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Mémoires d'un baiseur

Chapitre 23

Hétéro
MA SŒUR, PRIEZ POUR MOI (2)
Après avoir précisé quelques détails de sa jeunesse, Elodie, sœur Catherine en religion, me demande: "Alors, tu me la fais voir cette cicatrice?— Oui! Je vous l’ai promis... Mais avant,... je voudrais savoir... — Quoi? — Pourquoi, vous, une religieuse, pouvez-vous demander une telle chose à l’inconnu que je suis pour vous?— Tout d’abord je te redis que je suis, avant tout, une femme! Mon nom est Elodie et je veux que tu me tutoies. Pour moi, tu n’es pas tout à fait un inconnu... Je t’ai pratiquement vu nu... Je t’ai fait bander... Je t’ai bien observé, je suis persuadée que je peux te faire confiance... Maintenant, je vais te dire pourquoi je suis une religieuse, une bonne sœur comme on dit... Depuis mon enfance, mes parents, très croyants et pratiquants, m’ont inculqués les principes de la religion... Je croyais tout ce qu’ils me disaient... Je les croyais d’autant plus que c’était écrit dans un livre sacré... Je croyais que c’était la seule vérité... Je respectais tous ces principes... Je croyais tout cela jusqu’au jour ou j’ai appris, alors que j’étais en France, que toute ma famille avait été massacrée par des insurgés. Les plantations et les maisons ont été incendiées avec les corps à l’intérieur... Je n’ai pas pu donner une sépulture digne à mes parents, à mes frères et à mes sœurs... J’ai déprimé. Pendant presque trois mois, j’ai fait plusieurs cures de sommeil en hôpitaux psychiatriques... Je voulais en finir avec la vie... Oui, je voulais me suicider... Mais mon éducation religieuse m’a empêché d’aller au bout de cette décision... Par contre, je ne voulais plus voir personne, je voulais être "m’isoler » de ce monde cruel... Je me suis "enfermée" dans un couvent pendant deux ans... Petit à petit, j’ai surmonté, mon chagrin, ma douleur... C’est ma tante, avec qui je suis toujours restée en relation, qui m’a fait comprendre, malgré tout, que la vie apportait aussi des moments de plaisirs et valait la peine d’être vécue (Elle savait de quoi elle parlait)... Ma vocation d’infirmière reprenant le dessus, je réalisais que je serais plus utile à aider les autres que de rester enfermée loin des réalités du monde... J’ai aussi appris que les insurgés respectent les religieux et les religieuses... J’ai donc demandé à partir en mission dans des pays que l’on dit "sous-développés"... Je me suis jurée de revenir sur place... Le seul moyen d’y arriver, c’était de garder le voile... A mon retour, je romprai mon engagement... Je retrouverai la liberté de pouvoir fonder une famille bien à moi... A la clinique, j’y faisais mon dernier stage avant de partir... Toutefois, je ne sais pas ce qui peut m’arriver... Je veux, au moins une fois, connaître le plaisir, faire l’amour..."Quand elle finit de parler, je me met debout, baisse mon pantalon, garde mon slip, et m’allonge sur le lit... Prenant une de ses mains, je la guide sur la cicatrice de mon opération... Elle y promène un doigt léger... La regardant faire, dans ma tête défilent les images des mêmes gestes prodiguées dans la chambre de la clinique... Très vite, j’oublie la religieuse pour ne voir que la femme qui veut découvrir quelque chose d’encore inconnue pour elle...Doucement, je m’approche d’elle, Je l’a prends par les épaules pour la faire allonger tout contre moi... J’aperçois deux larmes coulant sur ses joues... Je les aspire par un doux baiser... Doucement, j’approche ma bouche de la sienne... Quand nos lèvres se joignent, elle n’a pas de réaction de refus... Je continue donc à l’embrasser... Elle répond en desserrant les dents... Nos langues se rencontrent, se mêlent, entament une sarabande frénétique.Elle respire de plus en plus fort, de plus en plus rapidement... Mes lèvres abandonnent sa bouche pour aller gouter son cou. Avec mes lèvres puis ma langue, tout en caresses, je remonte vers son oreille que je mordille... Tout doucement, elle se serre contre mon torse et mon ventre... Je sens ses fesses qui s’appuient sur mon sexe...Celui-ci finit de se tendre sous mon slip... Je fais glisser mes mains le long de ses cotes pour aller m’emparer de ses seins aux mamelons bien durs et bien tendus. Contre mes cuisses, je sens le tissu de sa culotte. Je ne peux résister à l’envie d’enlever ce dernier rempart protégeant son intimité. Entièrement nue, elle se retourne et, me faisant face, son regard planté dans mes yeux, elle fait descendre mon slip le long de mes jambes. Pour l’enlever complètement, elle est obligée de faire glisser son corps vers mes pieds. Elle se retrouve ainsi face à ma verge bien tendue, bien droite, au gland bien gonflé ou un filet de cristal est accroché à la sortie du petit trou...-"Au mon Dieu, dit-elle, elle est bien grosse...— Tu peux l’embrasser, la lécher, la sucer... Imagine-toi que c’est une glace...— Pas encore, je sais que ça se fait, mais c’est trop nouveau pour moi"...Ne voulant pas brusquer les choses, je n’insiste pas...Elle revient vers moi... Elle m’embrasse maintenant à pleine bouche... Je continue à jouer avec ses seins... Elle se frotte, sans retenue, contre moi, allant et venant tout en caressant ma poitrine... Je prends une de ses mains et la guide vers ma queue. Serrant ses doigts autour de mon membre, je la guide pour lui faire faire quelques mouvements de masturbation. . Elle comprend mon intention et, d’elle même, elle continue ces va et vient... La tension est à son maximum, à la limite du supportable... La douleur qui commence à se faire sentir me fait faire, involontairement, une petite grimace... Elle se baisse, et sans un mot, essaye de me prendre dans sa bouche... Ma bitte est tellement grosse qu’elle peut seulement enserrer le gland entre ses lèvres... Alors, elle fait glisser sa bouche sur toute la longueur... Sa langue lèche... Arrivée au bout, aspire le liquide séminal qui suinte... Entre deux respiration, elle pousse des soupirs... J’abandonne ses seins et, toutes caressantes, je fais descendre mes mains vers son entre jambe... Faisant quelques passages à plat sur sa pilosité trempée de mouille jouissive, je sens son corps réagir. Elle se cabre, tremble, suspend sa respiration... Doucement, je fais rentrer un doigt dans cette grotte inondée de foutre et encore inexplorée par un homme... Quand mon doigt coquin vient titiller son clitoris tellement sensible qu’elle a comme une décharge électrique qui fait vibrer son bassin... Reprenant mon membre en main, elle continue, lentement, ses mouvements masturbatoires... Elle s’allonge sur le dos et me chuchote tout son bonheur... Nos bouches se soudent en un long baiser... Je m’allonge sur elle, lui fait écarter les cuisses et présente ma verge suintante entre ses lèvres ouvertes... Doucement, délicatement, je commence à forcer l’entrée de son puits d’amour... Il n’oppose qu’une faible résistance... Elle était tellement prête que je n’attends pas... Je me lance délicieusement, dans l’exploration de son corps brûlant... Bien que dilatée, sa chatte reste plutôt étroite, elle m’étrangle le sexe de façon indécente mais si délicieusement.... A chaque incursion, je lui arrache quelques cris de douleur et de plaisir mêlés... Ses fesses et ses seins vibrent au rythme de mes coups de bélier... Je la « lime » avec passion... Son bassin m’accompagne dans mes mouvements, m’invitant ainsi à être, peut-être, plus violent... Elle se cambre, se tend comme un arc... Elle en redemande, telle la femme active, désireuse d’en avoir encore plus... Je lui en donne plus qu’elle peut imaginer, à tel point qu’elle finit par jouir en un long cri venant du fond de ses entrailles en passant par sa gorge...Je craque en même temps, remplissant en longues saccades son vagin de femme comblée... Je l’enlace tendrement en reprenant mon souffle... Ma main, perdue sur son sein, je sens son cœur qui bat à tout rompre...Mon autre main s’égare sur son ventre, entre ses seins, sur son clitoris... Humectant mes doigts de sa cyprine et de mon sperme mélangés avec quelques gouttes de sang, je lui fais gouter... Appréciant, elle me dévore littéralement les doigts... Son air réjoui m’invite à plonger ma langue dans sa chatte bien humide... Je lui lèche le clitoris, tout en lui introduisant deux doigts dans le vagin... La regardant, elle me fixe en se passant la langue sur les lèvres à chacun de mes mouvements... Je continue à m’amuser avec ses seins, elle continue à se tortiller contre moi d’un air subjectif... Je crois comprendre son désir... je m’approche d’elle, lentement, comme si elle risquait de s’envoler au moindre geste brusque... Tout tendrement, je présente ma verge ramollie prés de sa bouche... Elle a un petit moment d’hésitation, puis elle écarte les mâchoires pour "avaler" ce bout de chair qui lui a donné tant de plaisir... D’instinct, elle sait me pomper pour redonner de la vigueur mon membre... La tête légèrement relevée, par ses mouvements de va et vient, avec sa bouche, elle me masturbe... Chaque fois qu’elle m’aspire, je sens mon gland butter au fond de sa gorge... Cela ne semble pas la déranger... Nous nous retrouvons dans la position dite du « soixante neuf »...Réussissant à introduire un troisième doigt dans sa chatte, mon pouce vient aider ma langue pour masser son clitoris. La réaction ne se fait pas attendre... Un puissant orgasme fait vibrer tout son corps... Après quelques secondes, pour retrouver son souffle, elle recommence à me sucer la bitte qu’elle n’avait pas laissé échapper... Je sens que ça vient... Posant une main sur la tête, je veux l’écarter... D’une main, saisissant mon engin près de la racine, elle me fait comprendre qu’elle veut le garder au chaud... Je sens sa langue qui tourne autour du gland et, ne pouvant plus me retenir, je lâche toute ma purée épaisse en de longues saccades chaudes... Elle a un petit mouvement de recul, juste ce qu’il faut pour ne pas avaler de travers...Malgré notre essoufflement, nous nous embrassons longuement, langoureusement, passionnément...Retrouvant calme et sérénité, après un passage par la salle de bains, rhabillés, nous allons nous quitter quand Elodie me dit:-" Merci de ce moment de bonheur et de plaisir... Jamais je ne l’oublierai... Quand tu penseras à moi et, s’il devait m’arriver malheur, n’oublie pas que j’ai été heureuse d’avoir vécu ce moment... Avec le peu de foi qui me reste, je vais prier pour que tu puisses être heureux en amour et que tu donnes autant de plaisirs aux filles et aux femmes que tu rencontreras...Tu vas revenir chez toi, moi je vais partir loin, je voudrai que tu me promettes une chose... — Oui, laquelle ?— Je ne te demande pas de m’oublier, je ne te demande pas d’oublier cet après-midi passé ensemble, mais je te demande, jusqu’à ma mort, de ne jamais chercher à me revoir, de garder secret tout ce que je t’ai dit et de garder secret tout ce que nous venons de faire... Tu me promets?— Oui! Elodie, je te promets... Cela restera secret... Si un jour nous devrions nous re-rencontrer, pour moi, tu seras toujours sœur Catherine, la religieuse qui mérite le plus grand respect à mes yeux... — Sœur Catherine,... Peut-être pas pour longtemps... Mais en attendant, je te remercie encore"....Après un dernier baiser, nous nous sommes séparés... J’ai eu juste le temps de me rendre, en courant, à l’arrêt du bus pour ne pas le louper...
Epilogue: Bien des années après cette "aventure," incidemment", j’ai eu des nouvelles d’Elodie. Après sa mort (aujourd’hui, elle serait plus que centenaire), c’est une de ses filles qui est venue faire des recherches, dans les archives de la clinique, en vue d’écrire la biographie de sa mère. Cette fille a rencontré une infirmière retraitée qui avait connue sœur Catherine lors de son stage. C’est cette personne qui m’a raconté, il y a quelques mois, la fin de l’histoire que je vous résume: Pendant son séjour en Asie du sud-est, sœur Catherine a pu aller sur les lieux du massacre de sa famille. Cela lui a permis de finir son deuil et de retrouver une paix intérieure... De retour en France, comme prévu, elle a quitté le voile. Redevenue Elodie, elle s’est mariée avec un médecin, a eu trois enfants (deux filles et un garçon). Avec sa famille, elle est partie en Afrique équatoriale ou elle a organisé, et géré pendant le reste de sa vie, un hôpital de brousse.Elodie n’étant plus de ce monde, je pense ne plus être lié par la promesse, j’ai donc écrit cette histoire...Je rappelle que les prénoms, les noms et les lieux ne sont pas réels...
Petikokin
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