L’histoire que je vais vous raconter se passe dans un lycée et a plusieurs personnages principaux. Je vous souhaite bonne lecture. — - - - - - - - - - - - - - - - - - Je m’appelais Maxence, j’étais un homme de taille moyenne aux cheveux bruns, aux yeux marron et étais un peu musclé. Quant à mon pénis, sans vouloir me vanter, ce dernier mesurait un bon 19cm. Je venais de déménager, et donc de changer de lycée. J’y retrouvais mon meilleur pote Théo avec qui j’avais déjà parlé de cul et maté du porno, mais jamais plus. L’année avait déjà commencé et je m’apprêtais à entrer dans mon nouveau lycée. Une dernière information : je n’étais pas puceau, je l’avais déjà fait avec mon ancienne copine.
9 heures. J’arrivais au lycée où Théo m’attendait devant l’entrée. -Ah Salut Maxence ! Alors, prêt pour ta première journée dans ton nouveau lycée ?– Je n’ai jamais été aussi prêt.– Tu vas voir, ça va te plaire. Ici, on a tous gymnase, stade, ateliers, labo, bibliothèque et même une piscine, mais le plus important : de la chatte. Après cela, il me présenta à trois de ses amis.-Voilà Maxence, un vieux pote, dit-il aux trois qui me saluèrent. Maxence, je te présente Jean, Stéphane et Gaëtan. je les saluai et nous fîmes connaissance avant de partir en classe. Une fois le prof arrivé, ce dernier me présenta aux autres élèves. Je profitais alors du cours pour analyser la classe. Il y avait un groupe de mecs, certainement de l’équipe de foot (grâce à leur tee-shirt à l’effigie de l’équipe du lycée), un autre groupe de filles plutôt bonnes et habillées sexy, mais mon attention ne fut retenue que par une seule personne : une fille. J’apprendrai un peu plus tard qu’elle s’appelait Andréa, d’origine grecque. Elle était brune aux yeux verts, avait un visage sublime, des cheveux descendant sur le côté, mais surtout elle avait un cul sublime et une poitrine assez importante qui me faisait rêver. À peine l’avais-je vue que je commençais déjà à fantasmer, l’imaginant me tailler une pipe en enroulant sa langue autour de mon gland, ou encore écarter ses magnifiques jambes pour que je lui léchasse la chatte tout en lui massant les tétons. Soudain, Jean me réveilla en me secouant le bras pour me raconter une blague, presque aussi bonne que les paires de miches assises dans cette classe. Plus tard, au self, alors que je m’assis à la table de Théo, de Jean, de Stéphane et de Gaëtan, je me renseignai sur la sublime beauté que je rêvais de sauter. -Vous la connaissez bien, Andréa ?
-Oui, elle est venue plusieurs fois chez moi, me répondit Jean. Soudain Gaëtan l’interrompit. -Mais rêve pas, c’est la copine d’un des joueurs de l’équipe de basket. C’est une fille sage ; d’après ce qu’on sait, elle n’est sortie qu’avec lui depuis qu’on la connaît. Soudain, Théo dit à voix basse. -Hé, Maxence !! regarde Éloïse, la rousse a l’autre table. Elle te lance un de ces regards lubriques. Je me retournai et vis Éloïse avec ses cheveux couleur rouge orangé et ses yeux bleus. Elle avait la peau blanche, une petite poitrine et un petit cul qui m’avait l’air tout aussi délicieux. Nous continuâmes de parler puis allâmes en cours.
Deux semaines plus tard, j’avais réussi à prendre mes marques, à sympathiser avec tout le monde, surtout avec Andréa qui animait mon imagination pendant mes soirées branlette. Éloïse avait tenté quelques approches. C’était une fille sympa et jolie à regarder, mais je savais au fond de moi que mon attirance allait vers Andréa . Je m’imaginais avec elle, lui léchant les tétons, malaxant ses seins puis approcher mon visage de sa chatte pour lui faire un cuni pendant qu’elle mouillait et gémissait bruyamment. Puis je me levai et enfonçai ma queue dans sa chatte, la faisant pousser un cri de plaisir. Je m’allongeai sur elle, lui bouffai les seins tout en faisant des va-et-vient du bassin. J’accélérai la cadence, la baisant bestialement en missionnaire avant de la retourner pour la prendre en levrette. Elle gémit de plaisir, puis accéléra encore. Elle se mit à crier, alors je mis ma main sur sa bouche pendant que ma bite s’enfonça jusqu’au fond, lui ramonant la chatte. Soudain, elle jouit, sa chatte trempée dégoulina alors sur mes couilles, augmentant mon plaisir. Je commençai à pousser des râles et me sentis venir, alors je lui dis : -Fais-moi une branlette espagnole comme une bonne chienne, que je profite de tes beaux nibards, salope ! elle s’exécuta, me faisant presque jouir… et là on toqua à ma porte. Cela me sortit de mes agréables pensées : il fallait que je partisse pour le lycée.
Aujourd’hui régnait une chaleur torride : plus de trente degrés. les filles avaient donc toutes mis des débardeurs laissant voir leur magnifique poitrine, mais aussi des mini-shorts moulant leur cul. Je ne pouvais m’empêcher de me caresser l’entre jambe à travers le pantalon. Plus tard, alors que j’avais un trick d’enfer m’empêchant de me concentrer, je décidais d’aller aux toilettes pour me rafraîchir. Je poussais la porte des toilettes des hommes, marchais le long du couloir et arrivais devant les lavabos, les cabines et les urinoirs. J’entendis alors de petits bruits mais n’y fis pas attention. Je m’installai devant un urinoir, pissai et me mis à asticoter ma queue qui était dure quand tout à coup j’entendis : -Oh, oui, salope ! Je me retournai, la bite à la main, mais ne vis personne. Cela venait sûrement d’une des cabines. J’avais entendu des rumeurs comme quoi des lycéens baiseraient dans les chiottes. Alors que je cherchais l’origine des sons, ma bite durcit comme jamais dans ma main. Je commençai à me branler tandis que les cris continuaient. -Ah ! Tu baises bien ! Encule-moi plus fort !-Oh oui ! Comme une salope ! Comme une chienne ! Est-ce que t’es une chienne, sale chienne ?!-Oh oui ! Et une grosse ! Une grosse chienne qui aime ta grosse bite bien dure !-Oh ma chienne ! Pour la peine, je vais te défoncer le cul tellement fort que demain tu ne pourras plus t’asseoir !-Oh oui, défonce-moi !-Que j’aime te ramoner le cul, petite chienne ! J’entendis des bruits de fessés. -Ah ! Je vais jouir tellement j’aime comment tu me défonces !-Vas-y, jouis sous les coups de ma bite qui t’arrachent le derche !-Hum ! Je jouis! Ah !-Je vois ça ! Et même par le trou du cul ! T’es vraiment une sale chienne ! Une vraie salope ! Je vais continuer à te ramoner le cul ! j’entendais des cris pendant encore quelques minutes quand … -Chienne, je vais jouir ! Que j’aime ton gros cul de salope !-Oh oui ! remplis-moi le cul !-Ah ! Oh oui ! J’ai joui, putain ! t’es la meilleure des salopes !-Ma chatte mouille encore ! Mon cul aussi ! Putain, tu m’as remplie!-La prochaine fois, ce sera ta chatte que je rendrai hors service !Alors, je te dois quoi ?-Rien, juste l’assurance que tu seras en aussi bonne forme la prochaine fois.-Pour une pute comme toi, toujours ! tu l’as amplement mérité ! Soudain, la porte de la cabine juste à côté de moi s’ouvrit, et en sortirent Nathan, un mec avec qui j’avais mangé plusieurs fois au self (il était membre de l’équipe de foot et très sympa) ; et Romane, une brune mince mais avec un gros cul et une grosse poitrine qui la rendaient hyper sexy. Et là, Nathan me vit la bite dure à l’air. -Maxence ! Petit pervers ! J’espère que tu t’es pas trop fatigué, car je te la conseille ! La meilleure pute du lycée, j’ai nommé Romane ! La pute attitrée de l’équipe de foot !! Dis-moi, toi aussi t’as envie de ramoner cette salope ?-Oh que oui, putain ! répondis-je.-Romane, c’est un ami, fais-lui plaisir !-OK mais il a intérêt de me faire jouir ! répondit-elle.-Je vais te faire jouir tellement fort que je serai la dernière personne à pouvoir te baiser tellement tu seras vidée !-Bon, je dois y aller, j’ai anglais, dit Nathan en partant. Bonne baise ! Et occupe-toi bien de lui, Salope ! je m’enfermai dans la cabine avec Romane. Elle avait du sperme qui commençait à sécher sur son visage et sur ses gros seins. Je mis ma tête dans ses seins énormes et lui dis : -Tu sais que te as les seins les plus énormes que j’ai jamais touchés ?-Profites-en, je suis ta pute, ton objet.Je commençai à lui lécher les tétons et à malaxer ses gigantesques nibards. -Putain ! Tu sais t’y prendre ! Fais de moi ta chose ! Elle se mit à gémir. Je continuai de lui pincer les tétons, ce qui la fit crier encore plus d’obscénités. Je pris ses cheveux et fis descendre sa tête au niveau de ma queue. -Ouvre, Salope ! Elle obéit tandis que je lui enfonçai avec force ma bite dure comme du béton dans la bouche en lui faisant une gorge profonde, la laissant respirer de temps à autres. -Maître, vous avez l’une des plus grosses queues du lycée ! me lança-t-elle avec un regard de salope. Elle prit ma bite et la lécha lentement, prenant son temps sur mon gland. J’étais à deux doigts de l’explosion. -Putain, tu suces bien ! Hum ! Tu lèches comme une vraie chienne !-Oh oui, maître ! Votre bite me fait énormément mouiller ! je la pris par les cheveux et lui baisai la bouche en profondeur. Cela dura pendant une minute très excitante, puis je lui dis : -Chienne ! Je vais m’occuper de ta chatte !-Oh oui, maître ! Faite-moi jouir plusieurs fois ! elle se mit sur les chiottes et écarta les jambes. Je me mis à genoux et mis ma main derrière ses jambes. Je me mis alors à lécher son clitoris ainsi que ses lèvres intimes. Sa chatte était trempée et dégoulinait le long de ses jambes. Quant à son cul, il était plein de sperme qui coulait lui-aussi sur son corps. -Ah, oui ! Continuez, maître ! cria-t-elle. Je vais jouir, Maître ! Ah ! Ah oui ! Maître ! Elle jouit et envoya des jets de mouille dans ma bouche. Suite à cela, je lui dis : -Allez, Salope ! Je vais te ramoner le cul !! Elle s’appuya sur les WC et écarta les jambes pendant que son cul dégoulinait de sperme et était grand ouvert. je mis ma bite dans son cul et la ramonai brutalement. La sensation de sperme autour de ma bite était agréable, surtout pendant que je l’enculais et malaxais ses tétons. -Oh oui ! Plus fort, maître ! Oui !-T’aimes ça, salope !-Oui ! Plus vite ! Plus vite ! je m’exécutais. -Que j’aime t’enculer profondément, salope de chienne ! -J’aime votre énorme bite, maître ! Encore ! Encore plus ! Oui ! -T’es une bonne salope ! -Une bonne chienne et une grosse salope ! Ah! Oh oui ! Là, je compris qu’elle avait joui, ses jets de mouille redécorant la cabine. Je m’assis sur les WC et elle s’empala sur moi pendant que je lui léchai les tétons. -Mes seins vous plaisent, maître ? Hum ! -Oh oui, salope ! Ils sont délicieux ! Elle baisa, s’empalant sur mon gros engin alors que je visitais chaque recoin de ses seins avec ma langue pendant encore quelques minutes. Puis elle jouit à nouveau sur mon corps désormais recouvert de mouille. -Maître, personne ne m’avait encore fait autant jouir ! je vous accorde un privilège : terminez dans ma chatte ! Je la portai avec les bras, la plaquai dos au mur, mis ma queue dans sa chatte pleine de mouille et la pénétrai bestialement. Elle poussa des hurlements d’excitation. Sa chatte était agréable, chaude et trempée. -Je vais bientôt jouir, salope !-Oh oui ! Remplissez-moi la chatte ! Ah ! Elle jouit encore, sa mouille coulant sur ses jambes et sur mes boules. C’en était trop pour moi, je lâchai la purée qui remplit sa chatte. -Tu a été une bonne chienne ! Nettoie ma bite ! elle s’exécuta et me lécha la bite. Je lui donnai une dernière caresse sur les seins. J’étais complètement vidé ! Cette baise allait rester dans mes souvenirs.
Après cet événement, j’étais toujours amoureux d’Andréa mais étais retourné voir Romane. Je devins même bon ami avec Nathan.
Trois semaines plus tard, Nathan m’invita chez lui. J’appris que la maison d’Andréa était visible depuis la terrasse au troisième étage. Pendant que ses étaient partis, je me rendis chez lui. Nous jouions au jeu vidéo, passions du bon temps, quand tout à coup, en bas, je vis Andréa et….
FIN
Dites-moi dans les commentaires quel personnage vous avez envie de découvrir lors d’un chapitre. Cependant ce doit être un garçon (Maxence et Nathan ne comptent pas, une histoire est prévue pour chacun).
