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Mémoires d'un pansexuel

Chapitre 4

Comment tout a commencé...

Erotique
J’ai comme l’impression que nous sommes quelques-uns sur Xstory à atteindre la maturité d’âge nécessaire pour comprendre, exprimer et peut-être - encore mieux - accepter les orientations sexuelles qui se sont confirmées au fil du temps et qui nous façonnent aujourd’hui. C’est en tout cas le sentiment que j’ai à la lecture des récits qui concernent les « mâles alpha » et la soumission progressive de leur entourage à leur toute puissance auto-proclamée.
Permettez-moi de vous livrer ci-après le récit authentique de ma propre expérience...
Je venais de fêter ma majorité lorsque j’ai croisé la route d’Alex, un beau mec bien bâti avec une gueule « mi-ange mi-démon » irrésistible aux yeux de la gent féminine ; mi-ange pour son côté chérubin avec ses cheveux bouclés, ses yeux rieurs et son sourire charmeur ; mi-démon avec sa chevelure noire de jais, son regard qui vous transperçait l’âme et son rire ravageur.
J’étais encore puceau à ce moment-là. Une très jolie petite blonde avait bien essayé de faire de moi un homme.Le problème, c’est qu’elle n’avait pas trouvé mieux pour m’exciter que de me montrer les cicatrices dans son dos, vestiges de sa toute dernière expérience sexuelle avec un mec de vingt ans son aîné, qui, au sortir d’une boîte de nuit en bord de mer, l’avait prise sauvagement, debout, appuyée contre les rochers de la crique dans laquelle ils s’étaient réfugiés.
Comment comprendre à mon jeune âge le plaisir avec lequel elle exprimait la jouissance la plus intense qu’elle avait eue de sa vie alors qu’elle se faisait déchiqueter le dos ?Comment rivaliser avec cet étalon qui l’avait si bien baisée, avec tellement de fougue, que tout son corps avait vibré à l’unisson avec sa chatte, la douleur et la volupté emportées par le même tourbillon de plaisir ?
Au bilan, devant mon blocage et donc mon incapacité à bander, elle m’avait demandé de la lécher ; ce que je fis si maladroitement qu’elle finit par m’agripper le haut du crâne pour se « terminer » en se frottant sur l’ensemble de mon visage.
Une fois qu’elle eut joui, elle se rhabilla promptement et me quitta sur un « bon, on se rappelle... » sans avenir, me laissant choir tel un kleenex qu’elle aurait utilisé pour s’essuyer la chatte après un bref pipi au détour d’un chemin de randonnée.
Aujourd’hui, je ne peux m’empêcher de penser que c’est peut-être à ce moment précis que tout s’est joué. J’étais tombé sur une belle petite salope, ou en tout cas une jolie garce qui prenait plaisir à jouer les belles petites salopes, et si telle avait été ma nature, j’aurais eu l’occasion dès mon premier rapport de m’accomplir comme le mâle dominant qu’elle recherchait pour l’emmener dans des plaisirs toujours plus licencieux et jouissifs à la fois.
Au lieu de cela, je garderai longtemps l’intime conviction de ne pas être conçu pour satisfaire une femme. A tel point que je finirai par me faire dépuceler le cul avant d’avoir enfin une nouvelle occasion de m’accomplir comme « mâle » avec une femme. Mais ça, ce serait bien après Alex...
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Une rencontre de taille
A l’époque, Alex habite un studio au dernier étage d’un immeuble cossu du centre-ville, au cœur même de la vie nocturne, situation idéale pour s’approvisionner à loisir en petits culs pour finir la nuit.
Peu de temps après notre rencontre, un jour que nous nous apprêtons à sortir, monsieur décide de prendre une douche pour se rafraîchir. C’est la fin de l’été et il fait très chaud. Je l’entends alors m’appeler de la salle d’eau :
— Tu veux bien me donner ma serviette, le tapis de bain est dans la machine et je voudrais pas foutre de l’eau partout.
Il est là, à poil devant moi, de face sans aucune pudeur, bien au contraire. C’est la première fois que je le vois nu et j’avoue que je suis de suite captivé par sa queue. Au repos, même pas en mode « demi-molle », elle est si épaisse, lourde, massive et elle repose sur une belle paire de couilles bien grosses elles aussi.Attention, je ne verserai pas dans le fantasme que l’on peut lire systématiquement où le mâle alpha est doté d’un sexe hors-norme. Non, il s’agit juste ici d’une bonne grosse bite que les hommes qui en sont dotés exhibent fièrement dans les vestiaires, car au repos, elles promettent déjà bien davantage que la plupart des autres « kikis » en semi-érection.Je marque un temps qu’Alex note immédiatement. Posant fièrement les deux mains sur les hanches, il me dit avec un large sourire :
— Bon, tu peux me passer la serviette maintenant !— Euh... Oui bien sûr.
Quel prétexte futile avait-il trouvé là pour le seul plaisir de s’exhiber et commencer à marquer son ascendant en me faisant très clairement comprendre qu’il n’y avait aucune possibilité de rivaliser sur le plan de la masculinité. Il se sèche rapidement pendant que je retourne dans le salon qui n’est meublé que d’une table, deux ou trois chaises et un immense matelas à même le sol.Alex sort de la salle d’eau toujours à poil et avance vers moi, prenant tout son temps avec sa queue qui dodeline lourdement à chaque pas.Je fais mine de ne pas trop me focaliser sur son engin cette fois-ci et je soutiens son regard qui me fixe, un large sourire aux lèvres.Mais il trouve très vite le moyen de réorienter mon attention sur sa queue, en s’écroulant sur le lit, face à moi, les jambes bien écartées et en sortant dans un faux rire la fameuse réplique :
— On n’est pas bien là, à la fraîche, détendu du gland... Je me ferais bien tailler une petite pipe là...
Je ne sais pas trop quoi répondre sur l’instant. Me teste-t-il ? C’est vrai qu’il ne me connaît pas de copine depuis que l’on s’est rencontré, mais il sait bien que je suis attiré par les filles et je n’ai jamais montré de penchant pour les garçons.Pense-t-il que je suis un homo refoulé ? Est-il tellement sûr de lui qu’il pense pouvoir révéler au grand jour mon homosexualité latente en me suggérant de le sucer ?Je décide alors de le prendre comme une plaisanterie et de jouer le jeu en me penchant vers sa bite la bouche grande ouverte. Ce faisant, je perds l’équilibre et ma bouche finit bel et bien sur son gros paquet de couilles avec mon nez à la base de sa queue qui repose mollement sur sa cuisse. Il referme ses cuisses par réflexe et maintient (sans le vouloir ?) ma tête quelques instants collée à son paquet. Suffisamment longtemps pour que je sente sa bite prendre de l’ampleur le long de ma joue.Il me libère enfin la tête dans un grand éclat de rire en lâchant avec ironie :
— Bon allez on y va, parce que je te sens un peu trop excité là !
Incroyable comme au moment où Alex desserre l’étau autour de ma tête, je sens encore un peu plus son emprise sur moi et la maîtrise qu’il a sur chaque seconde que nous passons ensemble.
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