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Mélusine la cochonne

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Quand Sébastien, jeune exploitant agricole qui avait repris les affaires de son père, épousa Mélusine, il ne se doutait absolument pas de ce dont sa femme était capable. Mélusine était une fille de la ville, charmante, mince, aux seins fermes et ronds, et dont la chute de rein n’avait rien à envier aux mannequins les plus en vogue. Les traits de son visage étaient fins et ses yeux bleu clair contrastaient avec sa longue chevelure foncée. Mélusine était accro au sexe : Sébastien le savait. Bien membré, endurant et assez doué en la matière, il lui faisait très bien l’amour et était toujours prêt à répondre à tous ses fantasmes : ils avaient eu l’occasion, avant leur mariage, de pratiquer l’échangisme avec des connaissances et de passer leurs vacances dans un camp naturiste où les partouzes avait occupé toutes leurs soirées et leurs nuits. Sébastien, qui était fier d’avoir une femme si belle et si chaude, ne ressentait pas de jalousie à la partager. Il ne pensait quand même pas que son addiction au sexe la pousserait aussi loin dans ses fantasmes.La ferme prenait désormais beaucoup de temps à Sébastien, et il lui en restait fort peu pour les loisirs, quels qu’ils soient. Aussi, Mélusine, qui travaillait à mi-temps, avait-elle pris l’habitude d’assouvir ses envies de sexe à l’insu de son mari. Elle fréquentait régulièrement un club échangiste situé à une quarantaine de kilomètres de chez eux et qui organisait un gang bang chaque lundi après-midi. Sa beauté, sa jeunesse et son appétit sexuel en avaient fait la star incontestée : les clients toujours plus nombreux faisaient la joie du patron qui, pour s’assurer la présence de Mélusine, lui glissait systématiquement quelques billets lorsqu’elle quittait le club. Cette partie de baise hebdomadaire et les étreintes enflammées avec son mari lui avaient suffi tout un temps ; elle était maintenant à la recherche d’autres fantasmes.Un jeudi après-midi ensoleillé, alors que Sébastien était parti aux champs pour un travail qui ne devait pas le faire revenir avant la fin de la journée, Mélusine décida de passer l’après-midi à bronzer dans la cour de la ferme. Dans sa chambre, elle choisit un bikini blanc très sexy qu’elle enfila et s’installa dans un des transats situés sur une partie de la petite cour de ferme aménagée en terrasse.La lassitude de l’inaction gagna vite la jeune femme : après une demi-heure à peine, elle en avait assez de se faire dorer la pilule. Sa main descendit vers son sexe et, lorsqu’elle effleura ses lèvres, elle sentit très vite le désir monter en elle. Après quelques caresses, elle savait qu’il lui fallait absolument un bon plan sexe dans l’immédiat : elle décida donc de se promener dans la propriété, à la recherche d’une opportunité de satisfaire ses désirs. Attirée par le bruit qui en sortait, elle se dirigea vers la porcherie. De l’extérieur, elle vit trois ouvriers de son mari, de rugueux garçons de ferme, commencer à nettoyer l’endroit vidé de ses bêtes. Elle entra, enleva ses tongs et se mit à marcher dans la paille et le fumier. Les trois gars la remarquèrent immédiatement et se regardèrent d’un air interrogatif : soucieux d’éviter que sa femme ne devienne l’objet des désirs de ses ouvriers, Sébastien avait toujours agi de manière à ce qu’ils ne la rencontrent pas : il avait même donné un caractère privé à la cour de la ferme, qui servait plus d’avant-cour et de terrasse au logis, et les ouvriers accédaient aux étables, granges et hangars par l’arrière. De son côté, Mélusine n’allait jamais dans ces parties du bâtiment. Il s’agissait donc d’une situation pour le moins habituelle à laquelle les protagonistes réagirent cependant avec une aisance mal dissimulée. Mélusine regarda les trois hommes, glissa sa main dans la culotte de son bikini, laissant apparaitre le haut de son pubis parfaitement épilé, et enfonça son majeur dans son vagin. Les trois hommes lâchèrent leurs outils, s’approchèrent d’elle et se mirent à la caresser de leurs grosses mains crasseuses. Ils lui enlevèrent son soutien-gorge et leurs mains salirent ses beaux seins. Un des hommes sortit une flasque remplie de vodka de sa poche et la porta aux lèvres de Mélusine, qui en but quelques gorgées. Echauffée par l’alcool, elle défit leur pantalon et sortit trois grosses bites déjà en érection et dont la mauvaise odeur parvint rapidement à ses narines, malgré la puanteur qui régnait dans la porcherie. Elle se mit à genoux dans la crasse et enfourna les trois bites l’une après l’autre. Experte de la pipe, elle provoqua rapidement des soupirs gras de la part des trois brutes. Curieusement, l’odeur nauséabonde des trois gourdins ne la dérangea pas : au contraire, elle intégra cette donnée à son fantasme et continua à les lécher. Un des trois ouvriers la força à se relever, enleva brutalement sa culotte, la poussa au niveau des épaules pour qu’elle se penche et la pénétra avec force par derrière. Mélusine ne put s’empêcher de lâcher un cri de plaisir qui ne fit que s’accroitre avec les coups de butoir de son amant. Elle continua à sucer goulument les deux autres bites et accepta de boire de nouveau quelques gorgées de la flasque que l’ouvrier portait à sa bouche. Le premier homme se retira et laissa sa place à son collègue, un malabar qui enfonça son gros gland au plus profond de la belle jeune femme. Les rugissements de plaisir émanaient aussi bien de Mélusine que de son amant.Le troisième ouvrier l’obligea à se coucher à plat ventre dans la paille et dans le fumier. Il lui écarta les fesses, cracha sur son anus et y enfonça un, puis deux doigts avant de la pénétrer. Il entama un brutal et profond va-et-vient qui fit gémir Mélusine de douleur et qui le conduisit rapidement à l’éjaculation. Il lâcha quelques gros jets de sperme chaud au fond de son trou de cul et se retira. Le suivant retourna Mélusine sur le dos, se mit à genoux et enfonça son sexe dans son vagin. Tout son corps était maintenant maculé de merde de cochon : ses cheveux en étaient rempli et la vraie couleur de sa peau n’était presque plus visible. Même son joli visage était tapissé de purin. Le foutre commença à dégouliner de son cul.Elle releva les jambes bien haut pour augmenter le plaisir. Le dernier s’approcha de son visage et versa quelques centilitres de vodka dans sa bouche d’avant d’y enfoncer sa bite. Elle sentit l’orgasme monter en elle et, au moment où tout son corps frissonnait de jouissance, elle reçut plusieurs giclées de sperme sur le visage et au fond de son vagin : les deux hommes avaient joui en même temps. Toute cette scène n’avait duré que quelques minutes : un vrai décoffrage de brutes. Ivre, le corps empli de la satisfaction que procure un orgasme, Mélusine resta quelques instants couchée sur le dos, bras et jambes écartés. Le sperme dégoulinait de son cul, de son vagin et sur ses joues. Elle sentit de nouveau la vodka couler dans sa bouche : l’homme était en train de lui faire boire le reste de la flasque. Debout autour d’elle, les trois hommes contemplaient cette fille souillée de la tête aux pieds. L’un d’entre eux, estimant que ce n’était pas encore assez, se mit à uriner sur la jeune fille ; ses deux acolytes l’imitèrent. Mélusine était aspergée par trois jets de pisse qui circulaient sur tout son corps pour se rejoindre dans sa bouche. L’urine dégoulinait dans ses cheveux et dans son cou, et chassait quelque peu la merde de cochon qu’elle avait sur le corps. L’odeur de son corps était infecte. Quand Mélusine essaya de se relever, elle se rendit compte à quel point l’alcool faisait son effet. Il lui arrivait de boire un ou deux cocktails quand elle allait au club échangiste, mais jamais elle n’avait avalé vingt centilitres de vodka en quelques minutes. Elle ne parvint pas à se mettre debout. Elle avança à quatre pattes dans la porcherie, sous le regard moqueur des trois hommes. Elle récupéra tant bien que mal sa culotte et son soutien-gorge mais elle ne parvint pas à retrouver ses tongs. Elle s’écroula, à demi-consciente. La tête lui tournait et elle voyait tout bouger autour d’elle. Soudain, elle fut prise de nausées et vomit à plusieurs reprises, sur le sol et sur elle-même. Elle retomba ensuite sur le dos, étalée de tout son long dans la porcherie, nue, à la merci du premier venu, et resta ainsi de longues minutes. Les trois ouvriers sortirent fumer une cigarette. Prenant soudainement conscience du risque de perdre leur emploi si leur patron savait ce qu’il s’était passé, ils rentrèrent et relevèrent Mélusine. Titubante, instable, la belle jeune femme eut toutes les peines du monde à rester debout. Un des hommes prit le boyau qui devait servir à nettoyer la porcherie, ouvrit le robinet et le dirigea vers Mélusine. Cette douche glacée lui donna tout d’abord une forte sensation de douleur, mais elle s’habitua vite: outre le fait d’être lavée du purin et de la pisse qui maculaient sa peau, cette douche allait peut-être atténuer les effets de l’alcool. La puissance du jet enleva toute trace brune jusque dans ses cheveux. Plus de traces de sperme non plus entre ses cuisses ou sur son visage. Elle demanda aux hommes de laver son bikini et ses tongs afin de pouvoir cacher toute trace de ce qui s’était passé à son mari. Rhabillée, propre, Mélusine rejoignit péniblement son transat, en longeant les murs pour s’y appuyer, manquant à plusieurs reprises de tomber. A peine couchée sur son transat, elle tomba profondément endormie. C’est une main plongeant dans sa culotte qui la réveilla. Elle sentit la forte douleur de l’alcool dans le front et elle avait la bouche pâteuse. En ouvrant péniblement les yeux, elle aperçut son mari. Malgré la douche, les odeurs d’urine et de purin étaient encore bien présentes sur son corps et son haleine empestait l’alcool. Sébastien souffrait d’anosmie depuis son plus jeune âge : aucun souci donc en ce qui concerne les odeurs, mais Mélusine devait quand même éviter qu’il ne l’embrasse ou lui lèche le corps. Elle prétexta donc un besoin urgent pour se réfugier dans la salle de bain et effacer les dernières traces de sa partie de baise avec les trois ouvriers, sauf sa gueule de bois, bien sûr. Son mari ne se rendit compte de rien.
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