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Mémoires d'un vieux cochon

Chapitre 27

Hétéro
ROXANE (8/9)
Je décrochai le téléphone : une voix féminine, celle de Roxane.
– Aimes-tu les surprises ?– Bien sûr ; mais uniquement les bonnes !– Alors, j’arrive pour passer la nuit avec toi.
Je me mis au lit pour l’attendre ; elle me trouva faisant semblant de dormir, suçant sa petite culotte imprégnée de son nectar.
– Laisse ce substitut, puisque tu as l’original ! Au fait, je veux te dire que je suis là uniquement pour dormir, et rien d’autre.
Elle se glissa à mes côtés. Nous nous embrassâmes et échangeâmes des câlins ; elle pouvait sentir ma verge dure comme du bois, en érection contre son ventre. Je réussis cependant à m’endormir. Pendant la nuit, je me réveillai ; je vins placer ma tête sur ses reins, et je commençai à lui lécher le bas du dos. Elle se retourna et écarta ses cuisses pour que je puisse accéder à sa vulve. Je lui donnai du plaisir une première fois avec ma langue puis, sans attendre, une seconde fois en adjoignant mon majeur dans son vagin. Roxane jouit en gémissant, puis se rendormit très vite.
Nous nous réveillâmes à 5h 30, car elle devait rejoindre son entreprise ; elle n’eut pas le temps de satisfaire mon envie de jouir. Comme d’habitude, nous nous sommes téléphoné durant tout le trajet qu’elle devait accomplir, long d’une centaine de kilomètres et, pendant qu’elle conduisait sa voiture de fonction, je me suis masturbé en lui dédiant mon plaisir.
      
Cinq jours plus tard, Roxane vint me retrouver à l’appartement ; j’ignorais alors que c’était la dernière fois que nous ferions l’amour… Elle s’était allongée sur le lit ; je la pris dans mes bras et lui fis ouvrir les cuisses. Ecartant sa petite culotte, je constatai qu’elle avait passé la tondeuse dans sa toison : il ne lui en restait que quelques millimètres.
– Je vais m’écorcher les joues, lui dis-je en riant !
Je fis glisser le dernier rempart qui protégeait encore son intimité. J’amenai mon visage au niveau de son bas-ventre ; Roxane était là, couchée devant moi, la robe relevée jusqu’à la taille et les cuisses impudiquement écartées sur sa vulve humide qui m’attirait ; ma langue entra enfin en contact avec ses lèvres intimes…
Je lui procurai un premier orgasme puis, sans attendre, je lui introduisis l’œuf vibrant au fond du vagin et lui mis la télécommande dans la main. Je la fis basculer sur le côté et, après avoir enduit mes doigts de gel lubrifiant, je lui en introduisis un, puis deux dans l’anus. Je la caressai un peu de cette manière avant de lui planter ma verge au fond du rectum ; elle actionnait l’œuf vibrant dans son vagin pendant que je l’enculais.
Je pensais pouvoir atteindre l’orgasme sans effectuer le moindre mouvement, juste en ressentant les vibrations du sextoy à travers la fine paroi qui séparait les deux fourreaux intimes de ma chérie. Mais les vibrations – bien que très agréables – ne furent pas assez efficaces pour me propulser jusqu’au plaisir ultime. C’est donc en faisant des va-et-vient dans son beau petit cul que je jouis, lui engluant le rectum d’une abondante quantité de sperme. Je ne savais pas que c’était la dernière fois que je lui faisais l’amour ; mais l’enculer ainsi fut un final de toute beauté !
Sans attendre, ma bouche revint entre ses cuisses et, tandis que Roxane adaptait la fréquence des vibrations de l’œuf, je léchai, suçai et aspirai entre mes lèvres son clitoris en érection sur lequel ma langue appuyait en le faisant rouler. Son bassin se décolla du lit ; elle se tendit comme un arc alors que des cris de plaisir jaillissaient de ses lèvres : elle jouit encore plus intensément que la première fois, coup sur coup. Je la pris tendrement contre moi, et elle s’endormit rapidement sur mon épaule.
      
Nous ne nous sommes pas revus pendant deux semaines car Roxane craignait les agissements de mon épouse, tant auprès de sa famille qu’auprès de son directeur régional ; elle désirait même que nous cessions nos relations. Lorsqu’elle revint à l’appartement, elle apprécia une flûte d’excellent champagne millésimé, assise sur un fauteuil. Agenouillé sur le sol à côté d’elle, je posai mes mains sur ses cuisses ; elle me laissa faire. Même lorsque je plaçai mon visage sur son pantalon, au niveau de son sexe et que ma langue vint la caresser à cet endroit précis, elle ne dit toujours rien…
Lorsque je l’entraînai vers la chambre, elle se montra un peu réticente, mais elle me suivit et s’allongea sur le lit à mes côtés. Nous nous embrassâmes ; mes mains couraient sur son corps, par-dessus ses vêtements, puis je caressai directement sa peau : son dos, ses flancs et le creux de ses reins. Voyant qu’elle ne disait rien, je m’enhardis à caresser ses cuisses et ses fesses – puis son sexe – par-dessus son pantalon ; Roxane ne disait toujours rien…
J’introduisis ma main dans sa culotte pour lui caresser la vulve, que je trouvai dans un état que je n’avais jamais connu jusqu’alors : sèche et fermée. Son clitoris n’était même pas en érection. Je la caressai pendant quelques minutes ; seul l’intérieur de son vagin commença à s’humidifier. Je cherchai alors à lui lécher la vulve.
– Non… Arrête !
Elle serra les cuisses, et je ne puis aller plus loin. Elle ne voulait pas avoir de rapports sexuels, ni même que je lui donne du plaisir avec ma langue, comme elle aimait tant que je le fasse auparavant. Je revins l’embrasser.
– Est-ce que ça te dérange si je me caresse pour apaiser mon excitation ?– Oui, ça me dérange.
Je me levai pour aller aux toilettes ; en revenant, je m’arrêtai dans le salon, m’allongeai sur le canapé et me branlai jusqu’à ce que ma semence jaillisse par saccades sur mon ventre. Ensuite, je la rejoignis. Elle s’assoupit, sa tête sur mon épaule, serrée tout contre moi.
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