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Melody, chatte nue

Chapitre 1

Trash
Dans la rue, personne ne la remarque. Les gens ont tous le nez vissé sur leur smartphone. Personne ne regarde personne. Alors, ils ne voient pas cette fille qui cache son visage sous la capuche de son sweat noir. Et ils ne remarquent pas ce que je remarque au premier coup d’œil. Je ne suis pas certain d’avoir bien vu. Je fais demi-tour avec mon scooter et sa caisse à pizzas siglée au nom de mon employeur : Pizza Leonardo. Je repasse devant la fille. J’avoue que je suis choqué en découvrant que je n’ai pas rêvé. Je passe une troisième fois. Là, la fille se tourne vers moi. Je sens que je commence à l’agacer. Mais ce que je vois m’amuse tellement que je ne peux pas m’empêcher de repasser encore et encore devant elle. Au sixième passage, elle se précipite vers moi et me crache sur la visière du casque. Dans le rétro, je la vois ramasser quelque chose. Une pierre ? Un pavé ? Un septième passage serait risqué. Je reprends ma tournée, livraison de pizzas, puis retour à la boîte. Au fait, mon nom c’est Kevan. Comme Kevin mais avec un a.
— Eh les gars ! Vous ne devinerez jamais ce que je viens de voir !— Huit minutes de retard, Kevin ! — Je m’appelle Kevan, patron. Comme Kevin mais avec un a.— Huit minutes de retard, toi et ton prénom à la con ! Mais vous le faîtes tous exprès ? Et comment je fais moi pour satisfaire mes clients avec tous ces retards ? Un matin, vous me trouverez pendu en arrivant !
Leonardo, mon boss, est ce qu’on appelle un pervers narcissique. Pas un de ces pervers excité et obsédé comme moi par le sexe. Non, Leonardo est obsédé uniquement par lui-même, son nombril, son trou du cul et le paquet de fric qu’il se fait sur notre dos. Un putain de profiteur qui n’en gagne jamais assez et nous baise sur nos fiches de paie à défaut de pouvoir baiser physiquement. Pourtant il semblait m’adorer quand j’ai commencé à bosser pour lui. Les psys appellent ça la phase de lune de miel. Ensuite, ça s’est dégradé. Un malade comme ça, quand tu lui demandes une augmentation de salaire, tu signes ton arrêt de mort. Ensuite, quoique tu fasses, ce n’est jamais assez bien. Les pizzas ne sont jamais assez bien préparées, ni assez bien cuites, ni livrées assez vite. Huit minutes de retard est une chose impardonnable pour ce porc qui se goinfre tous les jours sur notre dos. Nous les employés, on ne lui pardonne pas notre collègue Kingsley qui est à l’hôpital depuis un mois. Fracture du bassin après une collision avec un camion. Mais on ne peut pas le lui dire. On l’écoute en silence, crier, pleurnicher et se plaindre, lui qui ne connait pas les fins de mois difficiles.

On rêve tous de rendre notre tablier et de lui cracher à la gueule. À propos de crachat à la gueule, j’en ai presque oublié la fille que je viens de croiser. Finalement je ne parle d’elle à personne. Tout le monde fait la gueule et travaille en regardant son portable en douce. Tout le monde s’en fout et ne pense qu’à finir la journée sans se prendre la tête. Après le boulot, je retourne traîner dans le quartier où je l’ai vue. Je rôde une bonne heure sans la revoir. J’ai des courses à faire. Il y a un supermarché dans le coin. Alors j’y vais. Quand je fais mes courses, j’évite le rayon des pizzas. Ne me demandez pas pourquoi. C’est du rayon des surgelés que viennent les cris d’une femme.
— Mais qu’est-ce qu’elle fait celle-là ! Mais c’est pas vrai ! C’est dégueulasse ! Quelle cochonne !
Dans le magasin, tout le monde tourne la tête en direction des cris. Quand j’arrive sur place, je vois une mémère d’un certain âge qui hurle en désignant une flaque jaunâtre devant ses pieds. Et au loin, je la vois elle, avec son sweat noir, qui quitte précipitamment le magasin.
— Vous avez vu ça, me dit la mémère. Elle a pissé là devant moi, cette espèce de sale vaurienne.
Je me précipite à la suite de ma pisseuse à capuche. J’en oublie de payer mon paquet de bonbons Haribo et mon pack de Pepsi. Une caissière crie derrière moi. Je ne m’arrête pas. Je veux la rattraper à tout prix. La caissière hurle qu’il faut appeler la police. Pour un paquet de bonbons et six cannettes de soda, sans déconner ? Cette fois, elle est là devant moi. Elle court, puis se retourne. Elle s’arrête. Elle me fixe. Je ne vois toujours pas son visage. Mais je vois sa chatte. Car elle ne porte rien d’autre que son sweat à capuche et une paire de Nike poussiéreuses. La fille est nue sous la ceinture et personne ne s’en rend compte. On vit dans un drôle de monde, pas vrai ? La fille continue de marcher. Je continue de la suivre, la rattrapant prudemment. J’arrive à sa hauteur et tente d’établir un dialogue avec elle.
— On devrait peut-être se cacher. Ils ont dû appeler la police. J’ai volé ces trucs. Et toi, tu as pissé dans leur magasin.
Elle ne me répond pas, alors j’ouvre le paquet de bonbons Haribo et le lui propose. Elle plonge la main dedans et se fourre une poignée pleine de bonbons goût Orangina dans la bouche. Sa bouche, c’est tout ce que je peux voir de son visage. Je lui propose une canette de Pepsi et elle la vide en quelques gorgées. Elle ne cherche pas à étouffer une série de rôts. Son haleine sucrée arrive jusqu’à mes narines.
— Moi c’est Kevan. Comme Kevin mais avec un a. Et toi ?

Elle reste immobile et silencieuse un moment. Puis elle se penche vers ses cuisses. J’y vois une goutte de pipi qui coule. Elle la prend sur le bout de son index et me le tend. J’essaie encore de croiser son regard, ce regard qu’elle cache si bien. Je prends son doigt dans ma bouche et le suce. Lorsque son pipi arrive sur ma langue, je m’attends à ressentir un goût… je sais pas, salé ou carrément âcre. En fait non, le pipi de Melody n’a pas vraiment de goût. Et c’est la première fois que j’en goûte, ça je le jure. Elle me regarde l’avaler, puis enfin, je l’entends me murmurer :
— Melody. Moi, c’est Melody. Ne le dis à personne.— Personne, mais pourquoi ?
Elle reprend sa marche. Je l’accompagne. J’essaie de comprendre. Je comprends.
— Quelqu’un t’a fait du mal, c’est ça ? Ça ne peut être que ça. Excuse-moi Melody, je ne veux pas être intrusif mais… Je connais des tas de filles en tous genres. Mais toi, tu es unique. J’aimerais mieux te connaître. Je sais, j’ai les mêmes défauts que tous les mecs. Je suis lourd et con, mais...

Elle s’arrête et pose une main sur ma nuque, m’attire vers elle. Elle pose ses lèvres sucrées sur les miennes. Je profite de son baiser pour poser une main sur ses fesses. L’autre main caresse son dos. Elle continue de m’embrasser. Elle prend ma lèvre inférieure entre les siennes et tire dessus. Un doigt vient ouvrir ma bouche. Elle crache dedans. J’entrevoie enfin ses yeux, deux yeux gris clairs. Elle me regarde avaler sa salive. Elle esquisse un sourire. Sa main prend la mienne.
— Emmène-moi chez toi, Kevan avec un a.
J’hésite un peu à prendre avec elle le chemin de mon quartier. Je réalise que je suis moins ouvert que je le pensais. Voilà que je me soucis du qu’en-dira-t-on ? Que diront mes voisins en me voyant rentrer chez moi avec une fille fesses et chatte nues ? Et puis, merde ! J’ai trop envie de la connaître, Melody. Je sais déjà que je ne rencontrerai pas une seconde fois une fille comme elle, dans ma vie. Nous arrivons dans ma rue. Nous croisons des gens. Des zombies de tous âges, hypnotisés par leur écran. On ne nous regarde pas. Nous prenons l’ascenseur avec la vieille dame du cinquième. Elle est peut-être la seule à remarquer quelque chose. Elle ne dit rien. Nous arrivons devant la porte de mon studio. Melody entre la première. Elle se laisse tomber sur mon lit défait. Je lui propose un café, un verre d’eau. Elle prend mon paquet de Haribo. Elle en prend une poignée et se la met dans la chatte.
— Tu as envie de me lécher, Kevan ?

Oh putain, OUAIS ! Je me précipite entre ses cuisses ouvertes rien que pour moi. J’exécute le cunnilingus le plus sucré dans toute l’Histoire des cunnilingus. Un vrai délice. Haribo, c’est beau la vie. Je retire mon pantalon. Elle ne semble pas vouloir me prendre dans sa bouche. Je la prends dans sa chatte, toujours pleine de bonbons, toujours plus collante. J’ouvre son sweat, découvre sa poitrine, ses petits seins, ses tétons. Je les mordille. Elle m’excite comme jamais aucune autre fille ne m’a excité. Je rue dans sa chatte comme un étalon furieux. Elle gémit. Elle jouit. Elle jouit encore. Et encore. Et moi aussi.
Melody me repousse doucement. Je sors de sa chatte une queue poisseuse. Melody mange les Haribo restés collés dessus, pleins de sperme et de ses sécrétions vaginales. Elle m’en met dans la bouche. Je les mange avec délices. Je suis fou de cette fille. Je ne débande pas. Melody me laisse la pénétrer à nouveau. C’est encore plus frénétique que la première fois. C’est comme un combat. Un combat pour retenir la jouissance.
Je ne sais pas combien de fois nous l’avons fait. Il fait nuit. Il est près de minuit. Je lui propose d’aller danser. On prend une douche. Je la vois enfin toute nue. Mais elle me tourne le dos. J’ai envie de la prendre par derrière, mais je décide de me réserver ce délice pour plus tard.
Le videur sourit en nous voyant arriver et nous ouvre la porte. Je ne sais pas s’il a remarqué la chatte nue de Melody. Sans doute. Il lui a tout de même demandé sa carte d’identité pour vérifier son âge. Je ne sais pas d’où elle l’a sortie. Nous entrons dans le monde de la nuit. D’ailleurs, c’est le nom de la boîte : le Night World. Nous buvons des Gin Tonic, puis nous fonçons sur le dancefloor, la piste de danse si vous préférez. Melody ouvre son sweat, dévoilant tout son corps à la foule déjà en sueur. Mais elle garde sa capuche et continue de cacher son visage. Autour de nous, son attitude est visiblement très appréciée. Tout comme ses formes fines et sexy. Deux filles viennent danser avec nous. Quand le disc-jockey marque une pause, je leur propose d’aller boire un verre avec Melody.
La fille aux dreadlocks bleus est aussi mince que Melody et s’appelle Becky. Sa copine Sabrina, est une latine aux formes généreuses et aux longs cheveux noirs. Elles m’interrogent sur Melody. Comme moi, elles sont fascinées par son coté mystérieux et sa chatte exhibée sans pudeur. Comme moi, elles ont envie de l’imiter. Il est tard, près de cinq heures du matin lorsque nous nous décidons à sauter le pas. Becky, Sabrina et moi enlevons le bas. Fesses et parties intimes à l’air, nous allons danser avec Melody sur le dancefloor. Bien vite, on nous imite. Le DJ sourit d’un air satisfait. Sans doute croit-il qu’il est à l’origine de ce qu’il semble prendre pour une nouvelle mode. Le jour se lève lorsque nous rentrons chez moi, les trois filles et moi. Nous sommes épuisés et décidons de remettre au lendemain nos ébats.
Lorsque je me réveille ce dimanche matin, entouré de trois filles superbes et nues, je m’étire et je souris. Je sais qu’un long dimanche de baise m’attend.
Vous pouvez retrouver Melody et Kevan dans ma nouvelle déjà publiée intitulée Le canapé beige.Bonne lecture !
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