Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 99 J'aime
  • 8 Commentaires

Mélanie, étudiante à Bordeaux

Chapitre 4

Trash
Epuisée, Mélanie se laissa glisser jusqu’à être en chien de fusil contre la table basse, respirant lourdement. Le visage rouge et souillé de salive, elle tenta de reprendre ses esprits. Ses fesses étaient particulièrement douloureuses, sa gorge comme son anus étaient très sensibles ; elle resta prostrée, se sentant trop fatiguée pour se lever et aller se doucher.
Les deux hommes s’étaient rhabillés ; assis dans des fauteuils, un verre à la main, ils regardaient un match de foot à la télé sans plus s’occuper d’elle. La jeune fille se releva en grimaçant et fila sans demander son reste. Après une douche revigorante, elle badigeonna ses fesses d’onguent apaisant puis s’enveloppa dans une serviette de bain pour revenir dans le séjour. Lenoir l’aperçut alors et entra dans une rage folle.
— Cette serviette n’est pas pour toi ! Petite salope, tu mériterais une nouvelle correction !— Pardon, Monsieur, je ne savais pas… Ne me battez pas, s’il vous plaît !— Tu dormiras dans la cave cette nuit. Avec la ceinture et les trous remplis, tu feras moins la maligne !
Mélanie avait tendu la serviette à Lenoir et pleurnichait, horrifiée par la punition qui se profilait. Les deux hommes ricanèrent et trinquèrent bruyamment, ravis de la déconfiture de la blondinette qui se courbait en se tordant les mains. Mais elle n’osa pas protester, préférant être humiliée et battue plutôt que de se rhabiller et de fuir cette maison.
— Le temps que le match finisse, tu vas te mettre à genoux face à la télé, le visage posé au sol… Bien. Tu ouvres les cuisses au maxi, bien cambrée. Tu prends tes fesses et tu les écartes pour montrer tes trous de pute. Et tu tournes la tête vers nous, tu ouvres la bouche et tu tires la langue. Pour toi, ce sera la position numéro deux.— Décale-toi un peu que je voie ton visage, ajouta Freddy. Et ouvre plus la bouche, là !
Mélanie resta une heure en position, complètement obscène, offerte aux deux vicieux. Elle pleura de honte au début, mais bien vite, au-delà de l’inconfort croissant dû à sa position, son ventre devint liquide et sa poitrine lourde. Dans sa position, ses tétons étaient écrasés sur le carrelage et elle remua malgré elle pour les frotter et les exciter. Hélas, Freddy s’en aperçut à la fin du match et vint vérifier son état en plongeant trois doigts joints dans son vagin trempé. Démasquée, Mélanie poussa un cri de détresse.
— Arnaud, cette petite est une vraie chienne : elle dégouline de partout ! Tu devrais la menotter cette nuit, sinon elle va la passer à se doigter !— Tu as raison. Nous y allons ; Freddy, tu prends l’assiette de pâtes et la gamelle d’eau dans la cuisine ; et toi, tu te lèves, et vite !
Tête baissée et les oreilles brûlantes de honte, Mélanie suivit les deux hommes à la cave. Lenoir lui désigna une porte métallique qu’elle ouvrit, donnant sur un réduit vide, sol et béton rugueux et murs d’agglos, éclairé par deux tubes néon. Pas de fenêtre bien sûr, juste un minuscule soupirail tout en haut qui aérait à peine la petite pièce sentant le moisi et le renfermé. Mélanie, apeurée, se tourna vers les deux hommes.
— Vous voulez que je dorme ici ? C’est vrai ? Je vous en prie, Monsieur...— J’ai un petit matelas ; je vais te l’apporter ici. Mais oui, tu dormiras ici chaque fois que tu seras punie. À toi de faire que ça n’arrive pas souvent.
Dépitée, la blondinette baissa la tête, les yeux pleins de larmes. Quelque chose lui disait que monsieur Lenoir serait très exigeant et qu’elle fréquenterait souvent la cave. Il revint avec un vieux matelas étroit et mince qu’il jeta sur le béton, puis il fixa Mélanie, qui comprit le message.
— Merci, Monsieur, marmonna-t-elle en faisant la moue.— J’ai oublié la ceinture, Freddy ; je remonte. Pose sa bouffe dans un coin et mets-lui les menottes.
Quand ils enfermèrent Mélanie, elle pleurnichait à cause de l’humiliation, de la gêne et de la douleur causée par la présence de deux gros godes dans ses orifices. La ceinture de chasteté, en cuir noir souple et fine armature de métal, était fermée par un gros cadenas sur l’avant et maintenait les deux épais cylindres dans son vagin et son anus. Mélanie, debout au centre de son cachot, le parcourut d’un regard misérable. Un seau en plastique pour ses besoins, l’assiette de pâtes froides, et une grosse gamelle en métal remplie d’eau : voilà tout ce qui le meublait, en sus du petit matelas et d’une couverture militaire.
Elle mangea accroupie devant l’assiette, incapable de s’aider de ses mains ; elle se dépêcha car la lumière devait s’éteindre au bout de dix minutes. Elle lapa un peu d’eau et s’allongea sur le matelas, déprimée. Dans le noir, elle se repassa en boucle sa déchéance soudaine, son acceptation aussi, sa soumission totale à son propriétaire. Et glissa lentement dans un sommeil peuplé de songes érotiques.
Lenoir la fit sortir au matin. Elle était épuisée et il dut l’aider à gravir les marches. Dans la salle de bain, il la libéra des menottes comme de la ceinture et des godes, dont l’extraction lui arracha quelques cris. Son anus resta béant, et l’homme en profita en sodomisant brutalement Mélanie. Excité, il la défonça à grand coups de boutoir qui tirèrent quelques larmes, des gémissements et des soupirs à la blonde. Bien cambrée, offerte à ses violents assauts, elle était proche de l’orgasme lorsqu’il se vida en elle. Frustrée, elle lui adressa un regard lourd de reproches. Il se fâcha.
— C’est pas vrai… Tu râles parce que tu n’as pas joui ?
Elle baissa la tête, se sentant coupable soudain d’elle ne savait trop quoi.
— Eh bien je t’interdis de jouir jusqu’à nouvel ordre, tu m’entends ? Tu n’es qu’une pute, et tu n’auras le droit de jouir que quand je te le dirai. Compris ? Compris ?
Il hurlait presque à son oreille maintenant, et Mélanie eut peur. Elle ne put que hocher la tête sans oser lever les yeux sur lui. Il l’empoigna par la mâchoire inférieure, l’obligeant à lever la tête, et plongea ses yeux cruels dans les siens, brillants de larmes contenues.
— Tu as compris ce que je t’ai dit ? — Oui, Monsieur. Je n’ai le droit de jouir que si vous m’y autorisez.— Bien. Mais méfie-toi : si j’apprends que tu m’as désobéi, ta punition sera terrible !
Elle hocha frénétiquement la tête quand il la libéra, n’ayant pas envie de susciter son courroux. Il se recula, se rajusta rapidement et lui laissa la cuisine pour le petit déjeuner. Taciturne et bourru, il lui annonça seulement :
— Il est 9 heures ; on part à 10 heures piles. Sois prête ; j’ai posé sur ton lit ce que tu dois porter. — Oui, merci, Monsieur.
Cette fois, elle se dépêcha pour être dans les temps. Elle savait qu’il ne lui laisserait rien passer, et son ventre se noua en songeant qu’il pouvait lui faire tout ce dont il avait envie sans qu’elle ait son mot à dire. La tenue posée sur le lit était une des trois robes, comme elle s’y attendait ; la rouge, cette fois. Pas de sous-vêtements : juste des escarpins noirs à talons aiguille. Mélanie se maquilla légèrement, rouge à lèvre et un peu de fond de teint sur ses pommettes, passa son vieux manteau, prit son sac à main et descendit rejoindre Lenoir trois minutes avant 10 heures. Il regarda sa montre et pinça ses lèvres, manifestement contrarié de la voir être ponctuelle.
— Ce manteau est moche, mais il fait froid dehors. Alors je t’autorise à le porter ; je te trouverai autre chose de plus sexy. Et il te faut des bas aussi. Allez, c’est parti ; laisse ton sac, tu n’en auras pas besoin. Nous allons chez une amie qui tient un salon. Je te pose chez elle et je reviendrai te chercher quand elle aura fini.
Mélanie s’abstint de poser des questions, devinant qu’il s’agissait d’une esthéticienne. Elle allait avoir droit à une épilation. « Contre services », se rappela-t-elle, en se doutant de ce qu’on allait lui demander. Lenoir eut du mal à se garer et ils durent marcher un peu. Le salon Aphrodite était situé dans un petit immeuble dédié à plusieurs activités commerciales : coiffure, cabines UV, kiné, bureaux. Lenoir embrassa la patronne, une superbe femme aux cheveux de jais et aux yeux verts, et lui désigna la jeune fille.
— Voici Mélanie. Tu lui fais la totale, elle est poilue de partout. Et tu en fais ce que tu veux après. Quand tu en as assez, tu m’appelles.— Je lui fais une épilation définitive ? Parce que c’est bien plus cher.— Je préfère, oui. Tu en veux combien ?— Deux mille. Ou du cash.— Je te paierai en liquide ce que tu voudras. Je te la laisse. Mais elle a interdiction de jouir. Si elle désobéit, tu me le dis et elle sera punie.
La femme acquiesça et il partit. L’épilation à la lumière pulsée dura longtemps, et à la sortie la peau claire de Mélanie était rouge, à la limite de la brûlure. Pubis, aisselles, bras et jambes. Une pommade apaisante rendit son épiderme luisant et souple, puis Mélanie rendit service. Elle lécha le minou épilé de la patronne et des trois employées, les menant à plusieurs orgasmes qui laissèrent son visage inondé de cyprine. Puis, sur l’ordre de la patronne, les employées coincèrent la petite blonde sur une table de massage, lui écartèrent largement les cuisses et se relayèrent pour la faire jouir chacune leur tour, malgré ses protestations.
Aussi, quand Lenoir revint vers 14 heures, elle n’en menait pas large. Ses craintes furent confirmées quand la patronne, après avoir exhibé Mélanie sous toutes les coutures, lança :
— Elle est géniale, ta petite blonde, Arnaud ! L’épilation a bien marché ; elle suce comme une reine, et elle jouit en poussant des cris de chiot.— Elle a joui ?— Au moins quatre fois, mais je penche pour six. Encore une lesbienne qui s’ignore !
Il se tourna brusquement vers Mélanie qui se tordait les doigts.
— C’est vrai que tu as joui ? demanda-t-il d’une voix dangereusement calme. Réponds seulement oui ou non.— Oui, mais...— Tais-toi ! En plus tu as joui six fois... Tu sais ce qui va se passer ce soir ?— Vous allez me punir, Monsieur.— Je t’enlève la ceinture de chasteté, et tu en profites pour désobéir à mes ordres directs ? Tu m’as fait honte devant mon amie, Mélanie. Tu m’as fait honte. Partons, je dois réfléchir à ta punition, tellement ta faute est grave.
Ils sont revenus en silence au pavillon de Lenoir. Il était presque 15 heures, et si Lenoir avait faim, Mélanie avait l’appétit coupé par l’appréhension. Sous l’œil noir de son propriétaire qui ne desserrait pas les dents, elle picora néanmoins son gratin de chicons (plat cuisiné d’une célèbre marque de surgelés) et but pas mal d’eau. Sa peau la démangeait, et elle avait peur d’être à nouveau cruellement marquée par monsieur Lenoir qui ruminait toujours sa punition. Quand elle eut repoussé son assiette, il se leva lentement, la dominant de sa masse.
Diffuse en direct !
Regarder son live