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Mémoires d'un vieux cochon

Chapitre 26

Hétéro
ROXANE (7/9)

Une semaine s’était écoulée depuis nos derniers ébats. Après le repas, je fis asseoir Roxane dans un fauteuil et commençai à lui lécher la vulve par-dessus son string, puis je l’écartai pour atteindre ses lèvres intimes. Je bus du champagne entre ses cuisses, en emplissant même son vagin. J’arrêtai mes caresses avant qu’elle atteigne l’orgasme, et je l’amenai dans la chambre.
Sur le lit, après avoir placé un bandeau sur ses yeux, je repris mes caresses buccales et manuelles que j’arrêtai à nouveau juste avant qu’elle jouisse ; je lui introduisis alors un œuf vibrant dans le vagin. Tout en l’embrassant, je commençai à actionner les vibrations de l’œuf en faisant varier leur intensité. Les soupirs de Roxane me firent savoir qu’elle appréciait mon gadget érotique et, lorsque ma langue se posa sur son clitoris et que mes lèvres l’aspirèrent, elle éprouva instantanément un orgasme dévastateur.
Peu de temps après, je lui demandai de me chevaucher à hauteur de mon visage ; juste devant mes yeux, j’avais sa vulve ouverte, odorante et suintante de son désir déjà renaissant ; elle n’eut qu’à s’abaisser de quelques centimètres pour que ma bouche en prenne possession. Ayant introduit un doigt dans son vagin, je le fis coulisser rapidement tout en tétant son clitoris.
– Aaah… C’est trop bon ! Je n’ai jamais ressenti autant de volupté : c’est trop puissant… Je ne peux plus respirer… Je vais mourir de plaisir !
Sa jouissance ne cessait pas : elle persista sans faiblir pendant au moins un quart d’heure, jusqu’à ce que, fatigué, j’arrête mes caresses. Mais son plaisir aurait pu durer beaucoup plus longtemps si j’avais continué. Finalement, Roxane s’assoupit.
– Tu m’as tuée…
Après l’avoir laissée se reposer un peu, ma langue repartit à l’assaut de sa vulve ; mais je ne l’amenai pas au plaisir, volontairement. Je remis en place son bandeau, et j’équipai Roxane du double gode ceinture que je m’étais procuré la veille dans un sex-shop. J’en introduisis la partie la plus courte (mais dont le diamètre était le plus important) dans son vagin.
Ainsi harnachée, le bandeau sur les yeux, je lui caressai le corps avec un plumeau et les soies d’un pinceau ; le fait d’être aveuglée décuplait ses sens. Elle sentit quelque chose coulisser sur ses lèvres entrouvertes : c’était ma verge gonflée de désir… Ses lèvres se refermèrent sur mon gland ; Roxane me suçait délicieusement mais, juste avant que la jouissance me submerge, je lui tournai le dos.
– Enlève ton bandeau ! Je t’offre la seule virginité qui me reste.– Non, je ne peux pas faire ça.– Ma chérie, je veux être tout à toi…
Elle accéda à mon désir ; heureusement que le diamètre du gode n’était pas trop important et que j’avais mis du lubrifiant… Elle me pénétra ; pour moi, la sensation était très agréable. J’essayai de me mettre sur le dos pour faire face à Roxane afin qu’elle puisse m’embrasser et me sucer la verge pendant qu’elle me sodomisait, mais c’était impossible dans cette position. Je me retournai sur le ventre, et elle me pénétra à grands coups de reins tout en me branlant d’une main habile ; elle semblait y prendre un plaisir certain…
Mais comme je sentais que je n’atteindrais pas l’orgasme de cette manière, je lui demandai de me sucer et de se placer de telle manière que je puisse la voir prendre mon sexe entre ses lèvres, le lécher, le sucer, le mordre et le téter pendant un long moment ; mon sperme jaillit enfin, et je dus réveiller les occupants de l’immeuble par d’assourdissants cris de plaisir. Rassasiés tous deux, nous nous endormîmes dans les bras l’un de l’autre.
Au petit matin, dans un demi-sommeil, je réalisai que mon sexe en érection glissait contre les reins humides (de transpiration, ou de mon sperme ?) de Roxane. Je la réveillai avec des caresses et l’attirai sur moi pour qu’elle me chevauche ; nous fîmes l’amour ainsi, puis je lui donnai du plaisir avec ma langue, quatre doigts dans son vagin et le pouce dans son rectum.
Puis ce fut son tour de me donner du plaisir : lui prenant la main, je la plaçai sur ma verge érigée ; elle me prodigua de savantes caresses, me griffant le scrotum et la hampe, puis elle prit mon sexe en bouche. Elle me suça merveilleusement ; je lui indiquai ma préférence : me faire téter le frein en alternance avec des aspirations sur le gland, ce qu’elle fit sans rechigner. A un moment, j’appuyai sur sa nuque pour qu’elle avale complètement ma verge ; heureusement qu’elle n’est pas très longue ! Elle me suça longtemps. Je ne pensais pas pouvoir atteindre la jouissance ; mais elle arriva de loin, immense, et me submergea avec une rare intensité. Je vis mon sperme gicler, et je hurlai pendant près d’une minute, car Roxane n’arrêta pas de me lécher avant l’extinction complète de mon plaisir.
Après lui avoir préparé un bain moussant et qu’elle se fut allongée dans la baignoire, avec seulement deux bougies pour tout éclairage, je lui caressai la vulve tout en lui pinçant le clitoris ; elle gémit de plaisir. Je lui introduisis mon pouce dans le vagin tout en continuant mes caresses clitoridiennes, puis je lui glissai un index dans le rectum. Je la caressai ainsi dans son bain puis, retirant mon pouce et ne conservant que l’extrémité de l’index à l’entrée de son anus, je continuai à lui caresser le clitoris. Roxane apprécia beaucoup mais, trop fatiguée, n’atteignit pas l’orgasme.
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Dix-sept jours… C’est ce que nous avons dû attendre avant de nous retrouver, car Roxane était partie en vacances au Maroc. Pendant son absence, je m’étais procuré des menottes ainsi qu’un catsuit noir en mailles filet (un sous-vêtement ajouré extensible qui recouvre la totalité du corps).
Après un dîner fin, pas de dessert : je lui fis mettre le catsuit et lui passai les menottes. J’approchai ma verge de ses lèvres : elle la goba avidement, mais je ressortis bientôt de sa bouche ; sous mes doigts, sa vulve était toute gluante…
– Que désires-tu, ma chérie : mon sexe, ou ma langue ?– Ce que tu veux.
Je la pénétrai de ma verge – pas très longtemps – puis c’est ma langue qui prit le relais. Je lui enlevai les menottes (qui la faisaient un peu souffrir), lui glissai l’œuf vibrant dans le vagin et lui donnai la télécommande ; c’est elle qui l’actionna pendant que nous nous embrassions. Comme je désirais lui procurer encore plus de plaisir, je plaçai l’extrémité de ma langue sur son clitoris tandis que je malaxais l’intérieur de son vagin avec deux doigts. Elle jouit rapidement et intensément.
Après quelques câlins, je lui demandai de me chevaucher. Elle s’enfila ma verge dans le vagin ; nous restâmes ainsi longtemps, pratiquement sans bouger. J’étais au bord de l’orgasme, surtout qu’elle me répétait « Je t’aime » pendant de longues minutes ; mais je ne désirais pas jouir déjà : j’aimais trop sa bouche ! J’introduisis quatre doigts dans son vagin pour la caresser, puis je les retirai, n’y laissant que le pouce. En même temps, je la sodomisai avec un, puis deux, puis trois doigts ; mais trois, c’était trop : elle souffrait. Je n’en laissai que deux ; je caressai ses deux fourreaux intimes simultanément, jusqu’à ce qu’éclate un orgasme encore plus puissant que le premier.
Je ne lui laissai pas beaucoup de temps avant de lui aspirer délicatement le clitoris entre mes lèvres tout en le caressant de ma langue ; pour une fois, Roxane m’avait écouté : elle n’avait pas fait sa toilette intime, et sa vulve dégageait une fragrance délicieuse. Elle jouit incroyablement…
– Tu me fais mourir…– Au contraire : tu es bien vivante !
Après trois orgasmes dévastateurs pour sa part, j’estimai que c’était à mon tour de jouir. J’approchai ma verge de son visage ; elle se pencha vers elle. Mais, alors que je croyais qu’elle allait me sucer, elle se mit à me branler langoureusement. Quand je fus très excité, je lui demandai d’utiliser ses lèvres. Roxane prit mon gland dans sa bouche ; elle me suça délicieusement pendant une dizaine de minutes. Je regardais son beau visage monter et descendre au niveau de mon ventre ; quelle vision excitante ! Je me retins pour ne pas jouir trop rapidement, car ce qu’elle me faisait était tellement bon… Mais je sentis le plaisir monter irrémédiablement lorsqu’elle fit aller et venir rapidement ses lèvres sur mon frein, et je me laissai aller. Mon sperme gicla en grande quantité ; il y en avait autant sur le drap que sur mon ventre, ainsi que sur les lèvres de Roxane.
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