tout en se tortillant sur le lit. — Vous aviez plutôt l’air d’aimer cela ! En me redressant, et la saisissant par les hanches et appuyais mon gland à l’entrée de son anus. Forçant l’entrée lentement. Elle se cambra en sentant mon gland s’introduire entre les parois rectales. Peu à peu son cul s’ouvrait pour laisser entrer ma queue. Je poussais en elle et mon sexe disparut dans son entier, dans l‘ouverture. — Je suis dans votre cul ! Vous avez mal ? — Non, je suis bien... je me sens toute drôle...
Le tenant par les hanches, je coulissais dans son rectum. J’étais étonné de constater avec quelle rapidité son cul s’était ouvert. D’ailleurs je lui en fis la remarque.
— Oui, comme ça, continuez ! M’encourageait-elle.
Explorateur et fasciné, je voyageais en elle. Elle mouillait du cul. Onctueuse comme de la crème de chocolat brûlante. Elle gesticulait. Dansant autour de mon phallus. Râlant sans discontinuer. Alors que je coulissais dans son cul. Elle m’attira à elle. Vers sa poitrine pour être plus précis. Pour me donner la tétée. Je l’aspirai goulument.
— Les deux ! Suce-moi les deux ensemble ! Passant au tutoiement. J’ai envie de tout, cette nuit !
Je n’avais pas eu de mal à presser les mamelles l’une contre l’autre de façon à marier les deux mamelons. Pour les sucer goulûment.
— Mordille ! Faites-moi mal ! J’ai besoin de souffrance pour jouir à mon âge...
Tout en suçant à pleine bouche, je refermais mes dents sur les chairs élastiques. Elle soulevait les reins, alors que je la pinais à fond. À grands coups rectilignes. Droit au but. Il devenait de plus en plus baveux. Geneviève poussa un cri, se souleva avec souplesse. Ce qui pour son âge était stupéfiant. Hors d’elle, elle bougeait à tout rompre, poussant des gémissements enroués.
— Oui... oui je jouis... ah, ça y est, je jouis !
J’accélérais la cadence ainsi que la force de mes coups de reins. Elle était cahotée comme une vulgaire poupée de chiffon. Mes couilles venant sur la chair chaude de ses fesses. Les spasmes très forts de son anus m’avaient fait jouir à mon tour. J’avais l’impression d’être mangé par son cul. Avec un halètement de bête fauve, mon sperme giclait avec force, tapissant le fond de son rectum. Je m’affalais à ses côtés pour reprendre haleine. Je crus que je vivais ma dernière heure tant j’avais du mal à reprendre mon souffle. Alors qu’elle m’embrassait à pleine bouche. Comme pour me remercier. Puis je m’informais, en lui demandant si elle était contente d’avoir été sodomisée.
— Que du plaisir. M’avait-elle répondu.
En jetant un coup d’œil du côté de ma verge, je remarquais qu’elle était maculée de traces brunes. Il ne m’en fallait pas plus pour passer par la case la salle de bains pour me nettoyer. Il fallait que je sois présentable pour ma prochaine mission. Celle qui m’attendait à mon retour dans la grande maison. À mon retour dans la chambre, Geneviève dormait. Fesses bien écartées d’où s’écouler mon sperme bruni.
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