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Mémoires de soumissions

Chapitre 1

Je vis et je rêve.

Avec plusieurs hommes
Bonjour à tous.
Cette histoire, qui sera au long cours si elle vous plaît, est pour moi très intimement une histoire des désirs vrais et fantasmés, situés entre rêve et réalité. Elle aborde les sujets du désir sexuel et physique, de l’amour, de la soumission volontaire ou inconsciente, de ce qu’une femme et un homme sont prêts à faire ou à subir par amour, pour éprouver du plaisir. Certains se restreignent toute leur vie pour des raisons de morales personnelles, religieuses ou d’éducation. Je le comprends et ce ne fut pas mon cas. Ma découverte de (très) nombreux plaisirs du sexe méritait bien cette histoire, je le crois. Je suis bien au courant que l’on n’y baise pas à toutes les secondes du récit, du moins au début, que l’on ne s’y insulte pas (toujours) et je ne critique pas mes collègues qui appuient très fort sur ces ressorts (et j’avoue qu’il m’arrive de prendre un grand plaisir à certaines lectures bien trash), mais je ne me sentais pas d’écrire intégralement dans ces styles.
Je voulais essayer de vous proposer un texte que j’espère travaillé, pour futurs lecteurs assidus. Je croise les doigts (sur mon sexe -bande de petits cochons et cochonnes). N’hésitez pas à me faire parvenir vos retours et remarques et surtout soyez surpris et excités, je l’espère, à ces « Mémoires de Soumissions ». Elles démarrent lors d’un mariage puis s’envolent très loin dans le passé d’une autre vie (et excusez-moi pour les détours, mais je ne voyais pas d’autres solutions narratives).

Je m’appelle Julie, j’ai 38 ans. Je suis franchement plutôt mignonne, même si ça n’a pas été toujours le cas, car je m’intéressais très peu à mon apparence. Je suis maintenant une femme que l’on juge très sexy et plus qu’attirante et je peux vous avouer que j’aime franchement le sexe à hautes doses. En résumé et un peu vulgairement, je suis passée en quelques années du comportement d’une personne mesurée, dite « normale » à raison d’une ou deux séances de sexe normalisées par semaine, à celui d’une nymphomane chaude et addict au sexe sans grand tabou ! Et je n’ai même pas honte de vous l’avouer ici !
Brune, sourire engageant et un peu vicieux (allez, je l’avoue aussi, car je l’ai travaillé ce sourire), avec mon mètre soixante-dix, je suis plutôt grande, bien en chair (ce qui n’a pas toujours été le cas) et je mets en avant ma belle poitrine modèle 90C avec mes tétons qui pointent bien droit dès que je suis excitée. Une taille plutôt fine et un cul bien arrondi que je mets en valeur sans honte aucune. Des jeans bien moulants, des leggins au plus près du corps, des minijupes (mais alors très mini) ras des fesses ou des robes quasi transparentes complètent mon look et le tableau de l’avion de chasse que je pense être devenue. Je sais que j’excite les mecs de tous âges (tout comme certaines femmes d’ailleurs qui me regardent aussi avec des envies évidentes) et donc que je ne laisse insensible personne.
Pas besoin d’avoir l’ouïe particulièrement fine pour entendre les « quelle meuf (ou femme suivant les âges) », « la saloooope », « la chaudaaasse », « mais c’est une affolée du cul ou quoi ?», « nom d’un chien, ça sent le sexe ici », etc., que mon passage suscite. Les plus courageux ou les moins faux culs les disent en face de moi, car ils ont compris ce que j’assume d’être ! Si l’on m’aborde franchement en me draguant, que l’on me parle poliment ou lorsqu’on me traite plus vulgairement de « belle cochonne », ou de « cul que l’on a envie de défoncer » et que ma bouche est « celle de la reine des tailleuses de pipes » ça ne me vexe aucunement et me plaît tout autant. Bien au contraire, je mouille par avance, ô miracle, comme une fontaine qui déborde de plaisir en pensant à ce que l’on va faire ensemble - et mes promesses de plaisir sont toujours au rendez-vous, croyez-moi !
Dès que je me balade ou quand je sors, je vois bien que j’attire les regards concupiscents. Eh oui, j’aime ça !D’un point de vue purement sexuel, je crois que ce que j’adore par-dessus tout, c’est de passer de longues minutes à sucer une queue dressée devant moi. Et s’il y en a plusieurs alignées les unes à côté des autres, c’est encore mieux ! Cela reste un plaisir que je ne peux décrire parfaitement. En fait si ! Je crois que sucer une queue et la sentir petit à petit grossir dans ma bouche, sous ma langue, passer de longs moments à escalader cette colonne qui durcit de plus en plus, la lécher avec délectation, la mordiller, la titiller du bout de ma langue, m’attarder sur les bourses, prendre les couilles du mec entre mes lèvres et finir par faire exploser ce membre dans ma bouche est un plaisir physique et mental hors norme. J’y reviendrai, mais si les femmes peuvent autant jouir et de manières si différentes, il faut se garder de croire que nous n’avons que certains orifices et un clito et des seins.
J’ai connu des personnes qui passaient de longues minutes à me lécher le bas de mon cou jusqu’à mon épaule et me rendaient folle de désirs et de plaisirs...
C’est un fait, j’aime le sexe, la baise et les plaisirs des corps qui jouissent sous toutes leurs formes et diversité. J’aime me faire baiser rudement et franchement par plusieurs mecs bien montés. Je ne rechigne pas à lécher une belle chatte ou à me faire câliner ou rudoyer par des copines. J’ai des souvenirs extraordinaires avec un transsexuel d’une féminité incroyable... Pourtant encore doté d’une queue d’un bon vingt centimètres à ce moment-là (il l’a paumée à mon grand désespoir depuis), qui m’a fait jouir comme jamais ! Cette personne m’a sodomisée avec une douceur et une fougue qui m’ont fait planer à des hauteurs stratosphériques. Me faire maltraiter et soumettre n’est aujourd’hui plus un problème pour moi, mais un espace de plaisir auquel je m’abandonne auprès de certaines personnes qui maîtrisent cet art physique et mental.
Mais trêve de bavardages, car ce matin en me levant, j’ai décidé de vous raconter l’histoire de ma vie et de ma soumission (quel autre mot) aux plaisirs du sexe. Et quoi de mieux que de vous offrir ces souvenirs par écrit en espérant que vous les aimerez.
En plus, aujourd’hui est le second plus beau jour de ma vie. Le premier avait été mon premier mariage, mais j’étais très jeune et je rêvais à l’amour parfait et idyllique qui ne dure que quelques mois (mais ça on l’apprend ensuite). Aujourd’hui, je me marie avec Robert, un homme retraité qui a presque 30 ans de plus que moi. Robert c’est en quelque sorte mon Dieu et mon maître. S’il me demandait de traverser la rue de notre pavillon à poil pour aller frapper à la porte des voisins, je le ferais sans aucune discussion. Euh... En fait, Robert m’a déjà demandé de le faire et j’ai même sucé le voisin sur le pas de sa porte. Robert m’a de toute façon dévergondée au-delà de ce que vous pouvez imaginer ! Par amour et par passion du sexe, j’ai déjà tout accepté de lui et depuis longtemps !
Robert, c’est clair, c’est l’amour de ma vie, celui qui m’a révélé ce que je pouvais être sans aucun complexe. Celui qui m’a tout appris sexuellement. Veuf depuis quelques mois, car sa femme Louise que je connaissais très bien était décédée brutalement - un jour, je vous raconterai comment - il s’est très vite ragaillardi auprès de moi. Faut dire que je n’ai pas ménagé ma peine et que l’on se connaissait déjà depuis quelques années !

— Que veux-tu ma petite Julie, la vie continue et Louise n’aurait pas aimé que je reste seul et triste en pensant à elle. On a connu de sacrés bons moments ensemble, mais il faut que je pense au futur. Et puis, je t’ai toi aussi et Louise t’aimait beaucoup, tu sais !
Il m’avait fait cette déclaration un soir en arrivant chez moi tout en sortant sa queue bien tendue qui n’attendait que ma bouche. Message compris mon amour, pensais-je !
Louise, c’était aussi quelque chose ceci dit ! Elle avait trois ans de plus que mon Robert, mais j’avais vite compris en les rencontrant qu’il lui devait beaucoup !
Et j’étais bien d’accord avec mon Robert ce soir-là, surtout lorsque j’avais sa grosse queue de presque 22 centimètres de long (je l’ai déjà mesurée) dans ma bouche et que je m’activais comme une folle dessus.À moitié allongé sur mon canapé, face à la TV, jetant un œil dédaigneux et distrait sur une pétasse blonde d’un quelconque 20h, il avait posé sa main droite sur ma tête. Il imprimait le rythme qu’il souhaitait à mon activité buccale tout en me parlant :
— Mon Dieu, en 3 jours, j’avais presque oublié que tu suçais comme LA Reine de l’exercice ! Comment j’ai pu oublier ta dextérité et ton savoir-faire et me priver de ça ?!
Un sourire bien vicieux éclaira son visage, sachant pertinemment que ça m’excitait follement et que mon arrière-train était déjà en feu. Ces mots à eux seuls me faisaient presque jouir et me donnaient envie de baiser la terre entière ! J’en salivais de plus belle, j’accélérai le mouvement de haut en bas le long de ce membre. Tu vas voir mon Robert, je suis aussi la reine des Gorges Profondes aussi !
Du coup, le Robert, les infos ne l’intéressaient plus du tout ! Il avait même pris son mobile comme souvent et me filmait en pleine démonstration ! Ça l’excitait aussi depuis longtemps tout comme moi. Les premières fois qu’il m’avait filmée pour mettre les images en ligne, j’avais été choquée qu’il ne m’en parle pas avant. Je pensais que nos relations sexuelles ne lui permettaient pas d’aller jusque-là sans en discuter au préalable. Et puis j’avais été vite attirée par l’attrait de la chose et la belle perversité qui émanait de l’utilisation contrainte puis volontaire de ces objets. Savoir que d’autres personnes me regardaient et se masturbaient devenait étrangement jouissif. Les commentaires qui étaient laissés par les uns (ou les unes) allaient du simple compliment à la remarque la plus salace, mais l’ensemble des mots que je pouvais lire me touchaient...
Comme en plus Robert prit ensuite le soin de m’envoyer ses petites vidéos X et que j’en eus la primeur, je savais que j’allais avoir une double ration de jouissance. J’allais me caresser très sérieusement en les recevant, j’allais ensuite être très excitée à la découverte des petits mots de mes admirateurs et Robert allait vite me demander de lui décrire ce que je ressentais et de me filmer en train de me caresser et de me comporter « comme la grosse salope à jouir que j’étais » tout simplement ! Le cercle vicieux vidéo s’alimentait depuis naturellement. Il me filmait en train de me faire baiser et je me filmais me caressant à ces images en réponse, ce qui donnait un film bien excitant qui donnait envie de baiser !
Quand je pense que de jeunes imbéciles croient que les vieux ne maîtrisent pas les outils connectés ! Quelle connerie vraiment ! Le Robert il maîtrisait. Vas-y que je te filme avec un mobile, vas-y que je mets ça en ligne sur un site spécialement créé. Vas-y que je colle des bonus payants. Vas-y que j’utilise un VPN masquant son adresse IP d’origine, un compte à l’autre bout du monde et autres astuces ! Comme le dit mon Robert, « Pour vivre heureux, vivons cachés sauf les grosses cochonnes comme toi et les exhibitionnistes évidemment ! ». Robert m’avait expliqué tout ça plusieurs fois et il maîtrisait, je vous le garantis ! Tout comme il maîtrisait ma bouche, mon cul, mes seins, ma petite chatte, mon corps, finalement mon esprit, ma progression sous ses ordres et donc sur Internet en prime ! Sous-estimer les vieux c’est aussi con que de croire qu’après 55 ans, plus personne ne baise comme des furieux ! Vieillir, ce n’est mourir que si tu le veux bien !
Cela faisait une bonne année que des vieux obsédés, niqueurs fous, Robert m’en avait mis des tonnes sous le nez (et ailleurs) ! J’en croisais, grâce à Robert, une belle palanquée pour mon plus grand bonheur (je vous raconterai ça aussi). Obsédés du cul, rois et reines de la sodomie, de la léchouille et des pratiques diverses et variées, hommes ou femmes, ils l’étaient tous et totalement libérés des blocages que la vie peut vous coller ! Croire que des humains qui ont 40 ans ou plus d’expériences sexuelles ne peuvent pas être des bons coups et ne savent pas jouir et faire jouir, c’est être très bête et supposer que les autres le sont encore plus que vous !OK, j’étais très bête quand j’ai connu Robert et Louise, mais ça n’a pas duré. Contrainte ou forcée, volontaire ou soumise, j’ai découvert un espace de liberté inouï.
Bref, Robert prenait son pied et me filmait tout en débitant des propos que certaines femmes trouvent parfaitement avilissants, mais pas moi, j’étais juste encore plus excitée et motivée :
— Vous la connaissez ma petite Julie, c’est la reine des pipeuses. Ce soir, elle turlute son Robert comme une folle. C’est que ma grosse bite lui a manqué. Et la moindre des choses, c’est que je vous en fasse profiter direct. Je sais qu’elle vous excite tous ma Julie depuis le temps. Regardez cette bouche comme elle aspire ma queue jusqu’aux couilles. Ah c’est vraiment la meilleure en gorge profonde ! Même ma bonne Louise en convenait ! Et certains d’entre vous le savent, la Louise, elle s’y connaissait ! Ah mes salauds et salopes, je vous aime et les films à Robert vous les aimez, je le sais !
Petite pause concentration de Robert :
— Bon, c’est pas tout mes followers (Robert tentait parfois de parler le jeune avec plus ou moins de succès, il faut bien le reconnaître, me dis-je tout en savourant son gland dans ma gorge) mais là, je vais lui cracher mon jus bien au fond, alors ne gueulez pas si je ne vous filme pas ça bien. Ce soir, je n’ai pas installé le matériel pro. C’est de l’amateur live en direct en somme ! Mais je vais avoir une bonne excuse. Oh putain que c’est trop booooooooon aaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhh !
Sur ce râle, Robert venait de m’inonder le fond de la gorge de son foutre, et seul l’entraînement acquis grâce lui et ses amis m’évita l’étouffement. Je me décontractais donc encore plus, laissant la puissance du jet envoyer le liquide percuter le fond de mon larynx. Je commençais aussitôt à faire lentement coulisser son membre en bavant bien dessus au passage. Je le faisais remonter tranquillement vers l’entrée de ma bouche pendant qu’il éjaculait toujours en flots prolongés. Son gland arriva sur ma langue, mes lèvres enserraient le champignon d’amour décalotté. Ma salive mêlée à son sperme coulait le long de la tige à Marcel qui n’était plus dans mon fourreau chaud et humide. Cette tige bien tendue qui avait encore des soubresauts et palpitait encore et devant laquelle j’étais prosternée. Ces deux jours d’abstinence avaient rempli son réservoir à foutre et ma bouche était saturée de son liquide crémeux. Je n’ai jamais su pourquoi, mais en plus, Robert a bon goût.
Ce n’est pas que ce soit un truc important, j’adore conclure une bonne pipe par un avalage en règle quel que soit le goût, mais en plus, la semence à Robert était délicieuse ! C’était donc le bon moment pour avaler les restes puis pour redescendre doucement sur ce membre bien épais et nettoyer méticuleusement les dernières gouttes de ma salive et de sa liqueur mélangées. Hors de question que quelque chose se perde !

Je m’empressais donc d’aspirer et de lécher tout cela amoureusement en ouvrant bien les yeux et en fixant le mobile de Robert tenu par une main droite un rien agitée (encore heureux quand même !). Derrière le téléphone, je voyais mon Robert heureux, un sourire béat aux lèvres, il était enfoncé dans le canapé, le dos tendu comme un arc et la tête un peu penchée en arrière. Il n’arrêtait pas de dire :
— Putain c’est trop bon ! Mais putain que c’est bon ! Avale-moi bien tout ça ma salope, tu es trop bonne ! Quelle cochonne tu es ! J’aimerais éjaculer sans fin dans ta bouche, aaaaaaaaaaaah !
Une fois ce membre généreux bien nettoyé avec moult léchouilles amoureuses de ma part, je me permis quelques secondes de repos. À genoux entre les jambes de mon Robert, le visage appuyé contre l’intérieur de sa cuisse gauche, ma tête reposant un peu sur le canapé, mais enserrée par l’étau de son entrejambe. La queue de Marcel venait de laisser passer sa jouissance, mais n’était qu’à moitié débandée. Les yeux maintenant mi-clos, sa main gauche caressant ma joue ou me massant délicatement le cuir chevelu, je m’abandonnais à ce moment câlin tout en donnant des petits bisous et coups de langue à ce membre que j’aimais temps.
Je savais déjà qu’il allait sans doute me sodomiser vigoureusement dans quelques minutes et que j’allais prendre cher pour mon plus grand plaisir. So what ?Oui, Robert aimait le plus souvent « m’élargir le petit trou » comme il disait après une bonne pipe. Autant après m’avoir léchée, il aimait me baiser à fond et longuement, autant pipe et sodomie dansaient souvent ensemble. Pas de problème, les deux options m’allaient ! « Tous temps et tout terrain la belle Julie » avait un jour déclaré son copain Jacques à qui j’avais sorti le grand jeu.
Mais trêve de confessions, tout cela pour vous dire que, rien à cirer de notre différence d’âge ou de milieu. Mon Robert qui me faisait jouir depuis un bon moment et dont j’avalais le foutre par tous les trous depuis presque deux ans, ce Robert qui avait éveillé tout mon corps à ces plaisirs que je négligeais bêtement avant, ce Robert qui était l’origine et la cause de la transformation que je vous raconterai si ce récit vous intéresse, ce Robert-là avec sa petite calvitie, son petit ventre et ses gros bras. Ce Robert chéri avec sa bite de rêve et son autorité naturelle, ce vieux vicieux aux idées perverses inépuisables était maintenant l’homme de ma vie.
J’allais donc lui dire oui aujourd’hui. Oui de tout mon cœur. Oui de tout mon être et de tout mon corps. Oui, prends-moi et baise-moi jusqu’à la fin de nos jours. Oui, pervertis mon cul, mon sexe et tout ce que tu veux de moi. Oui, donne-moi à qui tu veux ! Oui, surprends-moi, offre-moi, fesse-moi, refile-moi à un maître ou à une maîtresse, à des Africains membrés, des Japonais bizarres ou inversement, à des pervers, à des obsédés, à qui tu veux, pour ce que tu veux ! Offre-moi en photos et en vidéos à toute la planète ! Oui ! Oui ! Oui, fais-le, car je suis à toi !
En conséquence de quoi, nous étions donc maintenant dans la Mairie de notre petite ville de province, dans la salle des mariages avec notre petite petite troupe d’invités et de proches. Monsieur le Maire que j’avais sucé vigoureusement il y a dix minutes de cela « pour l’aider à se décontracter avant la cérémonie » comme me l’avait ordonné mon Robert en arrivant sur les lieux, me connaissait donc aussi intimement.Un sacré pervers ce Maire. Il cachait bien ses goûts sous son petit costard et sa cravate. Si toutes les bonnes bourgeoises bien coincées du cul avaient su à quoi il pensait et ce qu’il cachait dans son pantalon en toile quand il les recevait, elles seraient parties en courant... Ou elles auraient filé se faire sauter sur son bureau, allez savoir !
Moi j’étais simplement heureuse qu’il préside cette cérémonie et à notre union. Nulle honte de ma part, j’étais fière au bras de mon Robert et je me serrai contre lui autant que je le pouvais. Savoir que le Maire qui allait nous marier m’avait déjà possédée par tous les orifices, comme la plus grande majorité des invités (et bien d’autres), m’échauffait les sens. Je ne doutais pas qu’après la cérémonie, l’apéro de circonstances et le repas qui promettait d’être bien agité, Robert avait aussi prévu quelque chose de spécial et d’original.
Me prêterait-il aux invités, me livrerait-il à des inconnus, allait-il me baiser sans fin devant tout le monde, me mettrait-il aux enchères en robe de mariée pour la nuit auprès d’un inconnu, avait-il déjà prévu de me filmer pour une performance sexuelle déjà vendue à ses abonnés, je ne le savais pas encore, mais je ne doutais pas un instant du plaisir que l’allais éprouver.
Julie la salope, celle qui adorait tout de son Robert, celle qui se soumettait entièrement à lui, allait changer officiellement de vie et de statut officiel pour son plus grand plaisir !
Savoir comment j’en suis arrivée là n’est pas un secret. Tous les invités et nos amis actuels le savent, mais cela vous intéresse-t-il ? Si vous êtes curieux, je me livrerai à vous sans retenue en vous racontant une partie de ma vie où comment de personne très sage, j’en suis arrivée à être complètement délurée et ouverte aux nombreux fantasmes que la vie peut proposer !

Suite au prochain épisode si cela vous a plu avec un « back in the past » de grande ampleur et la découverte d’un couple la trentaine d’une bonne bourgeoisie de province qui va croiser la route d’un couple de retraités bien obsédés et bien décidés à « élargir leurs horizons ».Adieu et bonjour comme toujours !
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