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Mémoires d'une jeune suceuse

Chapitre 3

Apparté I - Vos messages privés : Me faut-il devenir une Suceuse virtuelle ?

Hétéro
S’il m’est une facilité dans notre relation, c’est bien celle que je ressens pour m’adapter et "devenir" l’incarnation du fantasme de mon homme, comme demandé par lui dans le "manuel" dont je vous ai parlé. Il semble, à l’entendre, que j’y présente d’ailleurs des dispositions particulières...
Néanmoins, quand il repart pour la semaine, les choses sont pour moi beaucoup plus difficiles. D’abord parce qu’il me manque terriblement (je n’écris pas ça parce que tu vas me lire, Amour, tu le sais que tu me manques, n’est-ce pas ?). Mais aussi parce ce que je me retrouve seule devant cet écran, et que je dois me débrouiller avec deux obsessions qui encombrent mon esprit :

La première, c’est que lorsque j’écris, plusieurs semaines ont parfois passé depuis l’événement que je vous raconte ; un délai qu’augmente encore le temps de ma rédaction, celui de la relecture du site (merci à vous pour votre boulot et vos encouragements...!), et celui de la publication.
Autant vous dire que ce laps de temps permet chaque fois à une foule de cochonneries réclamées et/ou subies volontairement d’être venue s’ajouter à ma jeune expérience, et qu’avec celles que je n’ai pas encore pris la peine de vous retranscrire, chaque nouveau chapitre implique un choix difficile pour moi, si l’on considère l’impatience que me confère mon âge, à tout vous dire ici... ou du moins tout ce qu’il permet.
Mon chéri me dit, lui, que l’excitation due à la "nouveauté" de cette vie et de ma "condition" en sa présence finira sans doute par se dissiper chez moi, comme aussi viendra à faner mon empressement, avec la maturité. Je n’en crois pas un mot, mais n’importe...

En outre, ma seconde difficulté en ce moment, c’est cette espèce de soumission dans l’absence, que suggèrent les limites du consentement de mon homme, entre ce que je peux vous raconter ou non, et, désormais, de ce qu’il me faut faire de vos commentaires, et de vos messages...

Cet aparté soit donc, pour votre réponse, à tous et toutes...

Ce matin, mon homme en a en quelque sorte réglé le problème. Mais s’il a ainsi supprimé un gros dilemme, mon empressement comme l’excitation qu’éveillent en moi vos messages me sont comme une torture, à laquelle il faudra bien pourtant me résigner...

Je vous explique en deux mots...
On avait commencé à en parler il y a quinze jours :
— Je ne vais quand même pas faire de toi une Suceuse publique !— C’est pourtant pas l’envie qui m’en manque, mais si tous pouvaient être toi, ce serait plus facile de la satisfaire...— Et moi, j’ai pas envie de te frustrer ni de t’enfermer dans ta sexualité, mais pour l’instant, on est d’accord qu’on reste sur une relation exclusive...? — C’est toi que j’ai marié et c’est toi que j’aime ! Mais dans les pipes, tu dis trop souvent que t’aimerais me partager, me prêter... J’crois bien que t’as fini par m’en donner vraiment l’envie...— Ben on a qu’à y réfléchir chacun de son côté, on verra bien, mais ensemble toujours... OK...?— Yeah ! Ensemble toujours !— Oh la la ! Qu’est-ce que j’ai fait de toi, ma petite chérie...— Ce que tu as voulu... Ce que tu veux... Et ce que tu voudras...

Et ce week-end, on a enfin fini par trouver un compromis !

Il me propose d’utiliser la virtualité pour "prendre mesure" de la chose, et nous aider à nous projeter dans une réalité que rien ne nous empêche d’inventer avant de lui donner vie...
Mais, pour commencer, il a "consenti" à une idée qui vient de moi !

En gros, le truc qui nous brancherait, ce serait de réaliser lui et moi un scénario de pipe suggéré par un message de vous... Et de faire ensuite le récit du fait exécuter en vous le racontant ici !
Avec mes deux premiers chapitres, vous aurez commencé à nous cerner, j’imagine, même si, nous, on sait ce qu’il y a dans les ellipses que je n’écris pas volontairement, ou celles que mon empressement de jeune suceuse me fait oublier d’écrire...

Le but pour mon maître est de lui faire envisager de me prêter, et de voir sa petite suceuse "servir" un autre homme.
Je suis donc toute à vos idées, et surtout, à vos envies... Soumettez la suceuse apprenante que je suis, à mon chéri : Je vous promets de vous en faire lire ensuite tous les détails les plus obscènes...

À côté de cela, pour ce qui est des conversations avec vous par messages privés, il n’était pas encore fixé sur la question il y a quinze jours, et moi non plus à vrai dire... Vous répondre...? Ne pas vous répondre...?
Au fil des jours, comme c’était un sujet "sur le feu", il m’a fait part évidemment de son évolution intérieure, et chaque soir, j’ai su où il en était... Est-il utile de vous préciser qu’il me comble d’amour et de respect même dans ses textos, en me disant combien il me veut libre, mais fidèle autant que lui...?
Cependant, comme il me voyait pas mal torturée sur la question, il m’a textotée lundi pour me conseiller en plaisantant, de m’appuyer sur notre "milieu" commun d’origine... (Dans le Catholicisme, il y a toute une école de pensée qui invite par des exercices de méditations à un profond discernement pour ce qui concerne nos choix importants de vie. Sauf que la lubricité qui lui plaît tant chez moi m’a fait me prendre au jeu, et vraiment considérer sa suggestion...)
— Mais tu ne vas pas aller faire une retraite spirituelle pour ça, quand même !— Une retraite, non, mais une récollection, pourquoi pas...? Je croyais que t’aimais ça, les tabous...? Je suis pas non plus obligée de dire à tout le monde pourquoi je serais là, tu sais... — Comme pendant nos fiançailles alors, la retraite ensemble où je t’ai donné le manuel...?
(Ce fut un des moments les plus excitants de ma vie...)
— Ben ouais ! Non...?— Si t’as envie, après tout... Pendant les vacances, du coup ?— Ouais ! Mais je "t’emmène" avec moi...— Comment ça ?— Ce sera toi mon accompagnateur spirituel : je t’écrirai par textos les deux soirs où j’en suis, et tu me conseilleras... C’est ma condition.— OK, vas-y, ça peut être marrant... Mais t’en parles pas, hein...?— Ben non, tu me prends pour qui...?— Joker...

Voilà comment notre réflexion sur vos messages privés a pris une tournure assez bizarroïde, mais tellement excitante ! Je suis rentrée de ma "récollection" avant-hier, avec une résolution à lui soumettre:

J’allais m’autoriser à échanger avec un seul mec par messages privés, un seul, par semaine, pourvu que, sachant par ces récits "à qui" ses messages allaient s’adresse, il ne se prive pas d’y garder pourtant le minimum de respect qu’on s’y doit, ce que je me permets de repréciser ici, bien que la messagerie du site nous y invite déjà très clairement...

Hier, vendredi (le matin, avant mon jeûne hebdomadaire, son retour et mon goûter que vous connaissez maintenant...^^), on a à nouveau échangé des SMS pour qu’il m’expose ses conditions à lui...
— Je lirai tout, mais je n’interviendrai pas du tout.— OK !— On est d’accord sur un seul mec par semaine, pour le moment...?— D’ac ! Un homme ?— Evidemment... Fais pas genre, alors que c’est ce que tu veux... Non ?— Grave !— On t’a déjà écrit par texto que tu étais une petite salope ?— Maintenant, oui... Eh oui, je suis une petite salope.— Je veux qu’il me ressemble... Et qu’il ait un peu le même esprit...— Un trentenaire, alors ?— Ou quadra si tu veux, mais max... Ça te va ?— A fond !— Vous allez parler de quoi ?— A ton avis...?— Tu l’as choisi déjà...?— Bah non, j’attends qu’on m’écrive pour choisir... Tu as gardé mes codes toi aussi, pour me surveiller...?— Evidemment...— Et tu voudrais qu’il me soumette virtuellement...?— Oui, je veux qu’il te fasse comprendre comment il aime être servi par une suceuse, et que tu lui écrives toi-même ce qu’il attend de toi...— Hummm...— Deal alors ? Je te prête virtuellement...?— Deal, tu me prêtes, virtuellement. Il t’appellera sûrement Pierrot, si tu lui prêtes ta plume... hihi !— Ouais, fais pas trop ta maligne, quand même. En tout cas, considère ce texto comme un consentement de prêt, alors.— C’est noté, Maître... Et pour les commentaires, du coup, tu veux que je réponde ou pas ?— Pas en public, stp...— Complètement d’accord.— Tu es parfaite... Je t’aime.— Et moi je suce ton amour à genoux...— !...

A suivre...
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