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Mélissa, ma jolie jeune black soumise.

Chapitre 15

SM / Fétichisme
À mon retour, je les trouve enlacées en train de papoter. Mél est assise sur le divan d’extérieur et Laure est sur ses genoux, Jambes largement ouvertes. Elles rigolent et en me voyant, elles partent dans un fou rire.
— Hé bé, je vois que l’on s’amuse bien ici. On dirait des pies qui jacassent.— Laure me disait qu’elle était hôtesse dans une boîte à partouze.— Oui, tu sais, les boîtes de ce style sont monnaie courante.— Le "Clair Obscur", Monsieur connaît-il ? Me questionne Laure.— Oui fort bien pour l’avoir assidûment fréquenté il y a quelques années.
Effectivement, je connais fort bien le Club en question. J’y allais avec la petite Li. C’est un endroit fort charmant et accueillant du moment que vous ameniez votre soumise ou soumis. Donc c’est un club à connotation Sado-Maso. La particularité de cet endroit est qu’il ne possède pas de salle spécifique, tout se fait à la vue de tous. Il y est même permis de baiser sans retenue aucune les hôtesses. Je souris en repensant à Li attachée, écartelée, suspendue ou simplement à quatre pattes, la chatte dégoulinante de sperme.
— On y va ce soir, me demande Mélissa en me sautant au cou, j’en ai très envie. S’te plaît.— Tu sais que là-bas, il y a des Dominateurs plus sévères que moi.— J’m’en fous...— Le Dress-code ? En m’adressant à Laure.— Le noir pour les Maîtres et le nu pour les esclaves. Ils ou elles doivent être tenus en laisse.— OK, on y sera pour 22 h 00.
Le reste de la soirée se passe calmement. Mélissa est tout excitée. Elle veut me tailler une pipe, je la refoule, lui disant que ce soir elle aura sa dose... Laure nous dit qu’elle s’en va pour se préparer pour son boulot, qu’elle sera heureuse de nous réserver une place VIP.
20 h 30, je téléphone à Kathy. Je lui explique la soirée et lui demande si la poitrine de ma soumise supportera les mauvais traitements. Elle me rassure sur ce problème et m’indique qu’il y a tout ce qu’il faut dans la grande armoire de la chambre. Effectivement, il y a tout ce qu’il faut, mais je ne m’attarde pas et prends le strict nécessaire.
C’est moi qui donne sa douche à Mél et je la lave en "profondeur", si vous voyez ce que je veux dire. Je lui passe ensuite un lubrifiant comestible et sans odeur. Hummm, j’en mangerais. Je lui dis d’aller se maquiller et d’insister sur le rouge à lèvres. Je prends ma douche et moi aussi, mon fondement y passe. Bien que je ne sois pas bi, j’aime être propre de partout.Quand je reviens dans la chambre attenante, Mélissa m’attend dans une position que je ne lui connaissais pas. Jambes en Y inversé, bras tendus à l’horizontale. Elle est magnifique et le lui dit en la gratifiant d’un petit bisou sur les lèvres.Je lui passe un collier, son collier blanc avec ses strass. Aux poignets et aux chevilles, je lui pose quatre bracelets en cuir blanc également. Elle est parfaite ma petite soumise avec ses apparats, luisante à souhait, elle va faire un malheur. Elle redescend ses bras et me demande :
— Comment dois-je t’appeler dans ce club ?— Monsieur Jean et baisse les yeux.
Je m’habille donc avec mon jean imitation cuir noir et d’un marcel noir, façon filet de pêche et d’une veste légère. Pas de dessous, inutile. J’attache une chaîne à son collier et entrave ses bras dans son dos et ses chevilles par des chaînettes.
— Prête ?— Oui, Monsieur Jean. Mais Monsieur Jean a oublié quelque chose. Me dit-elle en me présentant un plug de bonne taille dans l’armoire.
Je souris et le lui mets. On roule un court instant. Je sors Mél de la voiture et la tire à moi.
— A chaque fois que je m’arrêterai, je te veux accroupie, jambes écartées.— Bien, Monsieur Jean.
On poursuit notre route. Pas longtemps car le Club est à quelques mètres. Je sonne. Mélissa se met en position. Je lui flatte le haut de son crâne.
— Brave petite chienne... Lui dis-je avant que la porte ne s’ouvre.
Un colosse noir nous accueille. On entre et on nous invite à régler la "participation" plus que substantielle qui donne l’accès au lieu. Il y a du monde, pas à se marcher dessus, mais du monde quand même. Je vais au bar. Mélissa se met en position. Je m’assois sur un des tabourets de bar, Mél entre mes cuisses. Je regarde la faune présente. (Je vous la décrirai au fur et à mesure de mes pérennisations dans ce lieu dédié aux plaisirs du sexe et pas que.). Bon nombre de regards envieux se portent sur ma Négresse. Bien que je n’aime pas ce mot, il faut bien admettre qu’elle est la seule fille de couleur dans cette assemblée, mis à part une Nord-Africaine de toute beauté. Les seins haut et lourd, des hanches de procréatrice parfaite, et un ventre parfaitement plat. Elle est tenue par un mec ventripotent du triple de son âge. Jolie démonstration de l’hétéroclisme qu’il peut régner dans ce genre d’endroit. Un paradis pour Pierrot.Le colosse noir vient à ma rencontre. Il se confond en mille excuses, ne sachant pas que j’étais l’invité de Laure. Il me dit que ma transaction était annulée et me demande de le suivre. Il nous emmène dans un coin équipé d’une croix privative.
— Je vous amène du champagne ?— Pour elle, oui. Pour moi une H...— Bien Monsieur. Me dit-il d’un air étonné.
Je regarde l’arabe qui est en train d’essayer de donner de la vigueur à la queue molle de son Maître. Elle le suce avec dégoût, ça se voit. Il reste inerte à la fellation, quel pauvre homme. Mél est assise par terre. Je lui tends une coupe que le molosse, Daniel, vient de servir. Je le questionne sur la Maghrébine et son Maître. Il me répond que c’est une habituée. Qu’elle est adepte de l’avilissement et entraîne toujours un vieux dans ses recherches et que si je veux, il peut lui toucher un mot.
— Dites-lui de m’attendre dehors vers minuit, j’ai quelque chose à lui proposer.— Bien Monsieur.
Il est temps que je m’occupe de mon esclave du jour. Je me lève et entraîne ma blackette vers la croix, à laquelle je l’attache. Il ne faut pas longtemps pour que des mecs et des nanas soient intéressés par la croupe et les seins de ma jolie black. Je vois Daniel, nu, qui est amené vers ma soumise par une maîtresse de charme qui n’est d’autre que Laure. La salope, elle a bien mené son jeu. Bientôt, l’immense black retire le plug de Mél avec les dents et lui dévore l’anus. Laure s’assoit à côté de moi.
— Ils vont bien ensemble, non ?— Elle a une sainte horreur des blacks.
Mél me regarde avec le regard apeuré. Il ne faut pas plus pour dire à Daniel de prendre cette pute et jouir en elle, dans son fondement de préférence. Le colosse se lève et se plaque contre Mélissa qui tremble et pleure. Laure m’a sorti la queue et me la masse lentement en me faisant des bisous dans le cou.
— Tu vas voir, c’est un véritable étalon. Aucune ne résiste à son énorme pâle.
Il se recule et là, stupeur. La réputation n’est plus à faire. Un foret de marteau-piqueur, un truc énorme. Il dirige son phallus vers l’anus de Mél qui serre les dents en pleurant. Il pousse, pousse jusqu’à ce que le sphincter de Mélissa cède. Elle a la bouche grande ouverte cherchant son souffle. Sa poitrine est gonflée, ses tétons sont bandés. Qu’est-ce qu’elle est belle ainsi embroché par un monstre noir. Il la pénètre sans s’arrêter, sauf quand son pubis vient cogner les fesses de Mél qui ne dit rien. Juste un regard vers moi. Je regarde Daniel qui attend l’autorisation. Je lui fais un signe la tête, j’ai donné le coup de grâce. Il ressort entièrement avant de s’enfoncer à une vitesse folle. Mélissa accuse le coup de cette énorme bite sans rien dire. Elle pleure mais ne dit rien. Elle accepte sa condition de soumise. Il est temps de passer à la vitesse supérieure, mais pour l’instant je la laisse aux mains de ce monstre black. Je me lève donc, sous le regard plein de stupeur de Mélissa.
— T’inquiète, tu es entre de bonnes mains. Laure surveille.
Elle ferme les yeux et se pince les lèvres. Son tourmenteur la prend avec douceur pour faire durer le plaisir. Je lui tape sur l’épaule.
— Fais gaffe, c’est peut-être ma soumise, mais j’y tiens.— Ne vous inquiétez pas mais cela fait longtemps que je n’ai pas baisé une de mes congénères. Je vais en prendre soin, croyez-moi. Me répond-il en me faisant un large sourire.
C’est l’esprit tranquillisé que je pars à la rencontre de la belle Maghrébine. Elle s’acharne toujours sur le chibre du pauvre vieux. Il ne semble même pas remarquer que je la lui enlève et continue de discuter avec une vieille habillée d’un ridicule costume de Cat-Woman. Pour ne pas déroger à la règle, c’est par la laisse que je l’emmène dans mon salon. Mél est prise en sandwich par un jeune gars tenu en laisse par une jolie géante de mon âge. Je lui souris, elle ne se déride pas. Elle encourage son jeune éphèbe à y mettre du sien. Il embrasse Mélissa à pleine bouche. Elle prend son pied ma grosse salope. Le colosse noir est toujours fiché dans le cul de Mél, il semble que ça lui plaise.
Je m’installe de façon à voir le spectacle. Ils sont beaux, je m’attarde, suis la verge blanche qui rentre et sort du con de ma soumise. Sans être énorme, elle me semble longue.Je me retourne vers la soumise maghrébine qui s’est assise à même le sol et a posé sa tête sur ma cuisse. Elle me dit s’appeler Bachira et qu’elle est Marocaine. Qu’elle a 25 ans, qu’elle adore la queue et les plaisirs du sexe. Je la questionne sur le mec qui l’accompagne. Elle me répond que c’est un vieux qui l’avait dragué cette après-midi sur la plage. Rien de plus.
Je l’invite à me chevaucher, chose qu’elle fait mais je lui interdis de s’embrocher. Son parfum me titille les narines. Mélange subtile de patchouli et... Je ne sais quoi. Je lui saisis un téton et tire dessus. Elle souffle. Je l’embrasse à pleine bouche. Ça langue est fraîche et joueuse. Je bande pour cette fille mais mon jean me gêne. Je lui demande de me l’ôter. Par des gestes sûr et précis, je me retrouve à poil avec une gaule d’enfer. Je la pousse pour qu’elle se retrouve à genoux. Elle écarte d’elle-même les cuisses. Je peux voir son abricot luisant avec un fin cordon de poil. Je m’avance sur mon siège et lui appuie sur la tête. Le message est clair, elle me gobe lentement jusqu’au pubis. Elle arrive même à sortir la langue et à me titiller les couilles. HUMMM !!!
Je force mon bassin à remonter vers cette bouche gourmande et avide de sexe. Je lui saisis le haut de son crâne et la force à me manger la bite à une vitesse folle. Elle bave plus que de raison, le fauteuil me colle aux fesses. Elle aime ce traitement puisqu’à chaque fois que j’abandonne sa bouche, elle me sourit et retourne d’elle-même à la besogne. Elle y met tout son cœur, elle a faim de sexe. Le point de non-retour est atteint et je lui lâche de longues salves de ma semence au fond de sa gorge. Je la sens déglutir. Elle prend soin de ne rien perdre. Dans cet événement, je n’ai pas vu que Mélissa enchaîne les partenaires dans sa chatte. Le colosse ne semble pas prêt à laisser sa place. Bachira me nettoie consciencieusement la teub. Je lui caresse la tête. Je bande toujours autant.
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