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Mélanie, étudiante à Bordeaux

Chapitre 42

Trash
Ainsi, alors que Mélanie et Thomas visitaient la vieille ville entre marche et calèche, découvrant le musée juif et son cimetière, le palais Lobkowicz, l’étonnant musée Karel Zeman, la jeune femme tourna un long film avec deux acteurs pornos blacks montés comme des baudets et à peu près aussi tendres. Nick ne lui avait même pas donné leurs prénoms. Elle n’avait pas échangé le moindre mot avec eux ni avant ni pendant le tournage. Elle savait seulement qu’ils étaient américains et qu’ils la méprisaient. Ils avaient ricané ouvertement en entendant le producteur leur expliquer, avant le début :
— Vous y allez franco avec elle. Vous ne prenez que son cul et sa bouche, mais pas de double. Par contre, pas besoin de tendresse. Vous avez droit aux gifles, pas fortes quand même, et aux claques sur les fesses. Là, vous pouvez y aller.— Elle boit la pisse ? s’enquit un des acteurs.— Je sais pas, tiens. Babe, tu as entendu ?— ... Je n’ai jamais essayé, mais...— D’accord, vous attendez la fin, alors, pour lui pisser dessus. Y en a pas beaucoup qui acceptent. On verra si elle aime ça.
Pendant dix minutes, Kath se travailla l’anus avec un gros gode rouge en plastique rigide en mimant un plaisir qu’elle n’éprouvait pas. Elle ne savait pas si ses talents d’actrice étaient grands, mais même Nick resta silencieux tout le temps qu’elle passa à enfoncer le cylindre bien lubrifié dans son fondement, reproduisant du poignet des mouvements de coït. Les caméras ne perdaient rien de ses gestes, bien sûr.
Puis l’un des acteurs s’approcha d’elle et, d’autorité, enleva l’olisbos pour le remplacer par son mandrin épais, luisant de lubrifiant. Kath grimaça quand il s’enfonça d’une rude poussée jusqu’à la garde, mais son cri de surprise autant que de douleur fut éteint par la bite du deuxième homme. Pour éviter de penser à l’éprouvante sodomie qu’elle subissait, elle commença à pomper avidement l’épais mandrin qui déformait ses lèvres.
La jeune femme se retrouva rapidement à genoux, chacun des Blacks prenant sans finesse l’orifice choisi ; en prime, son enculeur frappait du plat de la main sur ses fesses qui rougissaient un peu plus à chaque claque. Fesses qui devenaient douloureuses, aussi Kath tenta de protester, mais l’homme qu’elle suçait la gifla deux fois. Elle se le tint pour dit, constatant amèrement qu’il n’y était pas allé de main morte. Pas fortes, les gifles ? Ses joues cuisaient, sillonnées de quelques larmes.
La jeune femme fut alors retournée sur le dos sans ménagement, les Blacks la prenant par les mêmes voies sans faiblir. La nuque cassée en arrière, elle dut recevoir la longue verge dans sa gorge, luttant contre l’envie de vomir, alors que son anus subissait un pilonnage en règle. Les jambes relevées et les genoux contre ses épaules, elle était cassée en deux ; dans cette position, la bite qui la sodomisait allait loin. Kath gémissait à chaque coup de boutoir, sentant que son corps la trahissait.
Puis un Black s’assit et la laissa s’empaler. La colonne d’ébène trouva aisément sa place dans l’anus distendu ; il ressortit et Kath dut écarter ses fesses à deux mains pour montrer son orifice béant obscènement à la caméra. Elle revint se planter sur la verge et suça celle que lui présentait l’autre homme. Faisant abstraction des insultes et des claques qui tombaient sur ses pauvres fesses cramoisies, elle tentait de s’accrocher au plaisir qu’elle trouvait à être traitée ainsi.
— Pause, les gars ; ça fait une heure de tournage.
« Une heure déjà ? Je n’ai pas vu le temps passer ; faut croire que j’aime ça, me faire sodomiser par deux imbéciles montés comme des ânes qui prennent les femmes pour des morceaux de viande à attendrir. Encore une heure et puis je prendrai un bain, je suis moulue. Je comprends que les actrices marchent à la cocaïne pour tenir le coup face à des bourrins pareils ! » s’étonna la jeune femme.
Le tournage reprit après un quart d’heure là où il s’était arrêté. Sans changer de méthode, les deux Noirs ont continué, l’un défonçant le cul de la petite rouquine et l’autre se faisant sucer. Sans finesse mais sans brutalité excessive non plus, ils la mettaient dans la position souhaitée avant de la prendre avec vigueur. En vrais pros, ils montraient régulièrement aux caméras l’anus rougeâtre qui ne se refermait plus entre deux assauts.
Kath se laissait manipuler à leur gré, l’esprit engourdi, simple réceptacle pour les deux braquemarts qui usaient de sa bouche et de son cul. En spectatrice, elle assistait à la rapide déchéance d’une jeune femme amoureuse devenue actrice porno. Aussi, quand ils la firent s’agenouiller entre eux, elle ne marqua aucune réticence. Ils se placèrent de part et d’autre, masturbant leurs bites luisantes de salive et de lubrifiant.

— Lève la tête et ouvre la bouche. Là. Tu ne bouges surtout plus.
La jeune femme ne comprit qu’en recevant un jet d’urine sur le visage, habilement dirigé vers sa bouche ouverte qui se remplit rapidement. Elle ferma les yeux, incapable d’assister encore à la perversité de cette scène.
— Ouvre les yeux, intima Nick. Tu entends ? Ouvre les yeux !
Elle obéit, ses immenses yeux verts perdus dans le vague. L’odeur caractéristique de pisse ne la rebuta pas autant qu’elle le croyait. Elle comprit pourquoi : les deux hommes avaient bu énormément d’eau à la pause en prévision de leur future miction, et leur urine s’en trouvait abondante et pas très forte. Sans réfléchir, elle déglutit, avala une gorgée de liquide à peine salé et fit la grimace ; pas fameux, quand même. Nick leva le pouce en l’air en la voyant avaler, aussi elle recommença, s’étrangla et se plia en deux pour vomir et recracher.
— Coupez, les gars ! On va attendre que Babe reprenne son souffle. Bien, les gars, vous finissez d’uriner l’un après l’autre et vous enchaînez avec les éjac.— On l’encule plus ?— Non, j’ai presque deux heures de vidéo, ça ira. Faites-vous sucer et finissez-vous dans sa bouche ; elle avale et elle aime ça.
Sans faire valoir sa fatigue, Kath ouvrit la bouche et pompa à tour de rôle les deux verges, branlant l’une pendant qu’elle suçait l’autre. Ils éjaculèrent à dix secondes d’intervalle alors qu’elle commençait à se demander si ça allait durer encore longtemps. Les mâchoires douloureuses, elle accepta néanmoins les copieuses rasades de sperme avant de nettoyer les mandrins qui commençaient enfin à mollir.Aussitôt fait, elle se rua sous la douche sans se soucier de quiconque.
Sous l’eau brûlante qui ruisselait sur sa chevelure et rinçait son corps, elle reprit lentement ses esprits. Dûment shampouinée et savonnée, rincée et enveloppée d’une épaisse serviette de bain, elle considéra froidement la situation.
Même si elle avait parfois souffert sous les fessées, été humiliée par les gifles, les insultes et les quolibets, par la douche dorée reçue aussi, elle avait aimé ce tournage. Elle avait été traitée comme un pantin par deux bourrins, sodomisée pendant cent-vingt minutes sans interruption ou presque devant des caméras qui traquaient ses larmes et enchaînaient les gros plans sur son pauvre anus disloqué. Et elle avait aimé chaque instant de tout cela. Elle secoua la tête, agacée de devoir reconnaître qu’elle appréciait son job d’actrice porno, même si elle n’avait pas joui une seule fois.
En sortant de la salle d’eau, elle aperçut Mélanie qui discutait avec Erika, ainsi que Freddy en grande conversation avec Nick. Mél paraissait inquiète, manifestement ; quand la petite rouquine lui toucha l’épaule, elle sursauta et se retourna vivement pour tomber dans les bras de son amie.
— Dieu merci, tu es là ! Tu vas bien ? Tu as l’air d’être fatiguée.— Je le suis. C’est épuisant, ces tournages.Ces tournages ? Tu as fait plusieurs films ? Bon sang, ils exagèrent ! Je vais aller engueuler ce Nick !— Reste là, Blondie. Et toi, ça va ? Où est passé Thomas ?— Il vient de partir ; il doit être dans l’avion ou presque. Il m’a dit de ne pas l’accompagner à l’aéroport et de venir à ta rescousse. Alors, tu n’es pas morte ? J’ai essayé de te joindre, boîte vocale. Ça te rappelle personne ?— Je file m’habiller. Ce soir, je vais chez Erika, la maquilleuse ; elle m’a gentiment invitée à partager son lit. Les mecs, j’en ai soupé pour aujourd’hui.— Ah ! Elle a l’air sympa ; tout à l’heure, elle m’a rassurée sur ton état.— Tu serais d’accord pour une nuit torride entre filles ? la taquina Katheleen. Enfin, seulement si Erika est OK...
Les yeux bleus de la maquilleuse s’illuminèrent quand la petite Irlandaise lui demanda si Mél pouvait se joindre à elles. Manifestement, elle avait cru se retrouver seule en voyant la Française arriver. Elle s’en ouvrit en anglais aux deux jeunes femmes :
— Je suis si contente ! Je pensais que Kath et toi allaient partir ensemble à votre hôtel. Vous serez les bienvenues chez moi. Je vous préviens, c’est tout petit. Mais j’ai un grand lit et plein de jouets.— J’ai hâte d’y être... répondit Mélanie. Merci de m’accueillir à votre soirée pyjama !
Erika rit de bon cœur, dévoilant de superbes dents aux incisives centrales écartées, les dents du bonheur.
— Tu sais, je ne crois pas que l’une d’entre nous portera un pyjama ou autre chose, cette nuit. Une blonde, une rousse avec moi et mes cheveux noirs, ça fait envie, non ? Et vous êtes si belles, toutes les deux...— Mais, s’étonna Mélanie, tu es super-jolie. Tu n’as rien à nous envier, sois-en sûre.— Merci, mais j’ai trente-quatre ans ; je n’ai jamais trouvé le prince charmant, juste des imbéciles qui voulaient profiter de mon corps.— Moui... remarqua Mél, ça confirme ce que je pense : les hommes sont des trous du cul. Enfin, presque tous. C’est comme les truffes : il n’y en a pas beaucoup, et il faut du flair pour les trouver. Mais quand tu as réussi, tu te régales.— C’est vrai, mais regarde où j’en suis, se désola Kath. J’ai trouvé ma truffe, mais elle est récalcitrante, celle-là. Et j’en suis réduite à faire l’actrice porno pour la retrouver.— C’est quoi, cette histoire ? voulut savoir Erika.
La rousse s’éclipsa pour s’habiller et se maquiller légèrement. Pendant ce temps, Mél expliqua à la maquilleuse/costumière les aventures de Kath avec Don, la fuite de celui-ci et le subterfuge imaginé pour le reconquérir.
— Ce Don, c’est Don Minga, l’acteur ?— Eh oui. On pensait qu’il était ici, mais...— Je l’ai vu il y a dix jours environ ; il est venu signer un contrat pour tourner chez XLegal. Oui, je suis aussi secrétaire à temps partiel ici, en plus de maquilleuse, coiffeuse, habilleuse. Mais plus hardeuse, j’ai pas trop aimé.— Tu as vu Don, alors ?— Oui, mais il ne nous répond plus ; il n’est pas passé voir Nick non plus. Il est convoqué pour demain, mais je ne sais même pas où il loge.
Katheleen revint sur ces entrefaites, pomponnée et ravissante : un corsaire noir moulait ses fesses et ses cuisses, et un bustier à rayures horizontales blanches et rouges sans bretelles épousait étroitement le galbe de son avantageuse poitrine. Juchée sur de petits escarpins vernis rouge vif, elle en jetait. Nick et Freddy avaient d’ailleurs arrêté de discuter pour reluquer les hanches roulant à chaque pas de l’Irlandaise.
— Les filles, je vous laisse cinq minutes : je dois entreprendre Freddy. Il va perdre la vue s’il n’arrête pas de mater le décolleté de Kath.
Elle s’approcha des deux hommes et emprunta l’Italien en le tirant par le bras.
— Viens, mon beau Rital, nous avons à parler. Et arrête de regarder ma copine : elle est prise, je te rappelle.— Ma ! Tu n’y es pas, Mélanie. Je ne connais pas cette jolie femme avec ses cheveux noirs et ses yeux bleus, elle travaille pour Nick ? C’est sa copine ?— Tu lui demanderas, mais je ne pense pas. Elle s’appelle Erika, est Pragoise et travaille bien pour XLegal comme secrétaire et maquilleuse. Bon, elle m’a donné des nouvelles : Don est à Prague mais il se cache. Tente de savoir où il loge, s’il a donné une adresse à Nick. Trouve-le et convainc-le de venir demain pour tourner. Pas question qu’il fasse faux bond une nouvelle fois.— D’accord ; je vais faire tout mon possible.
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