Je suis en train de somnoler sur un matelas gonflable au milieu de la piscine. Je pense à Mélissa. Elle est belle, certes, un peu beaucoup enrobée, mais elle est pleine de vie, de...Un grand "SPLASH", suivi d’un plus petit viennent me sortir de ma torpeur. C’est cette gamine de Mél et de sa copine Aïcha qui on fait une bombe juste à côté de moi. Elles explosent de rire toutes les deux, contentes de l’effet produit. Je quitte mon matelas et joue avec elles, comme un gamin. On se frôle, mes mains s’égarent sur les fesses de ma noire, tandis qu’Aïcha se colle dans mon dos comme une bernique. Je vois Pierrot apparaître nu, deux binouzes à la main. Il me fait signe de le rejoindre, ce que je fais, laissant Mél et sa copine se chamailler. — Salut, vieux frère, me dit-il en me faisant la bise. Tiens, une bonne "H" bien fraîche. J’ai fait le plein.— Merci frangin... Alors, cette promenade ?— C’est la dernière fois, mais elles ont été cool. Elles m’ont abandonné au bar de la Galerie marchande et elles ont payé mes consos... Que du jus d’orange, hein, pas de bière. Tu me connais assez pour savoir que je suis sérieux quand j’ai la voiture.— Tu aurais pu laisser ta voiture à Mél...— Non, non, non, non. La seule personne qui peut la conduire, c’est toi. Je lui souris, en sachant tout ce que son "BM" représente pour lui. — Bon je l’ai trouvé...— Trouvé quoi...— Elle, le trans dont je t’ai parlé... Tu te rappelles ou tu as Alzheimer ?— Oui, oui. On en avait parlé, effectivement. Où est cette charmante créature ?— Elle est là, dans le salon. Je vais la chercher ?— Devine, idiot... Il se lève comme un beau diable et court à l’intérieur. Il en ressort avec une créature de rêve. Une grande brune aux seins fiers et arrogants, un port de tête digne d’un mannequin, une chute de reins cachée par sa longue chevelure noire, des yeux bleus en amande, des cuisses de sportive, de jolis mollets, des pieds et des mains manucurés. Elle a 30 ans, me dit Pierrot. Elle est escorte-girl, il l’a déniché à la boutique. Ils ont discuté et en tant que beau parleur, il l’a ramenée. Elle est très intéressée par un boulot à plein temps et elle a un carnet d’adresses bien fourni, d’hommes fort malléables et de femmes très soumises et dociles. — Elle est au courant de la teneur de la discothèque ?— Oui, me répond-elle d’une voix mi-homme mi-femme, cela ne me changera pas. Je suis une experte du fouet.— Alors, qu’en dis-tu ?— Ton prénom ?— Lætitia... Titi pour faire plus court.
— Je suppose que tu as un sexe...— D’homme, oui, dit-elle en descendant son mini-short et enlevant son haut. — Eh bé. Sacré morceau... dis-je, en la regardant de la tête aux pieds. Elle a une bite de taille respectable, même si elle n’est pas en érection, avec une toison coupée courte en forme d’ailes de papillon. Les couilles sont énormes et bien pendantes dans un sac glabre. Elle, ou il, me dit qu’elle va souvent au Cap d’Agde, pour chasser et qu’elle vit nue, me dit-elle en regardant mon érection pointée. Elle habite à deux minutes d’ici. Je tourne autour de cette étrange créature. Étrange, mais très beau mélange des genres. Elle a un plug anal fort joli et, apparemment, de bonne taille. Elle me plaît. Je convoque l’ensemble de l’équipe pour qu’elles me donnent leur avis.Les premiers à arriver sont Coco et Bob, son papa d’amour. Ils se mettent nus. Bob est sans voix devant la beauté de Lætitia et s’assoit à table. Coralie aussi est séduite. Les deux jumelles, Julie et Sébastine, les suivent de peu. Elles enlèvent leurs vêtements. Elles rigolent en voyant la charmante shemale qui maintenant, bande. Une fille avec un sexe d’homme, cela m’excite. La dernière à venir nous rejoindre c’est Annie, sans son mignon. — Je vais préparer quelque chose à manger. Aïcha vous servira à boire, me susurre Mélissa. Je lui flatte sa croupe, elle me décalotte pour me déposer un bisou sur le gland et me lécher l’anneau, brave petite. Lætitia regarde mon sexe avec l’envie d’une petite fille devant un cornet de glace. Je souris intérieurement, elle va l’avoir sa glace. Je demande d’accueillir Lætitia dans notre équipe, ce qui semble être fait. Aïcha est habillée d’une tenue de soubrette classique mais terriblement sexy. Elle est nue dessous. Elle apporte Bières et autres jus de fruits et reste debout, les bras dans le dos.On rigole, Lætitia semble avoir été adoptée par la petite Coralie et son père. Charmant trio. Pierrot me fait signe, je me lève et lui aussi. — Alors, qu’en penses-tu ?— Elle est charmante et très avenante. Je pense lui faire signer son contrat vendredi.— Bien... Elle habite la grande villa rose en bas de ton quartier. Ça doit bien payer de faire l’escorte... Je fais signe à Lætitia qui se ramène avec un braquemart bien droit et se balançant au rythme de ses pas. Je lui dis que pour son boulot, elle fait comme elle veut, on ne veut pas de soucis avec la mondaine. Elle me répond qu’elle avait prévu d’arrêter. — Mais ta villa, ça doit coûter une blinde ? lui lance Pierrot.— Héritage de mon défunt époux, il était plein aux as et n’avait pas d’enfants et à 85 ans, il y a six mois, il a basculé de l’autre côté, sur son vélo d’appartement.— Merde, dis-je, désolé pour toi...— Ne le soyez pas. J’ai hérité de tout. Sa fortune, sa maison et sa voiture. Je l’aimais, même s’il n’y avait pas de sexe entre nous, ce qu’il aimait, c’était de reluquer mes séances dans le salon. Il bandait presque à me voir torturer les soumis et soumises dans notre salon. Ensuite, il avait droit à une petite gâterie. Nous rigolons de longues minutes quand Mélissa nous dit que l’on peut passer à table.Le repas se passe agréablement. Pierrot reçoit un appel de Gégé qui s’étonne de ne pas le voir rentrer. Il lui explique la situation. Elle est rassurée. Les filles et notre jolie trans sont toutes dans la piscine, sauf Aïcha qui débarrasse. Il ne reste que Bob, Pierrot et moi en train de fumer un bon cigare ramené par bob et déguster mon cognac. Tels trois pachas, on regarde l’attroupement formé autour de Lætitia. — Quelle canon ! dit Bob.— Oui et avec une queue, une jolie queue, lui répond Pierrot.— Nan, je parlais de Mélissa. Elle est terriblement bandante, jolie et intelligente.— Ô, tu parles de la future épouse de mon frérot-là !— Arrêtez, on ne va pas se disputer pour Mél. Je ne suis pas jaloux, loin de là. Je l’aime d’un amour profond et elle aussi. — Je sais, je sais, me dit Pierrot, heureusement que je t’ai invité dans cette discothèque, sinon...— Eh oui, mais c’est moi qui l’ai vu le premier, na ! Le grand Pierrot se lève et plonge. Bob et moi, on le suit. On batifole comme une bande de gamins, sauf que les jeux sont plus... Sexuels. On se touche, on se chamaille, on s’arrose. À 23 h 00, Bob et Coco nous quittent, boulot oblige. Je lui parlerai prochainement de l’aménagement de ma piscine.Pierrot ne tarde pas non plus, il doit recevoir un technicien pour l’isolement acoustique de la boîte. Aïcha me demande l’autorisation de venir nous rejoindre. — C’est pas à moi que tu dois le demander. Elle se tourne vers Mél. Elle lui demande si tout est débarrassé et mis au lave-vaisselle. Un petit hochement de tête, elle a l’autorisation de la belle négresse. Elle enlève son tablier et saute à l’eau, trop heureuse de se retrouver dans les bras de sa Maîtresse. Il s’ensuit un long baiser passionné. — Qui est qui ? me demande Lætitia qui s’est collée dans mon dos.— Mélissa est ma muse, ma future épouse, Aïcha sa soumise. — Beau duo de salopes. Vous en avez de la chance. Elle s’appuie sur mes fesses, son érection me trouble, et si je me laissais aller. Elle caresse mon torse, me pince les tétons. Je m’abandonne et me retourne. Je l’embrasse à pleine bouche, nos langues se cherchent et se trouvent. Une main me saisit les couilles. — Tu as de la réserve ? J’ai de la peine à lui répondre, elle me sourit tout en replongeant sa langue dans ma bouche. Mél et Aïcha me regardent en rigolant. C’est décidé, ce soir, je passe le cap. Pas que ne suis jamais fait enculer par une de mes amantes, mais jamais par une queue faite de chair en de sang. — Prends-moi... J’ai envie de sentir en moi.— Jamais le premier soir, mais je peux te sucer, si tu veux... HAHAHAHA. Je la retourne plus ou moins violemment sur une margelle de la piscine, Mél, qui a tout vu et compris, vient m’aider à la maintenir fermement. Je tire sur le bijou anal de Titi, vite remplacé par mon mandrin. D’un coup de bassin, je suis en butée. Que j’aime ce sentiment de domination et de puissance. Je ressors totalement et y retourne gaillardement. Titi ne simule pas son plaisir, elle hoquette, souffle son plaisir. — A mes yeux, tu es une esclave, une soumise, une putain de garage à bites. Tu me devras respect et obéissance, compris ?— Oui... Han, AAAH... Oui Monsieur... ARGHHHHH...— Quand on te demande quelque chose, tu t’appliques à le faire...— OUI... MONSIEUR... HAN... HAN... Mélissa la lâche et prend Aïcha par les hanches et l’embrasse furieusement. La petite Kabyle semble être sur un nuage, elle s’abandonne totalement à sa Maîtresse. Qu’elles sont belles. Je burine le cul d’un demi-mec pour la première fois. Mis à part les effluves qui ne viennent pas chatouiller mes narines, l’effet est le même, j’adore cette position. Je la pistonne comme un damné, comme un forcené en ressortant à chaque fois. Son sphincter reste ouvert, il palpite à chaque coup de queue, il appelle mon gland qui ne reste pas longtemps dehors. Dedans, c’est terriblement doux et chaud. Je sens que je vais venir. Je prépare son bouchon dans une main et lui balance toute la purée disponible, et j’avais des réserves. — OUIIIII... PRENDS TOUT... ARGHHHH.— HUMMM !!! Le seul son qui arrive à sortir de sa bouche. Je me retire et lui plante son plug et m’affale sur son dos. Je l’embrasse dans le cou, je lui lèche la nuque. Elle reste penchée sur les marches de la piscine, heureuse de ce qui vient de lui arriver. Elle a joui du cul, cela faisait longtemps que ça ne lui était pas arrivé, arrive-t-elle à me dire. Je la retourne et on s’embrasse. Mél, de son côté, est partie se mettre en 69 sur la pelouse. Elles se bouffent la chatte et se doigtent le cul. C’est attirant, mais j’ai d’autres projets pour bien finir cette soirée.
