Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 40 J'aime
  • 1 Commentaire

Mélissa, ma jolie jeune black soumise.

Chapitre 23

SM / Fétichisme
Suite à cette demande en mariage trop longtemps refoulée, je suis comme un coq en pâte. Toutes les femmes de la soirée viennent me féliciter, à l’exception de la femme de Pédro qui est en train de se faire limer par les deux chippendales. Ils sont à même le sol, ils ont du mal à tenir la position du fait de la transpiration accumulée par terre. La grosse n’en peut plus et leur signale. Ils n’en ont rien à foutre et accélèrent la manœuvre. La pauvre, ses cheveux collés à son visage. Ils la mettent en levrette. Celui qui est au-dessous se régale à lui triturer, lui pincer et étirer ses énormes mamelles, celui du dessus lui éclate l’anus et lui donne des fessées plus qu’appuyées.
Madame la Maire se fait prendre par Pierrot en missionnaire. Il aime voir les nanas prendre leur pied. "Mignon" a été rattaché. Maîtresse Annie lui donne des coups de martinet sur les couilles et la bite, pendant que Monsieur le Maire joue au ramoneur.
Bob et Coralie dansent sensuellement. Elle ne touche pas le sol, elle est empalée sur le rostre de son Papa. Ils s’embrassent sauvagement. Julie, Sébastine et Gégé, debout derrière le bar, jouent un balai saphique avec leur langue, leurs mains ne doivent pas être inactives. Aurélie, mon esthéticienne, est en train de fister Valérie, sa copine.
Quant à ma banquière, elle se fait brouter le minou par Li, qui elle-même est entreprise par son mari.
Je suis rappelé à la réalité par la voix de ma jolie grosse black :
— Alors, on rêvasse ?— Mm-oui, extraordinaire vision que tous ces corps luisants et transpirants la luxure.— Je t’apporte du champagne bien frais et mon cadeau, la charmante Aïcha. Laisse-toi faire et apprécie.
Elles m’écartent les jambes au maximum et commencent un jeu de langue sur mon sexe. Si c’est un rêve, je ne veux surtout pas me réveiller. Tout y passe, mes couilles, ma verge, mon gland et même mon œillet. Elle me regarde, ne me quitte pas des yeux. Ceux de Mélissa sont d’un noir profond et rieurs. Ceux d’Aïcha, d’un vert émeraude et appliqués. Elles se caressent les seins, les fesses et bientôt la chatte. La première à me gober est Mél. Sa bouche a tout englouti. La petite Magrébine me suce les testicules. Mélissa se relève et prend Aïcha par la taille et la positionne à califourchon au-dessus de mon sexe luisant.
— Vas-y, défonce-la et jouis bien au fond, je veux goûter à votre mélange.
Elle est de plus en plus perverse, ce qui n’est pas pour me déplaire. Je prends Aïcha par les hanches et lui imprime un rythme lent mais profond. Je lui caresse son clito hors norme. Il est vrai que la première fois que je l’ai baisée, la position ne se prêtait guère à l’exploration de son entrejambe, et que dire de ses tétons. On dirait des petites bites de bébé. Enfin, je dis ça, je n’ai jamais eu d’enfant. Elle saute toute seule sur ma queue. Elle y va fort. Mél a été cherché Pierrot et dirige le rostre vers la rosette de la Kabyle. Pierrot me sourit, sourire que je lui rends. Il s’extasie sur le petit conduit d’Aïcha.
— J’espère qu’elle va rester...— Oui, c’est la petite soumise de Mélissa.— Mél ! Félicitation !
Il prend Mélissa par la nuque et l’embrasse fiévreusement. Je ne sais pas combien de fois Pierrot a éjaculé ce soir, mais il tient la distance. La petite s’est réfugiée dans mon cou et jouit en m’en casser les tympans. Elle se raidit et l’orgasme la fait mouiller telle une femme fontaine. Elle me mord l’épaule, je la laisse faire. Je ne veux pas interrompre son état de félicité. Elle me bave dans cou. Elle se relève, me regarde et se jette sur ma bouche pour un baiser baveux à souhait. Pierrot lui donne tout son jus qu’il lui restait. Je ne suis pas loin à le suivre. Mél, la cochonne, se jette entre nos deux queues pour aspirer le trop-plein. Quand Pierrot se retire, c’est Gégé, qui n’était pas loin, qui se charge de nettoyer la bite de son papa. C’est une des scènes les plus hard qu’il m’est été permise de voir. Mél s’acharnant sur les trous d’Aïcha et sur ma bite. Gégé était en train de pomper le dard de papa.
— Piouf, pour une partie de baise... C’était une partie de baise.
Le lendemain, j’émerge, il est midi. J’ai mal à la queue. Enfin mal est un bien grand mot, disons que j’ai la queue rougie par mes agissements de la vieille. Mélissa n’est pas à côté de moi. Le sacré rituel du matin, lavage, rasage... Je remarque que tout le nécessaire à la beauté féminine et à l’hygiène a pris une place plus qu’imposante dans l’armoire de toilette. Je souris. Je me dirige vers la cuisine, ça sent bon le café que Mél et Aïcha sont en train de déguster sur la terrasse. Je les rejoins, Mél me saute au cou, pas Aïcha.
— Qu’est-ce qu’elle a ?— Rien, Mademoiselle est longue au réveil.
Je m’assois en bout de la table. Je sirote mon café et lis mon canard quotidien. Petit à petit, la petite Kabyle commence à retrouver le sourire. Elles papotent entre elles. J’entends tout de même leur conversation. Cela dit, en résumé, qu’aujourd’hui, elles iraient à la boutique pour acheter un baudrier et un plug anal.
— Tu passeras à la pharmacie, lui dis-je, en lui montrant ma queue endolorie.
Elles me regardent l’entrejambe et explosent de rire. Vexé mais pas fâché, je plonge dans ma piscine. C’est hilares qu’elles débarrassent la table et s’en vont se préparer. Je sors de l’eau et je pose 500 euros sur la table de la terrasse. Je repars à la baille. Mélissa est folle de joie en voyant les cinq billets.
— C’est pour moi ? me demande-t-elle avec son air enfantin qui lui va si bien.— Passe une bonne journée. Tu prends ma voiture ? — Non, on a un chauffeur. Le beau Pierrot, il saura nous guider dans nos choix et toi, n’oublie pas ton rendez-vous.— J’ai un rendez-vous ?— Rhooo, oui... Avec ta banquière, dit-elle en se moquant de moi. 14 h 00, je crois.— OH ! Les gonzesses, vous êtes prêtes ? beugle Pierrot qui vient d’arriver.— Soyez sage,dis-je.— Salut frérot, avec ce que j’ai donné hier, je ne risque pas de leur faire mal. Allez, à plus. Ah, au fait, je vais passer au club voir si les nanas du nettoyage ont bien fait leur boulot. Ciao bello.
Je fais la planche, enfin un peu de repos. Je refais dans ma tête tout le parcours de ma vie. Le plus beau jour était le jour de ma rencontre avec ma jeune et jolie Mélissa. Maintenant, il va falloir annoncer cela à Virginie et à mon idiot de frère, Régis. Je sors, me sèche. Je prends mon téléphone et compose le numéro de ma sœur, ma charmante sœur. 10 ans de moins que moi, c’est la petite dernière. Divorcée depuis la naissance de sa fille, Angélique, elle doit avoir 18 ou 19 ans.
— Allo...— Bonjour Vivi...— Jean, c’est toi ? Depuis le temps, je te croyais mort... — Non, non, bien en vie.— Et bé, me répond-elle avec son charmant accent provençal bien plus prononcé que le mien, ça fait plaisir de t’entendre.— Ô, ça va. Il n’y a pas si longtemps que cela. La dernière fois c’était, euh...— Pour les 18 ans d’Aurélie, elle a eu 20 cet été.— Aïe, oui, t’es sûre ?— Tu me prends pour une cruche ?
Et elle part dans une longue tirade pleine de reproches et patati et patata... Je la laisse déblatérer sans réellement l’écouter, elle sait que je n’ai jamais été trop famille, mais c’est vrai, 2 ans sans lui donner de nouvelles, j’ai été le dernier des cons, trop con pour être le premier. C’est elle qui le dit.
— Bon, que me vaut l’honneur de cet appel ?— Je vais me marier. (Aïe... Je n’ai pas été un peu trop direct là)
Un long moment de silence. Je n’entends que sa respiration.
— Vivi ? T’es tombée ?— Non, non, piouf, laisse-moi digérer la chose. Et qui est l’heureuse élue ? Encore une pouf comme ton ex ?
Je souris intérieurement
— NOOON, pas ça. Elle s’appelle Mélissa. Une jolie jeune femme de couleur charmante comme un cœur.— M’en fout de sa couleur. N’oublie pas que ton ex a bien faillit te mettre sur la paille. Heureusement que tu avais une bonne avocate (Vivi, est avocate, mon avocate).— Non, risque pas, j’en fais ce que j’en veux et puis elle m’aime.— Ça, c’est pas dur de t’aimer, un beau parleur comme toi. Et elle à quel âge ?— 19... (re-aïe).— Mais tu te rends compte qu’elle est plus jeune qu’Aurélie ?— C’est pas Aurélie que je vais épouser !— Elle est comment ?— Attends, je t’envoie une photo.
Je fais la manip et lui envoie une photo sage de Mélissa.
— Hum, pas mal, mais je ne connaissais pas ton attirance pour les grosses, black qui plus est.— Attends de la voir avant de juger. Tu n’as qu’à venir, là, tu pourras voir par toi-même.— Tu vis toujours à poil chez toi ?— Toujours.— Ce sera à notre café du cours Mirabeau, alors. Tu es libre lundi... Et ta future ?— Il faut que je lui demande, elle a cours...— Ah, oui, c’est vrai, suis-je bête. Monsieur les prend à la sortie du lycée.— Elle est en dernière année d’école d’infirmière.— Elle est précoce surtout, cette petite. Tu me tiens au jus, il faut que j’y aille, il y en a qui bosse.— Au revoir ma Vivi.— Oh, au fait, j’appellerai cet idiot qui te sert de frère, je suis plus diplomate que toi. Allez, je t’aime mon Jeannot.— Je t’aime ma Vivi...
Eh oui, que je l’aime. On en a écarté plus d’un, Pierrot et moi. Bien qu’ayant le béguin pour Virginie, il ne lui a jamais manqué de respect. C’était un peu comme sa petite sœur en ce temps-là, un temps bien révolu depuis.Bon, une bonne chose de fait, et je n’ai pas à appeler mon frère.Que vais-je faire ? Ah, oui, mon rendez-vous... Ma banquière, que l’on nommera Sophie... Hihihi, ben oui, c’est comme cela qu’elle s’appelle. Je m’en vais revêtir mon habit de lumière. Vous voulez savoir lequel ? Bon, il s’agit d’un baudrier-string de cuir noir. Je passe le cockring qui enserre ma bite et les testicules, ce qui me permet d’être en érection en permanence. Je passe les lanières croisées dans le dos et boucle la ceinture. J’ajuste le tout. Ça y est, je suis prêt.
14 h 00 pétante, elle sonne à mon portail. Je lui ouvre le portillon et la porte d’entrée. Je suis presque à poil, elle doit le savoir. D’ailleurs, on avait un protocole, j’espère qu’elle s’en rappelle. J’entends ses pas sur les petits cailloux blancs de l’allée. Je tire le rideau qui isole le couloir du salon. Je l’entends refermer la porte, se déshabiller. Je suis content, elle n’a pas perdu les bonnes habitudes.
— Je suis prête, Maître.
Je passe le rideau. Elle est en position, debout, mains sur la nuque, les pieds écartés d’un mètre, la tête baissée et pieds nus. Je prends une badine souple (il y en a toujours une qui traîne dans le pot à parapluie), je la fais passer sur ses seins, son ventre et entre ses grandes lèvres. Elle se pince les lèvres.
— Tu peux t’exprimer, c’est fini le temps du silence. Ici, tu peux gueuler. Personne, pas de voisin pour t’entendre.— CLAC, petit coup sur ses fesses. "CLAC" un second et je passe devant. J’ai toujours aimé ses petits seins de pucelle en forme de poire, ses tétons qui bandent au milieu d’aréoles parfaites. Je les taquine avec ma badine. Deux "CLAC" sur ses jolis petits seins. Elle respire fort, mais aucun son ne sort. L’habitude de garder le silence dans mon ancien lieu de villégiature qui était un petit appartement dans le centre-ville d’Aix-en-Provence. Je lui remonte le menton. Elle sait ce qu’il l’attend. Elle ouvre la bouche et sort la langue. Je fais couler de la salive en grande quantité sur cette dernière. Interdiction d’avaler sans en avoir reçu l’ordre. Je bande à m’en faire mal. Ma bite touche son ventre plat. Eh oui, Madame s’entretient.— Avale !
Elle le fait avec bonheur. Elle regarde le sol, menton baissé. Je lui enlève son chignon et sa grande crinière lui tombe dans le dos jusqu’à la naissance de son sillon fessier. Je lui fais une natte, j’aime bien avoir un point d’accroche lorsque je baise en levrette, car oui, je baise mes esclaves et c’est toujours dans cette position qu’elles reçoivent leur récompense. Je lui pince un téton et l’entraîne jusqu’à la chambre des tortures. Je l’attache, face à moi, sur la croix. Je joue maintenant avec une cravache à lui faire bander son clito qui ne tarde pas à sortir de sa cachette, elle gémit. "CLAC". Un coup sec l’a fait crier.
— Voilà, je t’entends enfin.— Putain, que c’est bon.— CLAC.— Quoi, j’ai mal entendu...— PUTAIN QUE C’EST BON, MAITRE.— Voilà, c’est mieux.
Je vais dans son dos. "CLAC"- "CLING"- "CLAC"- "CLING". Qu’est-ce que c’est que ce "CLING" me diriez-vous ? C’est ma cravache qui heurte un portant. Je ne peux pas pousser les murs. Entre la machine à baiser et ma table gynécologique, on commence à se sentir à l’étroit.Je lui pose des petits anneaux sur les tétons à l’aide d’une pompe. On dirait des petites fraises que je lèche et mordille. Elle se lâche.
— ARGH, HAN. Merci Maître.
Ce n’est pas fini. J’en fais de même avec son clitoris. Là, elle hurle en s’en casser les cordes vocales. Je reprends ma cravache et travaille les bouts de seins et son bouton. Elle renifle, transpire et bave et je ne parle pas de sa chatte qui dégouline. Je me mets accroupi et lui lèche le clito. Elle se raidit, tous ses muscles sont près de la rupture.
Je lui pose un tube dans la bouche, assez grand pour lui distendre les lèvres et je l’attache derrière la tête. Elle sort la langue. Je mets ma langue dans sa bouche. C’est chaud, c’est doux. J’aimerais bien y mettre ma bite. J’y penserai plus tard. Je la gifle, ses joues rougissent. Sa salive lui coule entre les seins, descend sur son ventre en son nombril, pour finir sur son mont de Vénus et finir au sol. Ma foi, joli tableau. Je la cravache sur le ventre, alternant avec les cuisses, le dos et les fesses. Son corps est couvert de stries rouges, certaines commencent même à perler, signe qu’il faut que j’arrête. Je la détache et la fais monter sur ma table. Une fois pieds et mains attachés, je lui enlève les petits anneaux. Elle se tord de douleur sous l’effet de l’irrigation, la remontée de sang quoi, mais ses trois extrémités sont hyper-sensibles ; je m’amuse à les lui lécher. Je m’attarde sur son clito. Ce n’est plus des cris de douleur, mais bel et bien de jouissance.
Je suis assez content de mon travail, si je puis dire. Je lui enlève son bâillon.
— Tu as mérité ta récompense, lui dis-je, où veux-tu la recevoir ?— A votre bon vouloir... Maître.
Je me positionne, le sexe tendu à l’entrée de son joli minou, et je la pourfends d’une seule poussée. Dieu que c’est bon. Sa chatte m’aspire, me pompe. Elle a fait des progrès, elle me masse la bite avec ses muscles vaginaux. Le plaisir monte pour nous deux. Je la pistonne violemment, elle essaye de venir à la rencontre de ma bite en soulevant son bassin et elle y parvient. Dans la chambre, ça sent le sexe. Elle ronronne, elle feule mais se laisse prendre attendant la montée de sève. Ça y est, le point de non-retour est atteint. Je vais lui en foutre (c’est le bon mot) plein sa matrice, je vais l’inonder.
— ARGH, prends ça, ma vieille.— OH, OUI, MAÎTRE JE LE SENS. VOUS... VOUS...
Elle s’est évanouie. Je la pistonne encore pendant sa demi-inconscience puis je me retire. Je la détache et la laisse reprendre son souffle et ses esprits. Moi, je prends une douche à l’extérieur avant de plonger dans ma piscine.J’entends la douche commune, puis trente minutes plus tard, la porte claque. Elle a tout nettoyé, elle est partie. Autre protocole que l’on a établi.
Diffuse en direct !
Regarder son live