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Mémoire effacée

Chapitre 5

Enfin chez nous

Erotique
Chers lecteurs. Tout d’abord, merci de me suivre depuis le début. J’apprécie sincèrement et soyez sûr que c’est votre fidélité qui me pousse à continuer de poster ici. Je vous écris cette introduction pour vous prévenir que durant ce chapitre, un changement de point de vu s’opérera. J’ai apprécié l’écrire et j’espère que cela vous plaira de le lire. N’hésitez surtout pas à me le dire en commentaires. Je vous laisse donc découvrir ça, bonne lecture !
***

25 mars
Enfin à la maison. J’étais enfin chez moi, avec la femme que j’aimais le plus au monde. Notre petit appartement était magnifique : duplex, 450 m2 au total, mobilier design. Ils n’avaient franchement rien à envier aux plus riches.Nous étions maintenant à San Francisco depuis plusieurs heures, la nuit approchaient et nous avions passés l’après-midi à défaire les valises et Élie m’avait parlé de beaucoup de choses. Les détails pour la fac, que je devrais probablement rencontrer le président de la faculté, pour me permettre de reprendre les cours sans difficulté. Mais ce soir, je sortais. Mes amis m’avaient invité à boire un verre, après une partie de basket. Je ne voulais pas vraiment, hésitant à laisser Elie seule, mais elle avait lourdement insisté.
— Adam, je te jure, sur ce que j’ai de plus cher au monde, que je ne t’en voudrais jamais pour me laisser si ça doit te permettre de guérir. Tu as le droit de voir tes amis, tu as le droit d’avoir des loisirs à côté de ta vie avec moi. C’est même normal et ce serait l’inverse qui serait honteux de ma part.
Nous étions dans la cuisine, elle se rapprocha de mot d’un pas lent et sensuel, et dit :
— Et je te promets que ce soir lorsque tu rentreras, je te prouverai que je ne t’en veux pas du tout.
Elle s’approcha encore, me regardant avec des yeux coquins, puis se mit légèrement sur la pointe des pieds pour m’embrasser. Elle colla ensuite sa tête sur ma poitrine, passant ses mains autour de moi. L’oreille lui permettant d’entre mon cœur, elle dit :
— Je veux savoir que ce cœur ne bat pas uniquement pour moi, mais pour les autres personnes que tu aimes.
Elle leva la tête vers moi pour me regarder et me dit :
— Même si ça t’excite plus de me voir en lingerie coquine moi plutôt qu’eux.
Elle me donna une claque sur mes fesses ce qui me fit rire et elle me suivit en riant elle aussi. Que je pouvais aimer son sourire. Son rire, ses yeux… En fait, j’aimais absolument tout chez elle. Comment, à mon réveil, ai-je pu douter de mon amour pour elle ? Comment ai-je pu douter qu’avant mon accident, chaque cellule de mon corps la désirait, désirait lui faire l’amour, lui donnait du plaisir, lui faire ressentir dans tout son être un amour sincère et sans contreparti attendue. Je finis par hocher la tête et lui rendre son sourire. Je voulais faire ça pour elle, lui faire plaisir, la rendre heureuse, même si pour un soir et un seul ça signifiait de la laisser seule. Je préparai donc mes affaires, avant d’aller me doucher. Tandis que j’étais sous la douche, j’entendis des pas s’approcher de la pièce. D’abord, une sorte de peur m’envahit puis je fus immédiatement rassuré en voyant le joli minois de ma rousse préférée.

Elle me regardait en se mordillant doucement la lèvre, et tandis que j’avais coupé l’eau pour me savonner, je lui demandai :
— Je peux faire quelque chose pour toi mon amour ?— Non, j’apprécie simplement la vue. Enfin... Peut-être te tourner un peu plus vers moi.
Je la vis sourire en baissant les yeux, et dis alors :
— Et bien peut-être que si tu es sage, ce soir, tu auras une vue entièrement dégagée sur cette zone-là, dis-je avant de lui adresser un sourire moqueur.
Elle lâcha un petit rire, me sourit d’un air provocateur et quitta finalement l’embrasure de la porte. Moi, je finis ma douche et m’habillai. Un t-shirt Star Wars et un Jean blanc devraient suffire pour mes vieux potes. Je traversai l’appartement, et vins voir Elie qui lisait devant une petite cheminée dans le salon. Je la regardai en m’assaillant en face d’elle sur le même canapé et lui demandai :
— Tu es sûre que ça ne te dérange pas de rester seule ce soir ?
Elle me regarda, posa son livre et vint m’embrasser doucement, de manière sexy.
— Non, ça ne me dérange pas, on a passé cent pour-cent de notre temps ensemble depuis ton réveil à l’hôpital, les seuls moments seuls étaient lorsque nous étions aux toilettes mais ça représente tellement rien qu’on peut parler de cent pour-cent ensemble. Ça me fait plaisir que tu ailles voir tes amis, ça me fait plaisir que tu passes une bonne soirée, même si c’est sans moi. Déjà, parce que je t’aime, tu m’aimes, bref, on s’aime, et surtout parce que je sais qu’évidemment ce ne sera pas douze fois par semaine. Ça t’arrivait avant, ce n’est pas parce que ça s’est mal passé une seule fois que tu ne dois plus sortir. Et puis t’inquiète pas...
Elle me poussa dans le fond du canapé et grimpa à califourchon sur mes jambes.
— Je te montrerai ce soir que je suis très loin de t’en vouloir.
Elle m’embrassa, et remua son bassin, sur une érection déjà présente qui ne fit que s’accentuer. Puis, elle s’arrêta, m’afficha un sourire coquin et reprit alors sa place dans le canapé. Et avant de continuer sa lecture, elle se pencha vers moi, à genoux, et me glissa, après m’avoir embrassé :
— Bonne soirée, mon amour, amuse toi bien.
Elle rouvrit son livre, et le lut, me lançant un ou deux regards moqueurs. Je restai là, stupéfait, interdit, et la regardai dans l’incompréhension la plus totale. Cette coquine m’avait volontairement provoqué, excité, avant que je ne sorte. Je me levai alors, sous les yeux de ma belle rousse, et fis le tour pour me placer derrière elle. Je me penchai alors dans son dos, venant l’embrasser dans le cou, et glissait doucement mes mains dans le décolleté de son t-shirt, qu’elle portait à la maison sans soutien-gorge. Elle fut surprise, mais je la sentis réagir immédiatement sous mes doigts, ses tétons se durcissant. Avant de partir, je lui dis :
— Bonne soirée à toi aussi mon amour.
Puis d’ajouter, en murmurant :
— Amuse-toi bien, toi aussi.
Elle haletait sous mes doigts, l’excitation commençant à monter. Je retirai donc mes mains de sous son t-shirt, lui arrachant un soupire de plainte et me prit un coup de coussin qu’elle m’avait lancé, rigolant quand il me toucha dans le dos. Je lâchai un rire en sentant le projectile MORTEL et quittai l’appartement dans la bonne humeur.
***
Le petit salopard. Il m’avait excitée à me caresser les seins comme ça. Bon, cela dit, c’est vrai, je ne devrai m’en prendre qu’à moi-même. À grimper sur lui et remuer mon bassin, et le connaissant, j’aurai dû me douter qu’il me rendrait la monnaie de la pièce. Et vu comme je l’avais senti dur sous mon mini short, j’étais loin d’avoir payé ma dette. Sauf que sentir ses mains directement sur la peau de ma poitrine nue m’avait chauffée et je ne parvenais pas à redescendre. Lâchant définitivement mon livre pour la soirée, je ne pus me retenir de glisser une main sous mon mini short et sous le tissu de ma culotte, tissu bien humide, car mon antre était très très humide lui aussi. Je me rendis compte que j’étais déjà mouillée et très excitée là en bas. Voir mon homme sous la douche avec cette érection m’avait carrément fait de l’effet. Quand je passais un doigt sur mon clitoris, je gémis immédiatement de plaisir.
Voulant être plus loin du mur qui était mitoyen avec l’appartement de nos voisins, je me dirigeai vers la chambre, et un sourire coquin aux lèvres, je laissai traîner çà et là mes vêtements, pour me retrouver nue, débarrassée de mon t-shirt et de mon mini short sous lequel je ne portais pas de culotte, pour le plus grand plaisir de mon Adam. J’avais remarqué qu’il aimait me faire des cunnilingus, et même après son accident et sa perte de mémoire. Et moi, j’adorai littéralement lorsqu’il passait sa langue sur mon petit bouton. Il pouvait me faire partir au quart de tour. Avant son accident, il lui arrivait de me réveiller de façon coquine. Il glissait ma main entre mes cuisses et effleurant mes lèvres, il me poussait à écarter les jambes pour venir se glisser ensuite la tête là-dessous et me procurer mon premier orgasme de la journée.
J’attendais, pour être honnête, avec impatience le jour où il recommencerait, je voulais qu’il le refasse, et même si je voulais lui dire, je ne voulais pas lui mettre la pression. Alors que je ne faisais que le caresser le clitoris en faisant des ronds avec mes doigts autour de celui-ci, je ressentis le premier orgasme de la soirée arriver. Mon corps se cambra, et un long cri de plaisir sorti de ma bouche. Je pouvais m’en faire pour mes voisins qui entendraient sans doute, mais je n’en avais ce soir-là rien à foutre.
Retombant sur mon matelas, haletante, je me penchais vers le tiroir de ma table de nuit et en sorti un sextoy réaliste, moulé sur le penis d’Adam. Le moulage avait été fait après son engagement chez les Marines. Je savais que nous pouvions commander un kit sur Internet et le faire nous-même, mais je voulais que ce soit parfait et nous nous étions déplacés en boutique pour le faire, ce qui l’avait beaucoup gêné, étant obligé d’avoir une érection devant une inconnue, qui avait d’ailleurs appliqué le silicone chauffé elle-même, ce qui je dois bien l’avoué m’avait vraiment fait bizarre. Mais le plus mal de nous deux avait vraiment été Adam, très mal d’avoir eu ’’du plaisir’’ à se faire ’’caresser’’ par une autre que moi. Il m’avait avoué plus tard avoir pensé à moi tout du long, tout en s’excusant tout de même d’avoir ressenti du plaisir. Qu’il était chou...
Bien évidemment que je lui avais pardonné, d’abord parce que je savais qu’il ne ressentait rien pour l’autre femme, aussi jolie soit elle et c’est vrai qu’elle était très mignonne, et c’est moi qui avais demandé à le faire en magasin par quelqu’un qui avait dû déjà le faire.
Adam et moi utilisions et utilisons encore maintenant ce sextoy lorsque j’avais mes règles. Bien évidemment que je lui avais pardonné, d’abord parce que je savais qu’il ne ressentait rien pour l’autre femme, aussi jolie, soit elle et c’est vrai qu’elle était très mignonne, et c’est moi qui avais demandé à le faire en magasin par quelqu’un qui avait dû déjà le faire. Mais Adam n’osait pas, n’arrivait pas à me faire l’amour durant cette période, ayant l’impression de me faire mal, chaque fois qu’il voyait du sang sur son sexe. Alors, désormais, nous utilisions cet objet sexuel qui représentait fidèlement son sexe en érection, et j’avais à chaque fois des orgasmes vraiment intenses, autant que lorsqu’il me pénétrait réellement.
J’approchai donc le gland du faux sexe de mon homme de mon intimité, et attrapant de ma main gauche mon sein et mon téton que je pinçais entre mes doigts, j’enfonçai de ma main droite le gode profondément en moi, m’arrachant un gémissement de plaisir, mon pouce touchant le bout de mon clitoris à chaque aller-retour.
Je sentais que la jouissance allait arriver, encore, en imaginant que c’était lui qui me pénétrait de tout son long et me faisait l’amour. Mes gémissements se transformaient maintenant en véritables cris de plaisir. Je décidai donc d’accélérer pour arriver à l’orgasme. Je me cambrai, encore, et le gode sortit de lui-même de mon antre chaud expulsé par mon orgasme tout comme un peu de cyprine, son lubrifiant intime. Je retombai sur mon matelas, dévastée par l’orgasme, mais bien, heureuse, un moment de pur bien être. Et le summum de ce moment de bonheur sera quand l’amour de ma vie viendra remplacer son imitation en caoutchouc. Elle attrape son téléphone et envoie un message à Adam qui répond aussitôt.

[SMS,Elie,Mon coeur ]> Mon amour, rentre dès que tu peux< On fait une partie de basket mais je devrais pas trop trop tarder je commence à fatiguer, tout va bien mon coeur ? > J’ai envie de toi, tu as réussi à me chauffer tout à l’heure petit coquin< Ah oui ? Et là tu as excitée à quel point ? ¬‿¬> Au point d’être tellement impatiente que tu me fasses l’amour que j’ai commencé à faire plaisir toute seule ¬‿¬< ohhh ¬‿¬ je me vois donc dans l’obligation de raccourcir cette soirée entre amis pour te rejoindre ¬‿¬< j’arrive dès que je peux, juste le temps de dire au revoir et le trajet <3> A tout de suite mon amour <3
Je patientai donc les vingts minutes qui suivirent, jusqu’à ce que je l’entende ouvrir la porte.

***
Je passai donc la porte en quatrième vitesse, retirant ma veste et mes chaussures.
— Ma chérie !

Je m’enfonçai plus profondément dans notre habitation, et je rejoignis ma chère et tendre dans notre chambre à coucher. Ses messages m’avaient gravement excité et ma réaction sur le terrain de basket face à mes potes avait dû être vraiment étrange au vu de la tête qu’ils ont fait à ce moment-là. Je me suis excusé, et ai quitté les lieux. Une fois dans la chambre donc, je découvris mon Elie, mon amour, l’élue de mon cœur, allongée sur le lit, sur le côté, dans des sous-vêtements ultra sexy en dentelle rouge et noir. Sa petite culotte mettait ses jolies fesses en valeur, bien arrondie et son soutien-gorge mettait sa belle poitrine en avant rien que pour lui. Il s’approcha et dit :
— Alors ? Tu n’arrives même pas à m’attendre ? — C’est de ta faute, t’aurais pas dû me caresser comme tu l’as fait tout à l’heure. — J’y peux rien, dis-je en haussant les épaules. Tu m’excites avec ta tenue sexy, et puis ne me dis pas que quand tu as grimpé sur moi, tu ne voulais pas me chauffer un peu.

Je m’approchai d’elle dans le lit et commençai à l’embrasser en la caressant doucement.
— Et ma tenue maintenant elle te plaît ? Me demande-t-elle.

Je mis ma main sur sa cuisse et commence à l’embrasser dans le cou avant de descendre sur sa poitrine, étirant un sourire de bonheur sur le visage de ma belle.
— À ton avis, qu’est ce que je pense de ta tenue actuelle ? Dis-je un sourire coquin aux lèvres.

Elle passa au-dessus de moi et s’assit sur mon bassin, plaçant mes mains sur ses hanches, et se penchant vers moi pour m’embrasser, elle me murmura :
— Je crois que tu as envie de me retirer ce soutien-gorge et cette petite culotte sexy et que tu veux me faire sauvagement l’amour.

Je ris de bon cœur et hoche la tête en passant mes mains dans son dos pour lui dégrafer son soutien-gorge, et elle soulève ses jambes pour que je lui retire sa culotte, que je jette au milieu de la pièce. Elle défait le bouton de mon jean et caresse mon sexe bandé à travers mon caleçon.
— Mmmh t’es déjà excité mon amour.

Elle me baisse mon caleçon, caresse mon gland ce qui me donne des frissons vraiment intenses. Mais ce qui se passa ensuite augmenta encore mes frissons : elle bougea son bassin sur mon sexe de ton son long, frotta ses lèvres intimes contre mon pénis, et je la sens devenir de plus en plus humide. Elle se dressa maintenant sur ses genoux pour venir d’empaler sur moi. Elle émit un gros soupire quand je la pénétrai et se mit alors à onduler. Je me sentis serré en elle, ses parois intimes se resserrant et desserrant autour de mon membre. Quelles sensations incroyables. Je mis mes mains sur ses seins et elle plaça les siennes par dessus, pour accentuer la pression et donc les sensations.
— Mmh mon amour, pince moi les tétons doucement.
Je m’exécutai. Je lui pris donc ses tétons entre deux de mes doigts et lui arrachai un gémissement de plaisir. Puis, sans la prévenir, je plaquai mes mains sur ses fesses, la rapprochant de moi une main dans son dos. Maintenant poitrine contre poitrine,nos bouches assez près l’une de l’autre pour s’embrasser, je lui massai les fesses en accélérant les vas et viens. Elle glissa sa main dans mes cheveux et se mit maintenant à hurler de plaisir. Elle me suppliait de continuer, de la faire jouir. Je la pris aux mots et mes mains quittaient ses fesses pour s’agripper à son dos et accentuer encore les vas et viens. Je me sentais sur le point d’exploser, peut-être que ce soir c’était un peu trop vite mais je crois qu’elle n’allait pas me le reprocher ou s’en plaindre.Même si j’aurai compris.
Je fis encore quelques allers-retours, puis j’éjaculai en elle, lâchant toute ma semence en elle. Elle retomba sur moi, et je me retirai en soulevant ses fesses, le mélange de nos deux liquides du plaisir. Elle se blottit contre moi, reprenant son souffle,et me dit
— C’était...tellement bien...— Je n’ai pas été trop rapide ?
Elle me caressa la joue en souriant doucement et me dit:
— Non je m’en fiche de la durée, j’ai eu des orgasmes incroyableset c’est tout ce que je veux. Celui-ci a été le plus gros et je n’aurais peut-être pas pu continuer après donc non.
Je n’étais pas très convaincu, toujours soucieux de la satisfaire au maximum, ne voulant que le bonheur de ma rousse, mais la sentir blotti contre moi me rassura complêtement. Nos corps nus et collants de nos transpirations l’un contre l’autre, nous nous endormîmes finalement.
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