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Mélanie, étudiante à Bordeaux

Chapitre 28

Histoire médaillée
Trash
— Je résume pour Mélanie qui n’est pas au courant. Freddy vient d’accueillir plusieurs amis, des hardeurs américains. Il a proposé de te recevoir, Mél, avec Anita, ce pour autant de temps que possible à compter de 19 heures. Anita va donc y rester jusqu’à vendredi matin. Sandrine s’est proposé de venir avec moi pour ce soir, c’est d’accord. Peux-tu t’accorder cette soirée, Mél ?— Mmm... réfléchit la jolie blonde. Oui, c’est possible. Tu sais qui sera là ?— Non, pas exactement ; mais Freddy a expliqué que tu connaissais certains de ses potes.— Ah ! Je devine, alors. Mais il faut que je dorme, aussi. Je repartirai vers... minuit ? Comme Cendrillon, dans mon carrosse-citrouille.— D’accord comme ça. Nous repartirons donc vers minuit. Vendu ?— Vendu, répondit Mélanie en souriant.
Avant de donner ses directives, Lenoir prit le temps de regarder les trois femmes devant lui. La plus grande, Mélanie, portait un jean slim noir et un gros pull en mohair qui masquait difficilement sa poitrine agressive. Il l’adorait. C’était la promise de son fils ; elle serait une excellente épouse. À sa droite, Sandrine. SA Sandrine : son amour, la femme avec laquelle il voulait vivre jusqu’à la fin de ses jours. Blonde comme Mél, mais plus petite. Et à la gauche de Mélanie, Anita. Cette fille surgie d’un passé qu’il croyait disparue. Sa fille, le sang de son sang. La plus petite des trois, la plus menue aussi, à peine sortie de l’adolescence.
Il considéra d’un air pensif sa fille, si innocente quelques jours plus tôt. Arriverait-elle à tenir le coup, à sortir intacte des assauts répétés de Freddy et sa bande ?
— Anita, aie toujours en tête ton mot de sécurité. Tu te rappelles ?— Barkatu. Ou rouge.— Oui. Barkatu, c’est pour stopper complètement. Rouge, tu demandes une pause. En tout cas, ce sera comme ça avec eux, d’accord ?— Oui.— Parfait. Dans ce cas... vous avez une demi-heure. Je vous veux ici nues, propres, les cheveux noués, le cul nettoyé en profondeur et lubrifié. Aucun maquillage n’est requis. Rompez les rangs.
Les trois soumises filèrent sans demander leur reste, Mélanie en tête, qui savait bien qu’il lui faudrait faire vite et bien pour être prête. Et éviter une punition douloureuse. Elle commença par un nettoyage en profondeur de son anus avec de l’eau glycérinée, se doucha puis appliqua généreusement du lubrifiant. Enfin elle noua ses longs cheveux en queue-de-cheval puis se parfuma. Elle pensa à prendre son cadenas et partit voir comment se débrouillait Anita. Elle toqua à la porte de sa chambre et entra sans attendre.
— Tu es là ?— Dans la salle de bain ! répondit une voix étouffée.
Anita essayait de se coiffer ; elle avait presque fini de faire deux couettes qui la rajeunissaient. À ses yeux humides et sa bouche crispée, Mélanie vit que son amie était angoissée.
— Il faut être en bas dans deux minutes, Anita.
— Ah ? Mon Dieu, c’était trop court, je ne suis pas prête.— Tu es nettoyée ? Lubrifiée ?— Oui et non, je n’ai pas trouvé le tube...— Finis ta couette, je reviens.
Mél fila dans sa chambre chercher son pot de Lubrifist et revint dare-dare. Elle plongea deux doigts dans le produit gras, malgré les dénégations d’Anita. Laquelle accepta néanmoins de se courber pour présenter son petit postérieur. La future juge plongea habilement ses doigts dans l’anus de la brune et le graissa, intérieur et extérieur.
— Allez. Maintenant, il faut descendre.— Oui, merci...
Elles dévalèrent l’escalier quatre à quatre ; cependant, Mélanie dut remonter car elle avait posé son cadenas. Essoufflée, elle redescendit ; Anita l’attendait au bas des marches et lui tendit la main.
— C’est ma faute, Mél. Je lui dirai.— Ne dis rien, surtout : ça nous coûterait encore plus cher à toutes les deux.— Mais pourquoi ?— Il sait bien que je ne te laisserai jamais tomber. Tu es ma petite sœur. Alors on est en retard, on paie ensemble.
Elles entrèrent main dans la main et vinrent se placer à côté de Sandrine qui était en position d’attente. Elles firent de même et s’immobilisèrent. Lenoir posa son magazine télé et regarda négligemment sa montre.
— 35 a une bonne minute de retard ; 32 en a quatre, comme Anita. Je ne vous félicite pas, particulièrement 32 qui sait l’importance de l’obéissance totale au Maître. As-tu un semblant d’excuse, 32 ?— Non, Monsieur. C’est entièrement ma faute, j’ai été trop lente. Je vous présente mes excuses et accepte par avance votre juste punition.— Ce n’est pas vrai, Monsieur, intervint Anita d’une voix anxieuse. Mélanie m’a aidée ; j’étais paralysée par le trac et elle est venue.— Anita, je ne t’ai pas autorisée à parler, mais ce que tu dis m’intéresse. Tu viens de m’expliquer que 32 m’a menti sciemment, à moi, son Maître ?— Euh... non. Enfin, oui, elle a... bégaya l’infortunée, les larmes aux yeux.— Tais-toi, Anita. Tu aggraves ton cas ainsi que celui de 32. Justement, 32, as-tu quelque chose à ajouter ?— Monsieur, je ne vous ai pas menti. Je pense que c’était mon rôle d’aider ma sœur à être prête dans les temps. J’ai échoué. En plus j’avais oublié mon cadenas en descendant ; Anita m’a attendue pour que nous entrions ensemble. C’est pourquoi je mérite le châtiment que vous choisirez, Monsieur.
Lenoir considéra la situation avec attention. Il s’en doutait, mais c’était confirmé : Mélanie avait adopté Anita et la considérait comme sa sœur. Il était ému car il adorait Mélanie, et comme soumise, et surtout comme femme intelligente et volontaire. Il devait cependant la punir de manière exemplaire. Oui, mais en tenant compte du fait qu’elle avait ses cours à l’ENM, et qu’elle ne pouvait se permettre d’absence. Il comptait donner dix coups par minute de retard mais serait obligé de se retenir. Il soupira.
— Merci, 32. J’accepte tes explications. Vous recevrez toutes trois dix coups de badine par minute de retard, soit dix pour 36 et quarante pour 32 et Anita. Je vous punirai dans cet ordre. 32, va chercher la badine souple à poignée en cuir. Tu me fais confiance pour ne pas trop te handicaper pour demain ?— Oui, bien sûr, Monsieur ! s’exclama-t-elle, visiblement choquée qu’il puisse douter d’elle.
Elle fila à la cave et revint une minute plus tard, tendant à Lenoir une longue badine et lui remettant aussi son cadenas. Il se leva, posa le cadenas sur la table basse et fit siffler plusieurs fois la badine.
— 36, en position ! Les mains sur la table basse. Tiens les bords, cambre-toi, écarte plus les jambes ; encore... Parfait. Tu vas recevoir ta punition en silence. Je ne veux rien entendre tant que je frappe.
Le colosse caressa amoureusement les jolies fesses de sa compagne qui frissonna et se tendit inconsciemment vers sa paume. Puis, sans prévenir, il frappa. Dans la pièce, le sifflement de la badine puis l’impact sur la chair résonnèrent. Lenoir se redressa pour juger des réactions de Sandrine ; narines pincées, elle respirait par la bouche à petites goulées. Lenoir reprit la punition à un rythme régulier jusqu’à la fin. Il recula alors d’un pas et attendit.
— Merci, Maître, articula difficilement Sandrine en se redressant, résistant à la tentation de passer ses mains sur ses fesses endolories.— Reprends la position, 36. 32, en place. Écarte plus les jambes... Ne bouge plus.
La punition dura bien plus longtemps. Les coups s’enchaînaient, marquant durablement et équitablement les deux fesses qui prirent une teinte carminée. Quand elle se redressa, Mélanie sanglotait. Elle remercia Lenoir d’une voix brisée avant de regagner sa place à côté de sa mère. Le visage sillonné de larmes, elle tenta de retrouver un peu de calme en prenant de longues respirations.
— À toi maintenant, Anita. Tu as vu 32 et 36 recevoir leur punition, alors fais-moi honneur et sois digne d’elles. Allez, cambre-toi plus que ça, et écarte bien ; je veux voir ta chatte épilée de soumise. Ce n’est pas parce que tu es ma fille que tu auras un traitement de faveur. Mais comme tu n’es pas aguerrie, je vais frapper par dizaine et marquer une pause.
Il n’attendit pas et commença à frapper, attentif aux crispations des omoplates et des bras de sa fille. Après dix coups, il recula et vit que les cuisses d’Anita tremblaient. Après le vingtième, elle pleurait à chaudes larmes. Au trentième, elle sanglotait sans retenue. Il hésita, mais elle ne prononça pas les mots d’arrêt. Il reprit donc et acheva la série. Anita sembla se dégonfler et tomba à genoux, le front sur la table et les épaules secouées de gros sanglots. Lenoir faillit s’accroupir derrière elle pour la consoler mais se reprit juste à temps.
— Allez, vite ! En position de soumission, ou alors je te donne dix coups de plus.— Oh non ! Pardon, Monsieur.
La voix d’Anita était méconnaissable ; elle se releva péniblement et réussit tant bien que mal à reprendre sa place près de Mélanie qui pleurait maintenant par compassion. Lenoir les laissa attendre ainsi plus de dix minutes, le temps qu’Anita se calme. Puis il tendit à sa compagne le tube de pommade miracle.
— Tiens, 36. Passez-vous ça sur les fesses. J’ai veillé à ce que personne ne saigne ; vos culs sont à peine amochés, et ça devrait aller mieux dans une demi-heure. Je descends chercher vos tenues pour aller chez Freddy. Aucune de vous trois ne mérite d’y aller comme une femme libre : vous y arriverez en tant qu’esclaves et vide-couilles. Nues et enchaînées.
Il descendit à la cave et ne remonta qu’un bon moment plus tard ; les femmes avaient fini les soins et attendaient à nouveau en position. Il sortit d’un panier en osier trois cagoules identiques en cuir souple, noires et luisantes.
— Avec ça, vous ne verrez rien et n’entendrez pas grand-chose. Surtout quand vous aurez les boules Quies. Allez, je commence par 36.
Une fois les trois femmes cagoulées, il ferma des attaches en cuir à leurs chevilles et poignets, qu’il réunit par des mousquetons pour les poignets dans le dos, et par de courtes chaînes pour les chevilles. Bien sûr, il avait pensé à placer le gros cadenas dans le tunnel vaginal de Mélanie. À la différence des autres, elle n’aurait que sa bouche et ses reins pour satisfaire les amis de Freddy. C’était ce qui était convenu avec son fils Thomas.
— Allez, on y va ; je vais vous guider une à une jusqu’à la voiture. Vous voyagerez dans le coffre, bien sûr.
Lenoir avait élevé la voix pour être certain d’être entendu. Il vérifia l’heure : il était temps de partir.
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