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Mélanie, étudiante à Bordeaux

Chapitre 9

Trash
Mélanie frémit, un peu inquiète, se rassurant en estimant que le gros gode qu’elle portait depuis le matin avait dû bien élargir son cul. Ils allèrent directement dans une vaste pièce que la jeune fille ne connaissait pas, dont deux murs et une partie du plafond étaient recouverts de miroirs. Un grand matelas rond juste couvert d’un drap couleur lavande était posé à même le sol carrelé, aucun autre meuble n’étant visible.
Libérée de la ceinture de chasteté, Mélanie se rua aux toilettes, bataillant pour enlever le gode qui collait à ses chairs intimes. Elle but ensuite deux grands verres d’eau avant de rejoindre les cinq hommes qui s’étaient déshabillés entre-temps et se masturbaient en l’attendant. Elle déglutit en découvrant les grosses bites au garde-à-vous qui s’apprêtaient à la prendre.
— Qui commence ? demanda Freddy, l’œil allumé. Je me propose…— Je me fais sucer et on tourne ! lança Little aux trois autres.— On pourra se faire sa poitrine, maintenant, ajouta Michael. Avec les nichons qu’elle se trimbale, je lui ferais bien un french fuck, moi ! (NDLA : french fuck désigne… la branlette espagnole ; mais il existe d’autres locutions en anglais : tit fuck, tug, mammary intercourse…)
Freddy, en vrai pro, vérifia si Mélanie était bien lubrifiée avant de la sodomiser. Il s’enfonça en elle lentement, la trouvant accueillante et chaude, à peine serrée grâce au port du gode. À genoux sur le lit, Mélanie soupira quand l’épais engin la sodomisa, mais Little lui présentait déjà sa queue gigantesque. Elle avala le gland qui était si volumineux que sa bouche en était toute déformée. Elle le pompa fort, mais Little, d’une main sur sa nuque, lui fit comprendre qu’il voulait aller plus loin. Elle déglutit au passage du gland et résista au réflexe de rejet, bouche béante pour faciliter le passage de la colonne de chair.
En un instant elle se retrouva embrochée entre deux énormes verges qui la prenaient sans égard pour elle. Freddy donnait de violents coups de boutoir qui projetaient le corps menu en avant. À moitié étouffée, la petite blonde posa les mains sur les hanches de Little pour se maintenir alors qu’il allait et venait dans sa gorge. Puis ils se retirèrent après cinq bonnes minutes. Marc et Don les remplacèrent rapidement et partirent aussitôt sur un rythme élevé, arrachant des gémissements rauques à leur victime qui se tordait sous les assauts brutaux.
— Elle est chaude, y a pas… jugea Freddy en buvant un peu d’eau.— Ouais, c’est un bon coup. Ton pote Arnaud a eu du flair ! répondit Little, qui était déjà couvert de sueur.
Pendant plus d’une heure ils tournèrent dans les deux orifices disponibles de Mélanie qui commençait à fatiguer. Ils se vidèrent sur son visage et dans ses cheveux détachés avant de sortir les bières. Il était presque 7 heures du soir, et Freddy partit commander des pizzas. À son retour, Don sodomisait Mélanie qui criait et pleurait, entre plaisir et douleur. Couchée sur le dos, ses genoux étaient posés sur le drap de part et d’autre des épaules de la jeune fille. Ainsi pliée en deux, la longue colonne du black allait profondément en elle, bien plus que précédemment. D’une main, la blonde tenait le cadenas sur son ventre pour ne pas gêner son partenaire. La sueur ruisselait sur la peau d’ébène et jusque sur Mélanie qui en était couverte à son tour. La puissante pénétration était rythmée par les chairs s’entrechoquant en bruits mouillés, en clapotis obscènes.
Les cris de Mélanie changeaient de nature, devenant plus rauques. Les yeux rivés dans ceux de son partenaire, elle planta ses ongles dans ses biceps pour l’encourager à foncer. Mais sur un clin d’œil il se retira pour ne pas éjaculer trop vite, et Marc prit le relais. Mélanie jeta la tête en arrière quand il s’enfonça aisément en elle et la pilonna sans tendresse. Puis elle réalisa qu’elle n’avait pas le droit de jouir alors qu’un orgasme montait dans son ventre brûlant.
Trop tard. Elle hurla comme la jouissance traversait ses reins et l’emportait. Sa première jouissance depuis plus d’un mois la laissa pantelante et honteuse. Honteuse de n’avoir pas su ou pu y résister. Monsieur Lenoir allait la punir sévèrement, elle le savait. Mais ce qui la troublait, c’était que ça ne lui faisait rien ; au contraire, elle avait envie de cette punition qui l’attendait, et à cette pensée elle jouit une nouvelle fois sous les assauts de Don qui venait de remplacer Marc.
Les cinq hommes ne déclarèrent forfait que vers 11 heures du soir. Ils avaient joui chacun trois fois, et Mélanie gisait au milieu du lit dans une mare de semence et de sueur, inerte et complètement épuisée. Son visage innocent était couvert de sperme qui séchait, son anus ne se refermait pas, distendu et rouge. Sortant de la douche en peignoir de bain, Freddy aida la jeune fille à s’asseoir et lui fit boire un grand verre d’eau avant de lui désigner la salle d’eau voisine.
— Allez, vas-y. Tout le monde y est allé, ça te fera du bien. Tu veux de l’aide ?— S’il vous plaît, oui…

Sa voix était lasse et révélait son état d’extrême fatigue. Freddy la souleva dans ses bras, la porta dans la salle d’eau et la déposa doucement sous la douche. Elle s’appuya au mur, les jambes tremblantes, et il ouvrit l’eau. Fraîche, à peine tiède. Elle glapit mais ne bougea pas, laissant l’eau ruisseler sur sa peau maculée. Freddy quitta son peignoir pour lui savonner la poitrine, massant les épaules et les avant-bras. Sa verge a rapidement pris de l’ampleur et a commencé à battre contre la hanche de la jeune fille. Alarmée, elle jeta un regard inquiet à l’Italien qui affichait un sourire de prédateur.
— Oh non, s’il vous plaît, je n’en peux plus… Oh ! Non…
Il l’avait retournée et plaquée contre le carrelage, son mandrin raide trouvant seul le chemin des reins fourbus de la demoiselle. D’un coup de reins puissant, aidé par le gel douche, il s’enfonça jusqu’à la garde. Les pieds décollés du sol, empalée et distendue à nouveau, Mélanie ferma les yeux. Bouche ouverte sur un geignement continu, elle plaqua ses mains à plat de chaque côté de sa tête et tenta de retenir ses nouvelles larmes. Lui n’avait cure du plaisir ou de la souffrance de la blonde et s’engloutissait dans son anus à coups secs et rapides, sans tendresse aucune.
Il avait joui trois fois et savait qu’il pouvait tenir longtemps avant de se répandre. Alors il ressortit et laissa Mélanie soupirer, vaguement déçue de se retrouver béante et vide. Elle tourna la tête pour comprendre pourquoi Freddy avait reculé : il porta deux doigts à sa bouche et rigola.
— Eh, j’ai faim ! J’ai juste mangé un bout de pizza, moi.— Oui, moi aussi, soupira Mélanie, se rendant compte qu’elle n’avait pratiquement rien avalé depuis le matin. À part du sperme, bien sûr.
Enroulant une grande serviette de bain autour de son corps, elle suivit Freddy à la cuisine ; les quatre Américains étaient attablés devant plusieurs pizzas et une vingtaine de canettes de bière, et discutaient en anglais. Les deux arrivants s’installèrent à côté et se servirent de généreuses portions, que Mélanie compléta avec de la salade d’endives. À peine eut-elle fini son dîner que Freddy claqua dans ses mains et lança :
— Bon, tout le monde a fini ? On remet ça ?— Oh non, s’il vous plaît, je n’en peux plus. J’ai sommeil et j’ai mal partout ! se plaignit la jolie blonde.
En vain, car Freddy sortit une bouteille d’huile d’olive et en versa sur sa verge toujours dressée. Se levant, peignoir largement ouvert, il montra son engin démesuré aux autres hommes en expliquant :
— De l’huile d’olive vierge de chez moi, en Italie, première pression à froid, et bio en prime ! Je sais recevoir ! Allez, petite pute, tourne-toi, bien cambrée, et écarte… Ton trou du cul est encore ouvert, prêt à m’accueillir. Tiens, un peu d’huile aussi…— Oh ! Doucement, s’il vous plaît… Doucement, j’ai mal ! Oh non !
Sourd à ses plaintes, l’Italien avait fléché l’anus certes bien assoupli, mais fort douloureux après des heures de sodomie à la chaîne. Il se cala bien à fond et tira Mélanie contre son torse puissant, la décollant du sol. La jeune fille leva les bras pour passer les mains sur la nuque de son partenaire, tentant de trouver son équilibre. Elle grimaça car, ses pieds ne reposant plus par terre, elle était rudement empalée sur l’épieu de chair qui distendait d’autant plus son fondement. Ce fut pire quand il la souleva par les hanches qu’il enserrait à deux mains, en faisant facilement le tour, et qu’il la lâcha alors que sa verge était presque sortie du fourreau de chair.
Mélanie retomba en criant son désarroi car il lui semblait que le monstrueux engin allait en elle plus loin que jamais, écartant et réarrangeant ses organes internes. Elle comprit que son corps frêle était un simple jouet entre les battoirs du colosse, une poupée désarticulée dont il usait à sa guise.Ce fut pire encore quand Mélanie réalisa que les quatre hardeurs huilaient et masturbaient leurs bites qui se tendaient vers elle, gigantesques mandrins menaçants.
— Qui la veut ? Son cul est bien ouvert et bien chaud… Allez, à toi !
Il souleva Mélanie et sortit complètement de l’anus béant pour retourner la jeune fille qui criait de surprise plus que de peur. Il la présenta à Little dont l’engin s’enfonça derechef dans l’anus palpitant. Ballottée et passée de l’un à l’autre, Mélanie ne protestait plus et subissait en geignant, respirant par sa bouche grande ouverte d’où sortaient parfois des plaintes rauques quand la queue qui la pourfendait allait trop loin dans ses entrailles vaincues.
Ils regagnèrent tous la chambre sans reposer la jeune fille qui s’accrochait comme elle pouvait à son porteur du moment. Posée sur le lit empesé de sueur et de semence, entourée de cinq hommes en rut, Mélanie réalisa que la nuit n’était pas finie, alors qu’elle aspirait au repos. Freddy glissa un doigt dans sa fente, passant sous le jonc du cadenas avant de le plonger en elle. Il ricana en constatant combien elle était trempée et frustrée de ne plus pouvoir faire l’amour par cette voie.
Pendant presque trois heures encore, ils se relayèrent dans son anus. Mélanie comprit vite qu’ils faisaient assaut de brutalité en portant des coups de bélier les plus puissants possible. Pour autant, elle ne pouvait guère s’en plaindre car sa bouche et sa gorge étaient pratiquement toujours investies par un mandrin fumant sorti de ses boyaux.
Little, lorsqu’il la sodomisa à son tour, sortait complètement, fasciné par le spectacle de l’anus de Mélanie : ce n’était plus une délicate rosette au-dessus de l’ente de la vulve, mais un gouffre rouge sang aux chairs boursoufflées. Qui n’avait presque plus à s’ouvrir pour accueillir sa bite géante dans sa moiteur moelleuse, tellement il était dilacéré par des heures de débauche.
Vers 3 heures du matin, ils éjaculèrent une dernière fois sur le visage défait de la petite blonde avant de la laisser seule. Épuisée et brisée, elle sommeillait déjà, repliée en position fœtale sur le lit souillé ; elle bascula dans un sommeil sans rêves proche du coma.
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