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Un médecin de campagne

Chapitre 2

Hétéro
Le vendredi suivant.C’est donc aujourd’hui que j’ai rendez-vous avec la sublime Dr Martin pour la suite de mon bilan de santé. Ce bilan, en somme, je m’en fous complètement. Par contre, revoir celle qui hante mes pensées depuis une semaine, ça c’est important.
J’ai une envie folle de cette femme, mais je ne sais pas comment l’aborder. Elle est à la fois une cliente, mon médecin généraliste et l’objet de tous mes désirs. Je marche sur des œufs, car je n’ai aucune intention de la heurter, mais, si je ne fais rien, il risque fort de ne rien se passer. Quoique ...
Il m’a semblé, pendant notre entretien de la semaine dernière, qu’elle m’observait d’un œil discret, mais attentif. Peut-être que je l’intéresse, somme toute ! Mais comme fournisseur, comme patient ou comme homme ?
N’ayant pas de réponse à cette question, je m’en remets à la chance, on verra bien ce qui se passera durant cette consultation.Je gare ma voiture sur le parking puis sonne à la porte. L’ouvre-porte retentit et je me retrouve dans la salle d’attente vide. Contrairement à la semaine dernière, la porte de son cabinet est ouverte et elle me dit :
— Vous pouvez entrer, je vous attendais.
J’entre donc dans le cabinet et, instantanément, mon rythme cardiaque s’emballe. Elle est toujours habillée en noir, mais ne porte ni lunettes ni blouse blanche. Le pantalon et le polo sont remplacés par des leggings et un T-shirt qui lui collent à la peau et révèlent toutes les courbes de sa somptueuse anatomie. A ses pieds, elle a mis des sandales fines à la place des bottillons.Elle se tient debout devant son bureau et je peux admirer à travers ses vêtements le galbe de sa poitrine à peine couverte par un très fin soutien-gorge et le renflement de son pubis. Puis, comme elle fait le tour du bureau pour s’y asseoir, c’est son postérieur ferme et rebondi que je contemple. Elle porte manifestement un string, car ses leggings pénètrent jusque dans la raie de ses fesses.
— J’ai reçu tous vos résultats d’analyses et ils sont excellents. Tous les taux sanguins sont dans les normes, le cholestérol à 168, la glycémie à 85, pas la moindre trace d’inflammation ou d’infection, les tests viraux confirment l’absence d’hépatite ou de HIV, c’est-à-dire le sida, donc tout va bien. Vous êtes un homme tout ce qu’il y a de plus sain ! Passons maintenant à votre anamnèse. Racontez-moi tout !
Je lui débite donc tous les faits de santé plus ou moins notables, allant des maladies infantiles à une opération de l’appendicite pendant l’adolescence en passant par quelques contusions encourues lors de pratiques sportives, mais rien de bien grave. J’ajoute que je ne fume pas, bois très peu d’alcool et fais du sport, en particulier du vélo après avoir tâté du foot quand j’étais ado. Comme elle a dit, je suis un homme sain et cette partie du bilan est vite terminée.
— Il ne reste plus que votre examen physique, mais pour cela, nous allons passer à côté, dans la salle d’auscultation. Si vous voulez bien me suivre ...
Elle se lève, passe devant moi et ouvre la porte vers la pièce voisine. Celle-ci est occupée par une table d’examen, une toise, un pèse-personne et divers meubles.
— Veuillez enlever votre chemise, je vais prendre votre tension.
Je m’exécute et elle me passe le bracelet de son tensiomètre autour du bras. Elle est maintenant toute proche de moi et je peux sentir le parfum dont elle s’est couverte. Une senteur à la fois sucrée et épicée qui m’enivre aussitôt. Elle recommence deux fois la manœuvre, ce qui me permet de la regarder de près. Une peau mate, pas la moindre ridule, un maquillage très discret, des cheveux drus, mi-longs, noirs de jais et des yeux ... ! Des yeux de reine égyptienne !
— 12/7. Parfait. Je vais maintenant écouter le cœur et les poumons. Tournez-vous.
Je sens ses mains douces glisser sur ma peau quand elle tapote dans mon dos et me dit :
— Respirez bien fort.
Ce que je fais volontiers, car j’en ai bien besoin à la sentir si près de moi !
— Remettez-vous face à moi, que j’écoute votre cœur.
Cette fois, elle est carrément à 20 centimètres de moi et j’ai du mal à me contenir devant cette magnifique femelle à la tenue provocante.
— Mmmm ! Rythme cardiaque légèrement trop élevé, mais c’est peut-être à cause du stress ! On reverra ça un peu plus tard. Maintenant, je vais vous mesurer et prendre votre poids. Pour avoir des valeurs correctes, enlevez vos chaussures et votre pantalon.
Et voilà comment je me retrouve quasi à poil devant celle que je désire par-dessus tout. Il ne me reste plus que mon boxer pour tenter de cacher un début d’érection que j’ai bien du mal à contenir. Je me place donc sous la toise où elle relève 1,87m, ce que je savais, puis sur la balance, 82 kilos, ce que je savais aussi !
— 23,5 d’indice de masse corporelle, toujours aussi parfait ! Il ne me reste plus qu’à vous faire un électrocardiogramme pour terminer.
Elle se replace face à moi et colle sur mon torse une série de petites ventouses qu’elle enduit de gel pour améliorer le contact. Elle laisse se dérouler le graphique de l’appareil pendant quelques secondes puis l’arrête.
— Ici aussi, tout est normal. Votre rythme cardiaque a d’ailleurs déjà diminué.
Mais il ne va pas tarder à remonter en flèche, car, après avoir ôté les ventouses, elle s’empare d’un papier de nettoyage et me frotte la poitrine pour enlever les traces de gel. Mais ses gestes sont plus des caresses que des frottements et ils se prolongent bien après que toute trace de gel ait disparu.
Elle jette le papier dans une corbeille et remet ses mains sur mon torse comme pour vérifier que tout est parti. Et c’est là que tout se déclenche.Sans crier gare, elle se presse contre moi et colle ses lèvres sur ma bouche. Je sens immédiatement sa langue s’insinuer à la recherche de la mienne. Mon sang ne fait qu’un tour et je réponds à son baiser en l’enlaçant de mes bras afin de l’empêcher de s’échapper.
Mais ce n’est clairement pas son intention, car tout en continuant à m’embrasser passionnément, elle laisse glisser sa main vers le bas et la pose sur mon sexe. Inutile de préciser que je bande comme un cerf pendant le brame !
Le résultat doit la satisfaire, car sans attendre, c’est carrément dans mon slip qu’elle met sa main. Elle empoigne ma verge et la masse dans un mouvement de va-et-vient qui m’affole. L’invitation est suffisamment explicite pour que j’abandonne toute hésitation. A mon tour, je glisse mes mains sous son T-shirt, je dégrafe son soutien au passage et je prends ses seins en coupe dans mes deux mains. Ils sont chauds, ronds, pleins et fermes. Entièrement naturels, ils semblent défier la loi de la pesanteur. Sa peau est douce et je caresse avec bonheur ses merveilleux globes. Mes doigts rencontrent ses pointes érigées et je les roule doucement entre mes pouces et mes index, ce qui lui arrache un premier gémissement de plaisir.
Elle quitte mon sexe pour un instant et lève les bras pour me permettre d’enlever son T-shirt et son soutien qui volent dans un coin de la pièce. Puis, d’un seul coup, elle tombe à mes genoux et baisse mon boxer qui file rejoindre ses propres vêtements.
Je sens ses lèvres prendre contact avec le bout de ma verge puis sa langue brûlante se met à tournoyer autour de mon gland. D’une main, elle pompe ma queue et, de l’autre, elle me caresse les testicules. Puis, s’enhardissant, elle ouvre grand la bouche et enfourne une bonne partie de mon dard tout en accélérant le mouvement de va-et-vient de sa main. Si je la laisse faire, je sens que je ne tarderai pas à éclater dans sa bouche et ce n’est pas ce que je veux. Ce que je veux, c’est elle, tout entière, sa bouche, mais aussi son sexe, ses seins, et tout son corps.
Je la prends donc sous les aisselles, la relève et colle ma bouche contre la sienne pour un baiser torride. Sa langue a déjà le goût de mon sexe et me donne une furieuse envie de connaître le sien.Je l’empoigne donc sous les fesses et la soulève du sol pour l’emmener au bord de la table d’examen où je la dépose. Je la pousse doucement vers le bas pour qu’elle se couche sur le dos, les jambes pendantes de part et d’autre de la table. Je retire ses sandales puis je prends ses leggings entre les doigts et je les baisse lentement, dévoilant au fur et à mesure ses jolies jambes soigneusement épilées. Le vêtement enlevé, il ne reste plus que son string entre elle et moi.
Je ne peux résister bien longtemps à l’envie de la voir enfin entièrement nue devant moi et le string ne tarde pas à rejoindre le reste de nos vêtements au fond de la pièce.Elle gît maintenant face à moi, livrée complètement nue à ma vue, bras et jambes écartés, les seins pointant vers le plafond, le sexe épilé, béant et déjà trempé, le clitoris gonflé de sang, semblant implorer mes caresses.
Je tombe à genoux entre ses jambes et pose mes mains sur son ventre. Je me penche en avant, mes mains glissent vers ses seins que j’empoigne au moment précis où mes lèvres entrent en contact avec sa chatte. Elle tressaille de bonheur et m’invite à continuer mon exploration.
— Oui, vas-y, je n’en peux plus, fais-moi jouir.
J’introduis alors ma langue dans l’entrée de son vagin et me délecte longuement de son liquide intime qui coule à flots. Je remonte lentement entre ses petites lèvres que je lèche au passage et j’arrive enfin à la pointe de son clitoris. Je tourne ma langue autour de celui-ci, passant alternativement de chaque côté puis je le prends délicatement entre mes lèvres. Ce contact lui arrache un petit cri de plaisir et un tressautement annonciateur d’un orgasme prochain. Je redescends jusqu’à l’entrée de son vagin et répète le même mouvement.
Elle pose ses mains sur mon crâne, fouraille avec ses doigts dans mes cheveux et pousse ma tête contre son ventre comme pour m’empêcher de me retirer, ce qui ne me viendrait pas à l’idée en ce moment béni !
Je gobe alors tout son clitoris et le suce avidement. J’avale avec délice tout le jus qui s’écoule abondamment de son sexe et j’introduis mon majeur dans son vagin, à la recherche de son point G que je trouve immédiatement. Avec mon doigt, je l’excite de plus en plus vite et, comme je m’y attendais, cela déclenche son orgasme qui arrive comme un ouragan, bousculant tout sur son passage.
Son bassin se soulève frénétiquement au rythme des vagues de jouissance qui envahissent tout son corps, sa tête roule de gauche à droite, ses jambes sont agitées de soubresauts incontrôlables et ses mains écrasent ses seins à la recherche du plaisir ultime.
Puis, après un dernier long gémissement, tout se relâche d’un seul coup. Elle retombe comme anéantie sur la table d’examen, le corps flasque comme si toute son énergie avait été absorbée par ce formidable orgasme que j’ai pu contempler. Waw, quel spectacle !
Elle semble inconsciente, couchée sur la table, bras et jambes ballants de part et d’autre. Puis, au bout d’un long moment, elle ouvre ses beaux yeux et me sourit. Je me redresse alors tout doucement et ma bouche entame une lente remontée de tout son corps. Je couvre son ventre plat de petits baisers puis ma langue s’attarde autour de son nombril. Je la tourne deux ou trois fois au fond de ce petit lieu intime, ce qui la fait frissonner de plaisir. Ensuite, je continue la découverte de ce corps magnifique et mes lèvres atteignent finalement le creux situé entre ses seins. Je lèche délicatement les gouttelettes de sueur qui perlent entre ses deux globes fièrement dressés et, ne pouvant plus résister, ma langue remonte le long de son sein droit pendant que ma main gauche s’empare de l’autre.
Lorsque ma langue atteint son mamelon, elle se cabre en gémissant de plaisir. Je tourne et retourne ma langue autour de ce point sensible pendant que ma main caresse l’autre côté. Je roule sa pointe érigée entre mes doigts, ce qui lui arrache un petit cri aigu. Puis j’inverse le mouvement et ma bouche part à l’assaut de son sein gauche.
Pendant ce temps, elle a passé ses bras autour de moi et me caresse le dos. Chaque fois que je mordille un de ses tétons, elle me répond en enfonçant ses ongles dans ma peau. Je pourrais continuer à la câliner ainsi pendant des heures sauf que, moi, je n’ai pas encore joui et que je bande comme un taureau en rut !
Je me redresse donc et j’empoigne ses hanches pour amener ses fesses tout au bord de la table. Je pose le bout de ma queue sur son clitoris et le fais coulisser sur cette partie ultra-sensible. Son excitation remonte à son point culminant et elle pose ses mains sur ses seins, les caresse, les malaxe, pince ses tétons. Elle pousse son pubis contre ma queue et accompagne tous mes mouvements. Puis, au comble du désir, elle me dit :
— Je t’en supplie, je n’en peux plus d’attendre, prends-moi tout de suite, baise-moi fort ...
Comme elle sait que je suis sain, nul besoin de préservatif et, de mon côté, vu qu’elle est médecin, je lui fais confiance.J’approche donc mon gland de l’entrée de son vagin, je le frotte légèrement contre sa muqueuse pour bien l’imprégner de sa mouille puis je m’enfonce en elle, très lentement, me délectant de chaque millimètre de pénétration. Sa chatte est étroite et enserre complètement ma bite qui s’introduit facilement grâce à l’abondante lubrification qu’elle dispense.
Lorsque j’arrive tout au fond de son ventre, que mon gland bute contre son utérus, je reste immobile, profitant de cette gaine brûlante et palpitante. Elle émet un gémissement continu et se frotte la poitrine avec vigueur.
Je me retire alors doucement d’elle, puis je la réenvahis complètement. Je répète ce mouvement plusieurs fois, d’abord lentement puis j’accélère. A chaque fois que je la pénètre, elle pousse un soupir de satisfaction. J’ai maintenant atteint une cadence élevée et je la baise comme elle me l’a demandé : fort et profondément. Elle passe ses jambes autour de mes reins et elle les serre avec une vigueur insoupçonnée, comme pour m’empêcher de sortir d’elle, ce que je n’ai d’ailleurs aucune envie de faire !
Ses soupirs se transforment progressivement en une sorte de plainte continue et je comprends qu’elle approche à grands pas de son deuxième orgasme. Ça tombe bien, car, de mon côté, je commence à sentir des picotements dans mes testicules, annonciateurs de ma propre vague de plaisir.
J’accélère encore un peu la cadence, ce qui nous amène tous les deux en même temps au bord de l’orgasme.
— Ooooh ouiiii, n’attends plus, vas-y, gicle dans ma chatte, donne-moi ton jus, je le veux au fond de moi ...
Au moment même où elle m’en supplie, je décharge un torrent de sperme brûlant dans son ventre qu’elle semble aspirer jusqu’au plus profond d’elle même. Je gicle par longs jets successifs pendant qu’elle pousse un véritable hurlement de plaisir et que tout son corps est agité comme un pantin désarticulé. Son orgasme dure une éternité et, chaque fois que je bouge un peu dans son sexe, elle réagit par un sursaut de tout son corps. De ma vie, je n’avais jamais vu une femme jouir à ce point et pourtant ce n’est pas fini !Petit à petit, l’orage passe, la tempête se calme et elle relâche l’étreinte de ses jambes autour de mes reins. Je me retire de son vagin et mon sperme s’écoule le long de ses cuisses.Glissant en bas de la table d’examen, elle me prend par la main et me dit :
— Viens !
Elle pousse une porte et nous passons dans la partie privée de sa demeure. J’aperçois un grand séjour, mais je n’ai pas le temps d’admirer la décoration, car elle m’entraîne déjà dans l’escalier qui monte à l’étage. Elle pousse une porte et m’introduit dans sa chambre où je découvre un immense lit d’au moins 2m sur 2m. Elle m’y conduit et me pousse en arrière, si bien que je retombe sur le dos au milieu du plumard. Elle se précipite alors sur moi et empoigne ma verge qui s’est ramollie entre-temps. Elle sort sa langue et s’emploie à nettoyer tout mon sexe couvert de nos fluides corporels mélangés. Elle me lèche partout, le gland, la hampe, les testicules, puis revient vers le haut et recommence. Elle avale le tout avec délectation ...
— Mmmm comme c’est bon. Il y a si longtemps que je n’ai plus goûté un homme.
Puis elle se remet au travail, mais plus pour me nettoyer, car je suis propre comme un sou neuf. Son but est clairement de me remettre en forme, car elle avale mon membre aussi loin qu’elle le peut, elle monte et descend sa tête sur ma verge tout en me masturbant et en caressant mes couilles. Son traitement ne tarde pas à faire son effet et, en quelques minutes, je suis à nouveau raide et brûlant comme une barre d‘acier chauffé à blanc.Elle se recule un peu et admire le résultat de son travail. Satisfaite de ce qu’elle voit, elle se place à califourchon au-dessus de moi et me fait face.
— Maintenant, c’est moi qui mène la danse !
Elle prend ses seins en coupe dans ses mains pour les caresser et se met à onduler des hanches au-dessus de mon sexe. Tout doucement, ses jambes s’écartent et son bassin se rapproche de plus en plus du mien. Elle prend ma queue et la guide jusqu’à l’entrée de sa vulve. Elle se laisse alors tomber d’un seul coup et s’empale sur moi jusqu’à la garde. Tout comme moi auparavant, elle reste un long moment sans bouger, dégustant la présence de mon pénis gonflé à bloc dans sa chatte étroite.
Puis elle se met à se déplacer d’avant en arrière, de gauche à droite, de haut en bas. Elle ondoie de plus en plus vite sur ma queue et nous voilà repartis pour une torride partie de baise.Je la prends par les hanches et pousse mon bassin à sa rencontre, mais c’est elle qui continue à marquer le rythme des pénétrations. Au fur et à mesure de l’accélération, je sens son excitation monter. Elle se laisse basculer légèrement en arrière, prend appui de ses mains de part et d’autre de mes jambes et m’offre la vue éblouissante de son corps parfait arqué au-dessus du mien et de ma bite tendue qui entre profondément dans son ventre puis en ressort presque complètement. Je la laisse mener la danse, comme elle a dit, d’autant plus que, ayant déjà joui une fois, je suis capable de me retenir pendant un long moment, avant de gicler une deuxième fois.
Se maintenant ensuite en appui d’une seule main, elle passe son autre main vers l’avant et se caresse fougueusement le clitoris. Ce spectacle m’envoûte littéralement et je pourrais m’en délecter longtemps, mais elle en décide autrement.
Se redressant tout d’un coup, elle se penche maintenant vers moi, pose ses bras le long de ma tête et presse ses seins contre mon torse. Elle m’offre sa bouche que je prends comme un fruit mûr. Dans cette position, plantée sur ses genoux, et la poitrine collée contre la mienne, son cul levé vers le plafond, mon membre est ressorti de son sexe, mais elle m’offre un espace entre notre nos deux bassins que je compte bien utiliser.
Mes mains descendent le long de son dos et atteignent ses fesses que j’empoigne vigoureusement. D’un coup de reins puissant, je la pénètre à nouveau et, cette fois, je reprends les commandes, ce qui semble lui convenir.
Je la baise puissamment à un rythme élevé, ce qui la fait gémir de plus en plus fort. Je comprends qu’elle approche à nouveau de son point de non-retour et je me lâche pour profiter de cet instant magique. J’accélère encore et sa respiration devient haletante, elle ahane à chacun de mes coups de boutoir, agite frénétiquement son bassin à la rencontre du mien et, comme précédemment, vient d’un seul coup, comme un cyclone tropical.
Incapable de résister à cette tornade, je me laisse aller et je me répands en elle à grands flots de sperme. Elle jouit à n’en plus finir, poussant un petit cri à chaque jet de ma semence comme pour en demander encore plus !
Lorsque je suis complètement vidé, que plus une goutte n’arrive, je me laisse retomber et elle s’écroule sur moi. Son corps est secoué par quelques derniers spasmes puis elle se calme. Elle pose sa tête sur mon épaule, me donne un baiser dans le cou et murmure :
— Merci ...
Puis je sens un léger soubresaut la secouer. Je la regarde et je constate avec effarement qu’elle pleure tout doucement. Puis, tout se calme et elle s’endort, affalée de tout son long sur moi, ma verge encore plantée en elle. Je n’ose plus bouger et je finis par m’endormir à mon tour.
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