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Mémoires d'un pansexuel

Chapitre 6

Ca y est ! Je suis un homme ou presque...

SM / Fétichisme
Nous voilà à la veille du départ. Je suis plutôt content finalement que cette semaine de torture prenne fin. Je ne supporte plus les petits rires humiliants et les sarcasmes à mots couverts d’Alex qui s’amuse à raconter mes déconvenues pour le plus grand bonheur de notre cercle de soi-disant amis.
Dès le lendemain de notre bain de minuit, Alex s’est débarrassé de la complice bien involontaire de ma mauvaise fortune en lui faisant comprendre qu’il s’était suffisamment amusé avec son joli petit cul.De mon côté, aucune nouvelle opportunité de devenir enfin « un homme ». De toute la station, j’ai bien l’impression que je vais être le seul à rentrer avec mon pucelage.
En fin d’après-midi de ce dernier jour de vacances, je traîne seul sur la plage avant de rentrer préparer mon sac.En revenant à la maison, aucune trace de vie. Apparemment, tout le monde est sorti prendre un verre.Je monte à l’étage pour rejoindre ma chambre et là, surprise ! Alex est allongé sur mon lit avec une charmante demoiselle qui s’active "buccalement" autour de son membre. Enfin, c’est ce que je devine, car la demoiselle en question me tourne le dos, et à genoux sur le lit, elle m’offre à voir son adorable cul qu’il me semble d’ailleurs reconnaître... Mais oui ! C’est bien elle ! La miss n’est autre que ce qui n’a été finalement que ma partenaire de danse au bout du compte.Je la retrouve bien là dans l’une de ses postures favorites apparemment, la même que le premier soir quand Alex nous avait surpris tous les deux.
En réponse à mon étonnement, Alex me dit qu’ils ont repris contact pour se saluer une dernière fois avant que chacun ne retourne dans sa région d’origine. Il me dit ensuite plein d’ironie que comme je suis le seul à bénéficier d’un grand lit sans vraiment en avoir l’usage, ils ont pensé que ça ne me dérangerait pas de leur prêter. C’est tout de même plus confortable.Pendant tout ce temps, la jeune fille continue à savourer la bite d’Alex sans se soucier le moins du monde de ma présence comme si celle-ci devenait habituelle lors de leurs ébats, tels les esclaves des temps anciens qui partageaient les secrets d’alcôve de leurs maîtres.
Alex me fait cependant un clin d’œil, m’invitant à profiter de la position de la miss. Je me déshabille en toute hâte et l’étendard fièrement dressé me précipite vers la croupe de la belle.Alex m’arrête tout de suite d’un claquement de doigts, et me fait signe avec sa langue de la lécher avant toute intromission.Je m’arrête interdit et me plie alors à l’injonction en me mettant moi aussi à quatre pattes derrière elle, et je commence à lui lécher tout l’arrière-train, donnant de grandes lampées de son clitoris à son petit trou du cul tout le long de sa vulve et de son périnée. La belle gémit à cette caresse et nous restons un bon moment ainsi à nous régaler de nos glaces respectives.Puis, Alex sonne la fin de la récré par un impératif :
— Allez ! C’est bon le chien-chien, à la niche maintenant !
Tout en modulant ses propos sur le ton de la blague, mais sa directivité est sans appel et ce qui suit :
— Viens ma belle. Je crois que tu es suffisamment préparée maintenant pour pouvoir goûter à toute l’étendue de mon talent sans te blesser.
Évite toute confusion sur le nombre de protagonistes pour ce qui va suivre.
Cette fois-ci, c’en est trop et je m’apprête à me rhabiller lorsqu’ Alex, d’un claquement de doigts, m’intime l’ordre de rester comme ça en mimant un « attends ! » complice et prometteur.Je ne sais pas ce qui me pousse à suivre ses directives, mais le fait est que je reste là nu comme un ver, au pied du lit, la bite droite comme un « i », à les regarder baiser une nouvelle fois en attendant que l’on me donne possiblement un rôle à jouer.La miss à califourchon sur Alex me tourne le dos et s’active de plus en plus, se frottant d’avant en arrière telle une furie avec la bite d’Alex plantée au plus profond d’elle-même.Je note au passage que la capote n’est plus de mise, comme si leur idylle était à présent suffisamment durable pour empêcher toute transmission de MST. Je pense surtout qu’Alex a dû être très clair sur les conditions associées au port du préservatif et que la belle avait envie de jouir de son formidable outil ailleurs que dans son cul.
J’entretiens ma bandaison en m’astiquant le manche pendant une bonne quinzaine de minutes lorsque la belle se met à s’agiter telle une possédée, en gueulant de plus en plus fort, signes annonciateurs d’une jouissance imminente et quelle jouissance ! Elle se crispe d’un coup, son corps est littéralement saisi de convulsions auxquelles Alex ne résiste pas, partant lui aussi dans un orgasme aussi intense que libérateur.
La miss s’écroule alors sur le dos au côté d’Alex, dans un état second, tentant de reprendre sa respiration en attendant de retrouver ses esprits. Elle s’abandonne totalement, les jambes grandes ouvertes, et je distingue clairement sa chatte béante qui laisse s’écouler le trop-plein de sperme.
Alex de son côté s’essuie la bite dans les draps (MES draps !) tout en épongeant la sueur de son torse et de son visage avec mon oreiller. Puis il se lève en déclarant que tout ça lui a donné grand-soif et qu’il va rejoindre les autres pour boire un coup.
Ce faisant, il me fait un signe de la tête, m’encourageant à profiter de l’abandon de la miss pour me satisfaire. Comme un Pointer au signal de son maître, je sors de ma léthargie et me jette sur la belle à moitié comateuse pour plonger enfin mon sexe dans une chatte.
Victoire : je ne reviendrai pas puceau !
Malheureusement, le fourreau dans lequel j’insère enfin ma queue est tellement lâche et inondé après le passage d’Alex que je ne sens pas grand-chose, d’autant plus que la belle reste complètement inerte et passive, repue de sa séance.Le jeu se joue donc en solo et, couché sur elle, je me mets à agiter mon bassin de plus en plus frénétiquement à l’image d’un caniche qui s’excite tout seul en se frottant contre la jambe de sa maîtresse.Las, je finis par me retirer sans avoir joui et penaud, je saisis les deux pieds de ma belle endormie que j’ajuste autour de ma bite et c’est en me branlant entre ses pieds que je finirai par me soulager tout en entendant Alex qui quitte la pièce, hilare.
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