Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 15 J'aime
  • 2 Commentaires

Le Mauvais Garçon

Chapitre 8

Avec plusieurs hommes
LA FILLE AU PAIR
Personne pour accueillir André à son arrivée au domicile. Il ouvre la porte du salon. Personne là non plus. Où sont-elles ? Comment se fait-il qu’Odile et Martine ne soient pas rentrées à cette heure ? Que font-elles ?… Et Ingrid ? Où se cache-t-elle ? — Je parie qu’elle est comme à son habitude, dans sa chambre au lieu de préparer le repas ! Il devient urgent de la recadrer ! Il referme la porte et monte à l’étage supérieur. Oui, elle y est, mais pas seule la garce ! Une voix d’homme mêle ses gémissements à ceux de la jeune fille. — Ah non ! Cela ne se passera pas comme ça ! Furieux, André ouvre la porte mais reste figé sur le seuil : sur le couvre lit, un inconnu, nu comme un ver, pilonne sans relâche Ingrid également nue. Le couple ne semble pas se douter de sa présence. La jeune fille en pleine jouissance griffe les épaules de son partenaire. — Tu vas !… Plus fort !… Tu es booon ! glapit-elle. — Han !… Prends ça ! — Yééé !… L’avocat balance, entrera ou n’entrera pas ? Il est partagé entre la colère (« Pas question que ma maison se transforme en lupanar ! ») et le voyeurisme : le spectacle est si excitant ! Il s’appuie contre le chambranle, hypnotisé par la vue des fesses nerveuses qui s’agitent entre les cuisses largement écartées. La jeune fille l’aperçoit enfin. Cela ne la démonte pas. — Aah ! Tu es là… Aah ! Sans cesser d’accompagner les coups de rein de son partenaire, elle fait signe à André de les rejoindre. — En… Aah !… Entre mon gr… Aah !… Mon gros nounours, j’ai… Aah !… Bientôt fini. — Qui c’est… Han !… Celui-là ? interroge l’homme sans cesser de la baiser. — Il est… Aah !… Il est mon patron… Aah !… Tu n’as pas peur il… Aah !… Il ne dira rien. — J’ai pas peur… Han !… Il attendra son… Han !… Son tour. La réplique agit comme un aiguillon sur l’avocat qui s’avance pour empoigner l’impudent et le jeter dehors. Il est chez lui et n’a pas besoin de l’autorisation de ce malotru pour baiser la fille au pair quand il le désire ! Arrivé près du couple qui l’ignore, il hésite. La musculature du garçon le fait réfléchir, il n’aurait pas le dernier mot en cas de pugilat. Il aurait du agir dès son irruption, et ne pas rester immobile à attendre on ne sait quoi, c’est trop tard maintenant… Andrée reste debout au milieu de la pièce ne sachant où aller. S’installer sur un fauteuil et attendre qu’ils finissent ? Non, cela ferait trop voyeur de service. Se rapprocher du couple en pleine action et mêler ses caresses sur les fesses tentatrices ? Il en meurt d’envie mais n’ose, par crainte d’une réaction négative de l’homme. Il assiste impuissant à la montée de la jouissance que les amants extériorisent par des gémissements crescendo, presque des cris… Provisoirement calmée, Ingrid repousse son partenaire qui s’assied sur le lit et ôte le préservatif usagé. — Eh ! Pas à terre please ! Tu vas jeter ta condom dans la poubelle dans la salle de bain. Le garçon obéit en grommelant. La jeune fille interpelle André. — Quoi tu veux ? — Euh… Qui est ce garçon ? Cela ne me plait pas que tu introduises des étrangers dans la maison.
— Il n’est pas un étranger, il n’est pas la première fois qu’il vient mais les autres jours il part plus tôt. Ta femme est au courant et elle ne dit rien. Le jeune homme revient s’essuyant le sexe avec une serviette. — Ah ! Gérard, je te présente mon patron, André. — Enchanté ! — André, voici Gérard, un bon copain. L’avocat hésite puis accepte la main tendue. — Bon, maintenant que les présentations sont faites, tu attends quoi pour mettre à l’aise ? Ingrid déboutonne sa chemise pendant que Gérard déboucle la ceinture. — Qu’est-ce… Que faites-vous ? Je ne veux… La jeune fille étouffe ses récriminations par un baiser. De tenir la fille au pair dans ses bras lui fait perdre la tête et il se défend mal contre les mains qui lui ôte pantalon et slip. Il a honte de la bouffée de plaisir qui l’envahi lorsque des doigts se glissent entre ses fesses et cherchent à s’introduire. — Tu continues Gérard, il apprécie, s’écrit Ingrid en voyant la verge se redresser. Vexé, l’avocat tente de se dégager, mais le garçon veille au grain et maintient fermement André qui comprend tout à coup ce que voulait dire « attendre son tour » : Le copain d’Ingrid veut l’enculer ! (« Ce con croit que je vais me laisser faire. Il se fourre le doigt dans l’œil !) Mais il oublie de résister quand Ingrid insère le genou entre ses cuisses. Les doigts entre ses fesses en profitent immédiatement et prennent leurs aises, une phalange s’enfonce. Le souvenir de la jouissance découverte la veille submerge l’avocat. — Aaah ! Il se ressaisit : — Nooon ! Je ne veux… Aah !… Pas… Nooon ! Aah !… Veuillez partir… Tout de suite. Une maîtresse gifle sur son postérieur calme André qui gémit. — Je veux pas… Je veux pas… Je veux pas. La raideur de sa queue dément sa dénégation. Ingrid s’amuse avec la verge qui pointe. — Mais si tu veux… Tu aimes ça n’est ce pas mon gros nounours ? Tu verras Gérard est habile. Ingrid enserre le sexe qui se développe entièrement. — Non, je veux pas… Aah ! La fille au pair poursuit la masturbation et un doigt tourne dans le sphincter. André ne sait plus où il en est. Il se revoit entre les mains de Luc lui prodiguant la même caresse. Toute force l’abandonne. Il gémit et ferme les yeux, emprisonnant son plaisir. — Ouais ! Tu vas voir comme je suis habile ! annonce le garçon. Tu en redemanderas j’en suis sûr ! Il n’aurait pas du crier victoire ! Par un sursaut de fierté, l’avocat parvient à se dégager, mais la jeune fille le repousse sur le lit où il s’effondre sur le dos. Gérard retourne André comme une crêpe et soulève son bassin, mais l’avocat retombe à plat ventre. Cela ne convient pas au jeune homme qui le fait savoir. — Hé ! Ça va pas ! Tu te mets à quatre pattes le cul en l’air !… Qu’est-ce que t’attends ? André n’obéissant pas assez vite au gré de son tourmenteur, une maîtresse claque sur les fesses le fait bondir. — Aouh ! — Alors ?… Ah ! On fait la forte tête ! — Aïe !… Aïïïïïe ! — Tu obéis ou je continue !… Ah ! Quand même ! Mâté l’avocat obtempère. — Je veux pas me faire enculer, pleurniche-t-il… Je veux pas… Ingrid enveloppe le sexe de ses doigts fins. — Tu restes calme, mon gros nounours, tu verras, Gérard est bon. — Non, je veux pas… Je veux pas… Je veux pas… — Mais si, mais si ! Pas impressionné par les lamentations, Gérard habille sa verge d’une nouvelle enveloppe de latex. Ingrid continue la masturbation. L’avocat ne bouge plus. Le jeune homme grimpe à son tour sur le lit qui fléchit. Il enfonce le majeur dans l’anus d’André. — Aaah ! Un deuxième doigt élargit l’ouverture. — Mmmh ! Ingrid se glisse sous André et porte le gland en bouche. — Qu’est… Qu’est-ce que tu fais Ingrid ?… Oooh ! Elle sort le sexe le temps de déclarer : — Tu ne bouges pas mon gros nounours, tu laisses faire. Gérard enfonce sa queue d’un bon coup de rein. — Aooouuh ! Malgré le gel qui recouvre le préservatif, la soudaine introduction est douloureuse. — Non ! S’il vous plait ! Je veux pas ! — C’est un peu tard tu ne crois pas ? ricane son bourreau. — Hé ! Attention Gérard ! Tu n’es pas brute ! Il est fragile le gros nounours ! Il faut lui donner le plaisir. — Ça va, ça va ! J’y fais gaffe à… A ton patron en sucre… Han ! — Mmeeuuh ! André s’arque boute sur les avants bras pour résister aux violentes poussées et ne pas perdre le contact avec la bouche d’Ingrid. Luc était plus doux, regrette-t-il. Par delà la souffrance il perçoit les prémisses des sensations découvertes la veille. Il s’efforce d’occulter la douleur pour se concentrer sur le plaisir, aidé en cela par la fellation de la fille au pair. La jouissance envahit son bas ventre, monte dans la tige, gonfle le gland… — Aaarrgghh ! Il inonde la bouche de son sperme. Ingrid surprise par la rapidité de l’éjaculation, ne peut tout avaler. — Theu ! Theu ! Theu ! Elle s’extrait de dessous André juste au moment où celui-ci, incapable de maintenir ses bras raides, s’effondre en position fœtale sur le couvre lit. Gérard, désarçonné tente de remettre André à quatre pattes. Ingrid a pitié de l’avocat. — Tu laisses, il n’est plus capable d’aimer. Le garçon montre sa bite raide. — C’est que j’ai pas fini moi ! — Je peux te faire du plaisir… Ingrid ôte le préservatif et s’apprête à enfourner le gland. — Non ! Pas toi ! Je veux qu’André me suce ! — Tu es raisonnable, tu laisses faire moi, argumente Ingrid qui a pitié de son patron. — Non, non ! C’est André qui m’a pas laissé l’enculer jusqu’au bout, c’est à lui de me terminer ! Il présente le gland à la bouche de l’avocat. Celui-ci pince les lèvres (« Sucer sa sale bite ? Mais qu’est-ce qu’il croit ! »). Gérard tord son oreille. — Aïïeemmmmh ! La verge bloque le cri en pénétrant. — Fais gaffe à tes dents et gare à tes miches si tu me fais mal ! Gérard donne des coups de rein comme s’il continuait à l’enculer. — Mmmhhh ! La menace de Gérard fait son effet. André s’efforce de maîtriser le haut le cœur que le sexe déclenche en touchant la glotte. Il tête la tige et la caresse de la langue, timidement d’abord puis plus franchement. — Ouiii !… T’apprends vite !… T’es bon !… Ouiii !… Encore !… Je… Je jouis… Ouiii !… Je pars… Aarrgg !… Je jouiiiis ! Le sperme qui gicle contre le palais, déborde autour de la tige et coule sur le menton. — Theu ! Theu ! Theu ! André s’efforce de ne pas avaler mais malgré son dégoût il en déglutit une partie. Il est étonné par la saveur, pas si désagréable que ça. Gérard récupère son sexe et l’essuie au couvre lit. — Aaah ! Ça va mieux ! — Hé ! Tu es un gros sale ! Ce n’est pas toi qui lave ! Ingrid l’expédie dans le cabinet de toilette. André recrache le surplus de sperme dans un mouchoir en papier piqué sur sa table de nuit pendant qu’elle l’essuie. Le pauvre est incapable de réagir. Qu’est-ce qui lui est arrivé ? Que fait-il là ? Les images s’ordonnent dans son cerveau. Ah oui, il était venu dans la chambre d’Ingrid pour la punir de recevoir des garçons… En fait de punition… C’est lui qui a été châtié d’avoir dérangé le couple… Doublement châtié… Il se déplie avec précautions. — Où tu vas ? — Dans ma chambre… Je suis fatigué… — Odile m’a chargée d’une message pour toi. — C’est vrai, où est-elle ? Pourquoi n’est-elle pas encore arrivée ? Et Martine qu’est-ce qu’elle fait ? — Il est le temps que tu occupes de elles ! — J’avais bien vu qu’elles étaient absentes. J’étais monté pour avoir des nouvelles. Alors ? — Odile dit : elle couche chez sa maman. — Pourquoi ? — Je ne sais pas. Tu demandes. Je pense à cause de hier soir. André préfère ne pas s’aventurer sur ce terrain avec la fille au pair. — Et Martine ? — Elle couche une nuit ou deux chez une copine, elle a dit. Il se dirige vers la porte. — Tu ne veux pas manger ? J’ai préparé la repas. — Le repas, corrige-t-il machinalement. Non merci je n’ai pas faim. Le sperme avalé lui suffit. — En vérité ?… Tu choisis… Ah te voilà, toi ! interpelle-t-elle Gérard à sa sortie du cabinet de toilette. Tu viens manger à la cuisine. — Il… Il reste ? — Oui, il passe la nuit avec moi… Tu es dérangé ? L’avocat a épuisé toutes ses ressources d’indignation. Il hausse les épaules et se dirige vers sa chambre. Dans son dos il entend le garçon demander : — Il te baise le vieux ? Oui, il la baise, mais il est incapable de lui arracher, ainsi qu’à Odile, les gémissements de femelle assouvie qu’il a entendu à son arrivée. Est-ce sa faute s’il ne parvient pas à les satisfaire ? De mauvaise humeur il ferme la porte de sa chambre et s’enferme dans sa salle de bain pour se rincer la bouche. Un peu calmé, il téléphone à son épouse. Celle-ci lui confirme son intention de prendre un peu de recul. Non, elle ne le quittera pas mais a besoin de faire le point sur ses sentiments. Il l’assure de son amour et lui promet de la rappeler le lendemain du bureau.
A suivre…
Diffuse en direct !
Regarder son live