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Ma meilleure amie.

Chapitre 1

Incroyable mais vrai.

Hétéro
Cette histoire mélange fiction et réalité, les prénoms ont été modifiés pour plus de discrétion.Je m’appelle Théo, j’ai 22 ans lorsque cette histoire m’est arrivée. Je suis un grand brun, un peu geek mais pas moche.Loin de là. Je n’ai eu jusqu’alors de relations sexuelles qu’avec deux filles de mon lycée, dont une qui m’a appris pas mal de choses, si vous voyez ce que je veux dire. Je fais des études dans la grande ville de ma région et les week-ends, on rentre au bercail, dans nos belles montagnes.
Avant de vous conter mon histoire, il faut que je vous parle de ma meilleure pote: Caroline. On s’est connu au lycée, en seconde, ça l’a tout de suite fait entre nous. Nous sommes devenus très vite inséparables et nous n’avions que peu de secret l’un pour l’autre. Caroline ? Une magnifique petite brune, sportive (un cul à damner un saint), issue d’une famille aisée du coin. Physiquement, c’était une bombe, tous les garçons du bahut auraient aimé se la faire. Caro pouvait parfois paraître hautaine mais ce n’était pas le cas, c’était un amour. Moi ? C’était ma pote, je ne l’avais pas regardée autrement que comme une frangine, mais plus pour très longtemps...
Nous étions donc à la Fac et bien souvent, on se voyait le week-end avec nos potes dans nos montagnes natales. Et ce fut le cas ce week-end-là: Anniversaire de Julie, une de nos amies en commun, elle habitait une belle maison dans un petit village non loin de nos domiciles respectifs. Julie était une grande blonde, une belle femme en devenir mais absolument pas mon genre. Mon pote Luc, par contre, il la trouvait à son goût et cela tombait bien, puisque lui qui n’était pas de chez nous mais de la ville, était invité aussi. Le hasard avait voulu qu’il se retrouve dans la même promo que Julie. J’avais connu Luc sur les bancs de la fac, en première année, mais il avait changé d’orientation l’année suivante.
Rendez-vous est pris le samedi soir 20h. Est présente à la fiesta, une vingtaine de personnes. De mes amis proches, il y a Caroline évidemment, Luc, Paul (un pote d’enfance) et Noémie en couple depuis cinq ans (blonde, les cheveux courts, un regard de folie mais pas trop mon genre non plus) et bien sûr l’hôte du soir, Julie. Les autres sont des connaissances pour moi, rien de plus.
Les filles sont habillées classe: robes, talons, collants (en réalité des bas autofixants, j’allais très vite m’en rendre compte). Seule Noémie est plus soft comme à son habitude Jean, Tee-shirt... Caroline est radieuse, je suis assis à côté d’elle au repas et effectivement, ce sont des bas, je peux apercevoir les motifs en haut de ses cuisses lorsqu’elle est assise.
— Dis donc Caro, t’as sorti le grand jeu ce soir, lui dis-je en montrant ses cuisses. Tu comptes impressionner qui ? — Personne mon chou, par contre je ne t’ai pas dit, au travail aujourd’hui, j’ai rencontré un mec, je vais sûrement le revoir demain.— S’appelle comment le bougre ?— Emilien.— C’est un prénom ça ?— T’es con, dit-elle en rigolant.
Caroline travaillait effectivement les week-ends dans une station de ski non loin de chez nous. Elle me raconta qu’ils avaient bien accroché et qu’ils étaient en vacances quelques jours dans le coin. Je n’étais pas jaloux, loin de là, on avait l’habitude de se raconter nos petites histoires. Je lui avais seulement caché une relation que j’avais eue avec sa colocataire, car elles ne pouvaient désormais plus s’encadrer.
La soirée bat son plein, alcool, nourriture, discussions WTF et entre mecs, discussion meufs. Luc était à fond sur Julie et comptait bien conclure ce soir. C’est vrai que ce soir, elle était excitante la blondasse, les bas noirs, les talons, le maquillage et tout le tralala. On était tous un peu alcoolisé, filles comme garçons, sauf Caro qui travaillait tôt le lendemain donc. Les heures défilent et vers deux heures du matin, il ne reste plus grand monde. Paul végète sur un canapé, Noémie veille au grain mais je vois bien qu’elle est raide également, ses yeux brillent et elle rit pour rien. Luc a disparu et Julie également, on en rigole avec Caroline, s’imaginant ce qu’ils sont en train de faire.
— Depuis le temps qu’il veut se la faire, dis-je.— Elle m’en a parlé, elle le trouve à croquer, et comme elle est célibataire désormais...
— Ouais, en gros, ils sont partis baiser.— Eh bien, je le pense aussi mon cher.— C’est une cochonne Julie ? Je ne sais pas ce qui m’a pris de demander ça mais c’était trop tard. — Dis donc mon salaud, j’en sais rien et tu ne sauras pas ! Sauf si tu demandes à ton pote !— Genre elle ne te parle jamais, vous êtes toujours fourrées ensemble !— Tu ne sauras rien mon cochon ! Bon, il est tard, je me lève demain je te rappelle. J’y go !— J’t’accompagne jusqu’à ta voiture.— J’y compte bien mon chou.
Elle prit ses affaires et nous nous sommes dirigés vers sa voiture garée à une vingtaine de mètres devant la maison, derrière la haie. Je la suivais, et l’alcool aidant, je matais son petit cul rebondi, ses jambes montées sur des talons compensés. Je matais ma meilleure pote. Parler de cul avec mes potes et elle toute la soirée m’avait excité. Et je savais que Caroline aimait le sexe, elle me racontait tout, je savais qu’elle adorait la sodomie par exemple mais qu’elle n’appréciait pas tant que ça les pipes et n’avalait pas. A ce moment, je ne pensais plus qu’à son petit cul qui se trimbalait devant moi, ce qu’elle était bandante.
Arrivés à sa voiture, elle s’assit place conducteur et ouvrit la vitre pour qu’on papote quelques secondes et que je puisse lui dire au revoir. Je me penchai sur le rebord de la fenêtre. Première chose qui me sauta aux yeux, sa robe, du fait de la position remontait très haut sur ses cuisses. Je pus admirer sa lingerie avec encore plus de facilité qu’au repas. Voyant mon regard se figer sur ses jambes, elle me lança:
— Ca va je te dérange pas ?!
Je ne sais pas ce qui m’a pris de dire ça mais je lui répondis:
— Non ça va, je suis bien là, t’as mis quoi comme sous-vêtements avec ça ?
Et je posai ma main sur ses cuisses.
Aucune réaction de sa part. J’étais sur le cul. Je pris confiance et remonte ma main jusqu’à ce que je puisse voir son mini-string en dentelle. Putain, l’attirail que tu nous as sorti ! C’est pour ton connard de demain qu’il fallait mettre ça.
— Ca te plaît ? Dit-elle.
Cette phrase eut raison de m’achever. Je pensais me prendre une gifle et au lieu de ça, elle me fixait avec son visage d’ange en faisant un sourire de petite chienne en chaleur. Je sentis tout à coup une main caresser mon entrejambe. Ma queue me faisait mal tellement je bandais. Je passai ma main dans ses cheveux et attirai autoritairement son visage vers le mien pour une pelle endiablée. Sa bouche de suceuse était exquise. On restait dans cette position trois-quatre minutes, elle qui me caressait à travers le jean, moi qui lui caressais les cuisses et à travers son string. C’en fut trop, je me reculai et sortis ma bite. Un bel engin de 20 centimètres, bien épais. Je pris ses cheveux, elle comprit tout de suite et ouvrit la bouche. Elle qui pourtant n’était pas friant de ce genre de chose. Je m’engouffrai à l’intérieur sans me retenir. Commença alors une pipe du tonnerre, elle alternait léchage de gland et gorge profonde. Elle savait y faire, la salope pensai-je.
— T’aimes pas les pipes ? Tu te fous de moi. Continue, vas-y... Ahhhrggg, putain ma petite chienne.
Je ne la laissai pas répondre. On entendait les bruits de succions. De la bave coulait de sa bouche. J’étais en train de me faire sucer par la plus belle meuf de la vallée. J’vais faire de toi mon sac à foutre Caroline ! T’as compris ?
— Elle me fit signe de la tête que oui elle avait compris.
Après quelques minutes de ce traitement, je sortis ma queue et décidai de gicler sur son visage et ses fringues. Je voulais la souiller. Elle me sourit et je partis dans un orgasme de folie en branlant à quelques centimètres de sa bouille d’ange. Elle était plein de foutre et de bave. Je n’en revenais pas... Moi le mec sympa, le bon pote, je venais de me faire pomper par ma meilleure amie. Je lui avais littéralement baisé sa grande bouche. La quantité de sperme était énorme, je n’avais pas baisé depuis un bail, et je ne m’étais pas non plus masturbé depuis longtemps.Nous nous sommes quittés sans un mot. Je lui ai souris et timidement, elle aussi. Je l’ai embrassé sur la tête et elle a démarré.
Il était clair que je la voulais pour moi seul désormais. Je rentrai me poser sur le canapé du salon en repensant à ce qui venait de se passer. Plus personne à l’horizon. Bizarre. Je pris mon téléphone, il fallait que je lui dise quelque chose, mais quoi ? C’est elle qui fit le premier pas.
— Bien rentré mon chou. Je ne réalise pas ce qu’il vient de se passer.— Moi non plus ma belle. Je regrette.— Vraiment ?!
Je pris alors mon courage à deux mains :
— Je regrette de ne pas t’avoir prise sur les sièges arrière de ta voiture plutôt que de me contenter d’une pipe.— Oh mon salaud, arrête je suis en nage...— Ton mec demain, tu oublies. En sortant du travail, tu viens chez moi. Caroline, tu es à moi maintenant.— Oui...— Dors bien, je sais que tu aimes être dominée, tu vas être servie.— Bonne nuit mon chou. PS: quelle belle queue tu as.
Je posai mon téléphone. POUAH quelle soirée. Tout était banal jusqu’à cette putain de pipe. Trois ans que je vivais à côté de cette bombe, et j’étais juste son pote ?! Mais quel con ! Rien que de repenser à ses cuisses gainées et à sa lingerie noire, je rebandai comme un fou. Moment que choisit Noémie pour apparaître dans la pièce.
— Putain t’étais où? J’te cherchais pour monter Paul au lit ! Il ne tient plus debout !— Ah merde désolé, je raccompagnais Caro à sa bagnole.— T’en as mis du temps.— Ouais, on a papoté.
Noémie s’était assise à côté de moi et posa sa main sur ma cuisse.
— Ola qu’est –ce que tu fous !— Tu papotais hein ? Fourrer sa queue dans la bouche, j’appelle pas ça papoter ! Comme je te disais je t’ai cherché pour mettre Paul au lit. J’ai tout vu. Sa main avait atteint ma queue et me la malaxait.— Putain mais Noèmie enlève ta main. (En réalité je voulais qu’elle continue mais c’était un baroud d’honneur, c’était la copine d’un de mes meilleurs potes quand même). C’est quoi de cette soirée ?!— Tu m’as excitée mon salaud avec ta belle bite, maintenant étant donné que Paul n’est pas en état de me baiser, tu vas assumer.— Non Noèmie... on ne peut pas.
Elle se mit debout et jeta ses fringues à travers la pièce. Elle avait de petits seins appétissants, un beau petit cul. Ses pieds étaient terriblement sexy... J’adorais les pieds des filles depuis que Marie-Laure, ma première fois, ma première sex-friend, m’avait branlé avec les siens. Je bandais comme un taureau, la soirée m’avait trop excité pour me contenter d’une pipe, aussi magnifique fut-elle. Je cédai, sortis ma queue.
— Une belle bite comme je les aime.— T’es vachement plus timide d’habitude ma cocotte.— J’te l’ai dit, tu m’as faite mouiller gros connard.— Paul te baise bien ?— Oui, il est monté comme un âne, un peu comme toi. Elle s’assit à côté de moi alors que je me branlai. Je pris ses pieds et les mis autour de ma queue pour qu’elle prenne le relais. — Alors comme ça tu aimes les panards ?— Ouais, et si ça te pose un problème, tu vas te trouver une autre bite pour ce soir.— Non mais je ne sais pas m’y prendre.— Tu fais ça très bien, vas-y, continue. Putain j’vais bien te sauter toi, foutu pour foutu ! T’as intérêt à ce que Paul n’en sache rien.
Tout en me branlant avec ses petits pieds sexy, que je portai à ma bouche pour les sucer de temps en temps, Noèmie se caressait frénétiquement le clito et s’enfonçait des doigts de temps en temps... Je ne l’avais jamais vue aussi libérée, elle la fille timide à souhait. Ses gémissements m’excitaient encore plus et sa branlette me rendait fou.
— Arrête putain je vais venir. Tu veux baiser ?— Non non, j’veux faire un tennis !— Tu m’as pas compris. Si tu veux ma queue, j’te la mets dans le cul petite pute.— Non, Paul ne me l’a met pas.— Justement, moi je veux ton cul alors tu te mets à quatre pattes le cul en l’air. Ne t’inquiète pas, j’vais bien te bouffer la rondelle avant, et tu vas kiffer.— Salaud, je suis trop excitée pour te dire non. Vas-y doucement !
Elle se mit en position et moi derrière, je commençai par lécher sa petite chatte dégoulinante, un régal. Puis dirigeai ma langue vers sa raie.
— Aaaaahhhh oui putain mon salaud. C’est bon !!!! Oui comme ça !!!! Putain mon salaud.— Tu aimes ma langue comme ça ? Sur ton trou du cul ?!— Oui !!! T’arrêtes pas !!!!— Alors, tu vas me promettre que Paul pourra t’enculer à partir d’aujourd’hui !— Connard !!!! Putainnnnnnn... C’est d’accord ! Ouuuuuhhhhhhh.— C’est bien ma salope.
Dans ma tromperie, il fallait bien que je laisse un petit quelque chose à mon poto !
— Allez, je vais te la mettre maintenant. Je crachai sur sa raie déjà bien ouverte. Caresse-toi la chatte en même temps et détends-toi.
Je plaçai ma queue à l’entrée de son trou et poussai tout doucement.
— Ouhhh putain c’est gros, doucement.— Tu m’excites Noèmie. Centimètre par centimètre tu vas me sentir en toi et prendre ton pied !— OUHHHHHHH.
Je finis par entrer entièrement en elle. Elle avait le visage contre le canapé, sa respiration était rapide et saccadée. Je commençai les va-et-vient...
— Aaaaaaahahhhhhhh putain tu me défonces mon salaud !— Tu aimes ça ?— OH PUTAIN OUIIIIII.— Ca t’a excité de voir Caroline me pomper salope ??— Ouiiiiii, qu’elle chienne celle là!
Je lui mis une grande claque sur les fesses.
— La chienne ici c’est toi, tiens, prends ça !
Je la pilonnai sans retenue en la tenant par la taille. Elle gémissait de plus belle, je dus mettre ma main sur sa bouche pour ne pas réveiller toute la baraque et ralentir la cadence. Mais de toute façon je n’allais pas tenir encore très longtemps. Quelques secondes plus tard, elle partit dans un orgasme foudroyant, et inonda le canapé. Je n’avais jamais vu ça (normal étant donné mon peu d’expérience). Je sortis ma queue et me mis à lécher sa mouille qui dégoulinait le long de ses cuisses, elle tremblait comme une feuille et mit quelques minutes à s’en remettre.
— Tu as bon goût ma belle. Maintenant à quatre pattes, tu vas me goûter aussi.
Elle s’exécuta, pourtant je savais qu’elle n’aimait pas avaler, Paul me l’avait dit.Je me branlai et je ne mis que quelques secondes avant d’exploser.
— Oh putain ma salope, avale-moi ça !!!!— Oui viens mon beau !! Viens !.
Deuxième éjaculation de la soirée, deuxième raz de marée de foutre. Elle déglutit plusieurs fois en me regardant dans les yeux. Elle en avait aussi sur la poitrine et le visage. Je me délectai de cette vue. On s’affala dans le canapé après s’être rhabillé.
— Putain c’était quoi cette soirée, lui dis-je.— J’en sais rien, je crois qu’on a trop bu surtout.— T’es une sacrée petite pute quand t’as bu toi, j’te savais pas comme ça.— J’ai honte... Mais j’ai pris un pied d’enfer...— Moi aussi. Pas un mot sur tout ce que tu as vu ou fait !— T’inquiète pas !— Allez, je rentre.
Et je partis à pied chez moi. Ma vie venait de prendre un tout autre tournant et ce n’était pas pour me déplaire. Ce que je ne savais pas, c’est que c’était seulement le commencement.La suite, si ça vous a plu. C’est ma première, soyez indulgents ! Merci :-)
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