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Le meilleur ami de Julie

Chapitre 4

Nous donner, nos corps mélangés...

Orgie / Partouze
Fin du chapitre précédent :... Sonia gémie de plaisir et se trémousse, offrant son corps à nos envies. Je branle sa bite trempée pendant que Daniel suce la mienne goulûment, retrouvant les saveurs partagées par le passé. Il serre mes fesses, en plaquant mon sexe au fond de sa bouche. Sentant que je vais jouir, j’éloigne Daniel qui le comprends très vite. Je pelote et caresse les seins de Julie qui lèche ceux de Sonia. Une envie de la baiser me vient à l’esprit. Pendant que Julie continue la masturbation de son membre, je me lève et met mon gland, dégoulinant de ma mouille, sur le petit trou de Sonia.____________________
Je remarque qu’elle se doigte depuis un petit moment. Elle se dilate à mon approche. Son joli petit cul est tout mouillé de la salive mise sur ses doigts qui la pénètrent. Elle remue dans tous les sens, lissant ses parois et les écartant pour me recevoir. Mes doigts rejoignent les siens dans la masturbation de son anus, entrant très loin dans son cul, tournant et se repliant, sortant et rentrant à nouveau. Elle mouille de plus en plus. Son cul s’ouvre davantage, facilité par les mouvements de nos doigts inquisiteurs. Ils agrandissent son ouverture qui attend, avec une envie débordante, que ma queue la pénètre. Je la prends par la taille et j’enfonce délicatement ma verge durcie d’envie, dans son cul accueillant. Je commence mes mouvements de va-et-vient, sortant de temps en temps pour y rentrer de nouveau, avant que son trou ne se referme. Elle s’allonge sur la moquette et lève ses jambes pour mieux me sentir. Sonia attrape mes hanches pour me guider.Julie reprend la bite de Sonia qu’elle a quitté un instant. Elle la suce en la branlant, pendant que j’encule Sonia qui bouge de plus en plus ses hanches. Je plaque, à chaque coup de butoir, mes couilles contre ses lobes brûlants. Tout en la baisant, j’attrape les fesses de Julie, qui s’est mise à quatre pattes sur la moquette pour mieux s’occuper de la bite de Sonia. J’entre mon pouce dans son petit cul et mes doigts dans sa chatte dégoulinante de sa mouille. Je la masturbe encore et encore, tout en continuant à baiser la belle Sonia. Julie est ravie que je la doigte ainsi et remue son petit cul que j’adore tant, en gémissant de plaisir à chaque pétrissage de mes doigts dans ses intimités.
Je sens soudain Daniel qui caresse mon anus avec ses doigts lubrifiés de sa mouille. Cela me fait un bien fou. Je remue, moi aussi, mes fesses pour qu’il aille plus loin dans mon corps. Daniel pénètre et bouge ses doigts plus profondément. Il veut m’enculer et j’en ai tellement envi. Quand il rentre en moi, je me tends en arrière, sans toutefois quitter le cul de la belle Sonia qui pousse des petits cris de plaisir. Je sodomise Sonia, tout en me faisant enculer par Daniel. Quel délice de sentir sa bite fouiller mes entrailles. Il sait y faire le bougre. Il veut me faire sentir sa bite et ses couilles contre les bords de mon cul, masturbant ma prostate à chaque mouvement. J’ai l’impression d’avoir un gode qui se tord dans tous les sens. Un gode de chair brûlant de désirs, qui rentre et sort de moi pour revenir de nouveau, encore plus profondément.
J’en réclame toujours davantage. Je quitte un instant le cul de Julie pour ajouter mes doigts trempés à la bite de Daniel. Je les tortille dans mon trou. Il doit prendre une dimension assez importante pour recevoir tout ça. Julie accélère la masturbation de la bite de Sonia. Quand elle sent qu’elle va jouir, elle la suce pour en aspirer la semence qui gicle au fond de sa gorge. Elle en avale une bonne partie et m’embrasse avec le reste, mélangeant nos langues et nos bouches dans un baiser très érotique. Ce baiser augmente mon désir et j’éjacule, dans un râle profond, au fond du cul de Sonia qui est remuée par ses spasmes de jouissance. C’en est trop pour notre ami. Je sens le sperme de Daniel jaillir à l’intérieur de mes boyaux, quand il éjacule en criant sa jouissance.
La chaleur de son foutre dans mes entrailles me rends fou de bonheur. Il en ressort un peu de mon cul, bien que je serre mes fesses pour le retenir. Il coule le long de mes cuisses et ça me rend dingue. Daniel se dégage de moi. Je serre encore plus mes fesses pour en garder le plus possible dans mon cul, mais il en coule encore. J’ai l’impression de déféquer, c’est un délice. Daniel s’approche du visage de Sonia qui prend sa bite, encore secouée de son éjaculation, dans sa bouche. Elle suce les restes de son sperme mélangé à l’odeur de l’intérieur de mon cul. Tous ces gémissements et ces râles de plaisirs couvrent la musique. Voyant cela, et comme je suis sorti du cul de Sonia, Julie empale sa chatte exacerbée de désirs sur la verge redressée de Sonia. Assise à califourchon sur elle, elle se dégage et se rassoie sur sa grosse bite, jusqu’à en sentir ses couilles contre ses fesses. Elle profite de sa position pour caresser et peloter ces magnifiques seins qui se présentent à elle. Elle les embrasse, suce ses tétons exacerbés. Julie s’affole sur cette poitrine splendide, en étant baisée par Sonia. Cela la remplie de bonheur. Je suis sûr que le fait de se faire baiser par cette magnifique transsexuelle la met dans cet état démentiel. J’avoue que moi aussi je suis rempli d’excitations. Daniel est aux anges, nous voyant nous faire l’amour tous ensemble avec autant de vigueur.
Sonia, dans des mouvements incontrôlés, finit par lâcher son foutre au fond de la chatte de Julie qui jouie instantanément en criant son extase. Nous nous écroulons tous les quatre, nos corps mélangés dans une volupté délicieuse. Une odeur de sexes, de foutre et d’amour, remplie la pièce. Quelques minutes sont nécessaires pour nous permette de reprendre notre souffle. Pendant cette pose essentielle, nous apprécions nos désirs fous. Nous reprenons petit à petit nos esprits. Nos cœurs battent la chamade, nos respirations profondes se calment. Nous prenons doucement conscience de nous être livrés à nos instincts les plus fous. Je sens les caresses que se donnent encore Daniel et de Julie. Je vois Daniel lui caresser tendrement ses seins gonflés. Je l’entends chuchoter à son oreille, tout en continuant à lui malaxer sa poitrine tendue.
— Je prends goût à la douceur d’une femme, surtout quand elle est aussi belle que toi...
Julie le regarde tendrement et ne peux s’empêcher de l’embrasser à pleine bouche, appréciant pleinement les caresses de son ami. Après ce baiser langoureux et reprenant un peu ses esprits, elle s’adresse à Sonia.
— Et bien Sonia, pendant ton séjour avec nous, il faudra que tu nous en dises un peu plus sur ta rencontre avec Daniel. J’avoue que je n’ai pas encore tout compris. J’ai besoin de plus de précisions ma chérie.— Ça sera avec un plaisir partagé, n’est-ce pas Daniel ?— Oui, évidement. Je suis le plus heureux des hommes de t’avoir rencontré. On va partager notre bonheur avec tes nouveaux amis...— Damien, j’ai adoré te voir te faire mettre de cette façon par Daniel. Vous êtes beaux tous les deux. Et dit donc, tu aime vraiment avoir une bite dans le cul mon salop... Je t’aime !
Ainsi, plus besoin de révéler mes actes passés avec Daniel. Je penses qu’elle se doute que ce n’est pas une première fois... Je suis soulagé et tellement heureux d’avoir pu partagé et montrer mon bonheur de me faire enculer par une si belle bite, en plus celle de son ami de toujours... Daniel me fait un clin d’œil complice, il est heureux aussi de toutes ces déclarations d’amour de nos sexes.
Les journées suivantes, nous nous aimons encore et encore. Les caresses des uns comblant les autres, soit en les recevant, soit en les donnant ou en les regardant. De temps en temps, nous reprenons nos jeux masturbatoires, en les partageant avec Sonia qui apprécie chaque instant, surtout quand Daniel se joint dans ces plaisirs. Ils doivent rester quelques jours. Cela fait maintenant deux semaines qu’ils sont là, et nous ne nous lassons pas de leurs présences, ni du plaisir que nous partageons. Combien de temps cela va durer ? Peu importe. Nous vivons l’instant présent au jour le jour, tant que l’amour daigne nous aimer.____________________PS : Si je n’ai pas décrit d’usage de préservatif dans mon texte, il est bien évident qu’une telle protection est malgré tout indispensable pour le bien de toutes et de tous...
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