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Mélissa, ma jolie jeune black soumise.

Chapitre 3

SM / Fétichisme
— Tu es déçu ? Lui demandais-je.— Non, si Monsieur Jean est fatigué, rentrons.
La petite peste, elle m’avait piqué au vif. Je me mets face à elle et lui remonte le menton. Elle me fixe, me défie.
— Je te préviens, ce n’est pas un sauna tranquille comme les autres. Il est bourré de pervers, de vieux qui ne baisent plus leur femme. Tout ce qu’ils veulent, c’est de se vider les couilles.— Un vide-couilles, c’est pas ce que vous vouliez que je sois ?— Je pensais que tu en avais eu assez.— Monsieur Jean se trompe. J’aime la queue et j’ai encore soif.— Soit, allons-y, c’est à deux rues.
L’intérieur du sauna était des plus basiques. Les vestiaires, mixtes, donnaient sur une grande salle carrelée et surchauffée. Je me mets à poil, le bâton de Maréchal au garde-à-vous. Elle m’imite. Je l’entraîne dans cette salle et commence à la peloter. Elle écarte les cuisses.
— Mets-toi en position d’attente. Jambes écartées, cambrée, poitrine bombée et les mains croisées sur la nuque. Plus un mot. Compris ?
Ça y était, j’avais une nouvelle soumise, et quelle pièce ! Je la fais s’avancer au centre de la pièce. Déjà deux mecs pas très beaux, pas très bien membrés s’avancent en se branlant doucement. Je me mets derrière elle.
— Tu vas t’accroupir en gardant les mains sur ta nuque et les cuisses ouvertes. Tu vas les pomper et en jouir. As-tu bien compris ?— Oui, Monsieur Jean.
Elle se met dans la position attendue. Les deux gars approchent leur queue du visage de la belle grosse Black. Ils me félicitent de ma compagne. Ils sont aux anges quand elle saisit leur queue tour à tour. Elle joue de la langue et semble se délecter de ces deux sucres d’orge. Elle bave sur ces deux pénis. Bientôt elle en a quatre à honorer. Elle s’applique en me regardant. Un des gars, le mieux membré, lui saisit la tête et imprime la cadence et la profondeur. Elle régurgite de la salive entre ses seins. Ça lui passe sur son nombril, sur son sexe avant de goutter au sol. Je lui souris. Je vois dans ses yeux toute la béatitude qu’elle ressent. Je sais que c’est pour moi qu’elle s’applique. Les trois autres ne sont pas en reste. Les vieux pervers s’acharnent sur ses tétines, sur sa chatte. Elle gémit. Le plus balaise se vide vite fait dans sa bouche et lui demande de recracher sa récolte entre ses seins.
Un des trois autres se met allongé sur le dos entre ses cuisses et ramasse ses sécrétions abondantes avec le sperme du premier. Elle pompe toujours avec délectation. Le second s’agenouille et lui plante son mandrin dans le sexe. Elle hoquette, mais garde une queue en bouche. Celui qui lui suce le clitoris lèche la queue recouverte de mouille. Des autres hommes s’approchent. Bientôt, ils sont pas moins d’une petite vingtaine à s’occuper d’elle sans la ménager. Ils jouissent à tour de rôle. Quand un trou est libre, un autre s’en occupe. Elle est debout, buste courbé pour sucer, chatte remplie ou léchée. Ses tétons sont triturés, ses seins malaxés. Ils la mettent en levrette. Elle se prend des coups de piston virulents. Tous y vont gaillardement. Elle s’affaisse, rapidement remise en position. Ils lui font lécher le carrelage. Elle se régale de ce sperme perdu.Quand ils en ont fini, ils s’éloignent en la complimentant de sa performance lui disant qu’elle doit revenir bien vite.
Ce n’est plus qu’une loque nageant dans une mare de sécrétions peu ragoûtantes. Je lui demande de se remettre en position, ce qu’elle fait avec difficulté.
— Alors. Heureuse ?— Oui, Monsieur Jean. Mais vous ?— J’ai pris grand plaisir à te voir prise par ces vieux dégueulasses. Tu as vu comme je bande ? Et c’est grâce à toi. As-tu pris du plaisir ?— Avec vous à mes côtés, oui. J’aimerais revivre l’expérience, mais attachée.— C’est prévu. Allez, à la douche, petite traînée.
Elle rigole en courant vers les douches. La voir se savonner ne diminue pas mon état d’excitation. Je pars me rhabiller. Quand elle arrive, elle a l’air plus joyeuse que tout à l’heure.
— Tu seras punie, et dès ce soir.— Pourquoi ?— Pour m’avoir forcé la main, et doublement pour m’avoir posé cette question. Allez, en route.
Arrivé chez moi, je lui donne sa tenue et lui demande de la mettre sur un cintre. Elle revient nue et se met en position. Je lui donne l’énorme paquet que m’a donné la vendeuse. Elle en sort un plug, de bonne taille, et une paire de pinces à seins. Sous mes ordres, elle les pose sur la table basse du salon.Je tourne autour d’elle. Sa respiration s’accélère. Ses seins bandent. Je lui caresse les fesses. Elle mugit. Quand je remonte sur ses seins, elle frissonne.
— J’ai envie de t’enculer.— Oh... Oui, Monsieur.
Je me cale dans son dos. Elle se cambre. La chaleur de sa peau m’irradie, m’attire. Je lui écarte les fesses, découvrant son petit tunnel. J’approche mon gland de son passage interdit et elle se raidit.
— Détends-toi...— J’ai peur. C’est la première fois, avec votre énorme queue...
Je lui fais un massage du dos et de l’anus. D’un coup je lui force sa porte arrière. Mon gland est passé, comme aspiré. Elle respire fort. Je continue ma progression dans son rectum. J’y vais progressivement pour ne pas lui faire mal. Quand mon pubis rencontre ses fesses, je pousse encore plus en avant. Elle ondule du bassin, et par effet du cul. Elle me broie la queue. Alors je me retire jusqu’au gland et la pénètre d’un coup. Elle arrête de respirer et de tortiller du cul. Docile, soumise, elle m’accepte. Je reviens progressivement. Son souffle augmente en intensité et en force. Elle serre ses sphincters autour de ma verge. Je la burine maintenant. On transpire tous les deux. Elle ahane, moi aussi. J’en ai connu, des culs, mais pas d’aussi accueillants. Cette fois-ci, je la ramone de bon cœur. Elle a posé sa tête sur la table. Ce spectacle m’excite. Je lui claque les fesses une à une. Elle a des périodes d’apnée. Je sens que je ne vais pas tenir. Normal, avec ce que j’ai vu cet après-midi.
Je la tiens par les hanches. Elle gueule, me suppliant d’y aller plus fort, plus loin. Son gros cul est cramoisi, transpirant, offert. Je regarde ma tige sortir et se renfoncer au fond de son séant. Je me raidis et déverse mon sperme en de longs jets bouillants. Elle jouit.Je m’affale sur son dos et lui dis à l’oreille :
— Tendre punition, non ?— Oh... Oui... J’aime être punie de la sorte. Hummmm, vous m’avez cassé le cul. Han...
Doucement, je débande et sors de son joli fessier. Quel spectacle de voir son anus dilaté tenter de se refermer. Dans un élan de lucidité, je lui fourre le plug.
— Ahhh, Monsieur Jean. Je n’en peux plus.
Cela fait bien 15 minutes que je l’ai laissée en appui sur la table, et en bonne soumise elle n’a pas bougé, attendant mon bon vouloir. Je regarde son dos, ses fesses et ses seins qui débordent de chaque côté. Sa peau dégouline de sueur. Je sors sur la terrasse, m’allume un cigarillo, me sers un pastis. Elle vient me rejoindre et s’assoit par terre, à mes côtés. Elle est morte : manque d’entraînement. Je suis mort : manque d’endurance. Je rigole intérieurement. Je suis tombé sur une jeune nympho, une insatiable de sexe, et cela m’ouvre plein d’opportunités. Elle dort. Je me lève discrètement et prends mon portable.
— Bonsoir. Sex-shop des Platanes.— Bonsoir, Mademoiselle. Je suis venu cet après-midi avec une belle Black.— Oui, oui, je me souviens très très bien.— Ce que je vais vous dire vous choquera peut-être, mais à quelle heure finissez-vous ?— Euh, à 22 heures. Pourquoi ?— Ne faites pas l’innocente. Vous aimez bien ma compagne - enfin, ma soumise - et elle vous aime bien. Que diriez-vous d’un rendez-vous chez moi ce soir ?— Euh... Je peux vous rappeler ?— Bien sûr. À tout à l’heure.
Ce laps de temps me permet de faire prendre une douche revigorante à Mélissa et de me rafraîchir aussi. On grignote. Je lui demande si elle a aimé ma sodomie. Elle m’en fait l’éloge et est prête à recommencer. Petite impatiente, t’inquiète... tu vas en avoir, des queues ! Mais pour le moment, c’est d’une langue réparatrice que tu as besoin.Mon téléphone sonne. Appel inconnu, pas pour longtemps.
— Allô ?— Oui, c’est Géraldine... La vendeuse...— Oui, du sex-shop.— Hihihi, oui, c’est cela. J’ai fini ma journée. Que me voulez-vous ?— Que tu nous rejoignes, moi et ma petite pute de Mélissa. Je veux la voir jouir avec une autre femme. Elle sera attachée... et nue, évidemment.— C’est pas que l’idée ne m’intéresse pas, mais je ne suis pas véhiculée ce soir. Mon père doit venir me chercher. Par contre, demain je suis de repos.— Va pour demain ; je t’envoie mon adresse par SMS. Bye, à demain.— A demain.
Mélissa est au milieu du salon, en position. Qu’elle est belle est désirable... Elle ne me regarde pas. Je lui lève le menton et l’embrasse. Je lui dis ce qui l’attend demain. Elle frissonne, non pas qu’elle ait froid, mais de joie. Il est temps d’aller se coucher : demain risque d’être une longue journée !
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