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La meilleure amie de ma mère et moi

Chapitre 3

Hétéro
La meilleure amie de ma mère et moi 3
Le lendemain de nos premières baises, il est presque 20h lorsque Stéphanie m’envoie un SMS pour me dire de me tenir prêt à ouvrir la porte. Elle ne veut décidément pas que quelqu’un la voie entrer chez mes parents. Je referme la porte et je n’ai que quelques secondes avant qu’elle ne se jette sur moi pour m’embrasser. Elle porte un débardeur jaune et une minijupe qui valorise son cul à merveille. D’ailleurs, tout en l’embrassant, je pose mes mains sur son cul. Normalement nous devons manger ensemble mais il est évident que nous voulons faire autre chose avant même si nous nous dirigeons vers la cuisine. Nous nous embrassons toujours, nos langues ne se quittent pas. Lorsque je m’assois sur une chaise de la cuisine, ma chemisette est déjà grande ouverte. Stéphanie s’assoit sur mes genoux. Ses cuisses entourent mon bassin. Dans cette position, sa minijupe a beaucoup remonté et je constate qu’elle ne porte rien dessous. Mes mains qui avaient commencé à faire descendre les bretelles de son débardeur sont immédiatement attirées par son minou. Je caresse ses cuisses puis je caresse son clito. De son côté, elle a posé ses lèvres dans mon cou et elle alterne entre embrassade et léchage. Elle mouille abondamment et comme elle ne porte pas de dessous, sa mouille coule directement sur mes cuisses. Elle continue de faire jouer ses lèvres sur mon corps. Elle est maintenant sur mon torse et elle descend de plus en plus bas. Pour accéder à ma bite, elle s’agenouille entre mes jambes. Elle enfonce lentement ma bite dans sa bouche. Elle la garde en elle et je sens sa langue qui se promène dessus. Puis elle me suce doucement. Evidemment, depuis hier elle n’a pas fait des progrès exceptionnels mais je sens qu’elle fait des efforts. Elle me branle doucement et me caresse les couilles avant de reprendre sa pipe.Après plusieurs minutes, je me lève. Mais elle n’est pas décidée à stopper sa pipe alors elle reste à genoux pour me pomper. Je la laisse faire un peu tout en caressant ses seins. Elle commence à avoir mal aux genoux, je la fais donc s’assoir sur une chaise et à mon tour, je viens me placer entre ses cuisses. Je lui fais un cunni. J’entends ses gémissements et cela m’excite énormément. Je place un doigt dans sa bouche puis j’utilise ce doigt pour titiller son petit trou. Depuis qu’il a reçu sa première bite la veille, il s’ouvre encore mieux. Tout en léchant sa chatte, j’enfonce donc un doigt dans son cul. Cela intensifie ses gémissements. J’ajoute un second doigt dans son cul et après plusieurs minutes de ce traitement, elle atteint l’orgasme. Je m’assois sur une chaise à côté d’elle. Je remarque qu’elle n’arrive pas à détacher son regard de ma bite qui est bien raide. Je prends sa main et la tire vers moi. Elle se place au-dessus de moi et elle se laisse lentement tomber sur ma bite. Je lui laisse le contrôle mais je constate avec plaisir qu’elle s’empale sur ma bite d’un seul coup. Elle passe ses bras autour de mon cou et elle accélère la cadence. Elle ondule langoureusement sur moi mais avec un bon rythme. C’est si bon est si excitant de sentir la chaleur de la chatte de la meilleure amie de sa mère dans la cuisine où tant de fois je l’ai maté pendant qu’elles discutaient. Nos bustes sont toujours l’un contre l’autre pendant que ma bite est en elle et que son cul se balance dans un magnifique mouvement. Elle a un second orgasme mais moi je n’ai toujours pas joui. Du fait de son orgasme, elle a cessé de bouger, elle reste contre moi avec ma bite en elle. Elle me dit :« — C’était génial. J’ai encore plus faim qu’en arrivant.— Tu as faim de nourriture ou de sexe ?— Les deux, mais maintenant que tu m’as bien baisé, je t’avoue que c’est plus de nourriture.— Et tu vas me laisser la bite toute raide ?— Oh c’est vrai. Excuse-moi je ne suis pas habituée à avoir un homme qui ne jouit pas au bout de deux secondes. Tu peux garder des forces pour après manger non ?— Ou alors je peux assaisonner ton assiette avec ma sauce spéciale !— Comment ça ? (Je l’oblige à se lever. Je lui sers son assiette et je me place devant.)— Viens secouer pour faire sortir la sauce !— Oh je viens de comprendre. »Elle se place derrière moi et elle attrape ma bite. Elle me branle avec frénésie. Je finis par cracher mon sperme dans son assiette. Je la regarde et je lui dis : « Bon appétit chérie ». Nous mangeons nus l’un en face de l’autre. Nous parlons de tout et de rien jusqu’au moment où Stéphanie me dit :« — Au fait, ta sauce est excellente !— Je sais tu n’es pas la première à me le dire.— En tout cas, plus nous baisons et moins je regrette de tromper mon mari.— Tant mieux alors.— Tu m’as fait découvrir tellement de choses et tu m’as donné tellement plus de plaisir que lui ! Mais il y a qu’un point où je ne me sens pas à l’aise.— Lequel ?— Les fellations. Je sens bien que je ne te satisfais pas vraiment.— Dis pas ça c’est tellement excitant de se faire pomper par la femme sur laquelle on fantasme depuis ses premières érections. Et j’ai senti que tu fais des efforts pour t’améliorer.
— Je t’avoue que j’ai regardé des pornos et que j’ai lu des sites qui donnent des conseils pour ça.— Tu n’as qu’à me demander. Je vais te conseiller. En plus avec moi tu pourras faire des travaux pratiques !— Oui c’est vrai.— On a qu’à aller dans ma chambre pour commencer alors.— Ok mon amour allons y. »Nous prenons donc la direction de ma chambre. En gentleman, je la laisse passer devant pour admirer son superbe cul (enfin pas vraiment, messieurs n’oubliez pas que vous devez passer devant ces dames dans les escaliers). Je m’allonge sur mon lit. Il fait maintenant assez sombre et le léger vent apporte un peu de fraicheur par les fenêtres ouvertes. Stéphanie se place au-dessus de ma bite. Puis elle commence à me branler tout doucement. Elle me regarde droit dans les yeux. Je comprends qu’elle attend que je lui donne des conseils. Je commence à lui en donner et je lui dis qu’elle ne pourra s’arrêter de sucer que lorsque j’aurai joui dans sa bouche.Elle me suce maintenant depuis 50 minutes. Elle a fait d’incroyables progrès. Elle est faite pour sucer mais elle avait besoin du déclic pour se lancer. Je me rends même compte qu’elle est capable de me faire une gorge profonde. Elle commence à avoir quelques crampes et je peux le comprendre. Mais l’orgasme arrive alors je ne la stoppe pas. Je profite de l’instant. Il y a plus de dix ans, je me branlais pendant des heures en imaginant ce qui est en train de se produire : Stéphanie me suce. Elle progresse d’aller-retour en aller-retour et finalement je lâche mon sperme dans sa bouche. Elle n’en perd pas une goutte. Elle me sourit mais je sens qu’elle est fatiguée. Elle se laisse tomber sur le côté. Je regarde son cul quelques instants puis je me colle contre elle. Ma bite frotte contre son cul. Je fais de légers mouvements et ma bite reprend rapidement de la vigueur contre entre son cul. Je pose mon gland contre son cul mais elle me dit qu’elle a encore un peu mal depuis son dépucelage d’hier. Elle a supporté mes doigts tout à l’heure mais elle ne se sent pas de nouveau prête pour accueillir ma bite.J’enfonce donc doucement ma bite dans sa chatte. Je passe un bras autour d’elle pour agripper ses seins. Je les caresse tout en la culbutant. Je la prends de plus en plus fort. Elle couine sans retenue. Je la saute un long moment. Elle a encore un orgasme et quelques minutes après, j’inonde sa chatte. Nous restons collés l’un à l’autre. Stéphanie est épuisée par notre baise. A tel point qu’elle me demande si elle peut rester dormir avec moi plutôt que de rentrer chez elle. Je la serre donc dans mes bras et nous nous endormons dans la position de la cuillère. Nous avons tellement bien dormi que c’est le réveil qui nous a réveillés le lendemain. Je n’ai donc même pas eu le temps de la baiser avant de partir bosser. Je l’embrasse une dernière fois avant qu’elle ne rentre chez elle. Elle me laisse donc, malgré elle, avec une trique énorme. Heureusement que j’ai une réunion avec Laureen en début de matinée !La journée est assez longue même si je passe du bon temps avec Laureen dans la matinée. Mais à part cette petite réunion privée, la journée est interminable. En plus, il fait une chaleur insupportable et comme je ne suis que prestataire dans cette entreprise, l’open-space où je suis n’est pas climatisé. 36 degrés dans le bureau ! Heureusement Stéphanie m’invite à la rejoindre chez elle dès que ma journée sera terminée, pour que l’on se baigne dans sa piscine. Cette première nouvelle me donne encore plus envie d’être ce soir, mais la photo que m’envoie Stéphanie en maillot de bain me donne encore plus envie d’y être. D’une pour me rafraichir et aussi et surtout pour baiser cette beauté.L’heure de partir est enfin arrivée. Je monte dans ma voiture et je vais directement chez Stéphanie. Le portail est déjà ouvert et elle le referme juste après le passage de ma voiture. Elle est en maillot de bain et toute mouillée. Elle se jette dans mes bras et m’embrasse. Je ne sais pas ce qui m’a fait le plus de bien entre le contact de ses lèvres ou le contact de son corps frais. Elle m’entraine vers la terrasse et sa piscine. Ce n’est pas une piscine creusée. C’est une hors-sol d’environ quatre mètres de diamètre. Mais cela suffit amplement pour se rafraichir. Stéphanie me sert à boire et se jette à l’eau pendant que je bois. Je me tourne vers la piscine et je réalise alors que je n’ai pas apporté de maillot. Stéphanie me dit que ce n’est pas un problème et quelques instants après, elle est nue dans la piscine et elle me jette son maillot. Je me déshabille donc et je la rejoins. Je descends l’échelle et j’entre dans l’eau. Cela me fait un bien fou. Puis je m’approche de Stéphanie et nous nous embrassons tendrement. Nous nous câlinons un peu puis je sens la main de Stéphanie qui attrape ma bite. Elle me branle doucement. Je caresse doucement son joli cul et sa chatte de l’autre main. Stéphanie me pousse vers l’échelle. Je comprends ce qu’elle veut faire. Je remonte alors quelques marches pour m’assoir dessus. Ainsi, ma bite n’est plus sous l’eau et Stéphanie peut me sucer. Elle engloutit ma bite et joue avec mes couilles. Elle a fait d’incroyables progrès depuis notre première fois. Elle me fait beaucoup de bien et pour la première fois, elle me donne du plaisir en me suçant sans que je ne lui donne aucun ordre. Elle s’active sur ma bite et moi je suis assis au-dessus d’elle. En plus j’ai une belle vue sur ses petits seins. Je sens le sperme arriver et finalement, je jouis sur le visage de la meilleure amie de ma mère. Elle en a partout, sur le front, les cheveux, le nez et la bouche. Je descends dans le bassin et je lui lèche le visage avant de l’embrasser pour qu’elle puisse boire mon sperme.Elle me demande de la prendre mais avant j’ai vraiment envie de lui bouffer la chatte. Je vois que c’est un plaisir auquel elle n’est pas encore habituée. Je la soulève et la dépose sur le rebord de la piscine. Sa chatte est hors de l’eau et je plonge ma tête entre ses cuisses. Pour ne pas basculer en arrière, elle se tient à mes épaules et à ma tête ce qui m’oblige à garder ma bouche contre sa vulve que je déguste. Quoi de mieux après avoir passé une journée dans un bureau à 36 degrés que d’être dans une piscine et de se désaltérer à la mouille de salope ? Elle commence à couiner et comme elle veut rester discrète vis-à-vis des voisins, elle se mord le doigt pour ne pas hurler. Elle me redemande de la prendre. Maintenant que sa chatte est détrempée (de mouille, pas d’eau qui n’aidera pas à la pénétration) je la tire dans la piscine. Elle tombe dedans puis je la plaque contre la paroi. Elle enroule ses jambes autour de ma taille et ma bite entre en elle. Nous sommes très excités et notre envie de baise fait que notre rapport est violent. Je la prends sans ménagement et elle adore ça. Comme nous sommes dans l’eau, je m’éloigne de la paroi. J’ai maintenant le superbe corps de Stéphanie totalement en appui sur moi. Je passe mes mains sous ses fesses et je reprends le pilonnage de sa chatte. J’en profite aussi pour lui bouffer les seins. Mais elle a de plus en plus de mal à ne pas hurler de plaisir et elle m’embrasse pour étouffer les cris. Comme mes mains sont sous ses fesses, j’en profite pour titiller son petit trou. Il s’ouvre bien et cette fois, Stéphanie semble prête à accueillir ma bite. Je la pose donc au sol. Elle prend appui sur le rebord de la piscine et me présente son cul. Je me place derrière elle et d’un coup sec, je m’enfonce entièrement en elle. Je l’encule sans ménagement. Les quelques premiers coups semblent lui faire un peu mal mais rapidement elle prend son pied. C’est tellement bon d’entendre le claquement de mon bassin contre son cul. Stéphanie n’arrive plus à contenir ses cris. Pour ne pas qu’elle alerte tout le quartier, je l’agrippe par les cheveux et je lui enfonce la tête sous l’eau. Je continu de la sauter et je la laisse respirer pour lui enfoncer à nouveau la tête sous l’eau. Je fais cela quelques fois mais comme elle n’est pas une championne d’apnée et que je ne veux pas la torturer, nous devons stopper la sodomie pour continuer de baiser sans que tout le quartier en profite.Malgré tout je veux toujours avoir une magnifique vue sur son cul. Elle reste donc en appui sur le bord de la piscine mais j’agrippe son bassin et je la soulève. Elle serre ses cuisses contre moi et m’entoure avec ses tibias. Je lui bourre la chatte dans cette position. Je suis collé à son superbe cul et les mouvements qu’il fait dans l’eau sont vraiment excitants. Je la culbute ainsi un bon moment avant de remplir sa chatte. Nous sommes dans l’eau depuis deux heures et maintenant que je viens de jouir, je ressens le froid. Elle est dans le même état donc nous sortons de la piscine. Nous restons nus et nous passons à table. Stéphanie me demande si je peux lui servir ma délicieuse sauce pour donner du gout à son plat. Je me lève et je me place derrière elle. Je frotte ma bite sur son épaule. Elle commence à durcir. Elle ne bouge pas mais elle prend ma bite avec sa main. Elle me branle tout en se caressant la chatte. Je lui caresse les épaules et les seins. L’envie de baiser nous prend et finalement, nous ne terminons pas le repas, nous baisons.Comme nous sommes dans la cuisine, elle ferme la fenêtre puis elle prend appui sur la table. Elle pose carrément son buste dessus. Ses jambes sont bien écartées et elle caresse son anus. Je comprends le message et je plante ma bite dans son cul. Elle pousse un hurlement de plaisir. Je ne me contrôle plus, je la prends violemment. Parfois la table avance un peu sous mes coups de bites. Stéphanie hurle et cela nous excite tous les deux. Je la démonte près d’un quart d’heure dans cette position puis j’attrape ses jambes pour les rabattre sur la table. La meilleure amie de ma mère est allongée sur le flan, les jambes sur le côté. J’ai donc toujours un superbe accès à son cul et je recommence à la sauter. Elle recommence donc à hurler de plaisir. Nos corps se percutent avec violence pour notre plus grand plaisir. Je veux toujours aller plus loin dans son cul et finalement je monte à genou sur la table. Elle se met en levrette et je l’encule à nouveau. Notre sodomie est bestiale. Il n’y a plus qu’une chose qui compte pour nous deux. Que je la bourre le plus fort et le plus vite possible sous ses gémissements hyper sonores. Je gicle dans son cul alors qu’elle vient d’avoir un autre orgasme. Elle se laisse tomber sur la table. Je m’allonge sur elle, je pose ma tête contre la sienne. Nous récupérons doucement. Elle me dit alors :« — Tu ne voudrais pas rester dormir avec moi ?— Si tu veux. Mais tu n’as pas peur de tes voisins ?— Ta voiture est dans la cour et personne ne t’a vu entrer alors non.— Ok alors je reste.— Merci mon chéri.— De rien, ça me fait plaisir.— Ca m’excite que tu dormes à la place de mon mari.— Je croyais que tu ne voulais pas que je te baise dans ton lit.— Tu ne feras que dormir dans mon lit !— Ah autant pour moi.— Alors allons-y. Tu m’as tué avec ta grosse bite. On a baisé plusieurs heures. C’est plus que mon mari dans toute sa vie ! »
Nous nous allongeons l’un contre l’autre dans son lit et nous nous endormons très vite. Encore une fois, c’est le réveil qui nous sort du sommeil et je dois me dépêcher pour aller travailler. Nous avons continué de nous voir et de dormir ensemble toute la semaine avant que son mari ne rentre le vendredi soir. Cela ne nous a évidemment pas empêchés de continuer à baiser dès que l’occasion s’est présentée. Je vous raconterai ça très bientôt.
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