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Le mauvais rouge à lèvres…

Chapitre 2

Trash
Le mauvais rouge à lèvres… (2)

« Tu kiffes vraiment la bite, pour donner ton adresse au premier black venu ! Par contre, sache que je ne suis pas un poète ! Si je viens ce soir c’est pour te déboîter sans ménagement, alors ne vient pas pleurer après », Theblackpirlo, à 23 h 30, France.
Les yeux de Manon étaient rivés sur l’écran, la jeune étudiante ne pouvait s’empêcher de lire une nouvelle fois le message. Son cœur battait à cent à l’heure, elle ne venait tout de même pas de s’offrir au premier crevard venu ? Non, c’était impossible, elle n’avait pas fait ça ? Et si ! Manon avait fait ça ! Et étrangement, le fait d’avoir cédé à cette aberrante pulsion avait un effet libérateur. La jeune étudiante semblait plus légère, apaisée. Des zones oubliées semblaient se réveiller après une longue nuit, et une chaleur diffuse se diffusait depuis son bas ventre. Ses bras étaient saisies de frissons et sa bouche était moite… se laissant guider par ses sens, Manon s’effleura les seins et sentit ses tétons réagir, curieuse, elle renouvela l’expérience et poussa de petits gémissements mignons de plaisirs. Soudain, une lumière s’alluma sur son téléphone et un message laconique s’afficha sur l’écran : « Je suis là dans vingt minutes pour dépuceler ta magnifique bouche avec mon esquimau ». Le message eut l’effet d’un électrochoc sur la jeune femme, elle ne pouvait pas recevoir son coup d’un soir en tenue Pilou-pilou. Elle se précipita sous la douche armée de son rasoir… Une quinzaine de minutes plus tard, Manon se faisait face dans le miroir. Devant elle se dressait une magnifique jeune femme en lingerie noire, au maquillage évocateur et aguicheur, notamment son rouge à lèvres vif écarlate, qu’Hadjira sa meilleure amie, aimait qualifier de « rouge pute ». Tremblante, Mamon enfila son kimono en satin et alla à la rencontre de son destin…
Manon faisait les cent pas dans son studio, ses talons aiguilles claquant au rythme de son stress. En passant près de son bureau, son regard tomba sur le cadre abritant une photographie de ses parents. Rouge de honte, et se sentant jugée, elle baissa le cadre, même si ce n’était qu’une image, la jeune fille modèle ne voulait pas qu’ils voient sa déchéance. Soudain, une sonnerie assourdissante et sonore retentit dans tout le logement. Son cœur se serra, livide, elle déglutit péniblement. Elle expira et inspira, faisant gonfler sa poitrine compressée dans son push-up, pour se donner du courage, puis elle se mit en branle. D’une main tremblante, elle ouvrit la porte pour faire face à son destin. En légère tenue de combat, elle ouvrit au loup. Elle tomba nez à nez avec un torse moulé sous un t-shirt de marque urbaine prêt à craquer, elle devait faire face à un géant. La première chose qui la frappa fut l’odeur de l’homme, un mélange de virilité, de sueur et de parfum Scorpio. La jeune femme s’était toujours demandée quel genre de personne achetait ce genre de coffret de Noël en supermarché, elle avait maintenant la réponse. Malgré tout, l’odeur de l’homme, l’odeur du mâle alpha en puissance, rendit Manon toute chose, et son antre s’embrasa ou plutôt s’humidifia. Alors qu’elle n’avait toujours pas vu le visage de son futur homme, deux mains fermes et géantes vinrent se poser sur les fesses de l’offrande du jour, une de chaque côté du string. Le prédateur nocturne palpa sans ménagement la marchandise, passant même un doigt explorateur et brusque sous le tissu. Puis, sans ménagement, il poussa le postérieur de la jeune femme vers lui, pour la coller contre son torse. Des spasmes parcoururent Manon, qui sembla défaillir. Là, sur le palier de son studio et à la vue de tous, « The Black Pirlo », enfourna sa langue dans la bouche de la locataire des lieux, qui se laissa faire, ne pouvant que pousser des petits ronronnements de plaisir, pendant que les salives se mélangeaient. À sa grande honte, la jeunette sentit ses seins se tendre et venir se coller contre les pectoraux de l’homme, qui trembla un instant au contact. Il eut alors une réaction qui surprit la jeune femme, il la poussa avec force dans son appartement, sous la surprise, Manon bascula en arrière, et s’affala sur son carrelage, sa tête claqua même légèrement. La jeune ingénue poussa un petit cri de douleur, elle aurait des bleus demain, c’était sûr. Elle était au sol, les jambes écartées, tendant de se redresser à l’aide des coudes. — Reste comme ça ! lui ordonna l’homme d’une voix forte et autoritaire, mais non dénué de charme. La position te va bien. Et surtout ne ferme pas tes jambes, j’aime ce que je vois…En une fraction de seconde, Manon était passée d’amante à soumise, et cette pensée était loin de lui déplaire. Après tout, il avait promis de « ne pas être un poète » et ses premiers actes le prouvaient. De sa position basse, Manon put enfin faire face à son amant du soir. Elle l’avait pressenti, mais l’homme était un géant, probablement plus de 2 mètres sur la toise, pour une centaine de kilos de muscle, et de sa position au sol, l’impression de grandeur était amplifiée. La jeune femme écarquilla les yeux et avala sa salive d’envie, elle allait être le jouet d’un véritable colosse. Toujours les jambes écartées, Manon vit l’homme fermer la porte comme s’il était chez lui, en terrain totalement conquis… et comment lui donner tort quand la propriétaire des lieux était au sol, totalement ouverte et seulement protégée par un léger bout de tissus, qui ne couvrait déjà plus que la moitié de l’intimité moite de la prise du jour ? L’homme regarda de ses yeux carnassiers sa proie, puis passa son regard sur les murs. À la grande surprise de la jeune fille en chaleur, « Theblackpirlo », alla taper un par un sur les murs du studio. — Tu fais quoi ? réussit à articuler péniblement Manon sous l’effet de la surprise, et adressant pour la première fois la parole à l’homme. — Hum, ta voix me fait bander ma chérie, répondit l’homme en se passant la langue sur les lèvres. J’ai hâte d’entendre ta petite bouche crier… Mais je suis un gentleman, l’heure est déjà bien tardive et je pense à tes voisins. Alors pour répondre à ta question gamine, je teste la solidité de tes murs, pour savoir si tes futurs cris de chienne en chaleur ne vont pas réveiller toute la résidence ou si malheureusement je ne vais pas devoir te bâillonner ! — Je sais faire l’amour sans réveiller tout le quartier s’offusqua Manon, les joues rouges et légèrement vexée. — Je ne doute pas que tu sais te contenir quand tu fais l’amour avec des couilles molles, répondit narquoisement le géant. Mais moi je ne vais pas te faire l’amour, je vais te baiser, nuance ! Et crois-moi, tu vas couiner. Manon en resta sans voix, incapable de répondre devant tant de répartie. Sans compter que le ton autoritaire de l’homme avait un effet dévastateur sur elle… Sa poitrine semblait vouloir s’échapper tant elle était maintenant gonflée, et une légère goutte de mouille perlait de son intimité, le long de sa cuisse, plus totalement protégée par la lingerie. — Mais avant de te baiser petite chiennasse, j’ai deux questions pour toi. C’est quoi ça ? demanda Theblackpirlo en sortant un coussin. — Un oreiller ? répondit Manon du tac au tac. — Hum, tu es plus maligne que tu en as l’air, railla le géant. Et tu sais pourquoi je vais t’offrir un oreiller ? — Non… déglutit péniblement la jeune femme qui avait peur de connaître la réponse. — C’est simple, je vais tellement enculer ton cul de blanche que tu ne pourras plus poser tes petites fesses sur la moindre chaise sans souffrir le martyre durant les prochains jours ! Mais vu que je suis un gentleman, je t’ai pris ce petit présent. Alors on dit merci qui ? Sans s’en rendre compte, les mots de son futur amant avaient un effet hypnotisant et tellement érotique sur la jeune femme. Inconsciemment, l’une de ses mains manucurées était venue se poser sur sa vulve. — Je vois que tu valides le plan… j’ai rarement vu une fille aussi contente et pressée que toi de vouloir finir cassée en deux ! rigola l’homme, qui ne pouvait non plus s’empêcher de se toucher. Deuxième question : c’est quoi ça ? L’homme sortit un petit objet de son sac. Manon n’avait jamais rien vu de la sorte. L’objet était composé de quatre anneaux en polymère. Timidement, elle fit un petit nom de la tête, cédant à la curiosité, alors que seulement quelques secondes plus tôt, elle n’avait qu’une envie, que l’homme arrête son blabla et vienne s’introduire en elle pour la pénétrer sauvagement sur le sol, un véritable supplice de Tantale. — C’est un « Ohnut », expliqua calmement le colosse d’ébène. Ce petit objet bien pratique a un effet parechoc, il permet de contrôler la taille de ma pénétration et d’éviter de faire souffrir ma partenaire en tapant dans le fond. Bref, je vais me répéter, mais je suis un gentleman, donc j’utilise cet objet avec les femmes que j’aime ou je respecte… Donc si je te montre cet objet, c’est pour te dire que je ne l’utiliserai pas avec toi ! Car tu ne corresponds à aucun des deux critères ! Vu ce que tu veux faire avec moi tu es une putain, donc je vais te traiter en putain… Comme tu le mérites.

Une fraction de seconde plus tard, le jean et le boxer de « Theblackpirlo » gisaient sur ses chevilles, et un magnifique sexe noir en érection se dressa fièrement devant le visage rougissant de Manon, tout heureuse de voir enfin son Kinder-Bueno. Toutefois, ce n’était pas une friandise, mais une poutre, probablement plus de 20 centimètres et un diamètre de folie… La jeune ingénue comprit un peu mieux l’utilité du Ohnut, jamais elle n’avait vu un tel membre viril. Sans lui demander son avis, le prédateur avide vint se poser à califourchon, sur la jeune femme, lui posant directement son sexe sur la bouche. Des décharges parcoururent tout le corps de la jeune femme, enfin, elle était sur le point d’exploser. L’odeur du membre viril la rendit folle et lui fit perdre toute la raison. Elle embrassa délicatement le dard saillant pour le goûter, avant d’avaler avidement le sexe sous les gémissements de plaisir de son propriétaire. Il la laissa sucer avec passion et se régaler quelques minutes, même si Manon ne pouvait pratiquement pas aller plus loin que l’immense gland, elle était aux anges. Après quelques minutes à se laisser sucer, l’homme décida qu’il était temps de passer aux choses sérieuses. Il poussa d’un coup sa bite dans la gorge de Manon qui en suffoqua de plaisir, mais ne put s’empêcher de régurgiter une partie de son dîner, les risques du métier, mais ça ne stoppa pas pour autant les deux amants. Sur le sol, l’homme pilonnait la bouche de Manon qui poussait des gémissements indignes de l’étudiante modèle qu’elle était, mais aussi des gémissements de douleur, car l’arrière de la tête de la jeune femme claquait aussi violemment sur le carrelage, pourtant elle n’aurait arrêté son délicieux supplice pour rien au monde.De l’extérieur, le spectacle était d’une brutalité et d’une beauté onirique. Sur la jeune femme, le géant dominait la menue étudiante, une main sur la tête de la jeune pour lui imposer le rythme. Son autre main était en arrière, et il lui fouillait sans ménagement son vagin, soulevant parfois sa partenaire par la chatte… Quant à Manon, elle était au paradis, les yeux révulsés. Son intimité était en feu, incontrôlable. Sa bouche ne sentait plus rien, pendant que son corps était souillé comme jamais. Son mascara et son rouge à lèvres étaient en ruine. Et tout le haut du corps de la jeune femme à partir de la poitrine était recouvert de salive, de vomi et de liquide séminal. Manon puait la bite à des kilomètres à la ronde.

Dieu seul sut combien de temps dura le délicieux supplice buccal de Manon, elle avait perdu toute notion du temps, l’énorme sexe pouvait tout aussi bien lui pistonner la bouche depuis cinq minutes, comme depuis vingt… Puis, sans crier gare, son amant retira sa bite quelques instants, à la grande surprise de la jeune femme, qui prit une respiration sonore, telle une femme fraîchement sortit de l’eau et sur le point de se noyer, enfin elle respirait. Toutefois, son répit fut de courte durée, quelques secondes plus tard, un tissu odorant fut placé dans sa bouche. Pendant une seconde, Manon eu envie de vomir de rejet, l’odeur était insoutenable, une odeur nauséabonde mêlant urine et autre chose… elle émit un haut-le-cœur en comprenant que cette odeur puissante et animale venait d’elle-même, Theblackpirlo venait de lui enfoncer son propre string dans la bouche.— Je te conseille fortement de le garder ma chérie, dit l’homme en voyant la surprise dans son regard. Sauf si tu veux être cataloguée dès demain comme la salope de l’immeuble ! Manon fit un petit hochement de la tête, indiquant à son homme qu’elle avait assimilé les instructions. Un sourire carnassier se dessina alors sur son visage. Ses mains se posèrent alors fermement sur les cuisses de la jeune étudiante, et d’un coup sec, sans ménagement, il poussa les jambes de sa proie vers le haut, lui faisant craquer les articulations, afin de lui écarter les jambes le maximum possible. Le premier cri de Manon mêlant surprise et douleur fut amorti par le bâillon de fortune, mais il ne fut pas suffisant pour le second. En effet, dans le même mouvement, l’homme avait enfoncé son sexe disproportionné d’un coup sec dans son intimité… Il était entré comme dans du beurre, et était venu directement taper au plus profond de la jeune fille, qui n’avait jamais connu telle exploration d’elle-même. En voyant les couilles de l’homme collé à son vagin, Manon faillit s’évanouir, elle venait d’encaisser un monstre ! Un monstre était en elle. Galant, l’homme lui laissa quelques secondes pour s’habituer à son membre. Il s’amusait même de voir l’étudiante tenter de petites respirations pour reprendre le contrôle de son corps. Puis l’action commença, Manon se détendit en sentant l’envahisseur quitter le plus profond d’elle-même. La sensation de liberté offerte au recul du sexe, était limite orgasmique, un plaisir divin… Mais il ne fut que de courtes durées. D’un coup sec, son amant repoussa son mandarin au plus profond d’elle-même, tapant de nouveau dans le fond. La jeune femme empalée tenta de nouveau sa technique de respiration… Mais, le regard sadique, Theblackpirlo en profita pour déposer son immense main sur le frêle cou de la jeune femme. Elle suffoqua, de douleur et de plaisir, il venait de trouver l’un de ses points faibles. En un instant, alors que le souffle commençait à lui manquer, la jeune femme contracta son vagin sur le sexe et jouit. — Je le savais ! éructa l’homme. Tu es une salope de compétition, tu te fais démonter comme une moins que rien et tu prends ton pied ! L’orgasme de Manon encouragea l’homme, son égo lui disant qu’il était un dieu du sexe et que la jeune étudiante en redemandait et ne demandait que ça… Il se mit donc en tête de la démonter comme jamais, de plus en plus vite et de plus en plus fort. Dans ses bras de géant, Manon n’était plus qu’une poupée, elle se faisait étouffer, ballotter dans tous les sens et détruire… Trempée, en sueur, l’esprit de Manon avait quitté son corps, les orgasmes s’enchaînaient, elle était dans un autre monde. Elle ne se rendit pas compte du moment où elle s’évanouit, soulée d’orgasmes…
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