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Mélissa, ma jolie jeune black soumise.

Chapitre 16

SM / Fétichisme
Bachira me nettoie consciencieusement la bite. Je lui caresse la tête. Je bande toujours autant.Je libère Mélissa, Daniel la porte jusqu’à une table basse de libre, la met à quatre pattes et l’enfiche à nouveau. D’où je suis je peux voir l’énorme bite couleur ébène coulisser dans le large cul de Mél.
— La charge finale, me dit Laure en caressant les fesses du black, il ne résistera pas longtemps à ce traitement.
Elle lui caresse le cul, et se penche pour y déposer des bisous bien baveux. Effectivement, il se bloque et dégorge de longues saccades de foutres au fond de l’anus de sa partenaire. Après s’être bien vidé, il sort en se tenant la bite. Mélissa se retourne et lui gobe l’engin pour le nettoyer. Bien Mél, tu es devenue une experte.
— Elle est belle, me dit Bachira, on en mangerait.— Mais, je t’en prie.
À quatre pattes, elle se dirige vers l’anus et le sexe de Mélissa et entreprend un savoureux nettoyage. Je rebande. Incroyable. Daniel s’en va tout propre.
— Alors, salope, tu t’en es pris plein le cul et la chatte ?— Hummm, oui et merci Monsieur Jean. J’aime être votre salope, votre pute, votre objet...
Je rappelle Daniel pour qu’il nous serve à boire. Un petit clin d’œil de sa part pour me dire qu’il a compris. Il revient très vite avec le champagne et ma Heineken. Il s’assoit à côté de moi.
— Elle est vraiment magnifique votre grosse guenon. J’espère que Madame Laure m’autorisera à la revoir.
Son langage, un peu réducteur, ne me choque pas. Il est vrai qu’entre gens de couleur, ça passe mieux. Il se caresse la bite qui est revenue au repos et admire Bachira.
— Jamais pu la baiser, elle fricote que les vieux.— Oh, merci pour moi !— Non, je ne parlais pas de toi, tu t’es bien débrouillé mon cochon.
Son tutoiement et son langage ne me dérangent pas, je veux en faire un ami et je verrais bien ce jeune black dans le "salon" de mon ami légionnaire. Mais il se fait tard, ou très tôt. Je vais au vestiaire pour tirer une carte de visite que je donne à Bachira.Mélissa vient boire un verre quant à Bachira, elle nous quitte à regret et nous dit à très vite. Mél s’est assise sur la table, cuisses largement écartées, ce qui ne calme pas mon érection. Je lui caresse son bouton d’amour. Elle part en transe, elle se liquéfie sous mes doigts. J’ai envie d’elle. Je lui montre ma bite. Elle vient me monter de dos, elle pose sa tête sur mon épaule et masse mon sexe avec ses muscles vaginaux. D’une je joue avec ses tétons et ses piercings, de l’autre je lui titille son clitoris. Elle feule, la salope. Comme je l’aime ma grosse black. Elle remonte laissant ma queue trempée de ses sécrétions. Elle m’embrasse à pleine bouche. Je la laisse maîtresse du jeu. Elle monte et descend lentement en poussant des soupirs. Mes mains ne peuvent pas quitter ses mamelles. La douceur de sa peau n’a pas de comparaison si ce n’est celle de la soie. La cochonne de Laure vient, alternativement, me gober les couilles, de me lécher la bite. À ce petit manège, je ne tiens pas longtemps et déverse mon sperme dans la matrice de Mél. Laure me nettoie la queue. Je me relève et arbore encore une érection. Je me promène dans ce club et là, nouveauté, une série de glory-hole. Je vais chercher ma soumise et lui demande de pomper ces dards qui se présentent. Sans rechigner, elle pompe sans relâche. Sa bouche aspire, coulisse sur des bites ramollies, quelque une encore performante, des grosses, des petites. Elle y met tout son savoir.Je suis avec Laure au bar. Elle me sert et s’assoit sur le comptoir, sa chatte largement exposée à ma vue. J’embrasse son abricot, elle s’avance au bord du comptoir. Elle s’appuie en arrière sur ses bras. Elle ne ferme pas les yeux, elle me regarde et me sourit. Concentré sur mon œuvre, je ne vois pas arriver une jolie blonde qui doit avoir l’Age minimum requis pour ce genre d’établissement. Elle me regarde donner du plaisir à Laure et se passe la langue sur ses lèvres. Je lui laisse la place. Elle se jette sur le sexe gluant.Je repars voir Mél pour savoir si elle veut rentrer.
Elle est trop occupée. Je retourne m’assoir dans mon coin VIP.5 h 00 du mat. Cela fait presque 7 h 00 que l’on est dans la boîte à baise. Je bande toujours, moins fort, mais je bande. Daniel, prévenant, me tend une bière. Il s’installe avec moi, sa cuisse touchant la mienne. Je ne suis pas bi, je l’ai déjà dit. Mais ce contact sur sa peau m’électrise. Il ne m’en porte pas ombrage.
— Tu es bi ? Je lui demande.— Oui, me répondit-il. Sucer une queue, me faire prendre, prendre un mec ne m’a jamais rebuté. Et toi ?— Non, je suis un pur hétéro.— Dommage, me dit-il, mais je t’apprendrais à tenir plus longtemps. Une technique Afro.
En me parlant, il a glissé sa main sur ma cuisse et remonte vers mes couilles. Je ne dis rien, je le laisse faire. Il baisse la tête et me gobe le gland, la bite. Mélissa, qui est revenue, m’enlace par-derrière.
— Monsieur Jean ? On succombe ?
Daniel la regarde et lui sourit. Je me cale profondément dans mon fauteuil et regarde Mélissa. Elle a ce regard amoureux qui me fait fondre, fait que je me laisse faire. Daniel a commencé à me bouffer la bite, il bave, éructe. Bon Dieu de merde, c’est la meilleure pipe que l’on m’a faite. Mélissa me caresse la poitrine tout en m’embrassant. Je ne vois plus Daniel, ce qui ne me dérange pas, bien au contraire. Je me concentre sur cette bouche chaude et accueillante. Mon jus remonte dans ma queue. Mes cris de jouissance sont étouffés par les baisers de ma grosse black.J’éjacule. Ma jouissance est immense. C’est comme de la lave en fusion qui se déverse dans la gorge de Daniel. Consciencieux, il me lave la queue. Divin, il insiste sur mon méat.Puis, sans rien dire, il se lève et s’en va rejoindre sa Maîtresse Laure qui a tout vu. Elle me fait un sourire et s’en va avec son colosse noir.Mélissa me cajole mais ne dit rien.
— Mél, on y va,— Oui, Monsieur Jean. Venez.
Encore perdu dans mes pensées, je la suis jusqu’aux vestiaires. Le retour jusqu’à la villa est des plus silencieux.Mon réveil est agréable mais je sens le sexe, la dépravation. Je m’extirpe de mon lit et vais à la douche. Vu l’odeur qu’il y règne, Mélissa a dû en prendre une. Je me rase, me douche et rejoins ma belle. Elle est affairée dans la cuisine. Je la regarde, mais qu’est-ce qu’elle est belle. Elle se retourne et me dit que le petit-déjeuner est servi en terrasse. Je m’installe. Croissants et chocolatines (on est dans le Sud) m’attendent. Elle me sert un café. Le bruit de cigales nous accompagne. Je lui propose de se détendre au bord de la piscine. Elle me dit qu’elle aimerait aller faire deux courses. Je suis content qu’elle commence à prendre confiance en elle et en moi. Il n’y a plus de tabou.Après m’avoir embrassé, elle part en sautillant vers la villa pour se préparer. Je me lève de mon transat avec la queue tendue. Je passe vite fait un shorty et un tee-shirt. Au sortir de la chambre, je la vois plus belle et désirable que jamais. Cette jeune fille est mon rayon de soleil. On décide de partir à pied, le centre-ville n’étant pas loin. On déambule dans les rues commerçantes du vieux village. Je la tiens comme un jeune amant tiendrait sa jeune amie.
— Jean, je suis bien, là. Je t’aime.— Moi aussi, je t’aime ma puce.
Elle s’arrête de marcher et se tourne vers moi et se pend à mon cou. Son baiser est, comment dirais-je... Passionné ? Ardent ? Non, rien de tout cela. Il est amoureux et je réponds à ce jeu de langue. Des petits jeunes passent près de nous et nous regardent avec envie.
— Je suis fière d’être là avec toi. Me dit-elle.
Je ne lui réponds pas. Juste un baiser dans ses cheveux, ce qui la fait sourire. On part dans un petit resto. Les serveurs sont charmants et avenants. On est servie rapidement.
— Jean, j’ai envie de rentrer. D’être seule avec toi.
Ses désirs deviennent des ordres mais je ne relève pas. On rentre et on s’installe, à poil, sur les transats. Je réfléchis. Je ne l’ai pas vu une seule fois partir dans un magasin pour faire ses courses dont elle m’avait parlé. Pas grave, on a encore trois semaines devant nous, après, reprise des cours d’école d’infirmière. Une main vient me caresser. Mélissa ne me saisit pas la queue, elle me la flatte du dos de la main. Ma bite trésaille, elle en rigole. J’adore sa prévenance. Elle se tourne sur le côté, face à moi.
— On va se baigner ? Dit-elle.
Elle n’attend pas ma réponse et saute à l’eau dans un "splash" qui m’arrose. Je suis plié de rire. Une gamine, on dirait une gamine. Je plonge à mon tour. On se retrouve tous les deux enlacés en train de se bécoter. On est bien ici. Je pense déménager et venir dans la région. Sérieux, mais qu’est-ce que je dis. Je m’égare. Je regarde cette belle black qui m’enserre de ses bras et jambes. Je lui lèche le cou. Elle rigole. Pas trop envie de bander mais Dame nature...Je la regarde s’affairer à mettre la table et préparer un plat africain dont je ne me rappelle plus le nom. C’est à base de poulet. On mange et elle nous sert un petit rosé bien frais. Ensuite je m’installe sur un transat.
— Dis-moi. Hier c’était pas mal mais pas assez... Euh...— Sévère.— Oui, non... Pas assez sexe.— Tu n’as pas eu ta dose quoi.— On peut dire ça comme ça. Tu m’en veux ?— Tu n’as pas signé de contrat avec moi que je sache ?— Hihihi, j’aimerais bien.— Soit, va à la piscine. Je t’en prépare un.— Sérieux ?— A la piscine, j’ai dit !
Elle part en courant et saute dans l’eau et fait une "bombe" qui encore une fois, m’arrose. Je me lève et je vais donc lui rédiger son contrat. Une fois devant l’ordinateur, je tape :
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