Dix juin Deux mois se sont écoulés depuis notre décision d’avoir un enfant et entre temps Salomé a eu vingt ans. Mon accord a suscité chez elle une immense espérance et constitué une formidable source de motivation dans sa vie de tous les jours. Finalement je ne regrette pas ce choix et la voir à ce point heureuse me remplit de joie. Marion a vu juste : en lui donnant cette preuve d’amour, j’ai permis à nos liens, déjà très forts, de se renforcer encore. Nous savons que l’arrêt de la prise de la pilule ne permet pas à une femme de tomber immédiatement enceinte et qu’un certain laps de temps est nécessaire pour qu’elle redevienne féconde. Mais nous nous sommes armés de patience et nous faisons l’amour, notamment pendant sa période d’ovulation, avec jubilation et espoir. Ce soir, je rentre du travail fatigué et contrarié. Mon patron m’a mis la pression sous prétexte que je suis en retard sur mes objectifs. Il commence à me gonfler, celui-là ! Heureusement, ma compagne est là pour me remonter le moral et en plus elle a préparé un petit dîner sympa, en amoureux, avec bougies et fleurs sur la table. Dans mon assiette, je découvre un petit paquet enrubanné. — Ce n’est pas mon anniversaire…Dis-je avec étonnement. — Ouvre , tu verras ce que c’est. Je défais avec précaution l’emballage et soulève le couvercle de la boîte. À l’intérieur, je découvre une paire de minuscules chaussons blancs, en laine.— C’est pas vrai ?Je lève les yeux et croise son regard, brillant de bonheur.— Si !Je me précipite vers elle, la prends dans mes bras et l’embrasse passionnément.— Tu le sais depuis quand ?— Cet après-midi. J’avais dix jours de retard, mais je ne t’ai rien dit avant d’ être sûre. J’ai fait un test, et il est positif. On va avoir un bébé mon Seb ! Je suis trop heureuse ! Merci, merci, merci ! Cette nuit-là, nous faisons l’amour comme des fous, dans toutes les positions, de toutes les façons, jusqu’à être épuisés d’extase.Cette bonne nouvelle s’accompagne d’un autre motif de satisfaction : Marion et Salomé ont validé leur première année de fac. Pour fêter ça et nous reposer, j’ai loué à nouveau la maison de Hyères pour la première quinzaine de septembre. Marion et Maxime, Salomé et moi, pourrons profiter du cadre enchanteur de la vue sur la Méditerranée. Ce lieu est devenu un endroit spécial pour ma compagne et moi : c’est là où notre histoire a commencé. Nous sommes donc particulièrement impatients d’y retourner ! Avec sa grossesse, Salomé s’épanouit pleinement. La fierté se lit sur son visage, ses gestes s’adoucissent, son corps s’embellit encore. Ses seins magnifiques sont encore plus resplendissants et d’une sensibilité exacerbée. Les larges aréoles sont plus brunes, les mamelons ont grossi et sont plus rouges et granuleux. Je passe des heures à caresser, lécher, sucer ses merveilleuses mamelles. Quand elle est bien excitée, au moindre contact, les tétons s’embrasent et portent Salomé vers les sommets du plaisir. Je parviens souvent à lui faire atteindre l’orgasme juste en les stimulant. Ses désirs se sont également accrus. D’un tempérament déjà fougueux, elle est devenue, depuis le début de sa grossesse, une vraie bête de sexe. Ses envies la prennent à toutes heures du jour et de la nuit, dans toutes sortes d’endroits. À présent son vagin semble insatiable et se dilate à la moindre excitation…Heureusement qu’elle est en vacances universitaire et qu’elle a interrompu son activité au magasin de chaussures ! Quant à moi le télétravail me permet d’être souvent disponible pou elle et nous donne la possibilité de vivre des heures torrides pendant lesquelles nous enchaînons les moments de jouissance.
Samedi 1er Septembre. Ça y est, nous sommes à la maison de Hyères. Partis de Lyon tôt ce matin, Marion, qui vient de passer quinze jours chez sa mère, Salomé et moi avons tranquillement fait la route. Nous vidons le coffre de la voiture et installons nos affaires dans les chambres. Ma chérie et moi dans la suite parentale du haut, ma fille dans l’une des chambres du bas en attendant que Maxime arrive, un peu plus tard dans l’après-midi. Le copain de Marion ne viendra pas seul d’Aix en Provence: il m’a envoyé un coup de téléphone il y a deux jours pour me demander si sa sœur Pauline pouvait se joindre à nous, un voyage qu’elle avait prévu de faire avec des amis ayant été annulé à la dernière minute. — Pas de problème, Maxime. Il y a deux chambres en bas. Marion et toi vous pourrez occuper l’une, ta sœur la seconde.Il m’a informé, à cette occasion, qu’elle a vingt-trois ans et qu’elle vient de terminer un Master deux en commerce et droit du vin à Aix en Provence.— Alors elle pourra nous aider à choisir le vin ! Dis-je.— Ah ! Ah ! Ah ! À peine le déjeuner pris, ma compagne et ma fille se prélassent au bord de la piscine, en papotant. J’imagine que les garçons ne sont pas un sujet étranger à leur conversation ! Pour ma part je lézarde sur la terrasse en regardant la mer. Ce spectacle me plonge dans une profonde quiétude et me permet de réfléchir à l’avenir. Je suis très heureux de la venue de notre enfant, prévue pour fin février ou début mars. Le petit Aurélien, car c’est un garçon d’après l’échographie réalisée la semaine dernière, naîtra donc sous le signe des Poissons. Pour autant, ce bouleversement dans notre vie m’inquiète tout de même un peu. Parviendrons nous à mener de front nos vies professionnelles, de parents, de couple et même d’étudiante pour Salomé ? Je redoute que la fatigue causée par toutes ces activités ait un impact sur notre intense vie sexuelle… Un coup de klaxon retentit, Marion se précipite pour aller ouvrir la grille. La Golf de Maxime fait son entrée dans le jardin, puis les deux occupants sortent de la voiture. Ma fille se jette au cou de son copain tandis que sa sœur s’avance vers moi.— C’est sympa de m’avoir acceptée parmi vous ! Max m’avait dit que vous étiez cool et c’est bien vrai !Elle enlève ses lunettes de soleil et salue Salomé qui vient d’arriver.— Tu es la jeune femme qui attend un heureux événement, je suppose ?— C’est bien ça. Répond laconiquement Salomé.— Félicitations !— Merci. Je trouve le ton de ma compagne un peu froid. Je ne vois pas pourquoi, car Pauline n’est pas spécialement canon. Plutôt petite, moins de un mètre soixante, menue, cheveux châtains mi-longs, yeux noisette, lèvres fines, des petits seins pointus sous son tee-shirt blanc. Seul son joli postérieur galbé et manifestement ferme attire l’attention et fait saliver. Il doit être plutôt agréable à enculer. Une minette assez banale, en somme, ni belle ni moche. Salomé n’a a priori rien à craindre de la concurrence… Le frère et la sœur s’installent d’abord chacun dans sa chambre et nous rejoignent ensuite au bord de la piscine pour se rafraîchir en buvant un verre. Je lance la conversation, histoire de faire connaissance. — Tu es dans le commerce du vin, c’est ça, Pauline ?— Oui, exactement. Je viens de terminer mes études et j’ai été embauchée par le comité interprofessionnel des vins de Provence. Mon job consistera à faire la promotion des vins de la région aussi bien au niveau national qu’international. — Tu seras amenée à te déplacer beaucoup? Interroge Marion.— Oui, mais ça ne me gêne pas. Je n’ai pas d’attache. Je me contente de saisir les bonnes occasions où et quand elles se présentent…Je vois Salomé froncer les sourcils, mais elle ne dit rien. Pauline reprend :— Et toi Salomé, tu fais quoi dans la vie ? — Je passe en seconde année de marketing et ponctuellement je travaille dans un magasin de chaussures.— Ah ! OK…fait Pauline avec un petit sourire moqueur. Moi, les odeurs des pieds des clients, ça ne me plairait pas trop…Je vois ma compagne faire un effort pour ne pas rétorquer. J’interviens :— Ce n’est que très provisoire. Quand Salomé aura accouché, elle cherchera un autre job qui lui permettra de se mettre en télétravail. S’adressant à Marion, la sœur de Maxime enchaîne :— Et toi tu veux faire quoi, plus tard ?— Je poursuis des études de droit…peut-être avocate.— Super ! Comme ça si mon frère fait des conneries, tu pourras le défendre…Sa blague détend l’atmosphère. Contente d’elle, la jeune femme poursuit :— C’est génial comme endroit, ici. Le panorama est fabuleux. Mais par contre, zéro commerce dans le coin. Pour ça il faut aller à Hyères, c’est ça ?Je confirme :— Exactement. On fait les courses deux à trois fois par semaine. Le reste du temps on reste ici, c’est plus calme car il n’y a pas de touristes. Pauline demande : — Justement, à Hyères, vous ne connaîtriez pas une bonne esthéticienne ? Salomé ironise :— Tu as besoin de te refaire une beauté ?— Régulièrement je me fais épiler. L’intégrale. Je déteste avoir des poils sur la chatte… C’est mieux pour les cunnis ! Ajoute-t-elle en me souriant.Marion plonge son nez dans son verre, ce qui fait rire la sœur de Maxime. Cette dernière continue :— Je suppose qu’à Hyères il y a quelques boîtes sympas où on peut rencontrer des beaux mâles, bien virils…Saisissant la balle au bond, Salomé rétorque :— Oui, certainement ! Tu trouveras ton bonheur là-bas, car ici tu n’as aucune chance ; mon beau mâle bien viril adore les gros seins et les chattes poilues… Je me dépêche de changer de sujet :— Bon, les jeunes, au menu pour le dîner de ce soir : salade de tomates mozza, travers de porc au barbecue avec des chips, tarte aux pommes pour le dessert. Pour les amateurs de vin, sauf pour Salomé bien sûr, un petit rosé du coin. Ça vous va ?— Oui, oui, très bien ! Acquiescent-ils en chœur. Chacun s’égaille dans la maison en attendant le dîner. Moi, je commence les préparatifs du repas. Ma compagne me rejoint. — Quelle petite conne, cette Pauline ! Je ne la sens pas ! Elle a quelque chose dans le regard qui ne m’inspire pas. Et avec ses grands airs, là : « Moi les odeurs des pieds des clients, ça ne me plairait pas trop… »…elle préfère peut-être renifler l’haleine avinée des alcooliques ?— Calme toi ma chérie, je suis certain qu’elle n’a pas voulu te blesser…elle a parlé sans réfléchir. Finalement , le repas se déroule mieux que je le craignais, dans une ambiance détendue, à laquelle, sans doute, le rosé n’est pas étranger. Après un moment à paresser au bord de la piscine, fatigués du voyage, nous regagnons nos chambres respectives. Ce dimanche matin, nous faisons visiter Hyères et ses environs à Maxime et Pauline. L’ambiance est plutôt bonne et la tension entre Salomé et Pauline semble s’être apaisée. Pour déjeuner, nous nous arrêtons dans un petit restau sur la presqu’île de Giens. C’est un restaurant de fruits de mer avec une terrasse dont la vue donne sur la mer et d’où on peut apercevoir au loin l’île de Porquerolles . La vue est à couper le souffle, le menu est excellent et le service sympathique ; c’est l’avantage de venir en septembre, il y a moins de monde et les serveurs ne sont pas stressés. Nous passons vraiment un bon moment. L’après-midi nous nous baladons sur l’un des sentiers de randonnée de la Presqu’île. Main dans la main, Maxime et Marion marchent devant et discutent en ayant l’air de bien s’amuser. Salomé a accepté la présence de Pauline à nos côtés et elles se découvrent un intérêt commun pour les films de SF. Je suis soulagé. Si leurs relations pouvaient rester ainsi… Aujourd’hui mercredi matin, je prends mon petit déjeuner sur la terrasse. Salomé dort toujours après une nuit assez agitée, et les jeunes sont également encore au lit. Pauline me rejoint, se sert un café et s’assoit à côté de moi.— Alors, c’était comment ta sortie en boîte, hier soir ?— Nul. Du coup je suis rentrée à une heure du mat’. — Pourquoi c’était nul ?— Ben au niveau mecs, il y avait soit des jeunes boutonneux, visiblement sans la moindre expérience, soit des types un peu plus âgés mais plus ou moins maqués. Et puis ils veulent tous sortir avec des top models, même les types les plus moches…mais ils se prennent pour qui ? Qu’elle n’ait pas pu pécho ne m’étonne qu’à moitié, vu son physique plutôt quelconque. Elle continue, sur un ton acide :— Tout le monde ne peut pas être gaulée Salomé…Mais, au lit, il n’y a pas que ça qui compte. Moi, par exemple, je suis vicieuse…très vicieuse. Et les hommes, ils adorent ! Ajoute-t-elle avec un sourire lubrique à mon intention. Les uns après les autres, les trois autres arrivent. L’air maussade de Pauline plombe l’ambiance. Salomé interpelle Marion :— Je vais à la ville faire des courses, tout à l’heure. Tu viens avec moi ?— OK, ça marche.— Moi j’en profiterai pour préparer le déjeuner, dis-je. Carottes râpées, brandade de morue, fromage et salade de fruits. Ça vous va ?Un murmure d’approbation me répond. Un quart d’heure plus tard, les deux filles partent en voiture, pendant que Maxime et sa sœur piquent une tête dans la piscine. Pauline porte un maillot deux pièces rouge qui met peu en valeur ses petits seins mais qui, en revanche, donne un bel aperçu sur ses fesses rebondies. Je les observe quelques minutes puis rentre à la cuisine pour commencer à préparer tranquillement le repas. Nous devrons manger assez tôt car cet après-midi nous avons prévu une balade sur la côte. Soudain, il me semble entendre des bruits bizarres, en provenance des chambres du bas. En m’approchant, je me rends compte qu’ils viennent de la chambre de Pauline. La porte est fermée mais en y collant mon oreille, j’entends très distinctement ce qu’il s’y dit.— Vas-y mon petit frère chéri, suce moi bien la chatte…Tu l’aimes, hein, ma chatte ?— Oh oui ! Je l’adore. Elle est bonne ! Làààà ! Ta cyprine commence à couler ! Hummmm ! Que c’est bon !— Lèche, lèche bien ! N’en laisse pas une goutte ! Mon jus est meilleur que celui de cette nunuche de Marion, hein ?— Oui ! — Oui qui ?— Ma sœur chérie et adorée.— Bon, c’est bien…Allez, excite moi encore, doigte-moi bien fort…Oui, là, comme ça…encore plus profond…hummm, c’est bon…Mets-en trois…Aaaaah ! Lèche-moi le clito en même temps…Oh oui ! Oui ! Ouiii ! Oh là là ! Encore !— Je sens que tu viens…hein ma chérie ?— Oui, oui…je vais jouir…Aaaaah ! Un silence s’installe au cours duquel je n’entends que des halètements, puis la voix de Pauline reprend, dans un murmure :— Encule- moi, petit frère ! Mets-moi ta queue bien au fond !— Attends, ne bouge pas…là, elle rentre…tu la sens ?— Oui, oui…hummm, elle est bien dure là…Continue. Frotte, frotte fort…J’entends les claquements réguliers des cuisses de Maxime contre les fesses de sa sœur. Progressivement, ces coups s’accélèrent, deviennent plus bruyants. Parallèlement, les gémissements de Pauline montent en fréquence et en intensité. Pendant près d’un quart d’heure, j’assiste, derrière la porte, à la sodomisation de Pauline par son frère.— Il est bon mon cul, hein, petit frère ?— Oh oui ! C’est un régal ! — Je suis certaine que ta copine n’aime pas ça autant que moi…— Elle n’aime pas trop que je l’encule…— Alors vas-y, Max, fais toi plaisir avec ta grande sœur…Vas-y, gicle dans mon cul !— Aaaaah ! Je jouis, Hou là là ! Que c’est bon…— Humm ! J’adore ton jus bien chaud dans mon fion ! Je me retire discrètement, effaré par ce que je viens d’entendre et m’installe dans un fauteuil sur la terrasse pour réfléchir. Que faire ? Mon dieu que faire vis à vis de Marion: lui dire ou non?
L'auteur a prévu une suite à ce chapitre. Ajoutez cette histoire à vos favoris et soyez alerté de la sortie du prochain chapitre !