Il était 9 heures, je me réveillai, me levai et partis prendre mon petit-déjeuner.Étonnamment, je n’entendis aucun bruit. On était samedi, mes parents n’étaient pas au travail et ma sœur a toujours eu pour habitude de se lever tôt.Tant mieux pour moi, j’allais pouvoir prendre mon temps et déjeuner à mon aise !J’eus à peine le temps de lancer ma vidéo et de manger quelques cuillères de céréales que je vis ma sœur dans le jardin à travers le reflet du miroir. Elle faisait son sport habituel. En général, elle le faisait le matin, mais il faut croire qu’elle avait changé de programme. Sûrement le magnifique soleil qui éclairait déjà le jardin ! Bon, je ne vais pas vous mentir, ma sœur est assez canon... 1 mètre 67 pour 55 kilos, elle a tout pour plaire ! Ne parlons pas de sa paire de seins juste incroyable (90C) et de son petit cul parfaitement rebondi.Bon évidemment, c’est ma sœur donc un quelconque fantasme ou même un simple désir ne m’ont jamais effleuré l’esprit. Ma sœur a un mec depuis 4 ans et à vrai dire, ils vont vraiment bien ensemble ! Moi, de mon côté c’est clairement différent... J’ai beau être pas mal, je n’ai encore trouvé personne... J’ai évidemment déjà eu des crushs et des petites relations se limitant seulement à quelques préliminaires, mais rien de bien concret.Ma poitrine généreuse (et oui, je suis une fille ^^), n’a jamais convaincu un mec d’aller jusqu’au bout avec moi... Mon train partait à 12h37, j’avais donc encore une vingtaine de minutes pour me préparer. Un ensemble Calvin Klein composé notamment d’un string fera l’affaire pour cet après-midi. J’ai rendez-vous à la salle de sport avec un ami d’un an de plus que moi. Ah oui, je n’en ai pas encore parlé, c’est vrai, j’ai 18 ans depuis 2 mois et ma sœur en a 21! On arrivait à la salle un gros quart d’heure après l’arrivée de mon train et on se séparait après s’être changé dans les vestiaires. Moi aux machines, travaillant le bas du corps (principalement les fesses) et lui au coin haltères.Il y avait une séance de Zumba sur grand écran une trentaine de minutes après et on s’était mis d’accord pour se donner rendez-vous dans la salle réservée quelques minutes avant le début du cours.Ne voyant personne devant la porte, je stressais un peu de m’être trompée et j’hésitais un peu avant d’entrer dans la salle. Max y était déjà et s’étirait. Il n’y avait personne, on était deux et ce n’était pas pour me déplaire...Je commençais donc à m’étirer comme lui. Les jambes tendues, mes mains au sol, mon cul n’était effectivement pas mal mis en valeur. Un petit coup d’œil dans le miroir me confirmait le fait que Max me matait comme il le faut !Apparemment, je ne le laissais pas indifférent... Son short de sport avait du mal à cacher son sexe apparemment dur... Le cours commençait à l’heure et je sentais bien une petite gêne entre lui et moi, mais bon, en réalité, il m’avait bien excitée, je sentais mon sexe tout chaud dans mon leggings ! Le cours se finissait normalement et c’est naturellement qu’on alla se changer pour passer à la partie hammam/sauna du club. À vrai dire, je découvrais un peu, je n’étais jamais venue et j’étais plutôt étonnée, c’était si beau et agréable !On se changeait séparément et on arriva au même moment devant le sauna, il m’ouvrît la porte et je rentrai la première. Il rigola et me demandait:
— ‘’T’as mis un maillot ? ‘’— Je rigolais en retour en lui glissant un ‘’petit con’’ amical.— ‘’Ah mais je rigole pas, c’est un sauna et dans les saunas, on est nu ici’’— ‘’Donc, tu vas me faire croire que sous ta serviette, tu n’as rien ?’’ lui répondais-je. Sur ces mots, il enleva sa serviette et effectivement, je vis un gros sexe en semi-érection. D’un coup, j’étais excitée et un peu surprise, je dois l’admettre... Je le connaissais depuis pas mal de temps et voir sa bite qui d’autant plus, était assez grosse, me mettait tout en trans... — ‘’Clélia ? Allô, Clélia, t’as fait un AVC ou quoi ? C’est ma bite qui te fait cet effet ?’’ Je sortais d’un état second et je me rendis compte que mon maillot était tout à coup fort humide... Même très mouillé en fait. Faut croire que cette longue période d’abstinence avait eu beaucoup d’effet sur moi... Grrrr Pour répondre à sa provocation clairement non fair-play, je retirais le haut de mon bikini pour le retrouver les tétons bien tendus à l’air. Effet immédiat, il bandait comme un âne et sa bite déjà grosse avait pris encore plus de place. Il me la fallait, là tout de suite en bouche. Moi aussi je pouvais le provoquer, je remontais encore un peu plus mon string, histoire de le faire disparaître entre mes fesses et de mouler encore plus mon sexe trempé, je m’approchais de lui doucement, posai mes lèvres sur les siennes et attrapai d’une main sa grosse bite. Il agrippa tout excité mes seins pour jouer avec pendant que je continuai de le branler énergiquement à deux mains.Ses mains descendaient en suivant les formes de mon corps jusqu’à la naissance de mes fesses qu’il malaxa brutalement, qu’est-ce que c’était bon.Les goûtes d’eaux du sauna perlaient sur son torse et je suivais, avec la pointe de ma langue, l’une d’entre elles visiblement trop grosse qui, plus lourde que les autres, arrivait à son bas-ventre.Ma langue continua son chemin jusqu’à la base de son sexe que je remontais en prenant soin de bien lécher toutes les parties de sa grosse bite. J’embouchai alors son gland d’un coup, ce qui a eu pour effet de le faire gémir, je le suçai alors de longues minutes. Je changeai de positions et ses doigts passaient alors sous mon bas de maillot trempé de mouille. Il joua avec mon clitoris et mes lèvres et ne tarda pas à rentrer doucement plusieurs doigts dans mon sexe alors en ébullition. Il prit rapidement son aise et ajoute sa langue à la petite fête improvisée. Il accéléra le mouvement et me doigtait alors comme un fou, je criais dans le sauna, mes jambes étaient grande ouvertes et ma mouille coulait sur mes cuisses tremblantes. J’avais joui. Ma seule mission était de lui rendre la pareille et je retournai rapidement sur son chibre que je réavalais, impatiente. Il ne fallut que très peu de temps avant qu’il éjacule dans ma bouche de longues giclées que je recrachais dans sa serviette. Nous étions morts, mais rassasiés, nous quittions la cabine et nous nous changions. Il me ramena chez moi et m’embrassa avant de me laisser rejoindre la porte d’entrée.Je lui jetai un dernier sourire avant de disparaître.
