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Ma meilleure amie Catarina et le lycée

Chapitre 8

Erotique
Salut à tous, désolé du retard ^^’Bon pour pas être décalé par rapport aux chapitres du site on va dire que ce chapitre est le 8 et que donc la deuxiéme partie du 6 était en fait le 7, vous me suivez ?Bonne lecture :)

Chapitre 8 : Petit boulot

Deux semaines sont passées depuis la soirée chez Enzo. Cette soirée a modifié ma relation avec Alice et Caterina. La première a cessé d’essayer de me séduire, elle est plutôt froide et semble contenir sa colère quand je lui parle. J’ai du mal à comprendre pourquoi. Caterina elle...c’est une autre paire de manche, elle a changé, elle est devenue plus sûr d’elle, même si elle est toujours naïve.Elle est également plus...séductrice avec les mecs, avant Antoine semblait être le chat et elle la souris maintenant on dirait qu’elle n’est plus la souris mais la maîtresse du chat, passant son temps à le faire tourner en bourrique, mais pas que lui, elle fait ça avec les autres mecs également. Quant à moi...elle semble m’esquiver comme si elle était gênée par quelque chose, quand elle croise mon regard elle se met à rougir et tourne la tête. J’ai l’impression que la scène qu’elle a surprise l’a marqué.
Bref on est lundi, j’ai 3 heures pour manger, d’habitude je serais aller chez Caterina mais vu comme elle est distante en ce moment...Quoique...je vais l’appeler il serait temps que je règle le problème.Je compose son numéro et attend un moment.
— Euh...oui, Yanis ? Décroche Caterina.
— Salut ça va ?
— Oui et toi ? qu’est ce qu’il y’a ?
— Ba c’est pour savoir si on se voyait chez toi ? Je ramène à bouffer ?
— Euh non j’attend quelqu’un là...
— Ah bon qui ?

— Hum...un ami...
J’écourte la conversation et raccroche. Ah je vois, mademoiselle m’a remplacé. Ou bien c’est autre chose ?Je vais m’acheter à manger puis m’installe dans mon salon devant la télé. Je pense alors à Enzo, je ne lui ai pas parler depuis la soirée. Je lui envoie un message "Salut Enzo quoi de neuf depuis ta soirée ?"
Quelques minutes plus tard il me répond et on se met à discuter. Au bout d’un moment je lui envoie "T’as garder contact avec Caterina au fait ?" Il se passe une demi heure sans réponse puis je reçois. " Et comment ! En fait je vais te dire gros, avec elle faut pas y passer par quatre chemins faut prendre point, j’en ai profité pour lui apprendre deux trois trucs d’ailleurs".Choqué, je n’y passe pas par quatre chemins "Hein ? tu l’a baiser ?" une minute plus tard "Non mais...attend".Cinq minutes plus tard je reçois un fichier vidéo, daté d’il y a quelques minutes.
Je l’ouvre avec une légère appréhension...et merde. Sur la vidéo je reconnais immédiatement le salon de Caterina, Enzo est assis dans le canapé ou JE m’assoie d’habitude et Caterina est à genoux devant lui, les cheveux remontés en chignon en train de lui sucer la bite avec ses lèvres roses et brillantes, du pré-sperme et de la salive coulant dans son décolleté bandant. Les yeux fermés elle n’a pas conscience d’être filmée. Un message accompagne la vidéo "je l’ai pas déglingué mais ça ne saurait tarder, c’est une vraie nympho elle a des orgasmes ultras puissants et elle en veut encore, une genre d’hyper sensible quoi"La vidéo se termine et j’envoie un message furieux à Enzo "Pourquoi tu me montre ça ? Tu l’a montré à quelqu’un d’autre ?"Il m’envoie un message pour me rassurer mais il ne dissipe pas mon inquiétude. Déjà qu’il y a un tas de rumeur sur Caterina après le boucan qu’elle a fait chez lui...si cette vidéo se répand, sa réputation est terminée.

15 heures, cours d’espagnol, je suis dans le même groupe que Caterina et j’ai l’intention de profiter de ce cours pour lui parler. Quand elle arrive, elle va s’asseoir seule à l’opposé de la salle et elle est immédiatement rejoint par Antoine et ses potes qui prennent les places autour d’elle. Elle porte le même chignon et le même pull décolleté que dans la vidéo. Antoine et ses potes la reluque lourdement en enchaînant les blagues pourries auquel elle rigole pourtant.Le prof nous rappelle alors qu’il nous reste jusqu’à la rentrée après les vacances de février pour donner l’argent du voyage en Espagne qui est prévu pour bientôt. La cloche sonne, Caterina semble hésitante puis elle se lève et vient vers moi alors que je range mes affaires. Antoine tente de l’attraper par le bras pour lui dire de venir avec lui mais elle s’échappe d’un mouvement d’épaule en lui lançant un regard aguicheur et un ravissant sourire qui le convainc de la laisser partir.
Elle s’approche de moi en baissant les yeux.
— Hey Yanis...euh pour le voyage là je sais que toi aussi t’es à court d’argent pour venir, moi j’ai trouver un petit job dans un magasin de fringues pendant les vacances et je suis sûr que je peux convaincre le patron de te prendre aussi, ça t’intéresse ?
— Oui merci c’est sympa. Répond-je en cherchant son regard.
— OK ba je t’appelle, salut ! Dit-elle en s’en allant rapidement.

La semaine passe rapidement et les vacances commencent.Caterina m’a rappelé pour me dire qu’elle avait convaincu son patron de me prendre avec elle. On a rendez vous lundi à 14 heures devant le magasin. J’arrive devant le magasin, qui vend principalement des vêtements pour hommes, juste avant l’ouverture et rejoint Caterina qui me présente son patron, un cinquantenaire bedonnant et ses deux collèges, deux jeunes étudiants. Les 3 hommes font des pieds et des mains pour être gentils avec Caterina qui continue de jouer son jeu de jeune fille sotte et innocente pour se faire apprécier.
On entre dans le magasin et le patron nous envoie mettre l’uniforme dans le vestiaire. Pantalon en toile, chemise et cravate pour moi et jupe, chemisier et cravate pour Caterina...dont les vêtements sont trop petits. Au regards avides du patron et des collègues sur la poitrine de Caterina sur laquelle elle est incapable de refermer les boutons du haut, nous offrant ainsi une magnifique vision sur ses seins ronds dans son soutien gorge rouge et sur ses mappemondes moulés dans sa jupe, je comprend rapidement pourquoi on lui a donné un uniforme trop petit.
Le travail commence, j’alterne les moments à la caisse et les moments ou je range les vêtements, par chance je n’ai pas à conseiller les clients (surtout que je n’ai aucune expérience) parce que ceux ci se dirige automatiquement vers Caterina qui se fait un plaisir de guider les hommes aguichés et surexcités par la bombe lycéenne. A un moment alors qu’elle range des vêtements, Jeremy, un des étudiants s’approche d’elle et sous prétexte de l’aider à ranger les vêtements sur les étagères les plus hautes, plaque son bassin contre ses énormes fesses bombés sans aucune subtilité. Il se frotte à elle en posant les fringues et Caterina le remercie en papillonnant des yeux.
Quelques heures plus tard alors que Caterina et moi somme à la caisse, le patron vient nous voir.
— Caterina, je suis très satisfait de votre travail, continuez comme ça et n’oubliez pas de vous servir de vos charmes, une jolie jeune femme comme vous est un atout indéniable pour notre entreprise ! Déclare-t-il les yeux plongés dans l’échancrure de son chemisier.
— Oh merci, pas de problème, les clients sont charmants ! Répond-elle en riant.
A la pause café, on va dans l’arrière boutique et Jeremy se propose aussitôt pour masser les jolies épaules de la portugaise...je n’ai à aucun moment le temps de lui parler seul à seul.Le travail reprend et à un moment je surprend Caterina entre deux rayons en train de parler au téléphone...
— Je te manque ? hi hi mais on s’est vu tout à l’heure !.....Ah d’accord.......Oh c’est mignon ça Antoine....Oui si tu veux...
— Eh ! Je ne te paye pas pour batifoler au téléphone, Tonne la voix du patron.
Caterina rougit d’un coup et se confond en excuse en rangeant son téléphone. Le cinquantenaire au front constamment couvert d’un filme de sueur brillant se calme.
— OK, OK je passe l’éponge pour cette fois, allez file ! Dit-il à Caterina qui s’en va en baissant les yeux, quand elle passe devant lui il lui assène une petite tape sur les fesses et celle-ci s’enfuit sous le rire gras du gros pervers.

Fin de la journée de travail, je suis en train de ranger le bordel mit par les clients en sifflotant.Alors que je passe près d’une cabine d’essayage, j’entend des bruits étranges à l’intérieur. Je me fige...c’est la voix de Caterina !Elle pousse des gémissements et sa respiration est saccadée, je jette une coup d’œil à l’intérieur et...Je vois Caterina, penchée en avant, une main sur le miroir de la cabine et l’autre main sous sa jupe en train de se masturber !Ça alors, elle m’avait dit ne jamais l’avoir fait ! Elle continue à se caresser, la cravate dans la bouche pour ne pas crier, ses jambes gainées dans ses collants sont largement écartés et elle se regarde dans le miroir, les yeux dans le vague comme une chienne en chaleur. Sa croupe est tourné dans ma direction et je savoure la vision de son derrière cambré.
C’est à ce moment qu’elle tourne les yeux vers le reflet du rideau et...me voit. Caterina pousse un petit cri de surprise et se retourne d’un coup. Elle essaye de sortir de la cabine mais j’entre en trombe et la plaque contre le miroir une main sur sa bouche et l’autre en travers de ses seins, faisant sauter un énième bouton de son chemisier.
— Chut du calme ! désolé je voulais pas te...j’était pas en train de t’espionner, je viens de te voir ! Murmuré-je.
Je retire ma main de sa bouche et celle ci me repousse légèrement toujours tremblante d’excitation. Elle me dit que ce n’est pas grave puis se prépare à sortir mais je la bloque à nouveau.
— Attend faut qu’on parle ! T’es bizarre avec moi depuis un moment, c’est quoi le problème ?
— Je suis désolé, je sais qu’il faut qu’on en parle mais je trouvais jamais le temps ou...enfin bref, c’est juste que ça m’a choqué de te voir avec Alice...ce que vous avez fait. Tu me raconte jamais ce que tu fais avec d’autres filles donc pour moi c’est comme si tu n’avais pas vraiment de...enfin je te voyais pas vraiment comme un mec avec des besoins juste comme mon meilleur ami, et le fait que tu m’aies embrassé ET puis ce que t’as fait avec Alice...avant ça je croyais que....Balbutie-t-elle hésitante.
— Que quoi ? que j’aimais les bites comme Enzo ?
— Quoi ??? S’exclame-t-elle en écarquillant les yeux.
— Ah tu savais pas merde. Ton petit copain est bi. Répond-je avec un sourire sachant très bien qu’elle à l’esprit peu ouvert à cause de sa culture et son éducation.
— C’est pas mon petit copain ! On s’amuse juste et....oh merde il a déjà mit son...dans le trou d’un gars ?? il aurait pu me le dire ! et dire que je l’ai sucer 4 fois...Commence-t-elle avant de mettre la main sur sa bouche en se rendant compte de sa bourde.
— C’est bon du calme...je suis au courant...et je suis pas le seul d’ailleurs mais bref, depuis quand tu te masturbe ?
Caterina rougit de plus belle. Elle hésite, me regarde dans les yeux et face à mon regard bienveillant elle finit par se confier toute excitée.
— Non mais c’est que...depuis que j’ai eu mon premier orgasme, ba j’adore ça !! Et puis là toute l’après midi avec tout ces beaux mecs...je me suis sentie toute chaude et j’en pouvais plus...mais bon du coup j’ai pas pu finir. Finit-elle en me lançant un regard plein de reproche.
— Eh bien puisque Enzo n’est plus là...je peux t’aider. Répond je en m’enhardissant et en m’approchant d’elle.
— Euh attend ! je t’ai déjà dit que quand c’est toi...Commence-t-elle en posant sa main sur mon torse.
— Je te demande pas de m’épouser, juste de...comment tu dis déjà ? s’amuser. Continué-je en posant une main sur sa joue et en lui embrassant le cou.
Caterina ne répond plus, elle se remet à trembler puis se laisse aller contre moi en gémissant de bonheur. Elle glisse sa main vers sa jupe mais je la lui attrape. C’est à moi de faire ça. Je glisse ma main dans l’élastique de sa jupe puis caresse son abricot à travers sa culotte. Caterina pousse un râle et je recule pour voir son beau visage, ses grands yeux noisettes sont brillants d’excitation et elle esquive mon regard.Je fait des petits cercles avec mes doigts et elle plante enfin son regard dans le mien avant de m’embrasser. Je mordille ses lèvres pulpeuses en faisant passer ma main dans sa culotte. Je touche enfin son intimité...j’en rêve depuis nos 13 ans ! Elle mouille abondamment, inondant sa culotte. Je caresse très délicatement sa chatte, avant d’accélérez le rythme en lui introduisant mon majeur dans son vagin.Caterina se frotte contre moi et palpe mon pénis à travers mon pantalon. Mon index vient très vite rejoindre mon majeur et alors que je frotte l’intérieur de sa chatte avec des va et vient frénétiques, j’utilise mon pouce pour titiller son clitoris faisant des petits cercles autour. Je m’adapte au bruit de sa respiration et à ses contractions musculaires, cherchant le meilleur moyen de lui donner du plaisir.
— Oh putain Yanis continue, oui oui oui aahh.... Gémit-elle la bouche enfoncé dans mon cou.
— T’aime ça petite cochonne hein ? Mais n’oublie pas de me rendre la pareille.
Elle me lance un regard mi-coquin mi-timide et ouvre son chemisier d’un coup, dévoilant ses nichons de rêve dans son soutien gorge couleur sang et son ventre plat.
— Oui ben profite bien...ah...la je suis trop excité pour résister mais...hum...c’est la première fois et la dernière fois que tu me...Commence-t-elle avant que je l’interrompe en enfonçant ma langue dans sa bouche.
— Que je quoi ? T’es prête à aller plus loin ?
— Je pense que je suis prête, je te fais confiance...et cette fois j’en peux plus, c’est pas des doigts qui me combleront !
Elle m’embrasse de plus belle et je me met à lui malaxer les seins, ils sont chauds, fermes, moelleux et....waouh c’est l’extase !Elle frotte mon pantalon avec plus d’insistance et glisse sa main dans mon caleçon. Elle écarquille les yeux.
— Oh t’es déjà super dur dis donc. Et qu’est ce qu’elle est large, j’arriverais pas à mettre ça dans ma bouche... Déclare-t-elle en glissant par terre pour se mettre à genoux devant moi , pendant que je la tiens en laisse par sa cravate.
— Alice a très bien réussie elle. Maintenant montre moi un peu ce que t’as appris Enzo !
Caterina me regarde, une lueur de jalousie et d’agacement dans le regard et puis baisse les yeux, gênée (ou peut être est ce de la comédie ? avec elle je ne sais plus) et baisse mon pantalon, faisant jaillir ma bite comme un diable de sa boîte qui vient lui percuter la joue. Elle marque un temps d’arrêt.
— Ah ouais quand même, elle est bien plus grosse que celle d’Antoine, Daniel et Enzo la tienne ! S’exclame-t-elle la bouche grande ouverte.
Je suis sur le point d’enfoncer mon chibre au fond de la gorge de cette petite chienne quand ses propos atteignent mon cerveau et je repense au fait qu’Alice m’ait dit la même chose.
— Quoi ?? Attend toi aussi t’as vu la bite d’Antoine et Enzo ? c’est quoi ce délire ?
— Ah, Antoine me l’a envoyée en photo sois disant par "erreur" et c’est Alice qui avait mon téléphone dans la main... Et Daniel une fois à une soirée ou t’as pas pu venir a jouer avec nous au jeu de la bouteille et il a du nous la montrer...et nous nos seins ! mais comme il était bourré il a tout oublier le pauvre et on ne lui a jamais dit hi hi hi hi. Rit-elle pendant que, impatient je lui met des petites bifles avec mon gourdin sur les joues et le front alors qu’elle essaye de l’attraper avec sa bouche pulpeuse.
Ah ba putain, j’en ai raté des choses ! Je m’immobilise pour que Caterina puisse enfin gober ma queue. Je prend un temps pour l’observer, après toutes ces années la voilà à genoux dans une cabine d’essayage, diablement bandante avec sa jupe rouge, et son chemisier grand ouvert sur son corps parfait. Elle lève vers moi ses grand yeux qui habituellement remplis de joie et d’innocence ne sont plus que le regard emplie de vice et d’envie d’une salope affamée. Plus rien ne m’arrêtera, même si je ne la baise qu’une fois j’ai l’intention de la souiller entièrement, de profiter d’elle au maximum ! De la bourriner jusqu’à ce qu’elle soit entièrement mienne. Elle ouvre la bouche et je pose mon gland sur le bout de sa langue...
— YANIS VIENS ICI S’IL TE PLAIT !!! Appelle une voix depuis le magasin.
Putain de bordel de fiente.C’est pas vrai !
C’est un complot décidément ! Je recule en remontant mon pantalon pendant que Caterina pousse des petits couinements de gamine furieuse en tirant sur ma ceinture, les yeux fixés sur mon entrejambe.
— Putain Caterina lâche moi ! M’énervais-je.
— Mais j’en peux plus là j’ai besoin de me soulager...Maintenant ! Supplie-t-elle avec une moue implorante qui me fait presque céder.
— Je reviens tout de suite, et là je te défoncerais autant que tu veux maintenant lâche moi, je tiens à mon salaire bordel, M’écriais-je en me libérant et en sortant pendant qu’elle pousse un petit cri de frustration.
Je sors prestement de la cabine et me dirige vers la voix. J’aperçois alors le patron qui me fait signe depuis la porte de son bureau. Je trottine vers lui pour l’aider rapidement et aller sauter Caterina...j’ai hâte de la voir enfin nue.Je m’approche du patron, il est bizarre : tout rouge, en sueur, les yeux fuyants et ses veines palpitent.
— Yanis...hum...très bien, j’ai besoin que vous nettoyiez mon bureau. Et je dois verrouiller la porte derrière vous pour...euh...les courants d’air. Marmonne-t-il en me poussant à l’intérieur et en claquant la porte sans me laisser le temps de répondre.
— Mais !...Commencé-je
Bordel c’est quoi encore ce délire ? Il lui arrive quoi à lui ? Je cherche un moyen de sortir mais ne trouve rien. Je devrais peut être nettoyé comme il m’a dit puis je repense à son comportement étrange. Mes yeux se posent sur son ordinateur toujours allumé sur son bureau. Pris d’un doute, je me jette dessus et...je découvre que ce pervers a des caméras installés dans les cabines d’essayages !La plupart sont vides, dans l’une d’elle Caterina est assise sur le sol, les jambes écartés et continue à se caresser.Soudain dans une autre cabine je vois le patron surgir d’un coup avant de ressortir aussi vite, il refait la même chose dans une autre cabine comme s’il cherchait quelque chose. Et j’ai une petite idée de ce dont il s’agit.
Il entre soudain dans la cabine ou se trouve Caterina. Cette dernière se relève d’un coup. Je n’entend pas leur discussion puis je m’aperçois que je peux activer le son.
— ...Et moi qui pensais que vous seriez un atout pour notre entreprise, vous me décevez beaucoup ! Apostrophe-t-il Caterina en postillonnant mais son ton sonne faux.
Je n’ai jamais vu Caterina aussi gênée, elle se confond en excuses, les yeux fixés sur la pointe de ses pieds, essayant maladroitement de refermer son chemisier avec ses mains tremblantes. Le patron sourit, sadique puis commence à dire qu’il va la dénoncer à ses parents et la renvoyer. Elle a pendant quelques secondes les larmes aux yeux, puis son visage s’éclaire comme si elle avait une idée. Elle change alors d’attitude.
— Mais monsieur, vous savez les jeunes filles comme moi ont des pulsions, vous savez les hormones et tout ça...ça peut être notre petit secret, je travaillerais plus et mieux si vous voulez...Susurre-t-elle en essayant de prendre une voix séduisante (qui fait plus petite fille) avec une moue sexy.
Le cinquantenaire se calme et se tamponne son front suant avec un chiffon. Il dévore du regard la jolie portugaise et son pantalon est orné d’une petite bosse. Il s’approche d’elle, la repoussant contre le miroir avec son corps volumineux. Il pousse un petit rire puis lui caresse la joue alors qu’elle sourit encore, innocente.
— D’accord ma petite Caterina, excusez mon coup de colère. Et appelez moi René. Quant à vos petits problèmes d’hormones je peux sûrement vous aider...et ça restera notre petit secret. Surtout que ton copain est enfermé dans mon bureau, il ne va donc pas nous déranger... Lui dit le patron en descendant ses mains dans son cou. Puis en les posant sur ses seins lourds.
Caterina écarquille les yeux se rendant compte qu’elle a trop joué avec le feu. Elle ouvre la bouche pour protester mais tout ce qui sort de sa bouche est un gémissement car René a glisser sa main dans sa culotte. Il la plaque contre le miroir et enfonce sa tête entre ses seins, couvrant son cou délicat de sueur.
— Hum tu mouille déjà jeune fille, tu en as envie pas vrai ? Demande René, la voix étouffé par la poitrine avantageuse.
Caterina ne répond pas, honteuse, mais hoche légèrement la tête en écartant les cuisses. Le cinquantenaire pousse un grognement et la retourne, Caterina se retrouve contre le miroir, sa joue ronde et ses loches écrasés contre le miroir. Il lui arrache ensuite son chemisier, caressant son ventre athlétique, les yeux brillants de convoitise.Il recule d’un pas puis appuie sur les reins de Caterina pour la faire se cambrer le plus possible. Il attrape ses belles fesses galbées avec ses mains poilues et se met à les malaxer. Caterina tente de se retourner.
— Je devrais pas, vous pourriez être mon père...Dit-elle avec une petite voix.
Le patron hésite puis grogne en hochant la tête, il ouvre sa braguette dévoilant un petit pénis rabougri d’une dizaine de centimètres. Caterina le regarde, mi-moqueuse, mi-déçu.
— Un problème petite salope ?! S’énerve René en lui claquant les fesses.
— Non, non c’est juste qu’elle fait deux fois moins que celle de Yanis...Marmonne Caterina avant de regretter aussitôt lorsqu’il se plaque violemment contre elle, sa queue s’encastrant entre ses globes, que l’on voit parfaitement à travers sa jupe moulante, et son ventre bedonnant comblant parfaitement le creux entre les fesses et les omoplates de Caterina. Il baisse sa jupe en la doigtant. Caterina pousse un petit rire de plaisir et de soulagement. Soudain il s’interrompt et elle pousse un râle exaspéré. Il retourne Caterina face à lui.
— Mais c’est pas vrai ! Pourquoi vous arrêtez tous à chaque fois ?? S’exclame-t-elle.
— Ba c’est que je ne veux pas te violer non plus...alors on est d’accord que t’es bien consentante ? Sinon tu peux quitter la cabine...et aussi ton emploi, Rajoute-t-il avec un sourire sournois.
Caterina hésite, tiraillée entre le dégoût qu’elle éprouve pour lui et l’excitation qui la tourmente depuis tout à l’heure.Elle est en sueur, les cheveux décoiffés et tremble légèrement, je vois que ses collants sont tout mouillés. Elle soupire puis se met à genoux.Le patron sourit, victorieux.
Enfoiré.Je me lève d’un coup. Il m’a manipuler ! Comment ça a pu arriver ?!...Je dois sortir d’ici.Plus le choix. Je m’approche de la porte et met plusieurs coups d’épaules dedans, mais la serrure tient bon. C’est la seule sortie possible, désespéré je fouille la salle du regard cherchant une issue avant qu’il ne commence sa tâche et mes yeux se posent sur l’écran.
Trop tard.Caterina est à nouveau à genoux (pour changer) devant la bite de René. Ce dernier a enfiler un préservatif et tient Caterina par sa cravate comme une laisse (eh mais c’est mon idée ça !) Cette dernière suce son membre avec gourmandise comme une sucette. Le patron bande déjà dur et avec sa main libre il fouille le soutien gorge de Caterina en poussant des gloussements rauques hystériques.
Il a les yeux brillants et sue abondamment. Il s’excite soudain et attrape Caterina par les joues avant de lui enfoncer entièrement sa queue dans la bouche et de commencer une brutale gorge profonde...ou du moins une tentative.Car même si Caterina fronce son joli nez, incommodé par l’odeur de ses poils pubiens elle n’a pas l’air trop dérangée par le pénis dans sa bouche, levant même un regard interrogateur et étonné vers le cinquantenaire qui s’interrompt, surpris.Il sort sa bite tremblotante de son gosier.
— Ha ha qu’est ce qui t’arrive ? Tu ne t’attendais pas à aimer autant ma saucisse ?? Demande-t-il avec un rire gras.
— Non c’est juste que j’ai vu des vidéos et et la gorge profonde a l’air plus difficile à faire, d’habitude les filles bave et tout et tout...m’enfin c’est peut être parce que vous c’est plutôt un knacki hi hi...Commence Caterina.
Le patron devient soudain furieux, il attrape Caterina par le bras la relève puis la plaque contre le mur. Il grogne puis lui baisse sa jupe jusqu’au genoux dévoilant son extraordinaire croupe. Il tire sa culotte et place son pénis entre le tissu et la chair bronzée de la jeune fille. Puis il commence a se frotter contre elle, ses bourrelets débordants sur le derrière de Caterina m’empêchant de l’admirer à satiété. De là où est la caméra je peux toutefois voir les seins ronds de Caterina aplatis contre le mur et débordant de son soutien gorge, je peux même apercevoir la naissance d’un de ses tétons roses.
— Bien tu va voir ce que mon knacki peut faire à une petite vierge comme toi, S’exclame-t-il avec un brusque coup de rein.
Au bruit de clapotis et à l’air surpris de Caterina je comprend qu’il l’a pénétré !Il commence à donner des coups de reins en grognant énormément, faisant claquer sa graisse contre le corps pulpeux de la portugaise. Cette dernière a au début un air dubitatif n’ayant pas l’air de sentir grand chose puis semble commencer à prendre du plaisir, poussant des petits gémissement en glissant une main entre ses jambes.
— Hum...Plus fort ! Je sens rien ! S’écrie-t-elle avant de se taire en rougissant, honteuse.
Au bout de deux minutes, le cinquantenaire se met à jouir avec un rire pervers et un large sourire. Il se retire de Caterina.
— Quoi ? C’est déjà fini ?? Couine Caterina, dépitée.
— Ah, bon dieu j’ai l’impression de redevenir jeune ! Si on m’avait dit que je baiserais un tel corps...j’ai bien fait de t’engager petite catin ! Ta chatte était serrée...Commence-t-il avant de voir le visage de Caterina qui rougit. " Ah c’était bien ta première fois en plus ?? Excellent" Déclare-t-il avec un rire gras.
— Mais au final je n’ai même pas eu d’orgasme moi...Répond Caterina honteuse en se rhabillant les larmes aux yeux maintenant que son excitation est retombée.
Le patron sort avec un rire gras et Caterina remonte sa jupe.J’entend le patron tourner la clé dans la serrure mais je ne bouge pas. Il entre et s’arrête net en me voyant assis à son bureau. Il s’approche pour me dire de dégager quand il croise mon regard furieux.Je retourne l’ordinateur dans sa direction pour lui montrer les images. René blêmit et recule d’un pas, craignant que je ne le frappe, ce que j’ai profondément envie de faire. Mais je sais que la violence n’est pas toujours la solution. Mieux vaut la jouer fine.
— Astucieux votre système. Mais on ne peut pas en dire autant de votre plan. Vous pensiez pouvoir la baisez pendant que j’aurai été en train de nettoyer sans me douter de quoique ce soit ? Il aurait peut être fallu penser à éteindre l’ordi, Déclarais-je d’une voix sombre.
Le patron garde le silence, l’air perdu. Je décide de bluffer.
— Bon voilà ce qu’on va faire. J’ai mit tout ça sur clé USB et j’ai des photos donc bon, je pense que vous avez pas trop envie de finir au tribunal, pas vrai ? Alors voilà ce qu’on va faire, on va finir cette journée et vous nous enverrez un message pour nous prévenir que vous allez nous déplacer moi et Caterina dans un autre magasin de l’entreprise. Une fois les vacances finies on recevra notre salaire...plus le double, de votre poche. Si je ne reçois pas l’argent ou que je vois votre micro pénis traîner près de notre lieu de travail, je vais voir les flics. Suis-je clair ?
Le patron reste interdit puis hoche doucement la tête. Je me lève et sort en le bousculant.
Le reste de l’après midi est passé comme un éclair, Caterina est resté maussade et blasée tout le reste du temps ne m’adressant pas la parole ni à moi ni au patron et esquivant mon regard.J’hésite sur la marche à suivre, elle à l’air morte de honte et je n’ai pas envie de lui infliger l’humiliation supplémentaire de lui dire que j’ai vu toute la scène.A la fin de nos heures de travail, on sort du magasin et au moment ou je veux parler à Caterina, cette dernière court vers Antoine qui apparaît au bout de la rue.Ah c’est ça qu’il lui disait au téléphone.Voyant son air bouleversée, il la serre dans ses bras en me lançant un regard accusateur par dessus son épaule. Les deux s’en vont bras dessus bras dessous.Quel journée de merde. Bon au moins ça peut difficilement être pire pas vrai ?Il se met alors à pleuvoir.
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