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Mémoires d'un baiseur

Chapitre 10

Hétéro
RETROUVAILLES (10)Comme les autres, cette histoire est vraie. Seuls les noms des personnes et des lieux sont changés ou imaginaires. Si certaines personnes se reconnaissent, elles peuvent me contacter... C’est une journée comme les autres. Les consultations au dispensaire avaient commencé depuis une heure environ quand le médecin me demande d’appeler une ambulance pour un transport de malade vers l’hôpital.Ma surprise est à son comble quand je vois le conducteur de cette voiture. C’est un ancien voisin de jeunesse. Nous nous étions perdus de vue depuis quelques années. C’est avec lui que j’ai eu mes premières expériences sexuelles. C’est Petikokin, Eros de son prénom, (il écrit des histoires sur ce site). Les premiers instants de nos retrouvailles passés, nous vaquons chacun à nos occupations avec la promesse de se revoir en fin de journée...C’est une soirée de fin d’été. Nous sommes dehors. Pendant le repas nous nous sommes rappelés nos souvenirs de jeunesse, racontée notre vie jusqu’à ce jour. Il est toujours célibataire. Après quelques années d’engagements militaires, il a trouvé cet emploi d’ambulancier en attendant mieux. Moi j’avais rompu toutes relations avec Jean qui avait rapporté d’Algérie une blénnorragie en souvenir. Après mes études d’infirmière, quelques stages et remplacements divers, j’ai réussi le concours de recrutement dans ce dispensaire du centre d’accueil pour rapatriés. Pour assurer une permanence, je bénéficie d’un logement sur place, à l’étage. J’ai un copain (Jacques) qui travaille sur des chantiers et ne rentre que les week-ends et jours de repos. J’estime être une femme libre. Je milite au planning familial local. La nuit tombée, nous rentrons. Sur le divan, nous sommes assis côte à côte, prenant un dernier petit digestif. Comme pour me remercier de cet agréable moment, Eros pose une main tremblante sur ma cuisse. Sans trop d’assurance, il commence à remonter ma robe. Me doutant de ses intentions, je laisse faire. Il fait glisser sa main sur mon genou dénudé et remonte le long de ma cuisse. Je ne peux m’empêcher de poser une main sur la bosse de son pantalon. Arrivé au bon endroit, il me caresse à travers mon slip. Je sens son membre dur et souple à la fois. Je décide de délivrer ce sexe en ébullition. Je me sens tout à coup troublée, et chavirée par cette verge qui me rappelle de si bons souvenirs. Je la caresse. Elle se gonfle sous les mouvements de ma main. Le premier contact d’Eros avec mon intimité me délivre de toute pudeur. Les caresses qu’il me donne commencent à me détendre de plus en plus. Enivrée de ces douces sensations, je m’empare sans avertissement de ce phallus imposant, fièrement tendu et pointant vers mes seins qui, malgré mon corsage, trahissent par leurs pointes dressées, leur excitation. Délicatement, comme je sais faire, je mets à nu ce dard gorgé de sang aux reflets violacés, le coulissant entre mes doigts, dans un mouvement de va-et-vient.Nous nous sommes mutuellement déshabillés.Reprenant nos ébats, D’une main je continue à le masturber doucement, de l’autre main je lui caresse les zones que je sais également sensibles. Ce traitement le comble de bonheur et sa queue se dresse d’une pression folle. Le voyant dans tous ses états, je décide de vouloir le faire fondre en moi. Goulûment j’engloutis sa verge qui se tend dans une ultime érection. Le petit gémissement qu’il ne peut contenir à ce moment semble me récompenser pour mon audace. J’ai une envie folle de le sentir jouir sous l’effet de mes caresses. Je l’aide un instant en orientant d’une main son sexe dans ma bouche. Il a mis sa tête entre mes cuisses et sa langue pénètre le plus profond possible dans ma moule. Ses lèvres sucent mon clitoris si gonflé qu’il a quitté l’abri de son capuchon. D’un geste réflexe j’appuie l’autre main sur sa nuque. Tantôt la rentrant profondément, tantôt la ressortant entièrement, je pompe sa queue. Je le sens vibrer en glissant mes lèvres chaudes et humides sur le prépuce de son gland gonflé par l’extase.Des râles et des soupirs de plaisir sortent de ma gorge indiquant quand et comment sa langue douce me rend la plus heureuse. Pendant ces caresses nous avons glissé doucement sur la moquette à nos pieds. Nos chairs se fondent l’une en l’autre.Désormais, nous nous consacrons l’un à l’autre en position du 69. J’engloutis ce membre dur et luisant, vibrant sous les assauts de ma langue pendant que la sienne fait sursauter mon clitoris saillant, titillant mes petites lèvres charnues ou encore se noyant dans mon orifice intime inondé de cyprine. Il y va si profondément qu’il me caresse les parois de ma chatte frémissante et l’avale toute entière .Nous redoublons de vigueur. Nous nous étreignons de plus en plus fort. Nos muscles se raidissent. Nous nous cambrons. Les battements de mon cour résonnent follement dans mes tempes. Les cris étouffés que j’échappe nerveusement signalent de plus en plus mon approche du 7ème ciel. Son corps, torturé désormais, ne peu que difficilement être contrôlé. Il s’est soulevé comme pour faire évader son pénis de ma bouche brûlante. Mais je le veux tout pour moi et serrant très fort ses reins, je rends cette évasion impossible. Aussi les gémissements que je pousse accompagnent les tous premiers flots de la sève bouillonnante qui jaillit comme une cascade dont je ressens la force dans ma bouche. Au même instant, des spasmes de jouissance m’envahissent de plus en plus violemment. Suite à cet état de sublime exaltation je me concentre à le dévorer littéralement. L’un de ses doigts a plongé dans le petit orifice auréolé des fins replis de mon anus. Chaque pénétration, chaque caresse de sa langue m’envoie comme une décharge électrique qui me parcourt tout le corps. Les fesses soulevées du sol, les reins bien cambrés, tous mes muscles sont contractés à fond. Je sens mon excitation au maximum. La violence de mon plaisir est si envahissante que je crie la gorge serrée comme pour retenir pour moi ce bonheur si intense qui m’enveloppe... Les secousses de mon corps indiquent que je venais d’être frappée dans les fibres les plus intimes d’une jouissance décuplée. À bout de souffle, nos corps brûlants et agités s’abandonnent l’un à l’autre en roulant sur cette moquette. Nous restons un long moment enlacés dans un long baiser passionné y mêlant nos salives et nos sécrétions. Après s’être détendus de ces instants divins, quelques caresses échangées parcourent nos chairs abandonnées, leur redonnent vigueur et provoquent une autre extension de sa bite que mes mains avaient ressuscitée.Notre imagination, notre inspiration commune est relancée.Son membre long et dur effleure ma petite chatte affolée comme pour la prévenir du gabarit qu’elle va devoir avaler. Puis, lentement, dans un mouvement de va-et-vient, il fait coulisser son pieu le long de mon sillon de chair fébrile agaçant mon clitoris à l’aide de son gland en l’enfouissant dans la toison douce de mon pubis. Ses deux couilles rondes, à la peau si douce heurtent à chaque fois le sillon écarté de mes fesses juteuses créant un choc formidablement excitant. Cette volupté suave me relance à nouveau. Mon petit bouton de chair rose est encore une fois gonflé par l’excitation. Ce frottement répété l’a carrément rendu énorme. Le gouffre béant de ma cavité vaginale, mouillée tel un torrent au printemps, engloutit ce pieu de chair engorgée, gonflée, tendre et si dur à la fois, dans une mélodie de muqueuses suintantes se collant, puis se détachant avec un bruit de succion. Il me lime à présent sauvagement, sentant les parois vaginales qui resserrent sa verge.Pour m’exciter encore plus il releve mes jambes complètement les rabattant sur ses épaules. Son membre, dur comme le roc, emprunte le long sillon humide de ma vulve et de l’anus, excitant les deux à la fois. Je suis ouverte comme jamais je ne l’ai été auparavant. Puis, à ma grande surprise, ce phallus dur comme l’acier se présenta soudain devant mon orifice à la rosace entrouverte qui n’est normalement pas prévu a cet usage. Je ne pense pas qu’il peut me faire ça ! Je lui souffle sans grande conviction : « Pas ça ! Arrête ! Non ! Je ne veux pas ». Je me cambre, j’essaie de me raidir. Doucement il entreprend de me caresser la raie des fesses ce qui eut pour effet de me décontracter. Il engage sa verge brûlante progressivement dans mon trou débordant de la mouille de ma chatte. Mes muscles s’écartent pour laisser pénétrer, malgré moi, cette verge audacieuse qui me procure de nouvelles sensations et me donne tant de plaisir pour la première fois. Je ressens des impressions très vives de jouissance continue. A présent, le plus gros de son pénis a pris possession de ce lieu interdit.Ainsi, il poursuit cette pénétration rectale doucement, avec délicatesse. Je suis sodomisée, enfin. Au fur et à mesure qu’il progresse dans mon tunnel, les sensations de jouissance vont de plus en plus loin dans mon ventre. Tous mes organes sont excités, la vulve gonflée comme jamais. L’anus distendu, et même mes petits bouts de seins sont raides. Je prends ce plaisir dans tout mon corps. Chacun de ses mouvements, en arrière ou en avant, fait parcourir dans mes tripes une vibration douce et nouvelle à la fois. Je commence à perdre le souffle par l’intensité du plaisir que cela me procure. Il va et vient en moi avec une facilité incroyable. Je me délecte de cette douce emprise que j’ai au creux de mes fesses...Soudain, une série de spasmes éclatent en moi. Je me tords de bonheur, heureuse. Il jouit sans discontinuer. J’entrouvre les lèvres pour crier ce moment sublime mais aucun bruit ne sort de ma bouche. Je cherche ma respiration, m’agrippe au canapé de toutes mes forces. Dans des mouvements incontrôlés, j’explose sous l’effet de mon orgasme. Je sens son liquide chaud m’inonder le ventre.« Épuisés, après une bonne douche, nous sombrons dans un sommeil profond et réparateur.
Au cours de cette soirée, Eros m’a confié qu’il écrit des histoires publiées sur différents sites. Je veux partager mon expérience et mon bonheur. J’écris et lui demande de transmettre mes textes sous sa signature, pour constituer une série. N’hésitez pas, faites-en autant...
Petikokin (texte de Michèle)
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