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  • Histoire érotique écrite par Anonyme
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Meli

Chapitre 1

Hétéro
Méli est une jeune fille élancée, fine, gracieuse, toujours enjouée, à longue chevelure blonde qui lui couvre les épaules. C’est la fille de nos voisins paysans, dans le village où nous avons notre résidence secondaire. Le mois dernier, le déplacement professionnel de ma femme pendant quelques jours, justement pendant les vacances, nous a incités à faire appel à elle. Ce n’était pas la première fois qu’elle venait ainsi, pendant les vacances, participer au ménage et à la garde des enfants, mais c’était la première fois qu’elle me troublait, et qu’elle me troublait vraiment beaucoup. J’allais, quand je le pouvais, que j’étais seul, dans sa chambre, humer ses habits, ses sous-vêtements, ses draps.J’ai eu du mal à trouver sa dernière petite culotte, qu’elle n’avait pas encore eu le temps de laver, sous son matelas !! Elle avait dû la porter plusieurs jours, car elle était vraiment très sale. Je suis allé jusqu’à lécher, et même sucer le suc déposé dans l’entrejambe, je m’en suis enduit les narines pour avoir l’odeur plus longtemps. Ce jour là, le jour même du départ de ma femme d’ailleurs, nous étions, moi, elle, et les deux enfants dans le petit hall de l’appartement que nous habitions. Elle les habillait, les préparait pour qu’ils puissent aller jouer dans le sable au pied de l’immeuble, sous la garde d’une maman voisine. Le petit dernier chahutait avec elle, pendant qu’elle lui laçait les souliers, accroupie, et il s’est mis, un moment, à glisser sa main dans l’échancrure de son petit pull, dans son dos. Elle lui dit d’arrêter, qu’il devait savoir qu’elle était très chatouilleuse. Il s’est effectivement arrêté, passant à une autre facétie, mais moi, posté juste à côté d’elle, je n’ai pas pu m’empêcher de faire pareil. J’ai glissé ma main dans son dos. C’était la première fois que je la touchais. Elle s’est complètement immobilisée, alors que ma main descendait le long de son dos, passant l’attache du soutif, jusqu’à la taille presque. C’est mon fils qui, impatient de descendre jouer, l’a obligée à bouger. Elle s’est redressée, sans me regarder, du rose aux joues, est sortie avec les enfants, et a dit, en fermant la porte, mais toujours sans oser me regarder : ’Je remonte tout de suit...’ C’était on ne peut plus clair ! J’ai entendu l’ascenseur descendre, s’arrêter pendant plusieurs minutes, repartir, la porte de l’ascenseur s’ouvrir, celle de l’appart. Elle est entrée, les yeux baissés, s’est retournée pour fermer le loquet, puis s’est adossée à la porte, les bras derrière le dos, et a attendu comme ça, les yeux toujours baissés. Là, je me suis mis à bander comme un âne ! La belle petite Méli, là, à ma disposition, à attendre que je la touche, que je la caresse, que je la parcoure !! Je me suis approché d’elle, et l’ai prise dans mes bras ; et là j’ai été encore plus surpris, car, non seulement elle n’a eu aucun mouvement de recul, de résistance, mais elle s’est abandonnée, tendrement, à mon étreinte, sans aucune gêne. Elle était collée à moi, sans retenue, et elle sentais sûrement mon sexe dressé contre elle ! J’avais mon visage dans son cou, son odeur m’envahissait. J’ai commencé à déplacer mes mains dans son dos, elles sont descendues à la lisière du pull, sont remontées sous le pull en caressant la peau, jusqu’à l’attache du soutif, qui a sauté en un rien de temps. J’ai soulevé le tout jusqu’aux épaules, et ai pu contempler les plus mignons petits seins que j’ai jamais vus !! Je l’ai alors retournée, son dos contre moi, mon sexe plus dressé que jamais contre son postérieur, et je l’ai pelotée des deux mains, pelotée, pelotée. Ses petits seins étaient extrêmement fermes, ses mamelons érigés, et elle respirait fort. Puis je lui ai enlevé le pull et je l’ai replacée face à moi, et là on s’est regardés, les yeux dans les yeux. Elle m’a souri, d’un sourire limpide qui restera gravé dans ma mémoire. Une nymphe blonde, torse nue, que je me suis remis à peloter, caresser. Je lui ai suçoté les mamelons, l’ai léchée dans le cou, autour des lèvres, dans le visage. J’ai mis mon nez sous ses bras, qui n’avaient qu’un très léger duvet blond. Je l’ai léchée dans le cou, dans le dos, mes mains caressant ses fesses, son sexe, à travers son jeans. Je me suis alors attaqué au bouton de son jeans, mais là, elle a dit non. J’ai insisté, lui ai demandé pourquoi, elle n’a pas voulu aller plus loin ! Il était 11 heures, il fallait qu’elle s’occupe des enfants. Moi même je devais partir, je lui ai remis son soutif, son pull, et avant de nous quitter, nous nous sommes embrassés, profondément, pour la première fois. Le soir, nous avons dîné avec les deux enfants, je leur ai lu une histoire, et elle les a couchés. Je me suis mis en robe de chambre, au salon, et me suis mis à lire le journal. Je l’ai entendue aller à la salle de bains, où elle est restée très longtemps. Allait-elle venir me dire bonsoir avant d’aller dans sa chambre, comme elle le faisait toujours quand ma femme était là ? Allait-elle vouloir qu’on s’arrête là, ou bien . J’ai entendu la porte de la salle de bains s’ouvrir, elle est allée dans sa chambre, puis je l’ai entendue venir, toquer à la porte, comme toujours. Mais là, elle est entrée, sans que je l’y invite, et s’est adossée à la grande armoire qui se trouvait face à moi, les bras derrière le dos, les yeux baissés à nouveau !! Elle s’offrait carrément à moi, avec sa petite jupe courte et sa blouse en coton, qui laissait voir son nombril ! Ce matin, j’avais pu prendre possession de tout son haut, et là, c’est sûr, elle allait me permettre d’explorer tout son bas !! Pas question de m’épancher en elle, non, sûrement pas, mais prendre mon plaisir, et lui donner du plaisir, j’en avais une grande envie, et à nouveau, en un rien, j’étais au garde à vous. Je me suis levé en laissant tomber ma robe de chambre, et j’ai enlevé mon slip, face à elle. Elle a regardé mon sexe tendu, sans aucune gêne, alors que je m’approchais d’elle, tout nu. Je l’ai à nouveau prise dans mes bras, et on s’est collés l’un à l’autre. Puis j’ai déboutonné sa blouse, ai détaché son soutif, et l’ai enlevé savamment, par les manches, sans enlever la blouse. Puis je l’ai recollée à moi, son visage était au niveau de mes mamelons, que je lui ai fait lécher et sucer, l’un après l’autre : j’ai les mamelons très sensibles, et ça m’a terriblement excité. Nous nous frottions l’un à l’autre, mon sexe nu et dressé contre son ventre, ses seins fermes, son visage parcouru par ma bouche, son cou, son dos... Je l’ai alors emmenée jusque sur la table du salon, en lui demandant de s’y asseoir, puis de s’y mettre à quatre pattes, ce qu’elle a fait en rigolant. Elle avait son cul juste devant mon visage. Je me suis mis à malaxer ses fesses, très fermes, très fines. Et mes mains ont commencé à s’égarer dans la raie, en écartant la petite culotte blanche, qui était très peu tendue. Elle a d’abord refusé que je lui écarte les fesses pour accéder à son petit trou, mais j’ai insisté doucement, et à la fin c’était OK. Il sentait bon le propre, même un peu le savon. J’y ai dardé ma langue, puis l’ai léchée là, grassement. Ca avait l’air de lui plaire énormément, à voir comme elle se trémoussait. Puis progressivement, je suis descendu vers sa fente. D’elle même, elle a écarté ses genoux mais soulevé son cul, pour que mon accès soit plus aisé. Sa petite culotte était toujours là, je lui avais donné encore un peu plus de mou. Elle avait très peu de poils, très petits, et blonds mais pas aussi clairs que ses cheveux. Je lui ai délicatement écarté les lèvres, et ai pu contempler le plus magnifique petit intérieur que j’aie jamais vu : un rose clair vif, bordé d’un filet de brun, des petites lèvres à se pâmer, un orifice vaginal un peu englué, que ma langue a doucement parcouru et pénétré, un joli petit clitoris que ma langue a fait sortir de son capuchon. Mon nez, puis tout mon visage, a remplacé ma langue, pendant que je lui écartais les fesses au maximum. J’étais de plus en plus excité, j’avais du mal à me contrôler. Je l’ai faite redescendre de la table, je lui ai enlevé sa culotte, je me suis allongé sur le dos, sur le canapé, et lui ai demandé de se mettre sur moi, à califourchon, de poser son sexe sur ma bouche, sur mon visage. Elle s’est mise à se frotter sur mon visage pendant que je la léchais tout du long, du clitoris à l’anus. Elle a même pris ses doigts pour s’exciter, et quand j’ai introduit doucement mon index humide dans son petit trou, elle s’est mise à jouir, en émettant une espèce de sanglot. Une fois qu’elle était calmée, je l’ai incitée à se pencher vers l’avant, sa bouche s’est tout naturellement emparée de mon sexe, et alors, je n’ai pas pu m’empêcher, moi aussi, d’exploser. Très surprise, elle en avait plein la bouche, elle s’est redressée, et a pu assister à la suite de l’éruption. On est resté longtemps comme ça, elle sur moi, à l’envers, nos sexes contre nos bouches, et nos ventres englués.
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