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Mémoires d'un vieux cochon

Chapitre 8

Hétéro
AUTRES ANONYMES : N° 2, 3, 4, 5, 6, 7

Années 70’s. Ah, les seventies ! En ces temps-là, j’étais musicien : énorme avantage pour rencontrer des filles – délurées ou faussement sages – que le ‘’prestige’’ de ma profession attirait. Combien en ai-je baisées ? Je ne suis pas capable de m’en souvenir ; il faut dire qu’à raison de plus de 50 concerts chaque année, pendant au moins 10 ans, ça en fait quelques-unes ! Je les ai oubliées pour la plupart, ne me souvenant ni de leurs visages, ni de leurs corps à peine entrevus dans l’obscurité. Je m’en rappelle cependant quelques-unes, non pas qu’elles m’eussent marqué, mais à cause des circonstances de nos ébats.
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Celle-là, entre autres, à Argenton sur Creuse ; elle était avec une copine et – avec le batteur du groupe – nous les avions baisées un dimanche après-midi dans la chambre d’hôtel que nous occupions pour le week-end. C’étaient de belles salopes… Elles nous ont demandé de les partouzer ; heureusement que j’ai refusé leur proposition : quelques jours plus tard, mon collègue souffrait d’une chaude-pisse, et moi j’avais des morpions. Imaginez ce qui serait arrivé si j’avais accédé à leur demande : nous aurions tous deux eu, à la fois, une blenno et des petits crabes à la base de nos poils pubiens !
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Et cette autre, pas si belle que ça, mais hyper-chaude ; bien qu’elle eût une chatte très serrée avec de toutes petites lèvres – ce que je n’apprécie pas, car j’adore m’en mettre plein la bouche – je l’avais invitée à partager ma couche pour des journées de baise délirantes dans la chambre que j’occupais dans une communauté de musiciens, à la campagne. Nous passions des heures et des heures – ah, la jeunesse n’a pas besoin d’adjuvants chimiques – à baiser tout en écoutant de la musique (à cette époque : Chicago et Blood, Sweat & Tears). Mais je n’aimais pas sa moule, qui se réduisait à une simple fente ; pourtant, qu’est-ce que j’y ai déchargé comme quantité de sperme !
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Une autre, également, que je n’ai pas baisée mais qui aimait me branler sous les yeux de sa copine…
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Et puis celle-ci : une collègue, car elle était venue chanter quelques fois avec le groupe musical. Bien qu’étant très jeune (dans les 17-18 ans), elle n’avait pas froid aux yeux… ni ailleurs ! Dans le car de l’orchestre, au cours d’un déplacement, deux ou trois musiciens la draguaient plutôt lourdement.
– Je branlerai celui qui a la plus belle. Montrez-les moi !
Ils étaient forts en gueule, uniquement : aucun n’osa déballer son matériel pour que la belle fasse son choix. Par contre, comme elle ne donnait pas l’apparence d’être farouche, je lui donnai rendez-vous pour – lui dis-je – l’emmener voir les avions de l’aéro-club.
Quelques jours plus tard, après lui avoir fait visiter les hangars et montré les avions au sol, je l’invitai à me suivre jusqu’au seuil de la piste pour les voir en vol, à l’atterrissage, lorsqu’ils n’évoluaient pas trop haut. Nous nous rendîmes dans un pré, non loin de l’axe de la piste, et nous nous allongeâmes dans l’herbe pour profiter du spectacle. A l’atterrissage, les avions se dirigeaient vers nous alors qu’ils étaient en vent arrière, puis ils obliquaient à 90° lors de l’étape de base, et encore de 90° pour la finale.
Bien entendu, je ne restai pas inactif longtemps ; ma main se posa sur une jambe bronzée et, comme la chanteuse ne protestait pas, je la fis remonter le long de sa cuisse en la caressant légèrement. C’est elle qui écarta les jambes pour me permettre l’accès à sa culotte, que je découvris déjà humide…
Je ne me souviens plus de quelle manière nous avons passé le reste de l’après-midi à baiser ; mon unique souvenir, ce sont les avions qui passaient à 150 m au-dessus de nous pendant que nous nous donnions du plaisir. Je suppose que les pilotes devaient nous voir en vent arrière et en étape de base ; mais leur attention devait se focaliser sur leur badin, leur vario et leur plan de descente pendant la finale, car aucun Robin ou Rallye ne s’est crashé ce jour-là !
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Et cette femme mariée, vicieuse au point de téléphoner à son mari tout en me suçant la bite, ou de se faire enculer à sa fenêtre…
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En parlant d’enculer, j’avais levé – au cours d’un concert – une petite nana que j’avais amenée dans le car de l’orchestre. C’était dans le Lot-et-Garonne, du côté des centrales nucléaires de Golfech. Un des musiciens, assez pervers, âgé et ne pouvant certainement plus bander, s’était planqué entre les sièges pour nous épier.
N’ayant pas beaucoup de temps à lui consacrer, je me contentai de relever la minijupe de l’adolescente, de lui enlever sa culotte et de lui faire effectuer un demi-tour de manière à ce qu’elle me présente sa croupe. Mes doigts inquisiteurs me renseignèrent rapidement sur l’état de sa cramouille : elle était liquéfiée… J’enduisis son anus de ce lubrifiant naturel, et je lui plantai directement ma pine dans le cul. Lorsque je lui eus rempli le rectum de quelques bonnes giclées de sperme pendant qu’elle jouissait, elle m’a demandé :
– Comment as-tu deviné que c’est ce que je préfère, me faire enculer ?
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