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Mélissa, ma jolie jeune black soumise.

Chapitre 18

SM / Fétichisme
Elle part en courant et saute dans l’eau et fait une "bombe" qui encore une fois, m’arrose. Je me lève et je vais donc lui rédiger son contrat. Une fois devant l’ordinateur, je tape :Moi, Mademoiselle Mélissa D....., déclare être saine de corps et d’esprit et accepte les conditions exigées par Monsieur Jean R..., mon Mentor. Je déclare, en outre, accepter tous les sévices, les punitions et situations qu’il voudra bien m’honorer, à savoir :
— Ne plus porter de soutien-gorge, ni de string ou de culotte. Cette dernière étant tolérée lors de mes menstruations.— De porter en permanence mon plug anal que m’aura offert mon Maître.— A la maison être nue, ne porter que des jupes courtes et des tee-shirts pour nos sorties. Celles-ci me seront offertes par Maître Jean.— J’accepte d’être fouettée, fessée, ou tout autre châtiment corporel. Sans rechigner ou crier.— J’accepte également d’être présentée nue devant les assemblées que Monsieur Jean aura l’envie de me présenter.— D’être prise par ses invités, hommes ou femmes et d’en jouir.— Ma position d’attente est à définir avec Monsieur Jean.— Je devrais entretenir mon épilation intégrale. Bien que cela soit déjà fait, je laisse libre cours à l’imagination de Monsieur Jean de me piercer, tatouer ou de me marquer.— Pour ce qui est des actes à connotations sexuelles, je dois tout accepter, sauf les traces sur mon visage.— Si j’ai envie de poser une question, ma position changera, c’est à définir avec Monsieur Jean.— Je ferais toutes les tâches ménagères de la maison.— Je chérirais Monsieur Jean et je serais disponible pour lui et ses hôtes.— J’accepte d’être sa soumise, son objet et celle qui assouvira tous ses fantasmes et ceux de ses ami (e)s.— Cette liste n’est pas arrêtée, elle pourra évoluer comme bon lui semble.
Je jure, par ce présent contrat, qui deviendra caduc à ma demande exclusive, de devenir l’esclave de Monsieur Jean et quand cas de rupture, je serais bannie et ne pourrait reprendre contact avec lui.Lu et accepté.Mademoiselle Mélissa D.....Conditions formulées par moi, Monsieur Jean.Monsieur Jean R.....
Je pense que cela est suffisant et assez explicite, c’est à peu près les conditions que je soumettais à mes anciennes esclaves, Li y compris. Je sais qu’elle va souffrir. J’ai assez de pervers et de salopes dans mon répertoire pour reprendre du service et me soumettre Mélissa. Elle le veut vraiment mais serais-je à la hauteur de ses attentes. Je l’espère, il va falloir y aller doucement.
Elle me prépare un encas que je déguste avec appétit. Elle me regarde fébrilement. Je lui tends son contrat. Elle me sourit. Son visage se raidit à la lecture.
— Monsieur Jean ?— Oui Mélissa.— J’accepte, mais je n’ai pas de mot d’arrêt pendant mes sévices ?— Pourquoi, tu en veux un ?— Bien, oui, si jamais cela va trop loin.— Cela n’ira jamais trop loin. Je serais toujours là. Je ne serais pas loin. Mais si tu veux me dire que cela te déplaît ou que cela va trop loin, je te propose de cligner des yeux trois fois.— Merci Monsieur Jean. Mais qu’elle est ma position d’attente ?— À toi de voir celle qui est la plus confortable pour toi. Celle que tu peux tenir sans fléchir pendant des heures. Tu as jusqu’à demain pour me la montrer. Je te corrigerais si tu le désires.— Et comment dois-je vous appeler ?— Entre nous et en société, Jean, chérie, amour. Monsieur Jean ou Maître Jean en soirée.
Elle saute à mon cou et m’embrasse.
— On commence quand, chéri ?— Demain soir. J’ai quelques tenues à t’offrir.— Non, j’en ai assez !— Tu vas voir, tu aimeras.
Elle paraphe son contrat, je le signe. Je me lève pour le ranger dans ma veste. J’espère qu’elle va tenir le choc. Je vais m’allonger sur mon lit pendant qu’elle débarrasse la table et fait la vaisselle. Je m’assoupis. Enfin, pas vraiment, je ferme les yeux et réfléchis à la soumission de ma Magnifique jeune et grosse fille noire. Il va falloir que je réaménage ma chambre des sévices. J’en bande déjà, quand je sens le lit bouger.
— Que fais-tu ?— Je me couche !— Non, pas avec moi. Tu vas sur le tapis, il faut tout apprendre.
Doucement, elle se met en chien de fusil sur la descente de lit... Je m’endors paisiblement. Je décide de rentrer dès demain. Au diable toutes ces tentations de femelles en rut, elles m’auront vite oublié.Le chemin du retour sur Aix-en-Provence fut des plus radieux. Je passe rendre la voiture à Pierrot et récupère la mienne. Pierrot ne me questionne pas sur notre séjour au cap. Il me sourit juste et me dit :
— Bon retour parmi nous, Maître Jean.
Une fois à la maison, je demande à Mélissa si elle veut manger. Elle me répond qu’elle s’occupe de tout. Elle ouvre les volets donnant sur la piscine et me tend une bière, puis elle va se changer et c’est dans sa tenue de soubrette en latex que je peux l’admirer. Elle a même posé son gros collier de cuir noir qui lui fait un port de tête fabuleux. Elle fouille dans le congélateur et en sort une pizza. Ce sera pizza-salade-rosé. Parfait. On mange tranquillement. Elle est assise à côté de moi. Elle a les cuisses largement écartées.
— As-tu pensé à ta position ?— Oui Maître Jean.
Elle se positionne face à moi, mains sur la nuque et les coudes largement repoussés vers l’arrière, ce qui fait ressortir son immense poitrine. Ses jambes sont écartées d’environ un mètre. Je me lève et tourne autour.
— Basique, dis-je, mais terriblement efficace. Tu garderas cette position lors des repas avec nos hôtes.
Je la prends par les hanches et la fais mettre à quatre pattes. Je positionne sa tête sur le sol et ses mains sur ses grosses fesses. Instinctivement, elle écarte son popotin.
— La position que tu devras tenir quand tu ne seras pas occupée. Compris ?— Oui, Maître Jean.— Maintenant, tu peux débarrasser et enlever ton costume. Demain je te veux prête à 09 h 00. Je vais me coucher, tu dormiras sur le matelas de la salle. Bonne nuit.— Bonne nuit Maître Jean.
C’est pas je n’avais pas envie d’elle, mais il fallait que je recharge les batteries. Je n’ai plus vingt ans, malheureusement. Bien que n’étant pas adepte de la pilule bleue, demain c’est décidé, je vais me shooter. Il ne faut pas mourir idiot.07 h 00. Je suis réveillé par l’odeur du café et le bruit des tasses. Je me lève est je ne me soustrais pas à mon rituel, douche-rasage et habillage, et prise du cacheton. Quand j’arrive sur la terrasse, elle est sous la douche.08 h 00. Elle brille de mille feux. Petit short en jean blanc ras des fesses, tee-shirt blanc sans manche qui laisse voir la naissance de ses seins et un décolleté sexy. Des ballerines blanches à ses pieds.
— Magnifique, tu es magnifique. Regarde, tu me fais bander.
Elle se mord un doigt et me sourit. Je lui fais un bisou sur le front et en route pour Aix-en-Provence. Oui, je l’emmène au sex-shop de Pierrot. J’y ai commandé des accessoires pour ma machine à baiser.Ce n’est pas facile de se garer au centre-ville. On s’éloigne un peu, ce qui n’est pas pour me déranger, bien au contraire. On est à un peu moins de 800 mètres de la boutique, ce qui est largement suffisant pour exhiber ma belle. On marche vers la boutique, elle est deux mètres devant. Je ne me lasse pas de regarder ses fesses, qui dépassent du micro-short, et ses seins. Elle est sublime, elle le sait. Les hommes qui la croisent ne sont pas insensibles à ses rondeurs. Il la déshabille. Certains, profitants de la foule, lui caressent le popotin. Elle leur gratifie de son plus beau sourire. Trois hommes, enfin trois jeunes se sont intercalés entre nous. Pas farouche, l’un d’entre eux engage une conversation que je ne peux entendre. Elle lui répond et part dans un rire communicatif. On arrive devant la boutique de mon ami. Elle pousse la porte et m’attend.
— Pardon, excusez-moi. Fis-je.
Médusés, ils me laissent passer.
— Vous entrez ou non ?— Non... Non.— Bande de branleurs. Dis-je en refermant la porte.— Ô, que me vaut l’honneur de ta visite. Lance pierrot.— Mél à poil et en position.
La jeune black s’exécute. Pierrot tourne autour tel un vautour. Il me dit que mon séjour au Cap m’a fait du bien et que Mélissa est resplendissante. Je lui demande s’il y a du monde. Il me répond par la négative, que les touristes n’osent pas rentrer. Les seuls clients sont soit trop vieux, soit trop laids. Il poursuit en me tendant une bière, que le projet de sa fille le titille de plus en plus.
— Quel projet ?— Une boîte à cul un peu spéciale. Un salon, une salle de réception à caractère BDSM.— La vache, ça va te coûter une blinde ?— Pas si je trouve un associé.— Tu penses à qui ?— À toi, mon frérot.— Aïe... Je m’en doutais.— Pour l’instant, ce n’est qu’un projet. Comment se passe votre retour.— Bien, bien... Lui dis-je en lui donnant le contrat de Mélissa.— Ma pauvre, tu vas souffrir.
Il rigole et m’invite à le suivre vers le fond de la boutique. Mélissa reste plantée devant la porte d’entrée. Je lui fais signe de nous suivre. J’entends le bruit familier d’une machine à baiser et le son sourd d’une femme proche de la jouissance. Pierrot tire sur un lourd rideau. Mes yeux s’écarquillent quand je vois la petite Gégé attachée en levrette, bâillonnée, baisée et enculée par deux énormes bites activées par ladite machine. Je suis soufflé. Pierrot me dit qu’il a dû l’installer car sa fille est une insatiable de la queue et qu’il n’allait pas tenir le choc. Je pouffe de rire.
— La salope, elle prend cher.— Et c’est la vitesse minimum. Dit-il en m’invitant à m’asseoir à côté de la suppliciée, si supplice il y a.
Il débâillonne Gégé qui souffle, qui gémit. Il me demande les raisons de ma visite. Je demande s’il a reçu la commande passée avant ma petite escapade. Il n’est pas au courant, que c’est Gégé qui a dû gérer ça. Il arrête la machine et détache la pauvre petite qui met un moment à recouvrer ses esprits.
— Bonjour Jean, bonjour Mélissa. Arrive-t-elle à dire en nous embrassant. Oui, elle est arrivée.
En titubant, elle part vers l’entrée du magasin, au comptoir. On la suit. Elle sort un carton et déballe tout un ensemble de godes et de barres de maintiens. Tout ce petit matériel étant prévu pour être monté sur ma machine.
— Voilà, tout y est, j’ai vérifié.— Putain, c’est quoi ce bazar ? J’ai bien envie de commander les mêmes. Ils sont super-réalistes. Et toi mél, tu en dis quoi.— Que Monsieur Jean est trop bon et que je vais bien m’éclater.— Salope... Je peux te l’emprunter ?— Je t’en prie.
Après lui avoir tapé sur une fesse, il lui dit de le suivre et descend "à la cave". Je regarde ce grand dadais suivre la jeune black.Gégé allait les suivre, je la stoppe.
— Parle-moi de ton projet, dis-je à Gégé en la prenant sur mes genoux.
Elle me regarde et me sourit. Elle me dit que les affaires ne vont pas très bien. Que son père pense fermer. Je lui réponds que cela est impossible, que c’est son bébé. À quoi elle me répond qu’ils transféreront la boutique à côté du night-club, plus pratique et que ça attirera de nouveaux clients. Je réfléchis. Je lui demande si elle connaît l’endroit de l’implantation. Elle me dit que oui, derrière la zone commerciale de Plan-de-campagne. Il y avait autrefois une discothèque, donc les travaux seront minimes. Elle a déjà repéré l’endroit.
— Combien vous faut-il ?— 100 000 Euros.— Rien que ça. Et pour quand ? — Le plus vite possible. Papa dépérit...— Je vois, et votre apport ?— On a, à nous deux, 100 000 Euros de dispos immédiatement...— C’est pas mon cas mais ne lâcherai pas Pierrot. Ne lui parle pas de notre petite discussion. Je ne veux pas lui laisser de faux espoirs. Tu peux raccompagner Mél ?— Viens-la reprendre chez nous, c’est plus simple.
Je fais un bisou à Gégé.
— Tu es un mec bien.
Un petit clin d’œil et je suis dehors. Je téléphone à Clarisse, ma banquière qui est heureuse de me recevoir et de me revoir. J’y vais à pied, ce n’est pas loin et me garer à proximité me garantit une galère sans nom. J’arrive devant ma banque, une célèbre société de crédit marseillaise. Clarisse me voit à travers la vitre et vient m’accueillir.
— Salut, beau gosse. Il y a longtemps, trop longtemps. Viens par ici, on sera au calme.
Je la suis et ne détache pas mon regard de son déhanché. Pour ses soixante ans elle toujours attirante. C’est une petite bourgeoise coincée en apparence seulement. Elle fut l’une des premières à succomber à mon fouet. Puis le mariage, encore une qui a choisi le bon parti, le directeur régional de la banque. Elle me fait rentrer dans un bureau chichement décoré. Je m’assois, elle s’installe derrière son bureau.
— Alors, que me vaut cette agréable visite ?— Je ne vais pas y aller par quatre chemins. Combien j’ai de placé chez vous. Lui dis-je en lui tendant Ma carte Gold.— Voyons cela... Hum, hum, intéressant. Sur ton compte courant tu as 15 000 Euros. Pas mal. Allons voir ce que tu as de placé... Oh, oh... Tu es plus fourmi que cigale à ce que je vois. Tu as, à 1000 Euros prés, 390 000 Euros et des brouettes. Heureux ?— Piouuuuu. J’ai bien fait de dire à ton mari de s’occuper de mes comptes ! ! ! La vache.— Pendant que tu t’occupais de sa femme... Me dit-elle en me rendant ma carte.— Bien, il faut que tu me débloques 100 000 Euros le plus vite possible.— Maintenant si tu veux. Un chèque de banque, espèce ? Espèce cela peut prendre une semaine. Pour le chèque, il faut voir si mon époux est encore là.— Le chèque m’ira très bien.
Elle appuie sur un interphone.
— Monsieur le Directeur est encore là ?— Oui, oui. Mais il ne va pas tarder.— Dites-lui que je monte... Il va certainement rejoindre une de ses jeunes pouffes. Tu m’attends là mon chou ?
Elle sort du bureau comme une fusée. Elle disparaît pendant vingt longues minutes, quand elle revient elle est essoufflée et tient un parapheur. Elle me tend une enveloppe qui doit contenir le précieux sésame. Je me lève et l’embrasse. Elle rougit. J’ai toujours aimé son côté midinette. Ma main descend le long de sa jupe et remonte sur ses fesses nues, libres de tout sous-vêtement.
— Tu aimes toujours être nue sous tes fringues ?— Oui, Maître.— Bien, tu seras invité à l’ouverture.— L’ouverture ?— Chut... Tu verras.
Je l’embrasse à nouveau. Elle lève une jambe de plaisir. Je lui pince une fesse.
— Cochonne.— Votre cochonne, Monsieur Jean.
Je me sauve en pensant qu’en tant que ma première soumise, elle mérite toujours autant.Je repasse devant la boutique de Pierrot. Les volets métalliques sont fermés. Je marche d’un pas rapide et déterminé vers ma "BM".
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