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Mélanie, étudiante à Bordeaux

Chapitre 3

Trash
Quand elle arriva dans la cuisine, monsieur Lenoir était assis et mangeait des spaghetti couverts de fromage râpé. Il adressa un regard mauvais à la jeune fille et lui désigna la pendule.
— Je t’avais donné dix minutes ! Et ça en fait presque vingt. Tu dois aimer être punie, toi ! Tu as faim ?— Euh… Pas trop, non, Monsieur.— Attends ici, les mains dans le dos. Et je ne veux pas t’entendre. Je finis mon repas, puis tu recevras une bonne correction. Avec la ceinture : ça marquera ton cul, et tu te rappelleras que tu dois obéir.
Mélanie frémit mais n’osa pas répliquer. Elle attendit donc, la peur au ventre, regardant le colosse manger tranquillement. Ensuite, il remplit une assiette de pâtes et la posa sur le bord de la table.
— C’est pour toi ; tu les mangeras plus tard. Sans couverts, comme la chienne que tu es. En attendant, je vais te punir dans le salon. Tu as quelque chose à me dire ?— J’ai peur. Personne ne m’a jamais battue, et j’ai peur d’avoir trop mal.— Il fallait y penser avant. Tu as encore oublié de dire « Monsieur » ; tu es impolie.— Pardon, Monsieur.
Elle préféra arrêter de parler, de peur de partir en sanglots. Elle accompagna Lenoir dans le salon et retroussa sa chemise, exposant ses fesses fermes et musclées. Il la fit s’agenouiller devant la table basse et poser le torse sur le plateau. Elle frémit en le voyant sortir sa ceinture des passants du pantalon, une ceinture en cuir brun qu’il doubla et fit claquer. Il ne s’embarrassa pas de préliminaires ; posant une main au creux du dos de Mélanie, il abattit la ceinture sur le fessier offert. La petite blonde poussa un cri de détresse quand la douleur irradia de ses lombes. Elle tenta à se tortiller mais le colosse la maintint facilement en place.
— Non ! Arrêtez, s’il vous plaît ! Ça fait trop mal !— Tais-toi donc, je ne frappe pas bien fort. Tu veux voir ce que ça donne quand j’appuie vraiment les coups ? Alors ferme-la et ne bouge plus. Encore quatorze coups, mais si tu me déçois je double. Tu as compris ?— Oui… Oui, Monsieur, j’ai compris…
En réalité, Mélanie n’avait pas envie qu’il arrête, cette punition la plongeait dans un univers glauque de soumission qui rendait son bas-ventre liquide. Il poursuivit donc à frapper sans prêter attention aux cris de douleur qui échappaient à la jeune fille en pleurs. Les coups tombaient régulièrement, marquant les fesses et le haut des cuisses de longues ecchymoses virant au violacé, et ils augmentaient progressivement de puissance. Pourtant, Mélanie ne cherchait plus à échapper à la punition, se contentant de sangloter de plus belle jusqu’au dernier impact. Son tourmenteur passa deux doigts sur la vulve offerte et la trouva bien humide, signe que la blonde tirait du plaisir de la souffrance.
Il plongea profondément ses doigts en elle, lui arrachant de nouveaux gémissements qui teintèrent ses sanglots de honte.
— Alors comme ça, tu aimes bien être dominée, corrigée et forcée ?— Ce n’est pas vrai, vous m’avez fait trop mal. Laissez-moi, je vous en supplie.
— Décidément… Tu as oublié « Monsieur ». Tu veux que je recommence ?— Oh non, pitié ! Pardonnez-moi, Monsieur. Je ferai tout ce que vous voulez, mais ne me frappez plus, pas encore !— Bon, va contre le mur, à genoux, les cuisses ouvertes. Enlève ta chemise avant. Tu poses les mains croisées sur le sommet du crâne et tu te cambres ; je veux voir le plug et tes lèvres mouillées en dessous. Là, parfait.
Mélanie resta immobile malgré ses fesses en feu et ses genoux qui commençaient à regimber. Sa respiration se calma comme ses sanglots, et elle put enfin réfléchir à sa situation. Elle était arrivée ici moins de quatre heures plus tôt, chez cet homme qu’elle ne connaissait pas. Il lui avait acheté des vêtements de pute, l’avait sodomisée et battue. Et elle était encore ici, l’anus distendu par un plug, à attendre son bon vouloir. Elle ne protesta pas quand il passa derrière elle et s’accroupit pour plonger des doigts dans sa chatte dégoulinante puis les lui faire sucer. Elle ne protesta plus pas quand il l’insulta et l’humilia.
La blondinette sursauta quand le carillon de l’entrée retentit. Lenoir se leva et alla ouvrir ; elle l’entendit discuter avec un autre homme qui le suivit à l’intérieur. Affolée, elle trembla en comprenant que monsieur Lenoir et l’inconnu étaient derrière elle et la contemplaient.
— Voici ma nouvelle trouvaille, Freddy. C’est une petite étudiante désargentée qui loge chez moi. Je lui apprends à se comporter comme il faut. Lève-toi, petite pute ! Viens ici !
Mélanie se redressa en s’appuyant au mur car ses jambes étaient ankylosées. Craintive, elle se retourna et put découvrir le nouveau venu. C’était un homme au début de la cinquantaine, aussi grand que Lenoir mais moins costaud, les cheveux courts et frisés blonds virant au gris, de grands yeux bleus perçants sous des paupières lourdes de séducteur, une large bouche aux replis ironiques et cruels à la fois.
— Mélanie, je te présente Freddy Sirocco, mon meilleur ami. Freddy est rital, il a tourné dans plein de films pornos car c’est un queutard de première pourvu d’un engin king-size ! Freddy, voici Mélanie, la petite pute que tu vas pouvoir enculer autant que tu veux. Elle est en fac de Droit, et tu m’aideras à la dresser.
Mélanie baissa la tête, mortifiée. Pourtant, d’elle même, elle avait placé les mains dans son dos, s’exposant crûment aux deux hommes.
— Elle est bien gaulée, la gamine. Pas très grande, de jolis seins bien pleins, une gueule d’ange, pas de graisse superflue… constata le bellâtre. Tu fais du sport ?— J’ai arrêté la compétition, mais je faisais de la gym jusqu’au bac. Depuis, je m’entretiens et je fais du footing trois fois par semaine.— Parfait. Dommage que tu n’entretiennes pas ta touffe. La mode, aujourd’hui, c’est épilation bien propre et définitive.— Elle y va demain, Freddy, ne t’en fais pas.— Bien alors. Elle suce bien ? Gorge profonde ? Elle avale tout ?— Je sais pas encore, elle arrive. Je l’ai juste enculée. Elle apprendra, à coups de ceinture s’il le faut ; elle aime ça, même si elle dit le contraire.
Mélanie ouvrit la bouche pour protester puis se ravisa, sur un regard d’avertissement de monsieur Lenoir. Ils parlaient d’elle comme si elle n’était pas là, la ravalant au statut de bétail.
— Et sa chatte, comment elle est ? Étroite comme une pucelle, profonde ? Bien juteuse ?— Elle mouille comme une chienne et m’a parue étroite. Je l’ai juste enculée aujourd’hui. Mais d’ici quelques jours, on l’aura bien élargie. J’ai acheté une ceinture de chasteté portant deux godes, je la lui ferai porter quand elle ira à la fac, si elle y repart un jour. Et j’augmenterai le calibre au fur et à mesure. — Bonne idée, Arnaud ! Comme ça, elle se souviendra à chaque instant qu’elle est une pute et une soumise ! Au fait, elle a quel âge ? Pas trop vieille, j’espère.— Elle m’a dit qu’elle avait presque dix-neuf. Tu les auras quand ?— En juin, Monsieur. Le 23 juin.— Tu me rappelleras de fêter ça dignement. Je t’organiserai un gang-bang avec dix-neuf brutes vicieuses et bien membrées, sur un week-end. Cet anniversaire, tu ne l’oublieras jamais, d’autant que je ferai filmer tout ça.— Tu n’as pas soif, la pute ? demanda Freddy en ouvrant son pantalon. Viens téter ma bite, je verrai si tu es douée.
Le ventre noué par l’appréhension, Mélanie s’agenouilla devant l’Italien qui fit jaillir un braquemart gigantesque à la peau fine et rose, au tronc noueux parcouru de veines épaisses. Incertaine, elle se mordit la lèvre et leva des yeux implorants vers l’homme qui la dominait.
— Ouvre grand et suce ! Tu sais faire, non ?— Euh… Oui, j’ai déjà fait, répondit-elle, incertaine.
En vérité, elle répugnait à pratiquer des fellations et n’en avait prodiguées qu’en de rares occasions. Elle soupçonnait Kévin de l’avoir larguée parce qu’il avait trouvé une fille plus docile. Pour ce que ça lui avait servi de se refuser, se plaignit Mélanie ! Maintenant, elle était le jouet de ces deux hommes, et ils avaient l’intention de lui en faire voir de toutes les couleurs. Fataliste, elle ouvrit la bouche et Freddy s’engouffra aussitôt.
Elle tenta de sucer et lécher, mais elle eut un haut-le-cœur dès qu’il tenta de passer sa luette. Elle protesta mais il saisit sa nuque fermement et l’obligea à lever le visage vers lui. Se yeux bleu pâle plongèrent dans les siens et verrouillèrent son regard.
— Là, tu ne bouges plus, tu déglutis et tu me laisses faire. Tu vas avaler toute ma bite jusqu’aux couilles, c’est facile. Puis je me retirerai pour te laisser respirer. Cligne des yeux pour me dire que tu as compris… Bien !
Mélanie résista à ses pulsions de mordre, de vomir. En quelques secondes, toute la colonne de chair avait franchi ses lèvres qui s’écrasaient contre le pubis épilé. Quand il vit une veine battre sur la tempe de la jeune fille dont les yeux s’affolaient et le visage virait au rouge, il se retira complètement. Elle reprit son souffle, un filet de salive reliant ses lèvres au gland luisant. Puis d’elle-même, elle ouvrit la bouche pour recommencer.
Cette fois, alors qu’elle effectuait seule sa première gorge profonde, elle sentit que Lenoir lui enlevait le plug. Elle n’eut le temps de rien faire que déjà il le remplaçait par sa queue qu’il avait lubrifiée. Malgré tout, elle poussa un cri de détresse, son anus encore douloureux soudain distendu par ce volumineux intrus. Elle se tordit pour protester, mais une claque sèche sur ses fesses déjà bien marquées eut raison de sa rébellion.
— Tu vois, Freddy, elle est jeune et souple, et elle aime être dominée. Quelques claques, et elle se donne comme la dernière des salopes.— Eh oui, mon ami ! Tu as raison, c’est une bonne chienne. Tu me laisses son cul ? Viens te faire sucer !
Ils échangèrent rapidement leurs positions et Freddy sodomisa la blondinette sans coup férir. Il la pistonna en sortant complètement pour s’enfoncer à chaque fois de toute sa longueur, lui arrachant des râles étouffés par la grosse bite de Lenoir. Mélanie avait saisi les hanches de son suborneur et tentait tant bien que mal de limiter la pénétration de sa bouche. Quand celui-ci ressortait sa bite pour la laisser respirer, elle poussait des cris rauques accompagnant les vigoureux assauts dans ses reins.
Freddy ahanait et ruisselait de sueur sur le dos de la jeune fille dont il claquait en cadence les fesses meurtries, lui arrachant des gémissements plaintifs. Puis sur une dernière violente poussée, il se planta en rugissant et se vida dans le fondement distendu de Mélanie. Peu après, elle fut forcée de recevoir dans la bouche les rasades de semence crachées par la verge de Lenoir, semence qu’elle dut avaler en faisant la grimace.
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