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Le Mauvais Garçon

Chapitre 7

Orgie / Partouze
AU SECOURS !

Annie est effondrée. La traite des blanches! Elle qui croyait que c’était un mythe! Elle découvre qu’il n’en est rien et qu’elle en est la victime. Elle comprend que la fille et Luc vont se faire remarquer en plusieurs endroits de plus en plus éloignés pendant qu’on viendra la chercher, puis sa remplaçante s’évanouira. Personne ne retrouvera sa trace! Où vont-ils l’emmener? Dans un bordel? A l’étranger? Dans un harem? Et pas de téléphone pour appeler à l’aide, pas de portable… Le portable! Elle fonce dans la chambre, regarde sous la table de chevet. Il est encore là! Dans sa précipitation elle marche dans son vomi mais n’y prend garde. — Il marche comment celui là?… Ah! Il s’allume! Elle compose le numéro de son père. Pourvu qu’il soit chez lui! Deuxième sonnerie… troisième sonnerie… Le cœur d’Annie s’emballe. — Papa! Papa! Réponds Papa! Quatrième sonnerie. — Allô! — Oh Papa t’es là! — Oui ma puce, qu’est-ce qu’il y a? — Papa! Papa!… Annie éclate en sanglots. — Qu’est-ce qu’il y a? s’inquiète Lucien. — Ils m’ont… Snif… ils m’ont… Viens à mon secours, Papa vite! — Tout de suite ma puce. — Il m’a enlevé! — Qui ça? — Luc! Il m’a enlevé puis ils m’ont…De gros sanglots l’empêchent de continuer. — Calme-toi mon chou, calme-toi… respire, là, ça va mieux? — Snif!… oui… snif! — Où es-tu? — Dans un appartement…
Annie arrive à donner l’adresse malgré les sanglots. — C’est… snif!… Au dernier étage… snif! — Bon j’arrive tout de suite, c’est pas loin. — Papa, ils ont fermé à clé et pris tous mes vêtements. — Ah! — Oui, puis Luc doit revenir et on viendra me chercher dans une heure. Un plan s’ébauche dans la tête de Lucien. Enfoncer une porte ou forcer une serrure n’est pas à la portée de tout le monde. Il a besoin d’aide. — Tu m’as dis que ton Luc doit revenir? — Oui, c’est lui qui doit ouvrir à ceux qui viendront me chercher. — Bon, écoute-moi bien. — Oui Papa. — Tu vas laisser ton geôlier revenir. C’est lui qui nous ouvrira la porte. Comment tu me téléphones? — D’un portable qu’un de ses copains a oublié. — Tu vas vite le remettre où tu l’as trouvé. Il ne faut pas qu’on sache que tu m’as appelé. Personne ne doit se douter de rien. Je vais chercher de l’aide et j’arrive. Je sonnerai trois coups, un long, deux brefs. Si c’est toi qui réponds, on attendra que ton Luc arrive et on lui saute dessus, si c’est lui, on se fera passer pour ceux qui viennent prendre livraison. Comment est-il ton Luc? — Il est brun, deux ou trois ans de plus que moi. Il porte un blouson de cuir et une écharpe rouge. — Bon, t’as bien compris? Il ne faut surtout pas qu’on devine que tu m’as téléphoné. — Oui Papa. — Bon courage ma puce, à tout de suite. Lucien raccroche. Un gros soupir soulève les épaules d’Annie. Son père va la sauver! Terminé le cauchemar! Ah! Éteindre le portable et le planquer sous la table de chevet. Zut! Elle va salir partout avec son pied maculé. Elle l’essuie à la couverture. Les lambeaux de slip et de soutien-gorge gisent sur le sol en plein dans le vomi. Elle ne peut les remettre. Annie ouvre l’armoire. Vide, rien pour se couvrir. Restent les draps de bain. Sur le seuil de la chambre elle se retourne. La pièce est dans l’état où les quatre compères l’ont laissée. De la porte on ne voit pas le portable.
Dans la salle de bain, elle choisit la serviette la plus grande et s’enroule dedans. Le tissu éponge couvre juste la poitrine et le ventre. Curieusement, à part une gêne à l’anus, elle ne garde pas un mauvais souvenir de la tournante. Un petit rire la secoue en s’imaginant en train de sucer la queue de Bob pendant que Luc la baisait. Ça devait être un drôle de spectacle! Si son bourreau avait continué de lui caresser le sexe en même temps, elle aurait jouit… Pour la première fois. Faudra-t-il qu’elle subisse plusieurs hommes pour découvrir l’extase? Un bruit de serrure. Qui s’amène? Pas ceux qui doivent prendre livraison? Annie pâlit. Ce serait trop bête juste au moment où elle a pu appeler au secours… Non, c’est Luc! Elle reconnaît la voix. Pourquoi vient-il si tôt? Il avait dit une heure et il est déjà là! Se douterait-il de quelque chose? Elle va le rejoindre, non, il vaut mieux rester dans la salle de bain, comme si elle n’en était pas sortie. Elle l’entend marmonner: — Quel con! Non mais quel con! Où il a laissé son portable ce con? Pourvu qu’elle l’ait pas trouvé… Eh merde! C’est dégueulasse tout ce vomis!… Ah! le voilà!… Il a du glisser de sa poche quand il s’est déloqué… Annie!… Annie! Où es-tu?… Réponds bordel de merde! — Je suis là, dans la salle de bain. Il la rejoint. — Ah ! Cette serviette te va à ravir, t’es bandante tu sais! Viens dans le salon, on sera plus confortable. Annie le suit en tremblant. Pourvu que son père arrive vite, avant ceux qui doivent l’enlever. Luc la fait asseoir à ses cotés. Il veut l’embrasser. Elle résiste. — Eh! Oh! T’as intérêt à être gentille avec moi. A cause de cet enculé de Bob qui a oublié son portable, j’ai du revenir plus tôt que prévu et laisser ta remplaçante seule à jouer ton rôle. Il scrute le visage d’Annie. La jeune fille arrive à rester inexpressive. — Ouais, tu te rends compte? La tuile si tu l’avais trouvé! « Luc ne se doute de rien, quelle chance! » Un gros soupir de soulagement soulève les épaules d’Annie. Il se méprend et pense à un sanglot refoulé. — Eh oui, ma belle! T’avais à ta disposition un moyen d’appeler au secours et tu le savais pas! La vie est dure n’est-ce pas? Raison de plus pour profiter des rares moments de plaisir. Il ouvre la serviette sur la poitrine. Elle se débat et le griffe au visage. Il se redresse furieux et lève la main. — T’as pas intérêt à me faire du mal, rétorque-t-elle en remontant le drap de bain. Tu as entendu la fille! Qu’est-ce qu’ils diront tes patrons si tu me défigures? Il la dévisage l’œil mauvais. Annie craint un instant qu’emporté par sa colère il passe outre aux ordres de ses supérieurs. Luc respire à fond. Elle raison, ce n’est pas le moment de faire l’imbécile. — A ta guise. T’as tort, j’aurais pu intercéder en ta faveur. Maintenant je me fiche de ce qui va t’arriver.
Annie s’assied raide sur le canapé. Son énervement est visible. Quand son père va-t-il intervenir? Pourvu qu’il arrive à temps! Les minutes passent. Annie remue sur son siège. Luc met son agitation sur le compte de l’inquiétude sur son sort. — T’as pas de raison de t’en faire tu sais. Je sais pas où ils t’emmèneront mais je pense pas que ce soit terrible. D’accord tu seras obligée de baiser, mais t’as pas l’air de détester. T’apprécieras peut-être. Il dit ça pour ne pas l’alarmer inutilement. A ce moment trois coups de sonnette retentissent, un long et deux coups plus brefs. « Mon père! » rougit Annie. Son cœur s’emballe. Tout à coup une pensée horrible traverse son esprit. Et si ceux qui doivent la chercher avait le même signal de reconnaissance? Luc se lève en maugréant. — Déjà? Ils sont pressés ma parole! Il se rajuste en se dirigeant vers l’interphone. — Oui… Vous venez pour la livraison?… Je vous ouvre… Je crois, poursuit-il en revenant vers Annie, qu’il est l’heure de la séparation. Je te regretterai… oui, ajoute-t-il devant la moue de la jeune fille, je suis sincère, t’es celle qui m’a fait la meilleure impression. — Qu’est-ce que je dois mettre? arrive-t-elle à formuler pour masquer sa fébrilité. Elle rajuste sa serviette qui a libéré un téton impertinent. — T’occupes, ils ont tout prévu… Ah! Les voilà.
Luc va ouvrir. Dès que le pêne est libéré, le battant se rabat violemment et le garçon se retrouve allongé sur le sol maintenu par deux costauds. — Annie tu es là? crie Lucien. Elle se précipite dans ses bras. — Oh Papa! Tu es venu! — Mais oui ma chérie, je ne t’ai pas laissée tomber. Dans le mouvement la serviette dévoile les fesses de la jeune fille. Les deux costauds sourient au spectacle. — Qu’est-ce qu’on fait de celui-là? — Dis ma chérie, c’est lui Luc, qui t’a enlevée? — Oui. — Je parie qu’il l’a baisée, grommelle un des costauds. — Pas que lui, renifle Annie qui a les larmes aux yeux au rappel de la tournante. — Combien ils étaient ces salauds? rugit Lucien. — Quatre au total. — C’était qui les trois autres? — Ce jeune homme se fera un plaisir de nous renseigner, n’est-ce pas? susurre le costaud assis sur les fesses de Luc. — Oh oui, oh oui ! approuve le second en se frottant les mains. — Tu vois, insiste Lucien, tu n’es pas en position de discuter. Donne-nous gentiment ce que nous demandons et peut-être qu’on te laissera tranquille… Installons-nous dans le salon, ce sera plus confortable pour discuter.
Les deux costauds traînent Luc. Celui-ci reprend espoir. S’il arrive à retarder le père d’Annie et ses acolytes assez longtemps, peut-être les commissionnaires le délivreront et rétabliront la situation. Ses bourreaux le plaquent contre un fauteuil. — Je t’écoute, commande Lucien. — Allez vous faire foutre! Aouuh! Pif! Paf! Un aller et retour secoue la tête du garçon. Mâté, il dévoile les noms de ses complices et l’adresse du bar qui leur sert de quartier général. — Bon, vous savez ce qui vous reste à faire vous autres? — Ouais, on part à la recherche des petits cons et on leur fait passer l’envie de faire du mal aux jeunes filles. Mais d’abord on s’occupe de celui-là. — J’allais vous en prier! Tu viens ma chérie? Ils n’ont plus besoin de nous. — Je peux pas sortir toute nue ! — Je vais te chercher une couverture pour t’envelopper. — Dis qu’est-ce qu’ils vont lui faire? — Lui rendre la monnaie de la pièce ma p’tite dame! — Oh! Ils vont…— Ouais, on va l’enculer… Eh toi! Bouge pas! — Je vous en prie, pas ça! Pitié! — Dites la demoiselle? Il a eu pitié, lui? — Oh ça non! Les deux costauds maintiennent Luc qui se tortille sur son fauteuil. Il lui arrache le jeans puis le slip. — T’as vu ce cul ! — Ouais, j’en salive d’avance! Lucien veut entraîner Annie, ce n’est pas un spectacle pour jeune fille. Elle résiste. — Ah! Tu veux assister?… Une petite vengeance? — Oui, murmure-t-elle en s’asseyant sur le canapé.
Son père s’installe à ses cotés et entoure les épaules du bras. Le premier costaud dégage une verge impressionnante. Il crache dans la main et enduit sa queue de salive. — Ecarte-lui les fesses, commande-t-il à son compère. Mieux que ça!… Oui… Aah! — Aïe! Aïe! Aïe! — Hein que ça fait mal! se moque Annie. — Salauds! Plaf! Une gifle rejette la tête sur le coté. — Aïe! — Soit poli avec nous! On dit « s’il vous plait messieurs, un peu de douceur »… J’attends! — Snif… S’il vous plait…— Eh! On a pas que ça à faire! Il donne un violent coup de rein. — Aouuh!... S’il vous plait... Sssh !... messieurs, un peu de douceur... Aïe! — On t’en donnera de la douceur! Est-ce que t’en as offert de la douceur à la demoiselle? — J’ai interdit… Sssh!… qu’on lui fasse mal… demandez-lui. — C’est vrai? interroge Lucien. La jeune fille opine. — Bon, ne soyez pas trop méchant avec lui, consent-il.
Sa main caresse l’épaule nue. Il tremble de sentir sa fille, son Annie presque nue contre lui. Sur le fauteuil, Luc subit les coups de rein qui lui arrachent des cris de douleur. Le costaud accélère. — Aaaah!… Aaaah!… Aah!… Aah!… Ah … Ah! Ah! Aaaaaah ! Il s’écarte. Luc toujours à plat ventre pleure. — J’ai mal… j’ai mal…— A mon tour! déclare le deuxième costaud. Il se positionne entre les cuisses écartées et enfonce la verge dans l’orifice qui ne s’est pas rétracté. — Ouch! gémit Luc. La nouvelle pénétration est moins douloureuse. — Eh! remarque le premier costaud, on dirait qu’il y prend goût! Il enfonce la main sous le ventre du garçon. — Oui, il bande ! Continue! Annie se penche en avant. — Vous voulez voir ? Place-le à quatre pattes sur le tapis que mademoiselle puisse admirer comment il apprécie. Le deuxième costaud transporte Luc toujours épinglé, sur le sol. Anesthésié par la douleur et le plaisir, il laisse faire. — Voyez mademoiselle comme il bande. Ça signifie qu’il aime ça! Annie regarde fixement le gland de Luc qui apparaît et disparaît du poing. Le garçon a l’air d’apprécier la caresse. Elle se fait la réflexion que la jouissance est une drôle de mécanique. Elle aussi tout à l’heure, malgré l’horreur de la situation n’a pu s’empêcher de prendre du plaisir. Lucien caresse la peau nue sous la serviette. Elle frissonne au contact et se colle contre son père. Elle est bien dans ses bras. S’il n’y avait pas les deux costauds et Luc elle l’embrasserait! — Oh le cochon! Des filaments de sperme s’écrasent sur le tapis. Le premier costaud masturbe rapidement le sexe de Luc pour le vider. — Aaaah! répond en écho le deuxième costaud. Il secoue sur les fesses du garçon les gouttes qui suintent de sa queue assouplie.
Annie rajuste sa serviette. — Bon, c’est pas tout, mais il faut y aller, déclare Lucien en se levant. Il va dans une chambre prendre une couverture et enveloppe Annie. — Vous venez? — Qu’est-ce qu’on en fait? — Laissez-le se débrouiller. Ce n’est plus notre problème. A ce moment la sonnette retentit. Les hommes regardent Annie. — Ce sont ceux qui devaient me chercher, je crois. Nouveau coup de sonnette. — Oui, répond Lucien à l’interphone… Je vous ouvre… Filons par l’escalier, ils sont peut-être armés. Luc veut les retenir. Une baffe magistrale l’expédie contre la cloison où il s’affale assommé. Lucien, Annie, et les deux costauds referment la porte derrière eux. Ils ont à peine quitté le palier par l’escalier que deux énergumènes en blouse blanche sortent de l’ascenseur avec une civière. — Voilà comment ils comptaient t’enlever, murmure Lucien à l’oreille d’Annie.
Les deux commissionnaires sonnent. Etonnés de ne pas avoir de réponse, ils entrent avec leur clé et découvrent Luc à moitié nu étendu sur le sol. Une rapide visite de l’appartement, il n’y a personne d’autre. Un des faux infirmiers ouvre son portable. — Oui, c’est nous… Y a un problème, la fille a disparu… Oui, que le garçon… On peut pas vous le passer, il est dans les pommes… Bon d’accord, on l’embarque… Oui c’est ça! Il referme le portable en riant. — Qu’est-ce qu’il a dit le patron qui te fait rigoler? — Qu’il y a pas de raison qu’on se soit dérangés pour rien, qu’un garçon peut avoir son utilité! — Y a pas à dire, y perd pas le nord le boss. T’as la seringue? — Tiens! Le faux infirmier plante l’aiguille dans les fesses de Luc. — Aïe! Le garçon tente de se soulever mais retombe inanimé, assommé par l’anesthésique. — Il en a pour un moment. Allez, on l’embarque. Ils placent le corps inerte sur la civière et reprennent l’ascenseur. Ils débouchent dans le hall d’entrée en même temps qu’Annie et son père. Celui-ci les apercevant bat en retraite avec sa fille. — Qu’est-ce qu’y a? interroge un costaud. — Ils l’emportent. On leur donne le temps de sortir avant de quitter l’immeuble.
Au bout d’une minute, Lucien jette un coup d’œil. Le hall est vide. Sur le trottoir, une ambulance démarre dans le vacarme de la sirène. — La voie est libre. Annie, je t’emmène dans mon studio. Vous, vous vous occupez des complices? — Avec plaisir. — Vous nous raconterez, tu veux bien Annie? — Oui, Papa. Cela ne la concerne plus. Elle est libre, c’est l’essentiel quoique gênée de se sentir nue sous la couverture. Personne ne fait attention à eux quand elle s’engouffre dans l’auto de Julien qui peste en empochant le P.V. ornant le pare-brise.
(Fin du Mauvais garçon)
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