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Le mec de ma mère

Chapitre 1

Erotique
Il y a vingt ans, je vivais encore chez ma mère, j’allais à fac et le soir, je rentrais chez elle, mes parents avaient divorcé depuis deux ans, et je me disputais souvent avec ma mère, la rendant responsable de leur rupture. Ma mère était plus belle que moi à ce moment-là. Il faut dire qu’elle s’était négligée à la fin de son mariage, et qu’elle avait comme voulu prendre sa revanche sur la vie. Comme ses enfants étaient grands, elle avait passé ses deux ans depuis son divorce à sortir, à se faire belle, et à multiplier les rencontres et les aventures. Il faut dire aussi qu’avec la maturité, elle avait pris des formes voluptueuses et qu’elle était au sommet de sa libido, tandis que moi, j’en étais encore à hésiter de coucher avec les garçons, et surtout j’étais complexée parce que je me trouvais grosse et boutonneuse, je m’habillai mal, genre étudiante crasseuse, jeans pull en toutes saisons.
Et comme je jalousais ma mère, je lui rendais la vie impossible : je ne faisais rien à la maison, pas de job étudiant, mais je n’arrêtais pas de lui taxer des thunes, et surtout je la contredisais tout le temps, jamais d’accord, et le "bof" insupportable de l’ado retardée dès qu’elle avait des initiatives.
Bref, je n’étais pas facile comme jeune adulte, jusqu’à ce que Stéphane arrive dans notre vie.Stéphane, c’était un mec d’allure tout à fait banal, mignon sans plus, intelligent sans être brillant, joli corps, mais pas l’esthète non plus, sympa, mais pas hyper-séduisant. En plus, il avait dix ans de moins que maman. Je me demandais ce qu’elle pouvait bien lui trouver à celui-là, pourquoi il venait de plus en plus souvent chez nous, jusqu’à dormir presque toutes les nuits. Et puis j’ai compris.
Au plus profond de la nuit, à l’heure où toutes les lumières sont éteintes, et où les ronronnements d’un chat pourraient vous réveiller, mon sommeil fut perturbé par des bruits suspects venant de la chambre maternelle. Au bout d’un certain temps, je distinguais des gémissements, et puis par vagues, des cris et des mots lâchés comme s’ils ne pouvaient être retenus "ouiii... je jouis... vas-y plus fort !... défonce-moi !... salaud..." et c’était ma mère la responsable de ce tapage nocturne, mais c’était Stéphane qui le provoquait. En fait, ce qu’elle lui trouvait, c’était ça : un dieu au lit, un coup d’enfer, le mec la faisait grimper aux rideaux, l’envoyait en orbite au 7e ciel en passant par Vénus et Uranus... Le pied géant. J’en étais malade. Quelle salope ma mère !
Je la maudissais pour cela. Et en plus, je n’arrivais plus à dormir, ça recommençait toutes les nuits et ça durait des heures.Et les fois où il n’était pas là, je m’aperçus que ça me manquait de les entendre, et qu’au final, je m’imaginais toutes leurs positions, tous les trucs les plus cochons qu’il devait lui faire. Rassurez-vous, je ne fantasmais pas sur ma mère, je m’imaginais carrément à sa place, et ça finissait avec mes doigts dans ma chatte et sur mon clito, et j’arrivais à inonder mes draps d’excitation.
Du coup, mon regard sur Stéphane a changé du tout au tout. Et comme je jalousais maman, je me mis à jouer un jeu dangereux.A chaque fois que je passais devant lui dans la maison, je faisais exprès de le narguer d’une manière ou d’une autre. Je le croisais dans les couloirs en chemise de nuit sans culotte, ou avec un simple t-shirt et petite culotte, ou bien la journée, je lisais dans le canapé avec un minishort, allongée dans une posture que seules les gamines peuvent se permettre d’avoir. Et je n’arrêtais pas de le dévorer des yeux. Ce que j’aimais faire aussi, sommet d’immaturité provocante, c’était de manger une banane en imitant une fellation savoureuse, alors que des bites, je n’en avais jamais sucé.
Un jour où maman était sortie faire une petite course, il était resté à la maison.
Il me dit, alors que j’étais assise en tailleur devant la télé.
— Dis donc, t’es très différente de ta mère toi.— Ah oui ? Normal, tu te tapes une vieille, moi je suis jeune.
Il haussa les épaules :
— Elle est encore canon, et toi t’es qu’une lycéenne.

Cela me vexa :
— Ehhh... Je suis à la fac ! — Oups désolé, faut dire que ta mère, elle pense que t’es encore vierge.— Quoi !!? — C’est pas vrai ?— Bien sûr que non. — Désolé.
J’étais énervée parce que le mec de ma mère me voyait comme une gamine. Et non, je n’étais pas vierge, bon j’avais couché sept ou huit fois à tout casser, et je n’avais pas fait vraiment d’exploit ni croisé d’étalon. Rien qui donne confiance en soi. Il fallait que je montre que j’étais une femme, et que moi aussi, j’aimais m’envoyer en l’air. Je me mis à le provoquer de façon plus directe:
— Tu sais, je vous entends la nuit... qu’est-ce que tu lui mets à maman !— Ah oui ? T’es une coquine toi... Bah oui c’est une vraie chaudasse ta mère.— Tu lui fais quoi ?— Tout ! Ta mère, elle aime tout.— Une grosse salope en fait... — Et toi Marion ? T’es une petite salope ou tu préfères tes bouquins de fac ? dit-il en se rapprochant dangereusement. Il avait plongé son regard dans le mien, j’étais comme tétanisée, persuadée d’être allée trop loin. Adossée au mur, je ne me dérobai pas, et le salaud ne tarda pas à poser une main sur mon ventre, puis à me caresser en remontant sous mon tee-shirt, il trouva ma poitrine, avec mes tétons gonflés à bloc. Je soupirai quand il me pressa les seins et s’amusa du bout des doigts avec un téton.
Le bruit de la porte d’entrée interrompit cet instant, et Stéphane s’éclipsa, me laissant rouge pivoine, sans voix et la culotte mouillée. Je disparus dans la chambre le reste de la journée et n’en ressortit que le soir pour le souper. Je mangeai vite sans parler ni lever les yeux sur lui. J’étais troublée, honteuse comme une petite fille prise en faute.
Cette nuit-là, j’eus du mal à trouver le sommeil, j’espérai que les ébats de ma mère me permettraient de m’occuper de mon sexe humide, mais il n’y en eut pas. Et un peu plus tard, au milieu de la nuit, j’entendis la porte de ma chambre s’ouvrir et des pas furtifs sur la moquette. Je sentis sa présence, il me regardait dormir. J’étais couchée sur le côté, lui tournais le dos et je n’osai pas bouger, je simulai le sommeil. Comme j’avais eu chaud toute la nuit, j’avais baissé ma couette à mes pieds. Il s’approcha de moi et je sentis qu’il monta dans le lit, avec une certaine délicatesse, essayant de ne pas me réveiller. Je demeurai immobile, j’avais son souffle chaud sur ma nuque et une main se posa sur ma cuisse. D’abord, il n’osa rien faire de plus, et moi je faisais toujours semblant de dormir, puis il se rapprocha encore, cette fois je sentis son torse contre mon dos et son bassin contre mes fesses tandis que son bras s’enroula autour de ma taille.
Je ne savais pas quoi faire, je n’osais pas lui dire quoi que ce soit et j’appréhendai la suite, et puis si maman nous trouvait comme ça, que se passerait-il ? Cela dit, d’une certaine manière, j’étais dans la position la plus facile: s’il osait aller plus loin, c’était de sa responsabilité à lui, pas la mienne, si maman nous surprenait, je pourrais toujours dire que moi je dormais, et s’il allait trop loin, je pourrais toujours crier ou me débattre.
Il commença à se frotter contre moi et je m’aperçus qu’il était nu. Il remonta ma chemise jusqu’aux hanches et je sentis son sexe contre mon postérieur. Celui-ci était dur et brûlant, gonflé à bloc de désir, et comme j’étais jeunette, ce contact était nouveau pour moi et terriblement excitant. Sa main descendit de mon ventre jusqu’à mon entrecuisse et ses doigts ne tardèrent pas à me titiller mon clitoris, chose qu’aucun garçon n’avait fait jusque-là et le salaud savait s’y prendre : il parvint sans peine à le trouver et le stimula comme on ferait d’un petit pénis. C’était interdit, c’était coquin, c’était bon. Une vague de chaleur me parcourut, je commençais à soupirer de désir, accompagnant son mouvement de bassin du mien, tout en continuant à simuler le sommeil, du moins un demi-sommeil.
Mais quand il trouva l’entrée de mon vagin pour y plonger son majeur, je fus pris de panique et un petit cri s’échappa de ma bouche. Il me bâillonna aussitôt la bouche de son autre main tout en me faisant basculer sur le dos, et je me soumis docilement à ce geste viril. J’étais à sa merci. Maintenant, je n’espérais qu’une seule chose : qu’il me pénètre, qu’il me baise, qu’il me défonce comme il le faisait avec ma mère.
Tout en maintenant sa pression sur ma bouche, il m’incita à écarter les cuisses et put aisément me pénétrer avec ses doigts. Rapidement, ses doigts parvinrent à aller profondément en moi, et contrairement aux garçons de mon âge qui avaient déjà essayé, il joua à l’intérieur, faisant danser ses phalanges, pressa les parois, à la recherche de mon plaisir, écoutant mon corps réagir, mes soupirs et il fut récompensé par véritable orage tropical. Excitée comme jamais je ne l’avais été, mon sexe était grand ouvert. Il s’occupait si bien de mon sexe que je reçus mon premier orgasme, c’était quelque chose que je ne connaissais pas, comme une onde de chaleur qui me traversa de bas en haut, et à la fin, je ne pus retenir un cri qu’il voulut étouffer de la main, mais mes dents se plantèrent dedans et il eut de la peine à ne pas crier à son tour.
De colère, il me repoussa sur le côté, me plia une de mes jambes et la poussa afin de permettre à son engin d’atteindre l’entrée de mon vagin. Puis en me tenant fermement par le ventre, il entra en moi. D’abord, ça m’a fait mal, car il était très gros, puis il réussit à trouver écarter mes lèvres et s’engouffra profondément. Jamais jusqu’ici je n’avais ressenti un truc pareil, car il me comblait parfaitement, et comme j’étais trempée, ça glissait bien. C’est ainsi qu’il commença à me baiser, contre moi, son bras puissant me tenant en étau, sa main pressant mes seins, son bassin qui ondulait pour faire coulisser son membre en moi. C’était si bon que je ne pouvais pas m’empêcher de gémir, c’était si bon qu’il aurait pu faire ce qu’il voulait de moi, mais il se contenta de me prendre ainsi, couchés sur le côté, en me serrant comme s’il avait capturé une proie. J’ai trempé le drap house cette nuit-là, et je fus parcourue par de nouveaux orgasmes étouffés dans l’oreiller.
Je pensais à ma mère, j’avais l’impression de prendre ma revanche sur elle, de devenir vraiment une femme. Il me prit ainsi un bon moment, comme ça, sans dire un mot, sans prononcer la moindre parole. Il me prit comme un voleur. Et j’ai aimé ça.
Il ne déversa pas sa semence en moi, prudemment, il la laissa échapper dans les draps. Puis il s’éclipsa sans un bruit. Et je m’endormis dans cette sensation délicieuse, comme si j’avais rêvé ou qu’un fantôme était venu me faire l’amour.
Le lendemain matin, non je n’avais pas rêvé, vu les taches de sperme. Il fit comme si de rien, je fis comme si de rien. Mais quelques jours plus tard, il ne venait plus à la maison. Je ne sus jamais si ma mère avait su et si c’en était la cause. Mais je ne lui ai jamais posé la question.
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