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Mémoires d'un pansexuel

Chapitre 1

Léa & Nicolas

Divers
Cette histoire s’inscrit dans un recueil d’anecdotes qui retracent ma découverte de la sexualité et mon orientation précoce pour de multiples possibilités en la matière, sans véritable tabou.
Cette histoire vécue (comme toutes celles que je publierai si vous m’y encouragez) montre un aperçu - très soft - du caractère dominant et pervers du dénommé Alex qui a été déterminant dans mon parcours.
Au plaisir de publier les anecdotes qui ont précédé comme toutes celles qui ont suivi si vous êtes intéressés.

Je me souviendrai toujours de la fois où nous étions chez une amie, une de ses ex d’ailleurs, mais est-ce encore nécessaire de le préciser...Il y avait affluence et une ambiance de feu. L’alcool coulait à flots et tous ces petits culs qui jerkaient sous notre nez excitaient délicieusement nos sens.Il n’y avait qu’à se baisser pour choper une petite poulette bien humide de partout. J’étais dans tous mes états et chauffais Alex pour qu’on branche les deux gonzesses qui accentuaient leur déhanchement à chaque fois qu’elles nous lorgnaient.
Mais Alex montrait très peu d’intérêt pour ces oiselles qui se jetaient un peu trop facilement dans la gueule du chat. Il lui fallait plus d’enjeux et il attendait patiemment à l’angle du bar opposé à l’entrée, scrutant l’assemblée de toute sa hauteur, qu’un vrai challenge s’offre à lui.
C’est alors que l’on vit débarquer un petit couple adorable que nous ne connaissions pas. À peu près de la même taille tous les deux, aux environs d’1m75, lui pas très grand du coup et elle plutôt grande, mais avec une bonne paire de talons.
Le garçon était plutôt beau gosse et saluait avec pas mal d’assurance les connaissances qu’il croisait au fur et à mesure qu’ils avançaient vers le bar pour se mettre à l’aise et entrer pleinement dans la soirée. Elle, plutôt timide, était une jolie poupée qui sortait un sourire angélique à chaque rencontre en guise de bienvenue.
En bout de parcours, ils finirent par nous accoster, ou plutôt s’échouer sur Alex qui, de toute sa masse, s’était bien arrangé pour faire barrage au couple et provoquer la rencontre.
— Alex, Maître des lieux ! Bienvenue sur mes terres, s’était-il présenté avec humour et surtout beaucoup d’arrogance car il n’avait guère passé que quelques nuits dans cet appartement mais il m’avait dit avoir baptisé toutes les pièces avec Sarah, notre hôte, alors...— Nicolas. Léa. dit le beau gosse en devançant sa copine qui resta du coup la bouche ouverte, bloquée dans son élan ; bouche qu’elle avait très belle d’ailleurs, charnue, parfaitement dessinée et dont le joli pourpre naturel se suffisait à lui-même.

Le couple paraissait si menu à côté d’Alex qui les toisait de toute sa hauteur et le petit coq qui par instinct avait bien senti le danger tentait de préserver sa chasse gardée en parlant à la place de sa copine. Alex, dans le même réflexe animal, sentit tout de suite la fébrilité chez son adversaire et sortit son plus beau sourire... carnassier pour l’un... « plus craquant tu meurs » pour la biche qui l’accompagnait...
Alex me dit alors :

— Tu nous refais les verres...
Je m’exécutais au mieux en prenant les commandes de nos invités. Le temps de trouver le Malibu pour mademoiselle, le Gin pour monsieur et de resservir les shots de Tequila pour nous deux, Alex avait déjà bien organisé les choses en branchant Léa sur les boîtes les plus hypes de Paris, inaccessibles au commun des mortels et dans lesquelles Alex avait sa bouteille... enfin sa bouteille... surtout celle de nos potes, illustres fins de race dont la vie nocturne était inversement proportionnelle à celle qu’ils consacraient à leurs études.Naturellement, je me sentis obligé de faire la conversation à Nicolas qui ne pouvait certainement pas s’empêcher de penser que la situation lui échappait quelque peu.
— Vous vous connaissez depuis longtemps toi et Léa ? — On se connaît depuis tout petit. En fait, on avait la même nounou et on s’est suivi pendant toute notre scolarité, de la maternelle au lycée. Ca va faire un an qu’on s’est installé dans le même appartement. C’est pratique, on suit le même cursus à la fac. — Ah bon. Putain, vous êtes vraiment inséparables tous les deux ! — Ouais. Je crois qu’on s’est bien trouvés tous les deux. Léa, c’est vraiment la femme de ma vie. C’est encore un peu tôt mais elle commence à me parler de mariage...
Tout à coup, Alex se pencha vers nous :
— Bon les gars. On est à sec là. Vous nous préparez la même chose. Pendant ce temps-là, je fais visiter l’appart à Léa vite fait.
Sur ce ils s’éclipsèrent derrière la foule qui dansait devant nous, Alex guidant Léa avec sa main bien calée dans le creux de ses reins.
Nicolas et moi refîmes les verres et continuâmes à discuter de tout et de rien, surtout de rien car après que Nicolas m’avoua vouloir s’orienter vers un cursus DSCG pour devenir expert-comptable, j’avoue que je me mis à décrocher de plus en plus malgré les shots qui s’enchaînaient et le degré d’alcoolisation qui aurait dû nous élire en fin de soirée comme les meilleurs amis du monde. Incroyable le nombre incalculable de meilleurs amis du monde que j’accumulais à chaque fin de soirée et que je ne retrouvais même pas dans mes amis Facebook le lendemain...
Au bout du troisième ou quatrième shot, Nicolas finit par se demander ce que Léa pouvait bien faire. L’appart n’était pas si grand et ni elle ni Alex n’étaient réapparus depuis un bon bout de temps.Il se mit en quête de Léa et je lui emboîtai le pas en tentant de contrebalancer par réflexe ses titubations.Après avoir fait à peu près toutes les portes, Nicolas s’aventura dans l’ultime partie de l’appartement dont le couloir avait été condamné par Sarah avec deux chaises et un petit meuble pour prévenir toute intrusion dans la chambre des parents.
Forçant le passage, Nicolas ouvrit la porte de la chambre et s’arrêta net à la vue d’Alex allongé en travers du lit et de Léa agenouillée entre ses jambes et dont les si jolies lèvres s’affairaient autour de la bite d’Alex, plus imposante que jamais.Au moment où Nicolas reprenait ses esprits, Alex lui cria d’une voix menaçante :
— Attends, tu bouges pas !
Nicolas se plia par réflexe à l’ordre qui lui était intimé et eut tout le loisir de voir Alex empoigner la tête de Léa pour la bloquer sur sa pine pendant qu’il se lâchait dans un long râle, sans cesser de fixer Nicolas droit dans les yeux.
— Oh, putain ! C’est trop bon là...
Léa, bloquée par la main d’Alex, ne put faire autrement que de déglutir la purée qu’il lui balançait au fond de la gorge, tout en fixant elle aussi Nicolas, désolée de ne pouvoir contrer le mouvement.
Dans un dernier spasme, Alex finit par lâcher la tête de Léa qui laissa échapper de sa bouche pulpeuse la queue ramollissante qui s’étala toute luisante de salive et de sperme sur le bas-ventre d’Alex.Cette vision acheva de méduser Nicolas qui, l’air hagard, sans un mot, se contenta de chopper Léa par le bras pour quitter cette chambre et l’appartement au plus vite.Alex, jubilant de son bon coup et sans même prendre le soin de se rajuster, lâcha son rire si typique comme pour dédramatiser l’atmosphère mais surtout pour marquer encore un peu plus sa victoire sur ce joli petit couple d’inséparables qu’il avait fait exploser en quelques minutes, juste comme ça, seulement poussé par le besoin pressant de se vider les couilles.
— Eh ! Fais pas la gueule Nicolas. C’était juste pour que Léa reparte avec un petit souvenir de la soirée... elle qui n’a pas pu profiter du buffet ! dit-il en riant de plus belle.
Puis à mon intention :
— Putain quel pied ! T’as vu cette bouche à pipes ? Tout le temps où elle me parlait, je m’imaginais sa bouche aller et venir autour de ma queue...
Je ne sais pas pourquoi mais avec les histoires de mariage dont Nicolas m’avait bassinée, j’ai tout de suite fait le parallèle avec l’alliance qui coulisse autour de l’annulaire...Alex enchaîna, faussement désolé :
— J’ai pas pu m’empêcher mais en plus, quand j’ai vu la gueule de son mec, tout con, à nous mater la bouche ouverte, alors là, j’ai pas pu me retenir. C’est parti tout seul... trop bon !
Sa bite ayant séché, Alex se rajusta enfin :
— Bon, on va boire un coup ? Tu nous as refait les verres ? Et toi, ta soirée, ça se passe comment ? demanda-t-il avec un petit sourire en coin...
Une fois de plus, alors que je comptais sur lui pour nous draguer deux petites nanas pour finir la nuit, je finirai par me branler tout seul chez moi, en me ressassant les images de Léa avec sa bouche merveilleuse qui suce la queue majestueuse d’Alex pendant que Nicolas, ce cocu bien involontaire, assiste impuissant à cette scène incroyablement érotique.
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