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Mémoires d'un vieux cochon

Chapitre 4

Hétéro
CHRISTINE
Ce n’est que quelques mois plus tard que j’eus mon premier rapport sexuel (si l’on peut qualifier cela de rapport). Avec ma bande de copains, nous avions fait la connaissance de quatre sœurs qui habitaient à quelques kilomètres de chez nous, dont la plus âgée avait une Floride (une voiture décapotable des années 60). J’avais alors 16 ans, et mon choix se porta sur Christine, qui avait un an de moins que moi.Un soir que nous étions allés retrouver les quatre sœurs dans leur village, j’emmenai Christine sur ma Peugeot BB 103 SP (une petite moto blanche, avec une longue selle rouge biplace et aux flancs du réservoir chromés, de 49 cm3 qui atteignait vaillamment ses 90 km/h) ; je m’arrêtai en bordure de la voie ferrée qui longeait l’aérodrome et, dans l’obscurité complice, j’enlaçai la belle brune. Tout en l’embrassant à pleine bouche, je laissai mes mains parcourir son dos puis le creux de ses reins, la pressant contre moi afin qu’elle sente la rigidité de mon érection. Ses seins – qu’elle avait petits – ne retinrent pas son soutien-gorge lorsque je le fis glisser afin de les dévoiler et de les offrir en pâture à mes mains ainsi qu’à mes lèvres.Comme Christine ne m’opposait aucune résistance, je l’allongeai sur le talus de la voie ferrée. J’étais impatient de découvrir les mystères du sexe féminin ; mais l’obscurité ne se prêtait guère à un examen minutieux. Par contre, la faible lueur émanant de la lune me donna l’idée de dégager ma verge de mon pantalon : sous ce faible éclairage, Christine ne s’apercevrait certainement pas que ce sexe était différent des autres, avec son gland circoncis décalotté en permanence.Là se situe un épisode dont je ne retire aucune fierté. Je me souviens du blême compas formé par les jambes ouvertes de Christine allongée dans l’herbe, sa robe retroussée jusqu’à la taille et sa culotte abaissée à mi-cuisses. J’aventurai un doigt dans sa fine toison, à la recherche de cette fente qui me faisait tant fantasmer depuis des années. La belle se laissait faire ; elle souleva même son bassin afin de faciliter mon exploration. Je découvris enfin une légère fissure humidifiée par un liquide gluant qui permit à mon doigt de se glisser entre les lèvres intimes qui s’écartaient. Ce doigt curieux s’enfonça délicatement dans un endroit chaud, moite et serré : j’y étais enfin !Comme j’avais entre-temps discrètement sorti ma bite, j’eus envie de l’enfoncer dans cette douce moiteur sans plus attendre. Je présentai donc mon gland à l’entrée du jeune vagin et poussai pour le faire pénétrer ; mais je ne pus l’introduire que de quelques centimètres lorsqu’il rencontra un obstacle : Christine était pucelle, et son hymen résistait à mes assauts. Je tentai à plusieurs reprises de forcer ce coriace barrage, mais en vain.Cependant, les frottements de mon gland entre les lèvres de cette jeune vulve m’amenèrent au plaisir, et je vidai mes réserves de sperme à l’entrée de ce con juvénile et encore non défloré, ainsi que sur les cuisses de la belle ; c’est tout ce que j’obtins comme résultat ! Au moins, j’avais joui ; mais Christine n’avait enduré que des souffrances.Comme je voulais découvrir les détails de son trésor secret, j’approchai mon visage ; mais la nuit était trop ténébreuse pour que je puisse distinguer quoi que ce soit, à part la tache sombre de sa toison. Son troublant parfum de femelle m’attira, et je posai ma bouche sur la chair palpitante de sa pauvre petite vulve. Je l’embrassai, léchant et aspirant tout ce qui était à la portée de mes lèvres et de ma langue ; mais je ne réussis pas à faire jouir la jolie brune qui avait choisi de me faire don de sa virginité. L’avais-je dépucelée ? Je n’en sais rien ; par contre, ce dont je suis sûr, c’est que moi, j’étais toujours puceau !Lorsque je revins auprès de mes copains, ils rirent de moi parce que j’avais du sang autour de la bouche… Vraiment pas fier de ma déplorable prestation, j’évitai de revoir Christine.
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