Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 321 J'aime
  • 7 Commentaires

Un médecin de campagne

Chapitre 5

Hétéro
Quelques jours ont passé. Je suis allé fréquemment chez Christine afin que ses enfants s’habituent à moi. Cela a d’ailleurs été grandement facilité lorsqu’ils ont appris que j’avais une piscine chez moi. Les congés scolaires ayant commencé sous le beau temps, ils campent littéralement chez moi, d’autant plus que Christine a allégé son programme de consultations, beaucoup de gens étant déjà partis en vacances. Elle dispose ainsi de tous ses après-midi pour venir avec sa progéniture.
Tout se passe donc pour le mieux, sauf que la présence permanente des petits nous prive de moments d’intimité et que mes sens, longtemps endormis par ma solitude, ont été réveillés et crient maintenant famine. Et c’est durant cette période de disette qu’arrive un événement inattendu.
Nous sommes un après-midi radieux en pleine semaine. J’ai également réduit mon agenda professionnel pour les mêmes raisons que Christine. Cependant, aujourd’hui, elle a des consultations et je passe donc l’après-midi seul, tranquillement assis au bord de ma piscine, avec un bon roman et une boisson fraîche. Soudain, j’entends une voix qui m’interpelle.
— Salut, je peux entrer ?
Je lève la tête de mon bouquin et vois une jeune femme noire appuyée au portillon. Elle est vêtue d’un jeans et d’un chemisier blanc et porte un sac de sport en bandoulière. N’ayant aucune envie de subir un démarchage quelconque, je réponds d’une voix bourrue.
— C’est pourquoi ? Je vous préviens, je n’ai besoin de rien et si c’est pour essayer de me vendre quelque chose, vous perdez votre temps !— Oh, non, rien à voir, rassure-toi. Je suis Michèle, l’amie de Christine.
Ah ! Je m’attendais à tout, sauf à ça. Et je peux difficilement lui refuser d’entrer, ce serait inconvenant vis-à-vis de Christine. Je relève aussi que, d’entrée de jeu, elle me tutoie et donc j’adopte la même attitude.
— Oh, pardon, je ne savais pas. Bien sûr, entre, le portillon est ouvert.
Pendant qu’elle approche, j’ai l’occasion de la regarder et je dois avouer que Christine ne m’a pas raconté d’histoires : cette femme est splendide, les traits fins, sans la moindre trace de négritude malgré sa peau très sombre, mince, élancée, bref, tout pour plaire. Je me surprends même à penser que c’est un vrai gâchis qu’elle soit lesbienne !Elle dépose son sac et s’assied sur l’autre lit de plage.
— Bonjour. Christine m’a parlé de toi et elle m’a l’air solidement accro ! Ça me fait plaisir, car elle mérite d’être heureuse. C’est une fille formidable, généreuse, travailleuse, aimante et, surtout, très jolie ! Merci à toi de l’avoir séduite, car elle en avait rudement besoin. Elle m’a dit aussi que tu avais une piscine dans ton jardin et, vu le temps, je me suis dit que je pourrais faire d’une pierre deux coups : faire ta connaissance et profiter de ta piscine.— Pas de problème, les amis de mes amis sont mes amis, fais comme chez toi !
Et elle me prend au mot puisque, se relevant, elle fait passer son chemisier par-dessus la tête puis retire ses baskets et son jeans. Je prends un véritable coup dans l’estomac, car, sous ses vêtements, elle porte un bikini jaune dont la couleur contraste avec celle de sa peau. Le soutien-gorge est formé de deux petits triangles de tissu reliés par un anneau et attachés au cou et dans le dos par de fins cordons noués. Le slip se résume à un string, également noué sur les côtés, couvrant tout juste son mont de Vénus et pénétrant dans la raie de son cul, révélant un superbe fessier en béton.
Consciente de l’effet qu’elle produit, elle esquisse un sourire et, d’une marche ondulante et suggestive à souhait, elle se dirige vers la piscine et s’y immerge, me laissant perplexe. D’un côté, elle m’exprime sa gratitude, car je rends son amie Christine heureuse et, de l’autre côté, elle fait tout pour m’allumer. Que veut-elle exactement ?
Dans l’état de manque où je me trouve, je dois sérieusement prendre sur moi-même pour ne pas bander et lui sauter dessus. Heureusement, mes sentiments profonds pour Christine me permettent de calmer cette poussée de testostérone et je replonge le nez dans ma lecture pour ne pas répondre à ses provocations.
Elle tire plusieurs longueurs dans la piscine et, malgré mes bonnes résolutions, je l’observe du coin de l’œil. Cette fille doit être sportive, car elle a la musculature et les épaules d’une nageuse assidue.
Satisfaite de sa performance au bout de quelques minutes, elle sort de l’eau et se dirige vers la douche située à moins de 5m de moi. Elle se met de dos sous le pommeau, ouvre le robinet et ... défait un à un tous les nœuds attachant sa parure qui tombe au sol ! La voilà intégralement nue, quasi à portée de ma main. Mais, en fait, ça ne change pas grand-chose puisqu’elle est de dos et que son bikini ne couvrait pratiquement rien de ce côté-là. Sauf que ...
Elle se retourne et, l’air innocente, elle tend les bras vers le haut et se rince les cheveux. Elle m’apparaît alors dans toute son éclatante beauté. Elle est à peu près de la même taille que Christine, a de longs cheveux noirs, lisses, probablement défrisés, de longues jambes et des bras fins, un ventre plat et musclé à la fois, des seins un peu plus petits, mais aussi fermes que ceux de ma bien-aimée, couronnés par de longues pointes durcies, et clou du spectacle, un pubis bombé, entièrement épilé, se terminant sur sa fente entrouverte, promesse de délices inavouables.
Elle se rince maintenant tout le corps, passant et repassant ostensiblement les mains sur ses atouts sexuels, comme si elle m’invitait à la rejoindre.Cette fois, c’est certain, elle cherche à tout prix à m’incendier alors que, selon Christine, elle est lesbienne. Comprenne qui pourra ! Mais, évidemment, n’étant pas de bois et malgré tous mes efforts, je sens que je commence à bander. Dans un ultime effort pour ne rien laisser paraître, je pose mon bouquin ouvert sur la bosse qui commence à grossir sous mon maillot. Elle m’adresse un petit sourire entendu, l’air de dire qu’elle n’est pas dupe de mon geste.
Jugeant sans doute que l’effet obtenu n’est pas suffisant, elle s’approche de moi et prend une grande serviette blanche dans son sac. Elle se frotte lascivement tout le corps puis se couche sur le lit de plage voisin, toujours aussi nue, à 50 centimètres de moi.
— Ça ne te dérange pas si je reste comme ça pour me sécher au soleil ?— Euh, écoute, sincèrement j’aimerais mieux que tu mettes quelque chose !— D’accord si tu préfères.
Se relevant à nouveau, elle extrait de son sac une tenue noire, étrangement semblable à celle que portait Christine le fameux soir de notre première folie sexuelle. Cependant, celle-ci est en une seule pièce, un genre de combinaison, allant des chevilles jusqu’au cou et fermée dans le dos par une fine fermeture éclair qu’elle manipule au moyen d’un cordon. Le tissu de cette tenue est encore plus fin et moulant que celle de Christine et lui colle au corps comme une seconde peau ! Elle l’enfile sans mettre de sous-vêtements, ce qui la rend encore plus provocante et désirable que quand elle était nue.
En effet, ses mamelons durcis pointent à travers le mince voile qui épouse également le galbe de ses seins. Son nombril est visible et sa vulve est totalement exposée, le tissu se faufilant même entre ses grandes lèvres, détaillant ainsi l’accès à son sexe qui, je n’en doute pas, doit être torride, doux et accueillant !
Debout devant moi, elle fait un petit tour sur elle-même pour me faire admirer toute son anatomie. Le côté pile vaut le côté face. Ses fesses dures et rebondies de sportive ressortent d’autant mieux que le tissu lui pénètre dans la raie du cul et rejoint celui insinué dans sa fente. Tout son entrejambe est ainsi exhibé à ma vue et semble me narguer.
— C’est mieux comme ça ?
Je dois faire un effort violent pour ne pas lui sauter dessus, lui arracher son vêtement et la prendre immédiatement. Mais l’image de Christine s’interpose et je me domine.
— Euh, pas vraiment, c’est même encore pire ! S’il te plaît, Michèle, rhabille-toi tout simplement.— Ah bon, c’est comme tu veux. Je pensais te faire plaisir, mais, apparemment, je ne suis pas ton genre.— Là n’est pas la question, au contraire. Je te trouve splendide et même extrêmement désirable, mais tu connais les sentiments que Christine et moi partageons et je tiens à lui être fidèle. Je ne comprends d’ailleurs pas ton attitude. Tu te dis l’amie de Christine et pourtant, derrière son dos, tu cherches à tout prix à me séduire en sortant le grand jeu. J’aimerais que tu m’expliques.
Pendant ma tirade, elle a remis ses sous-vêtements, son jeans et son chemisier et se rassied sagement sur le lit de plage. Ma température redescend de quelques degrés et j’attends donc qu’elle m’éclaire sur ses intentions.
— Je te dois effectivement des explications. J’ai vu Christine cette semaine et elle m’a raconté ce qui lui arrivait. Comment vous vous êtes connus, comment vous vous êtes retrouvés au lit, comment tu la fais grimper aux rideaux, comment vous êtes tombés amoureux, enfin tout, quoi !— Elle t’a expliqué tout ça ... en détail ?— Pas forcément toujours spontanément, mais je sais me montrer persuasive ! Elle a fini par tout me raconter et c’est ainsi que je sais que tu es un fameux chaud lapin et que tu peux être très performant avec une femme au lit. Mais je connais ma Christine, elle est parfois d’une naïveté étonnante, et pour rien au monde je ne voudrais qu’elle se fasse rouler par un beau parleur qui ne cherche qu’à la basculer deux ou trois fois dans son lit puis passe à une autre.
Et, comme je sais aussi que j’ai tous les arguments physiques nécessaires pour attirer un homme, j’ai décidé de vérifier si c’était réellement le grand amour entre vous ou si tu étais juste un prédateur sexuel comme tant d’autres. Et je dois dire que tu as passé le test avec succès. Je connais peu d’hommes qui auraient résisté à mon numéro de charme, mais toi tu l’as fait. Bravo, je dirai à Christine qu’elle peut continuer à filer le guilledou avec toi sans aucune arrière-pensée.
— Quoi, tu ne vas quand même pas lui raconter tout ce que tu as tenté pour me faire succomber à tes charmes ?— Bien sûr que si, et je n’oublierai pas le moindre détail ! Je suis sûre que ça l’excitera.— Aucun détail ... ? Mais tu es une vraie ...— ... salope ? Oui, oui, et j’assume !— Et que ce serait-il passé si j’avais cédé à tes avances ?— Oh, c’est très simple. Vu que tu es plutôt beau mec, je me serais volontiers laissée faire, on aurait baisé bien dur et bien profond tout l’après-midi, j’aurais sûrement pris un pied gigantesque puis je serais allée chez elle en courant à toute vitesse pour lui dire que tu n’étais pas fiable ! — Tu aurais pris un pied gigantesque ??? Mais Christine m’a dit que tu étais euh ...— Lesbienne ! C’est généralement vrai, mais, quand ça se présente, je ne refuse jamais un bon coup de queue ... pour autant qu’il soit bon ! Et avec toi, je suis certaine qu’il l’aurait été !— Donc, tu es bi.— Si tu veux. En fait, je fonctionne à tous les carburants pour autant qu’il y ait le plaisir au bout. Pour moi, un homme, une femme, voire même un homme et une femme, deux hommes ou deux femmes, tout me convient du moment que je jouisse bien en fin de compte !— Eh, bien, si je m’attendais à ça ! Désolé de ne pas t’avoir emmenée jusque-là, mais je tiens trop à Christine pour avoir envie de faire le moindre accroc dans le contrat tacite dans lequel nous nous sommes engagés.— Et c’est tout à ton honneur. Christine a de la chance d’être tombée sur un gars comme toi. En même temps, je regrette un peu, car, moi, une passade sans lendemain de temps en temps, j’aime bien et je t’aurais volontiers pris comme petit quatre heures ...— Quoi, tu veux dire que ...— Tu me fais mouiller, oui, oui, mais, tant pis, c’est loupé.— Mais, dis-moi une dernière chose : c’est elle qui t’a demandé de me jouer ce numéro ?— Elle ? Sûrement pas. Elle ne serait même pas capable d’y penser. Je te l’ai dit, Christine c’est une grande naïve. Elle est très fleur bleue et croit que tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil. Non, non, c’est de ma propre initiative que j’ai monté ce traquenard. D’ailleurs, je ne risquais rien : soit tu succombais et je prenais mon pied, soit tu résistais et j’étais contente pour mon amie. Aussi simple que ça ! Tu m’offres quelque chose à boire, tout ce blabla, ça m’a donné soif !
Je lui indique le chemin vers la cuisine et lui dis qu’elle peut prendre ce qu’elle veut. Elle revient avec un gobelet largement rempli de whisky et de glaçons. En voilà une qui est nettement moins sobre que Christine. En fait, ça correspond bien à sa personnalité. C’est une fille cash, qui n’hésite pas à appeler un chat, un chat et ce caractère bien trempé me fait penser qu’elle n’a sûrement pas toujours eu la vie facile et qu’elle a dû connaître des moments durs.Elle s’assied et reste encore un petit moment, le temps de déguster son verre. Puis elle se lève, ramasse son sac et prend congé de moi.— Je te laisse maintenant. J’espère qu’on aura l’occasion de se revoir !
Diffuse en direct !
Regarder son live