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Mémoires d'un ex-puceau devenu libertin

Chapitre 6

Trash
Quelques semaines se passent, partagées entre mes deux femmes, affamées de sexe. J’ai désormais pris mon indépendance et loge dans le deux pièces. Elles viennent partager mes après-midi pour Andrée, mes nuits pour Denise. Son mari est désormais au courant. Elle l’a mis devant le fait accompli. Il faut dire qu’elle détient la quasi-totalité des parts de la société dont il est simplement le directeur commercial. En plus il est très amoureux d’elle mais sa libido est au plus bas.Elle lui a mis le marché en main : il ne pourra désormais lui faire l’amour qu’en ma présence. Je suis très curieux de vivre cette première expérience. La première fois est programmée le samedi suivant. Denise m’a invité à diner.Dès mon arrivée elle me présente son mari et me saute dessus pour bien marquer son territoire. Elle s’adresse à lui en ces termes :
— Tu vois Marc a accepté que tu me fasses l’amour ce soir. Emmène-le à la chambre et prépare-toi ! J’arrive ! Il va d’abord me sauter et je m’occuperai alors de toi.
On se dirige tous les trois vers la chambre. J’ai prévu un scénario très hard pour Denise auquel elle ne s’attend pas. Si après ça le cocu ne bande pas c’est à désespérer…
Elle lui demande de se déshabiller et de s’asseoir sur une chaise. Je la prends alors dans mes bras et je déchire sa robe. Elle se retrouve nue rapidement. Le temps de me retrouver dans le même état et je la mets à genoux sur le lit. Je l’enfile d’une seule poussée. Elle cri. Je peux voir le cocu qui bande ; apparemment ça lui fait de l’effet.

Une idée me vient alors à l’esprit et c’est là que tout bascule…
Je m’allonge sur le lit et je demande à Denise de me chevaucher, dos à moi. Dans cette position, je la couche sur moi et j’écarte bien ses cuisses. Mon vit est bien enfoncé dans sa chatte. Je fais signe au cocu et je lui donne mes instructions :
— Tu vois où je suis planté ? C’est là que tu vas prendre ta salope de femme. Crois-moi elle en veut mais jamais elle n’a été prise comme ça. C’est une première pour elle. On va lui éclater la foufoune. Deux bites en elle ça va être le pied ! Tu vas pouvoir te venger de tout ce qu’elle t’a fait subir. Mais d’abord elle va bien te sucer pour que tu sois bien dur. Fous-lui ta queue dans la gorge elle aime ça et après viens me rejoindre qu’on lui dilate le vagin. T’es contente ma chérie ? Tu vas prendre un pied terrible avec ton mari et ton amant. T’as vu il bande, signe qu’il n’est pas impuissant quand il sait qu’il peut te dominer. — Vous allez me déchirer !— Tu as déjà pris ma main en entier ce n’est pas deux sexes qui vont y changer quelque chose.
Charles, le cocu, se précipite et se met à cheval sur sa femme, il lui soulève la tête et enfourne son vit jusqu’au fond de la gorge. Elle tousse, hoquète mais l’avale profondément. J’en profite pour lui travailler les seins en tordant ses tétines. Il y aurait une magnifique photo à prendre…
— Alors salope tu aimes la bite ? Tu ne peux plus rien dire ? Je vais me venger de tes humiliations pendant des années. Quand on en aura fini avec toi, tu ne pourras plus t’asseoir pendant plusieurs jours. Avale-moi bien, je suis bien dur, j’arrive dans ta chatte !
Ni une, ni deux il sort de la bouche de sa femme et vient frotter son sexe contre le mien. L’effet est bizarre mais ne semble pas le gêner. Sa queue commence une lente pénétration écartelant ses chairs vaginales.

— En plus tu aimes ça trainée ! Regarde comme ton corps réagit à cette monstrueuse intromission. Je sens que tu commences à jouir. Je me trompe ?— Non ! C’est formidable ! Comme je regrette de ne pas avoir connu ça depuis longtemps. Oh mon chéri tu es bien dur et la bite de Marc aussi. Je vous aime tous les deux. Continuez ça me fait tant de bien !— Non il n’est pas encore temps pour toi de finir. C’est ton anus qu’on va prendre en double maintenant.— Non pas mon cul !— Tais-toi tu vas prendre grave comme le bon garage à bites que tu es devenue.
Aux paroles de Charles, j’ai compris. Il se désaccouple de Denise qui, sur mes indications, se met face à moi. Je dirige mon sexe vers son anus et je l’empale d’une seule poussée. Elle a l’habitude des enculades que je lui fais subir régulièrement. Il est loin le temps où je l’avais fait beugler en l’enculant à sec. Je lui fais relever les fesses afin qu’elle soit mieux accessible. La queue de Charles investi son rectum difficilement. Elle pousse un cri au moment où le gland réussi à franchir ses sphincters. La voilà doublement sodomisée. Son mari va alors se déchainer ; je suis totalement inactif ; et lui perforer le fion à grands coups de pine. Elle gueule de plaisir. Sa bouche prend la mienne, ses seins se frottent à ma poitrine. Je sens monter sa jouissance et le gland de Charles qui grossit. L’effet est fabuleux. Ma bite pulse et éjecte sa semence au moment précis où, Denise et Charles ont un orgasme puissant. On se désaccouple et Denise prend Charles dans ses bras.
— Mon chéri ! dit-elle à ce moment précis, comment ai-je pu te délaisser à ce point alors que tu n’espérais que me dominer ? C’est ça qui te manquait ?— Oui ! A partir de maintenant tu vas m’obéir et surtout tu dois te faire pardonner.— Dis-moi ce que je dois faire !— D’abord je dois remercier Marc car c’est grâce à lui que tu t’es révélée en tant que soumise. Ensuite, comme je pars souvent en voyage je voudrais, s’il le veut bien, qu’il s’installe chez nous et qu’on forme un ménage à trois. Comme ça tu pourras être baisée en permanence. Es-tu d’accord avec ce programme ?— Oui mon chéri. Je ferai tout ce que tu voudras. — Tu vois je bande à nouveau. Marc ! Que penses-tu si on la prenait debout en sandwich ?— C’est une bonne idée. D’autant que, depuis que je la connais, c’est la première fois qu’elle est prise en double. Il est temps d’en profiter. Tu te réserves son anus ou sa chatte ?— Dans un premier temps son cul car comme ça je pourrai lui massacrer la poitrine. J’en meurs d’envie depuis longtemps.
C’est alors la sainte Denise car on lui fait sa fête… Enfilée dans ses deux trous, Charles derrière et moi devant, on la soulève de terre pour mieux la perforer. Les mains de son mari torture ses seins en les tordant ou en enfonçant ses ongles dans la chair tendre de ses tétines.
Ma bite remplit bien sa chatte. Je sens ses muscles internes qui pressent mon gland. Je sens la verge de l’ex-cocu au travers de la fine paroi qui nous sépare. Elle s’apprête à jouir quand, brutalement, d’un commun accord visuel on se retire de ses trous, la laissant frustrée.
Pendant plus d’une heure, on va travailler toutes les zones érogènes de son corps, n’en épargnant aucune. Debout, allongée, la tête en bas, pliée en deux, on va la sodomiser, la baiser, forcer sa gorge, éclater ses mamelles de nos vits en furie, avec un seul point commun : l’empêcher de jouir. Au moment où elle s’apprête à le faire on arrête brusquement nos actions.
Elle n’en peut plus. Elle nous supplie de la laisser finir. On lui demande même de se masturber elle-même et au moment fatidique on interrompt ses mouvements frénétiques. On la sent au bord de la disjonction. Ses paroles, désordonnées, montrent l’état dans lequel elle se trouve.
On décide de finir. Allongé sur le lit, Charles la fait s’enfoncer son sexe dans sa gorge. Tournée sur le ventre, les fesses relevées, je mets mes doigts en crochet dans sa chatte et je la branle. Je sens qu’elle vient lorsqu’un énorme jet jaillit de son urètre, inondant le lit. Elle veut probablement crier mais en faisant ça elle s’étouffe, la bite de Charles vient d’éjaculer et il continue à lui maintenir la tête en se branlant dans sa bouche.
Je me soulève alors et je l’encule au moment même où, ne pouvant plus tenir, mon sperme se répand dans son rectum. Il fallait que je finisse aussi ! Après ce traitement, les nerfs de Denise sont à fleur de peau. Il suffit alors de solliciter une de ses zones érogènes pour qu’elle jouisse immédiatement. On ne va pas s’en priver et elle va aligner orgasme sur orgasme pour notre plus grand bonheur.
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Pendant plus de huit ans, Denise, Charles et moi avons vécu en « trouple » comme on dirait maintenant ; Andrée c’est parfois jointe à nous pour des soirées de baise mémorable où elle a pu se gouiner avec Denise.
Nous avons écumé les soirées libertines de la région. Denise en est devenue l’attraction. Beaucoup d’hommes, de femmes en sont devenus fous. Il n’était pas rare qu’elle soit soumise à la lubricité de plus d’une quinzaine d’hommes qui avaient tout loisir de la prendre où ils voulaient, souvent à plusieurs en même temps.
Charles et moi la laissions faire et nous avions tout loisir pour avoir des expériences féminines de notre côté. La plupart du temps on cooptait une partenaire et on allait la démonter toute la soirée, pour son plus grand plaisir et le nôtre.
Jusqu’au jour où Denise a voulu avoir un enfant de Charles. Plus question que je lui fasse l’amour pour qu’ils soient sûrs de la paternité du bébé.
J’ai donc été voir ailleurs et c’est là que j’ai eu le coup de foudre pour une jeune femme de cinq ans de moins que moi, Chloé.
Adieu Andrée mon initiatrice ! Adieu Denise ma soumise ! Adieu trouple !
Six mois plus tard, Chloé et moi étions mariés ; à ce jour nous le sommes toujours.
Andrée m’a envoyé une lettre déchirante dans laquelle elle a exprimé toute sa rancœur. Je ne l’ai plus jamais revue, Denise et Charles non plus. Je sais juste qu’ils ont eu une fille…
C’est la vie !
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