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Mémoires d'un ex-puceau devenu libertin

Chapitre 4

Denise

Trash
Je me pointe à dix-neuf heures quinze – je respecte les règles de savoir-vivre – à l’appartement de Denise, immeuble bourgeois dans le seizième. Immeuble cossu, elle est friquée m’a dit Andrée.En fait c’est dans un immense duplex qu’elle me reçoit dans une robe toute simple. J’ai décidé d’emblée de frapper un grand coup. A peine la porte fermée, je la prends dans mes bras et je lui roule une galoche. Elle est surprise mais me laisse faire. J’ai repéré une console dans l’entrée. Je la tourne et la fait pencher sur celle-ci.
Je soulève sa robe, arrache son slip, libère ma bite en baissant pantalon et caleçon et l’enfile d’une seule poussée. Elle pousse un cri, puis feule. L’attaque a été rapide, elle ne s’y attendait pas, mais par contre elle mouille énormément. Tout en la besognant, je lui claque les fesses d’abord doucement, puis de plus en plus fort jusqu’à les faire rougir. Je tourne son visage vers moi et je lui crache à la figure. Elle ahane sous mes coups de queue de plus en plus rapide. Je déchire sa robe, défais son soutien-gorge afin de libérer ses seins et je tords ses tétines. Elle crie, pleure, dit que c’est bon, qu’elle en veut encore.
— Voilà comment on traite les salopes de ton genre. Tu m’as voulu, il va falloir assumer. Je vais te déglinguer toute la nuit. Tu es d’accord ?— Oui ! répond-elle dans un souffle, je suis à toi, fais de moi ce que tu veux ! Traite moi comme une roulure. Je suis ta chose, mais je t’en supplie, continue ! C’est trop bon !— Tourne-toi, mets-toi à genoux et suce-moi !
Je la laisse frustrée de ne pas avoir joui. Je vais lui massacrer la gorge pendant un moment. Elle bave, tousse, éructe, manque de vomir mais finalement avale tout mon sabre tendu jusqu’à mes couilles.
— Punaise tu as vraiment un gorge de pute, c’est trop bon de sentir ta glotte qui enserre ma bite. Allez ! Mets moi un doigt dans le cul, avale bien ma queue et serre bien sa base avec tes lèvres ! Oui ! Comme ça, tu es une brave salope, je sens que je vais bien m’amuser avec toi. Je vais bien te dresser et après je t’emmènerai dans des partouses. Tu es d’accord ?— Humpf, humpf ! C’est juste ce qu’elle peut répondre compte-tenu de sa bouche pleine.
Avec Andrée j’ai appris à être résistant. Je ne finirai pas tant que je ne lui aurai pas fait la totale. Mais surtout il faut que je la laisse en état de manque. Elle ne doit pas avoir d’orgasme.Je la fais se relever et lui demande de placer mon vit entre ses seins. Elle appuie sur les côtés pour bien le serrer. Je fais aller ma queue entre eux. Ses mamelles sont fermes et accueillantes. Je me régale. Je vois ses yeux verts, de désormais soumise, m’implorer. Elle le concrétise par sa demande :
— Je t’en supplie, Marc, prends-moi ! Fais-moi jouir ! — Je veux bien mais pour une fois c’est toi qui décide. Comment tu veux que je te prenne ? Il n’y a qu’une bonne réponse.
Je la vois hésiter…
— Dans le cul ? prononce-t-elle d’une voix hésitante et interrogative.— D’accord, mais alors à sec !— Mais tu vas me déchirer.
— Il faut que tu apprennes à maitriser ta souffrance. Lève-toi et appuie-toi sur la console !
Elle s’exécute. Je finis de d’arracher les restes de sa robe. Elle est désormais entièrement nue, à ma merci.
— Écarte bien tes fesses, tu vas déguster.
Son magnifique cul est bien tendu vers moi. Son petit anneau plissé palpite. On voit qu’elle fait travailler ses sphincters pour préparer son enculade. Je m’approche et fais glisser mon gland dans sa raie culière. Je descends jusqu’à sa chatte pour lui faire croire que j’ai changé d’avis et juste enduire ma bite de ses sécrétions abondantes. Je remonte et ajuste mon tir à l’entrée de son anus. Elle respire fortement. Je claque ses fesses et, au moment où elle s’y attend le moins, je l’encule d’une seule poussée, jusqu’au couilles. Elle hurle au risque d’ameuter tout le quartier – n’oublions pas que nous sommes dans l’entrée de son appartement mais la porte est blindée, heureusement.Je la laisse reprendre ses esprits.
— Oh c’est atroce comme tu m’as fait mal. Tu m’as détruit le fion ! dit-elle en pleurant.— Le plus dur est fait. Maintenant tu vas jouir du cul ! Masturbe-toi !
J’entreprends alors mon entreprise de destruction anale. Pendant plus d’une demi-heure, je la sodomise en prenant soin de m’arrêter dès que je sens qu’elle va jouir – ça me permet aussi de ne pas éjaculer prématurément ce qui irait à l’encontre du traitement que je lui fais subir.
Elle me supplie encore, pleure à nouveau, jure qu’elle est à moi, qu’elle fera tout ce que je veux… Je n’en ai cure. Je continue à mon rythme pas au sien. Je repère la porte des toilettes. Je la traine - emmanchée à moi - jusque-là. J’ouvre et lui faisant courber le dos, je plonge sa tête dans la cuvette. C’est dans cette position que j’accélère les allers-et-retours dans son fion. Je sens qu’elle vient. Ses muscles annaux compresse ma bite. Une fois encore elle me supplie de finir avec elle, de ne pas m’arrêter. J’acquiesce cette fois-ci à sa demande, un orgasme dévastateur l’emporte alors que je termine dans son cul. Elle s’écroule par terre, achevée.
Quelques minutes se passent. Je la relève. Son visage est ravagé par le rimmel qui coule de ses yeux. Ses cheveux sont trempés. L’eau qui en sort, ruisselle sur ses seins. Malgré ça, elle est sublimée par les souffrances que je lui ai fait endurer. Son regard, reconnaissant, plonge dans le mien. Je m’adresse à elle en ces termes :
— Alors ? Tu as aimé que je te traite de cette façon ?— Tu m’as tuée. Jamais on ne m’avait fait l’amour comme tu viens de le faire. Tu as fait de mon corps tout ce que tu voulais. Dès ton entrée chez moi, tu ne m’as pas laissé le choix. Tu m’as imposé tous tes désirs, tes délires et je les ai exécutés. Je ne voulais pas te dire non, je ne l’ai même pas envisagé. Je suis désormais ton esclave, ta soumise. Ordonne et j’obéirai ! Je n’attends qu’une seule chose c’est que tu continues comme ça le reste de la nuit. Mon corps est à ton utilisation exclusive. Plus jamais je ne me donnerai à quelqu’un sans ton autorisation.— Je note ton acte de soumission. Tu seras récompensée pour ça. En attendant il n’est plus question que tu fasses l’amour avec ton mari ou alors il faudra que ça se fasse devant moi. Dès son retour de voyage, tu lui mettras le marché en main. Tu as bien saisi ? — Oui je le ferai.— Bon en attendant j’ai faim. Fais-moi visiter ton appartement, prends une douche – tu pues la bite, le foutre et les WC - et ensuite à table !
Le duplex est luxueux. Les deux étages sont réunis par un immense escalier style « Arts déco ». Un immense living, salle à manger, cuisine, en bas et trois chambres – chacune avec sa salle de bains – en haut. Je me vois déjà tester tous ses lieux avec Denise.
A la montée de l’escalier, je pelote son cul. Elle se dirige vers une des salles de bains, la sienne, pour prendre une douche. J’assiste à ses ablutions pendant lesquelles je me lave la bite dans le bidet.
J’ai néanmoins envie d’une petite récréation avant de diner. Alors que l’eau est en train de se vider dans la baignoire, je me penche sur Denise, je lui écarte les cuisses et je fais pénétrer deux de mes doigts en crochet dans sa chatte. Elle me laisse faire, curieuse. Je vais alors la branler à toute vitesse en sollicitant au maximum son point G. Le résultat ne se fait pas attendre. Son corps s’arque dans la baignoire, un jet sort de son urètre, elle vient de jouir violemment à nouveau. Elle se rince, s’essuie et veut enfiler un peignoir. Je le lui interdis.
Elle descend à la cuisine, je la suis. Le couvert est déjà mis sur la grande table qui occupe la pièce. Elle sort une bouteille de champagne du frigo, me demande de l’ouvrir et de remplir les coupes.Pendant ce temps, elle vaque à ses occupations de cuisinière. Elle a tout préparé, il n’y a juste qu’à faire flamber la langouste.Pour trinquer, je lui demande de s’asseoir sur la table en écartant les cuisses. Je prends alors la bouteille de champagne - j’enlève le métal qui couvre le col - je la secoue et j’enfile le goulot dans sa chatte. Tout en la maintenant, je viens débusquer son clito avec ma langue et je le suce. Elle ne tarde pas à jouir sous cette action combinée. Je prends alors une coupe que je glisse entre ses cuisses et récupère son jus de chatte mélangé au champagne. Je la fais descendre de la table et je la prends, dos à moi, entre mes bras. Après avoir rempli une coupe pour moi, je lui indique de saisir la « spéciale ».
— A ma petite soumise !
Elle peut sentir ma queue qui se dresse entre ses fesses et elle boit à ma santé.
— Alors ? Que penses-tu de ce cocktail érotique ? Ça t’émoustille ? Tu sens ma bite comme elle est grosse ? Tu la veux ?— Oui je la veux ! dit-elle en tournant la tête pour que je l’embrasse profondément.
Je la prends alors debout, en fléchissant les jambes pour bien m’introduire en elle. Je lui fais doucement l’amour, tranchant avec les manières violentes qui ont été les miennes depuis mon arrivée. Je caresse ses seins, faisant durcir ses pointes. Elle ondule, elle gémit. L’intérieur de sa chatte est semblable à du velours, elle est trempée. Je coulisse sans peine en elle. Elle fait travailler ses muscles internes, pressant mon vit. Le résultat est que je bande encore plus dur. Elle me dit qu’elle m’aime. Je continue à la prendre en douceur jusqu’au moment où, ne tenant plus, mon sexe expulse ma semence en elle. Elle jouit au même instant.
Nous dinons ensuite tranquillement comme deux amoureux. Discussion intéressante car elle est cultivé mais aussi parce que nous parlons du futur. Je lui dis qu’avec Andrée nous sommes un couple très libre. Elle me sert de rabatteuse. J’ai plusieurs fois initié de jeunes pucelles que j’ai transformé en véritables salopes. J’en ai même mis une en cloque – elle a dû avorter. Cette idiote n’avait pas pris la pilule et ne m’avait rien dit.
Cette situation est un peu compliquée car je vis chez ma mère. Le seul endroit où je peux faire l’amour c’est chez Andrée. Quand elle m’a trouvé une proie elle s’arrange pour la faire venir chez elle et trouve un prétexte pour s’éclipser et me laisser seul avec ma conquête.
Je lui explique que je cherche un deux-pièces pas cher pour avoir mon indépendance. Je pourrai alors vivre ma vie avec elles-deux.
— Tu sais que quand mon mari est en voyage tu peux venir quand tu veux.— Je sais mais accepteras-tu que j’amène mes maitresses, hormis Andrée avec qui te gouine ?— Tu sais que je suis désormais ta soumise alors mon avis a peu d’intérêt. Mais j’ai une autre solution.— Ah bon ? Laquelle ?— Nous avons un deux pièces meublé dans l’immeuble que nous avons entièrement refait à neuf. On doit le louer. Si tu veux, tu peux le prendre. Je m’arrangerai pour que le loyer ne soit pas trop cher. Mon mari ne contrôle pas ce genre de situation. Qu’en dis-tu ?— Formidable ! Ma réponse est oui. On va fêter ça ! Champagne ! Viens sur mes genoux !
Elle me rejoint sur la chaise et s’assoit, dos à moi, à califourchon. Elle peut sentir mon vit dressé dans son dos
— Oh je suis heureuse de t’avoir désormais près de moi. Tu pourras me baiser quand tu veux !— C’est bien mon intention. Tu es un bon coup !
Je fais rouler ses tétons entre mes doigts puis je les presse gentiment. Elle ronronne et se tourne vers moi pour m’embrasser. Elle se soulève alors, écarte ses fesses et fait pénétrer ma queue dans son cul, lentement, à son rythme. J’en profite pour lui doigter la chatte. Elle semble apprécier et le dit :
— J’aime bien quand tu me sodomises. Pour moi c’est un acte de soumission total. Et puis, en plus, les sensations, que je ressens avec tes doigts dans mon vagin, font que j’aimerais être doublement pénétrée.— Ça peut se faire ! Pas avec Daniel, mon copain, le fils d’Andrée, mais avec un autre dont je sais qu’il est très vicieux. Il adorera te partager avec moi. Je vais organiser ça. En attendant continue à jouir sur mon vit.
C’est ce qu’elle ne tarde pas à faire. Je ne finis pas, intentionnellement. La nuit ne fait que commencer. Par contre, sans que j’exige quoi que ce soit d’elle, elle s’agenouille pour me nettoyer consciencieusement la bite qui vient de sortir de son rectum.Je l’aide à débarrasser la table et on va dans la chambre. Au passage, je récupère un concombre de bonne taille dans la corbeille à légumes. Elle me voit faire et comprend mes intentions.
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