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Mélanie, étudiante à Bordeaux

Chapitre 35

Trash
Pendant ce temps, dans la grande salle voûtée, Mélanie était tombée à genoux devant Thomas, cuisses écartées et mains dans le dos.
— Monsieur, maintenant que votre sœur est entre les grosses pattes de votre ami grâce au subtil complot ourdi par nos soins, votre misérable esclave se met à votre entière disposition.— Tu as des envies particulières, esclave 32 ?— Une seule envie, Monsieur : que vous disposiez de moi selon votre plaisir. Le mien est de vous servir.— Bien dit. Tu mérites une grosse punition, en effet : depuis ton arrivée chez moi, tu ne t’es occupée que de ma sœur, me laissant complètement à l’écart.
Bien sûr, Mélanie savait que ce n’était pas vrai : Thomas avait été le premier à voler au secours d’Anita ; il n’aurait pas toléré de faire passer son plaisir avant le bonheur de sa sœur. Mais maintenant que celle-ci avait obtenu ce qu’elle voulait, il pouvait faire flèche de tout bois. Et bien entendu, Mélanie entra dans le jeu avec délectation.
— Vous avez raison, Monsieur. Votre esclave a contrevenu à toutes ses règles en ne vous traitant pas avec tous les égards qui vous sont dus.— Je vais donc te punir avec une extrême sévérité. Et pour la première fois, tu n’auras ni mot de sécurité ni rien en faisant objet. Tu m’as compris ?— Oui, Monsieur. Je vous appartiens et vous fais entière confiance.— Je vais donc te mettre une cagoule munie d’un bâillon écarteur, t’enchaîner à la place d’Anita, suspendre des poids à tes lèvres intimes avec des pinces crocodile, puis te fouetter. As-tu quelque chose à me dire ?— Non, Monsieur. Je ne suis qu’une esclave.— J’hésite sur la puissance des coups. Forts, ou très forts ?— Comme vous le souhaitez, Monsieur. Ne retenez pas vos coups pour votre esclave ; elle sait qu’elle mérite un châtiment exemplaire et saura vous faire honneur.— Je n’en attends pas moins, 32.
Dix minutes plus tard, Mélanie vagissait et hurlait sous les coups portés par son Maître. De sa bouche maintenue béante par un écarteur en métal, la salive coulait en abondance sur sa poitrine. Ses larmes, quant à elles, ruisselaient sans discontinuer sous la cagoule qui l’isolait du monde. Le public était nombreux pour assister à cette punition encore plus sévère que celle administrée un peu plus tôt à une autre soumise. De nombreuses coupures d’où perlait un sang sombre témoignaient de la violence des chocs. Mélanie se tordait ; son corps trempé de sueur mêlée de traînées rouges sursautait et se tétanisait à chaque fois. Deux pinces crocodile refermées sur ses lèvres intimes et lestées de poids conséquents étiraient affreusement ses chairs ; les plombs s’entrechoquaient à chaque ruade, accentuant encore la souffrance de la jolie blonde.
Régulièrement, Thomas arrêtait pour caresser la lourde poitrine dont la peau fine était couverte d’ecchymoses, plonger trois doigts dans le vagin liquéfié, témoin du plaisir pris par 32 dans cette souffrance extrême, puis il reprenait, s’appliquant à la marquer des mollets aux épaules, pile et face, d’un entrelacs de balafres boursouflées.
Quand il estima que Mélanie avait assez été punie, il posa son fouet et détacha son esclave, la libérant de sa cagoule et de l’écarteur en premier. Le public nombreux applaudit à tout rompre cette performance, car il était rarissime d’assister à une séance aussi dure. Comme Eirik une heure avant, Thomas quitta la salle en portant son esclave dans ses bras. Il l’emmena dans une chambre vide et la fit asseoir sur le bord de la baignoire.
— Voilà, dans dix minutes nous aurons la baignoire pour nous. Ça va ?
— Mieux que jamais. Anita est heureuse et moi aussi. Tu as su aller au bout de ma résistance et me procurer toute la souffrance dont j’avais besoin pour me rappeler que je t’aime plus que tout.— Tu m’as fait confiance, ma chérie.— Bien sûr ! Je suis presque choquée qu’on se pose encore cette question de la confiance. Nous nous connaissons tellement, nous nous complétons tellement... Tu peux me rincer à l’eau tiède avant que je mette du sang partout ? Je pense en avoir pour quinze jours à être marquée, non ?— Oui, sûrement plus de dix jours. Tu penseras à moi sans arrêt, comme ça.— Je pense TOUJOURS à toi. Doucement sur le dos, ça fait mal !— Chochotte ! Je vais voir dans la pharmacie ce qu’il y a... Tiens, deux Doliprane, un verre d’eau ; tu veux prendre un bain ? — Non, la douche me suffit. Et tes doigts, ta langue, ta bite aussi.— Mademoiselle, vos désirs sont des ordres. Mais d’abord je dois désinfecter ces jolies petites coupures et passer du baume apaisant sur tes hématomes.
Dans la chambre voisine, Anita subissait les féroces assauts de son amant qui la sodomisait depuis plus de dix minutes sans donner le moindre signe de faiblesse. Ses coups de reins faisaient trembler tous les membres de la jeune fille qui s’offrait sans hésitation à ses assauts pourtant puissants. Les chocs de la chair contre la chair claquaient durement, accompagnés de gémissements et de sons rauques au rythme des coups de boutoir. Quand l’épieu roide vibra et cracha sa semence dans ses entrailles distendues, Anita cria, tétanisée par un orgasme puissant qui n’en finissait pas.
Elle s’écroula, accompagnée en avant par son amant dont la bite resta fichée au plus profond de ses reins. Nullement incommodée par le quintal qui pesait sur elle, Anita savoura son plaisir. Elle avait réussi : son Viking l’acceptait enfin. Elle lui avait prouvé qu’elle pouvait encaisser, et plus que tout, qu’elle aimait souffrir pour lui. Eirik recommença à se mouvoir en elle ; sa bite durcit rapidement et emplit à nouveau l’anus qui se distendit autour du cylindre de chair.
— Tu es prête ? Je vais recommencer à te démolir le cul.— Il t’appartient, comme tout le reste d’ailleurs.— Mais je vais te laisser travailler, ne ménage pas tes efforts...
Il empoigna Anita et se retourna sur le dos, maintenant la jeune fille toujours profondément empalée. Elle poussa un petit cri, manifestement ravie de se retrouver au-dessus. En riant, elle réussit à se tourner face à lui sans se désaccoupler. Alors, sans attendre, elle commença à monter et descendre, lentement d’abord puis de plus en plus vite, poussant des gémissements de plaisir et respirant fort. Eirik prit un deuxième oreiller qu’il glissa sur le premier, croisa les mains sous sa nuque et contempla béatement la jeune fille. Échevelée, les joues rougies par l’effort et le plaisir, les lèvres gonflées par les baisers, elle était tout simplement magnifique ; son torse durement marqué des coups reçus luisant de sueur se soulevait rapidement comme la jouissance montait depuis ses reins et son ventre en fusion. Il glissa deux doigts en son pertuis trempé, ce qui déclencha un orgasme torride : elle inonda sa main de sa liqueur intime et il lécha son index et son majeur avec gourmandise.
— Tu es si belle, si jeune.. tu sembles si fragile, ma chérie.— Oui, mais je ne le suis pas, fragile, le prévint-elle en se redressant, les yeux encore voilés par la jouissance. Et si tu as envie de réitérer l’expérience de la baignoire, je suis prête. Pour toi, je suis prête à tout.— Merci, ma puce. Tu es si courageuse.— Courageuse ? Non. Je t’aime, c’est suffisant pour moi.
Il la tira à lui pour l’embrasser fougueusement et Anita s’ouvrit à sa langue entreprenante, lui répondant avec une joie et un entrain non simulés. Dans ses reins, le mandrin reprit de la vigueur rapidement, dilatant de sa raideur extrême l’intimité de la jeune fille qui comprit qu’ils allaient partir pour un nouveau round. En gémissant elle répondit à son amant en s’empalant plus profondément, signifiant clairement qu’elle était prête. Il ne lui en fallait pas plus : il la souleva, extirpant à regret sa verge du conduit accueillant, souple et serré à la fois, pour disposer le corps de sa compagne à sa guise.
À genoux les fesses en l’air, le visage posé sur le drap et les cuisses à l’équerre. D’elle-même Anita écarta ses fesses à deux mains, offrant son anus béant et palpitant. Celui-ci avait tellement été forcé qu’il ne se refermait plus, large bouche obscène grande ouverte, rougie et gonflée qui palpitait dans l’attente d’être à nouveau empli et défoncé. Eirik présenta son gland turgescent devant le pertuis offert et donna un violent coup de reins. La petite brune cria, la douleur vite remplacée par un sentiment de plénitude et de plaisir alors que la colonne de chair s’engouffrait sans réelle résistance dans son fondement.
Ayant déjà joui deux fois, le géant sut faire durer cette sodomie longtemps ; Anita connut plusieurs orgasmes sous les assauts virulents qui ravageaient ses lombes. Quand Eirik sentait monter son plaisir, il s’arrêtait, sortait son braquemart de l’anus distendu pour revenir encore plus fort quelques instants plus tard. Suant comme un bœuf, il put ainsi défoncer les reins de sa compagne pendant presque une heure au bout de laquelle il se répandit en criant, arrachant un nouvel orgasme à Anita.
Il s’écroula sur elle, veillant toutefois à ne pas l’écraser. Ils reprirent lentement leur souffle ; leur rythme cardiaque s’apaisa ainsi que leur respiration. Puis Eirik chuchota à l’oreille d’Anita :
— Tu vas aller nettoyer la baignoire et tu la rempliras d’eau froide. Mais je te préviens : tu n’aimeras pas ce qui va suivre ; ton corps résistera contre la noyade.— Je sais, je ne m’attends pas à aimer, mais ce n’est pas un problème : j’en ai envie.
Une heure plus tard, Anita tentait de reprendre ses esprits et son souffle après une expérience particulièrement éprouvante. Trempée et glacée, les cheveux emmêlés et collés sur le crâne, le visage livide et les yeux rougis de larmes, elle était étalée sur le carrelage devant la baignoire. Eirik revint avec une grande sortie de bain dans laquelle il l’emmitoufla avant de la porter et de l’installer sur le lit.
— Ma puce, tu as été merveilleuse. Je t’aime.— Moi aussi, je t’aime. Tu sais, même quand je me noyais, je savais que tu étais là, que tu serais attentif. Mais mon corps se débattait malgré moi ; je voulais te montrer que je te faisais confiance, mais ça ne marchait pas...— C’est normal. Il luttait alors que tu t’abandonnais. Et quand je t’ai enculée, ton anus me trayait la bite tellement fort que je n’ai pas pu tenir longtemps ; c’était magique. Tu te réchauffes, ma puce ?— Oui, ça va mieux. Je suis heureuse d’avoir surmonté ma peur pour toi. Même si je ne suis pas prête à recommencer tout de suite.— Il va falloir libérer les lieux, tu sais. Mél et Thom sont juste à côté ; tu veux aller les rejoindre ?— Si tu me portes...
Ils entrèrent dans la pièce voisine et découvrirent un charmant spectacle : Mélanie à genoux devant son sculptural amant lui prodiguait une fellation somptueuse. Les lèvres collées contre le pubis de Thomas, en apnée, elle massait la lourde colonne en déglutissant, sa langue agile caressant le dessous de la puissante queue. Les yeux fermés, un sourd gémissement échappant de ses lèvres disjointes, le géant avait posé les mains sur la nuque de sa compagne mais la laissait libre de ses mouvements.
Il se vida dans un râle directement dans la gorge de la blonde agenouillée qui se délecta de sa semence. La bouche libérée de l’encombrant intrus, elle lécha soigneusement le gland et aspira toute trace de sperme en ronronnant presque, puis elle se tourna vers les deux arrivants et leur lança en souriant :
— Alors, les tourtereaux, tout s’est bien passé ? Vous avez fait plus ample connaissance, cette fois ?— Oui, répondit Eirik. Merci à tous les deux, infiniment. Vous avez été géniaux tous les deux. Tous les trois, rectifia-t-il en couvant sa protégée blottie contre lui.— Les amis servent à ça, répondit Thomas, embarrassé par ces compliments.— Les amis, et bientôt les parents : nous avons décidé de nous marier, Anita et moi. Thom, tu deviendras mon beau-frère. Et toi, Mél, ma belle-sœur préférée.
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