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Mémoires d'un ex-puceau devenu libertin

Chapitre 5

Trash
Dans le couloir qui dessert la pièce – je n’y avait pas pris garde tout à l’heure – il y a un fouet accroché au mur en guise de décoration. C’est un signe. Je le prends – elle ne m’a pas vu faire. Je lui explique que je vais l’attacher sur le lit afin qu’elle soit à ma merci. Je lie ses membres aux montants de la couche avec des foulards trouvés dans un tiroir de la commode. Je lui montre alors le fouet que j’ai dégotté. Elle blêmit en le voyant.
— Tu as raison d’avoir peur car tu vas franchir un autre pas dans la soumission. Je vais fouetter ta poitrine et ta chatte afin de te faire découvrir d’autres sensations. Dans un premier temps ce sera léger comme traitement – d’autant que l’endroit ne s’y prête pas trop – mais avec le temps tu t’y habitueras et je pourrai être plus dur.
Je saisis alors le fouet d’une main et je cingle légèrement sa poitrine plusieurs fois. Elle gémit. C’est son mont de Vénus que j’attaque ensuite. Je mets un doigt dans sa chatte. Elle est trempée. Je vise alors son entre-cuisses mais cette fois un peu plus fort. Elle crie mais immédiatement se tétanise car elle vient d’avoir un orgasme.
— Et bien tu vois ! En plus tu y as pris du plaisir. Tu es une masochiste qui s’ignore ! on va développer ça dans le futur.
Je la délie et monte sur le lit, le concombre en main. Je dirige la pointe vers l’entrée de son vagin. Elle me dit que c’est froid. Vu l’état de sa cramouille, il rentre tout seul. Je le fais aller et revenir pour bien l’enduire de sa mouille.Je le ressors alors et vise son anus déjà plusieurs fois visité dans la soirée. Vu la forme du concombre il n’a aucun mal à entrer. Je le fait pénétrer au maximum et je lui demande de le tenir d’une main – je n’ai pas envie de finir aux urgences avec elle parce qu’elle l’a absorbé complètement !Je me couche alors sur elle. Je tête ses tétons puis prend sa bouche dans un long baiser auquel elle répond immédiatement. Ma bite se présente à l’entrée de son con, écarte ses petites lèvres et s’introduit lentement dans son antre. Elle pousse un profond soupir et dit :
— Comme c’est bon d’être ainsi doublement pénétrée. Je me sens complètement remplie. En plus le double effet du concombre bien frais et de ta bite brûlante, séparés par la fine paroi qui les sépare, est fabuleux. Comment tu peux être inventif à ce point ? Vas-y défonce-moi, ne me laisse pas respirer et surtout, jouis en moi une nouvelle fois, ne te préoccupe pas de ma propre jouissance, sois égoïste !
J’acquiesce à ses désirs. Je sors de sa chatte pour m’enfoncer à nouveau d’une violente poussée qui fait remonter Denise dans le lit. Sa tête touche les barreaux. Elle crie. Je renouvelle l’opération et j’accélère la cadence. Je lui relève les jambes pour aller en elle plus profondément. Elle apprécie. Je lui pince les tétons. Elle en veut encore. Elle a du mal à maintenir le concombre dans son cul mais fait tout pour le maintenir.
Elle est bien serrée et ses contractions vaginales accentuent mon plaisir. A l’intérieur ça fait floc, floc. Elle péte même de la chatte… C’est drôle et ça me fait redoubler de vigueur. Sa tête ballotte de tous les côtés. Le moins qu’on puisse dire c’est qu’elle apprécie le traitement. Ses yeux se révulsent. Je sens qu’elle vient. Je lui dis que je vais finir avec elle, en elle. Elle crie. Des contractions de ma bite. Je m’abute à l’entrée de son utérus. Un orgasme commun. C’est fini. Je m’affale sur elle, comblé et elle repue… Pour l’instant, car la nuit n’est pas finie !
Nous allons faire une courte toilette et retournons nous coucher. Je n’ai pas sommeil. Je dois néanmoins reprendre des forces car je suis dans la période réfractaire où un homme ne peut plus bander. N’ayant aucune intention de la laisser dormir je vais la « tuer » rien qu’en préliminaires.
Pendant un très long moment je vais caresser tout son corps ne laissant aucune zone hors de mes sollicitations. Mes lèvres vont dévorer le lobe de ses oreilles la menant à l’orgasme une première fois, puis ce sont ses tétons auxquels je m’attaque. Très sensibles, elle va presser ma tête contre sa poitrine pour que je la fasse jouir uniquement pas ce moyen. Je vais alors descendre jusqu’à la fourche de ses cuisses et c’est son bouton d’amour que je prends pour cible. Je le suçote tout en introduisant deux doigts à l’intérieur de son con baveux. Elle se raidit. Elle vient encore de prendre son pied.
Je ne m’arrête pas là. Mes doigts crochètent son point G. Je le branle pendant de longues minutes et je la mène, encore une fois, au septième ciel. Un jet de cyprine jaillit de son urètre.Devant ce spectacle, mon vit reprend de la vigueur. Je m’allonge sur le dos et je lui demande de venir s’empaler sur moi. Dans cette position je lui tète les seins dont les pointes sont érigées telles de petites bites. Je la fais ensuite se redresser dans la position d’Andromaque afin d’accroitre son plaisir. Elle se déchaine alors sur ma queue en criant son bonheur. Mon pouce se porte sur son clitoris et fait monter son adrénaline crescendo. Un spasme vaginale presse mon gland. Je ne peux me retenir. J’éjacule en elle.

Nous nous endormons dans les bras l’un de l’autre.Je suis réveillé par une douce sensation. Sa bouche a avalé mon sexe encore mou et elle me met un doigt dans le cul. Je me laisse faire. Denise est une artiste de la fellation. Sa langue tourne autour de mon vit et ses lèvres exécutent de lentes pressions à sa base. Ma queue se dresse dans sa bouche. Elle l’enfourne complètement. Elle savoure le goût de ma queue : une combinaison de ses saveurs intimes et de mon sperme qui a macéré en elle.
Il est temps pour moi de prendre des initiatives. Je la fait se remonter dos à moi, ma bite entre ses fesses. Je glisse mon bras droit sous elle et vient empoigner son sein droit. Je soulève alors sa cuisse et dirige mon sexe vers son antre amoureux. Il n’a aucune peine à s’y introduire. Mon autre main presse son nichon libre ; les poitrines de femmes me rendent fou, j’adore les peloter.
Denise gémit dans mes bras et se laisse aller complètement. Ma pine fore son vagin accueillant. Mes allers-retours se font plus rapides. Je soulève sa jambe et, par une contorsion de mon corps, tout en restant planté dans son con, je viens me mettre face à elle. Ma bouche rejoint la sienne. Ses bras m’enserrent, ses ongles se plantent dans mon dos. Je soulève ses cuisses pour que la pénétration soit plus profonde. Mes mouvement s’accélèrent. Je sors complètement ma queue pour, dans une amplitude plus grande, me réintroduire violemment. Je la fais crier, crier encore. Elle n’en peut plus. Pleure en disant que c’est trop bon. Je résiste encore. C’est formidable de la voir comme ça. Elle délire. La pression monte en elle. Ma bite est ressortie à nouveau. J’attends quelques secondes ; elle me supplie de ne pas m’arrêter, qu’il faut que je finisse ; et d’un seul coup, d’un seul, je me plante dans son vagin jusqu’aux couilles. Elle pousse un cri de bête.
Un orgasme inégalé nous emporte tous les deux. Mon sperme tapisse ses parois internes. Denise est vraiment un bon coup…
— Alors je suis toujours présomptueux ? dis-je en riant.
Elle me répond d’une voix affaiblie par la fatigue.
— Non c’est inouï comment tu arrives à te retenir pour permettre à une femme de prendre son pied. Depuis que tu es arrivé hier soir, j’ai eu un nombre incalculable d’orgasmes, tous différents. J’ai joui du cul, de la chatte, des seins et même par les oreilles. Tu m’as fait gicler ; d’ailleurs le lit est trempé ; et malgré ça j’ai encore envie de toi. Tu es devenu ma drogue. Je suis accroc à toi. En plus tu es inventif. A ton âge c’est incroyable.— Attends ce n’est pas fini, viens dans la cuisine je te réserve une surprise !
Elle me suit, intriguée. Je la fais se coucher sur la table de la cuisine, jambes écartées. Je trouve une bouteille d’huile d’arachide et j’en verse un peu à l’entrée de sa chatte. Puis je m’enduis copieusement la main et l’avant-bras.
— Qu’est-ce que tu fais ?— Je vais te fister !— C’est-à-dire ?— Je vais faire entrer ma main entièrement dans ton vagin et une fois fait, je pourrai te faire l’amour avec mon bras. Tu vas voir c’est fabuleux. En plus comme vous êtes bi avec Andrée vous pourrez vous faire plaisir mutuellement. Si je te fais mal tu m’arrêtes. Tu respires et on reprend. On y va ?— Oui ! dit-elle dans un souffle.
Ce sont d’abord mes doigts que j’introduis un à un dans sa cramouille dans de lents mouvements de rotation. Au fur et à mesure de la pénétration monstrueuse, je verse un peu d’huile pour faciliter l’intromission. Elle halète mais dit que tout va bien et qu’elle n’a pas mal. Ses chairs sont distendues, je prends mon temps. Inutile de jouer les bourrins. Je profite de ma main libre pour lui travailler les tétons.Mon pouce rejoint mes autres doigts. La progression continue inexorablement jusqu’au moment où ma main entière est avalée dans les profondeurs de son puits d’amour. J’attends quelques minutes pour que Denise s’habitue à cet envahissement hors du commun. Elle se relève sur ses coudes pour voir le spectacle et commente :
— Toute ta main est en moi ? C’est ça ? Je ne pensais pas qu’on puisse faire ça. Tu m’étonnes encore avec cette expérience.— Et encore tu n’as encore rien vu ou, dirais-je, senti. Là je vais te faire monter au plafond. En fait tu vas te faire défoncer par un sexe énorme. Imagine ! Ma main c’est mon gland, mon avant-bras ma verge…
A ces mots je démarre l’entreprise de démolition de sa chatte. Ma main ressort de sa foufoune pour y replonger à nouveau. Aidé par l’huile d’arachide et par ses sécrétions intimes de plus en plus abondantes, les pénétrations successives la mettent dans un état second. Les pressions que j’effectue sur ses tétines ne font qu’accroitre son plaisir. Sa respiration s’accélère jusqu’au point de non-retour où, elle pousse un cri, son corps traversé par un orgasme fulgurant.
Je regarde l’heure à la pendule de la cuisine. Il est sept heures du matin. Ça fait pratiquement douze heures que je ne lui laisse pratiquement aucun répit.Il va falloir que je parte mais avant il faut que je me libère des tensions qui m’habitent. Rien de tel qu’un bon « gorge profonde » pour y arriver. Je la tire sur la table pour que sa tête pende en dehors. Je plonge mon sexe au fond de sa bouche. La pression de sa luette est trop bonne. Je n’ai pas le temps d’aller plus loin. Mon sperme s’éjecte dans les profondeurs de son œsophage. Elle tousse, crache et finalement avale tout.
Je la relève et on va prendre une bonne douche, bien sages. Nous sommes, elle comme moi, épuisés.Je la laisse après un dernier baiser. Elle me promet que rapidement je pourrai bientôt emménager dans le deux pièces.
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