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Men's manor

Chapitre 4

Gay
L’esprit léger mais le pas lourd, je déambulai dans le couloir sans trop savoir où aller, regardant des garçons s’accoupler, des groupes s’emmêler, des mains me frôler. L’orientation et la taille des sexes était symptomatiques de l’intention du gars : bien raide et dressée, le garçon venait d’arriver et cherchait encore avec qui et comment il allait s’amuser. Courbe, gonflé et vers le bas comme le mien marquait le bonheur d’une première extase qui en appelait une seconde. Pénis au repos, décalotté ou pas, balançant sans grande force tendait à dire que le garçon s’était largement abandonné au plaisir avait une capacité à donner bien moins forte qu’une capacité à prendre.Je remarquai que peu de gars en train de se faire mettre réussissaient à bander. Soit parce qu’ils dégustaient trop, soit parce qu’ils avaient déjà bien entamé leur réserve de semence.Les garçons qui offraient leur bouche aux passants avaient le pénis au repos. Comme aucun n’était mature, je supposai qu’ils avaient déjà abondamment joui. Je leur refusai mon sexe, cherchant une salle de bain que je finis par trouver.Me nettoyer la queue ne fut pas facile car plusieurs garçons s’amusaient là, qui en suçant, qui en enculant. Je dus écarter un sucé pour accéder au lavabo. Je n’eus pas le loisir d’agir car des mains entourèrent mes flancs pour s’emparer de ma verge et la rincer sous le robinet. Je tournai la tête : mon métis me sourit. C’est mon cul qu’il voulait, mais mon sexe le tentait aussi. Il me lava soigneusement.Libéré, je sortis de la salle d’eau pour entrer dans une chambre ou des enculades sauvages en intéressait plus d’un. Les enculés au premier chef qui dégustaient tant et mieux !– C’est comme cela que tu veux que je te prenne ? souffla la voix du métis dans mon dos.– Cela se vit, ça ne se programme pas trop. Tout me va.– Tant mieux !La faculté qu’avait ce type à me suivre et me rejoindre devant chaque copulation qui attirait mon regard était un peu énervante. Il recommença plus loin devant un soumis sur le visage duquel plusieurs gars éjaculaient. Du sperme plein la bouche, il rayonnait de joie.D’autres garçons vinrent lui offrir sa pitance. A genoux, encouragé par les autres, il suçait et avalait de puissantes offrandes séminales.  – Tu voudras que je jouisse dans ton cul ou dans ta bouche ? demanda le métis qui m’avait à nouveau rejoint et qui pelotait mon fessier.– Sur le torse ?– Pas drôle ! Une éjac faciale ?– Bof.– Tu as bien ensemencé le minet ! Tu ne veux pas que je te fasse pareil ?– Ecoute, tu as peut-être besoin de tout prévoir et de tout maitriser, moi ce que j’aime c’est le laisser-aller sans aucune retenue. Alors ne me gonfle pas parce que, bien que tu sois mignon, je pourrais décider de me faire mettre par plein d‘autres garçons ici !– Je ne doute pas que nous sommes nombreux à en avoir envie de ton beau cul ! D’accord, j’arrête de t’importuner. Mais ne traine pas trop, tu m’excites, tu sais ?Je souris en saisissant son beau membre bien chaud et bien dur pour le serrer fermement. Le métis grogna. Et sourit en me demandant :– Ton cul est aussi serré que ta poigne ?– Tu verras bien, beau mâle excité ! Tu en as une tout comme je les aime !Pour confirmer mes dires je m’accroupis et entamai une fellation exploratoire. Tout autour de nous des dizaines de garçons nus nous regardaient, la plupart sans nous voir. Nous étions tous là pour le plaisir mâle. Sucer un gars en public était normal.
Après une agréable tétée, je le remerciai pour la douceur de son bonbon. Je quittai la chambre pour me diriger vers l’escalier afin de descendre me restaurer. Je remarquai une pièce dans laquelle je n’étais pas encore entré. C’était une antichambre qui se prolongeait dans un bureau. Des hommes entouraient un minet dans la pièce avant. Mais c’est le bureau qui m’attira car j’avais cru reconnaitre celui qui, penché en avant, était en train de se faire mettre tout en suçant un garçons et en s’accrochant fermement, bars en croix, à deux splendides braquemarts.Effectivement le marquis était en train de se régaler. Un bear au sexe imposant butinait sans ménagement ses fesses alors que le marquis suçait une queue très fine qu’il avalait entièrement entre deux coups de boutoirs. Les deux gars autour de lui, tenus par la queue, l’aidaient à rester en place et l’encourageaient chaleureusement. Un cinquième était assis au sol et tentait maladroitement de le sucer.Je m’étais vraiment trompé sur le marquis : c’était un vrai gourmand de queues multiples qui se donnait sans compter. Chapeau bas Monseigneur !
Je me penchai pour regarder l’état de son sexe : le marquis bandait allègrement. Le bougre aimait cela !Ressortant de la pièce car je n’avais rien à y faire, je vis les premiers garçons éjaculer à la face du minet. Mon sexe qui avait commencé à se redresser devant l’indécence marquisale vibra et s’éleva complètement. Le visage du minet était couvert de sperme. Bouche ouverte, langue pendante, il en voulait encore !Un nouveau gars arriva et se branla sous ses yeux. Je m’approchai et m’emparai du fessier du branleur qui me sourit. Je le pelotai tandis qu’il essayait de se finir. Les autres l’encourageaient. Le minet espérait.Je me décidai à sucer mon majeur et l’enfilai complètement dans l’anus du branleur. Il grogna de satisfaction. Son souffle raccourcit. Et c’est quand le bout de mon doigt vint masser sa prostate qu’il éjacula en gémissant, aspergeant à son tour le beau visage ravi quand il n’assouvissait pas sa soif de sperme en bouche.En réalité nous étions tous ravis : le spectacle avait été de toute beauté. Le visage ruisselant était un pousse-au-crime : j’avais comme les autres une folle envie de me baisser pour le lécher. Mais je ne l’avais pas mérité.D’autant plus qu’un des gicleurs remonta le minet par une pression sous le menton et lui interdit de s’essuyer de toute la soirée. La consigne était claire : le jeunot devait se promener partout avec son masque de virilité pour mettre en valeur ses talents fellatoires. Et si d’autres gars voulaient se faire sucer, il ne pouvait que s’exécuter.– Mais la condition pour se faire sucer est une éjac faciale ! Rien d’autre ! ajoutai-je, déclenchant des approbations autour de moi.Les sucés quittèrent l’antichambre en riant. Je restai seul avec le beau minet, avec ma terrible envie de poser mes lèvres sur les siennes. Mais ce n’était pas la règle du jeu.Attirés par les grognements sourds du marquis, nous passâmes la tête par l’entrebâillement de la porte et regardâmes le marquis se faire sévèrement secouer. Je posai ma main sur la jeune fesse du garçon et lui demandai :– Tu t’es fait enculer ? Tu aimes cela ?– Non. Je suis vierge du cul. Je ne me sens pas prêt. Surtout quand je vois ce qu’il prend !– Il prend cher, c’est certain ! Tu as raison, si tu ne le sens pas, ne te fais pas sodomiser. Tu es tout mignon comme cela, à sucer de multiples queues, à dégouliner de sperme !– Merci. J’adore cela, sucer. Et sentir, et goûter le sperme ! Je pourrais passer la nuit à sucer chacun de vous ! A me faire asperger par votre sperme ! Qu’est que c’est beau un mec qui jouit ! Qu’est que c’est beau une éjaculation en gros plan !– Je suis bien d’accord avec toi, garçon !– D’ailleurs, tu ne veux pas que je te suce ? Juste une gâterie !– Tu es adorable en plus d’être très beau ! Mais non. Je viens de culbuter trois garçons de ton âge, et de jouir dans le cul du dernier. De merveilleux petits culs à mettre avec attention ! Il faut que je me remette… Avant de remettre cela.– Tu veux enculer d’autres jeunes ? J’en connais qui aiment cela !– Non… A force de voir des enculades, à force de respirer ce parfum spermique, j’ai plutôt envie qu’on me nique !– Ah ? J’ai déjà joui deux fois mais si tu me laisses du temps…– C’est gentil. J’ai repéré mon étalon. Il bout d’impatience ! Je vais déguster !– Autant que le marquis ?– Probablement. Même si mon étalon est monté plus raisonnablement…– C’est clair ! Comment on peut prendre un tel morceau de viande dans le cul ?– Ce n’est qu’une question d’habitude mon tout beau ! Allez, va montrer ton masque de beauté à tous. On descend ?– D’accord… Je peux te dire un truc ? J’adore quand on me pelote le cul. Mais ici les gars sont tellement excités que j’ai très peur qu’ils me pénètrent.– Il suffit de dire non. Et si un connard insiste, crie ton « non ». On s’occupera de l’irrespectueux. Les règles du marquis sont claires à ce sujet. Et j’avoue que je les apprécie de plus en plus !
Descendre à ses côtés l’escalier fut autant mon heure de gloire que la sienne. D’autant plus que j’avais la queue bien tendue vers l’avant. De nombreux gars nous touchèrent : nos fesses, mon phallus, nos épaules. Plusieurs crurent que je venais de lui éjaculer dessus. Dans un regard il me fit comprendre qu’il s’en moquait que ce soit faux. Des gars me félicitèrent pour ma vitalité, d’autant que plusieurs m’avaient vu butiner les jeunes culs, que ce soit dans le salon du bas ou la chambre du haut.Le minet dégoulinant de sperme se contenta de boire à la paille pour ne pas gâcher du miel mâle. Je bus une nouvelle coupe de champagne et repris des forces en mangeant au buffet tout en discutant avec les uns et les autres. Je laissais des mains palper ma queue ou pétrir mes fesses. C’était agréable.Je reconnus plusieurs des gars qui m’avaient reluqué en train de copuler ou que j’avais regardé faire. Une sorte de complicité intime nous réunissait. Je crus reconnaitre deux ou trois visages déjà vus en club, sans certitude. Peut-être m’étais-je déjà accouplé avec l’un ou l’autre, je ne savais pas. Et cela n’avait pas d’importance. La nuit était tombée depuis un moment. Des grappes d’hommes arrivaient encore. Je remarquai quatre gars qui juraient en étant encore dans le hall, habillés. Un trentenaire et trois jeunes. Deux étaient assis dans un canapé. Le troisième se laissait palper dans le trentenaire qui finit par le mettre cul nu en le débarrassant de son pantalon et de son boxer. Je compris qu’ils se connaissaient et que le cul nu avait hâte de de faire prendre à nouveau par son ainé. C’était lui, l’impatient, qui allumait sec en exhibant ses fesses faites pour être possédées. Alors que les deux se caressaient à travers leur jean, le trentenaire sortit son membre et le frotta contre la raie du soumis qui poussait des petits cris enthousiastes.Il le prépara vite et bien. Le soumis était habitué à être pris. La queue s’enfonça sans difficulté en lui.Cela eut comme effet de faire jaillir les sexes des deux potes voyeurs qui ouvrirent leur braguette pour se masturber en regardant leur pote se faire mettre.Sachant d’expérience combien il peut être douloureux de coïter en ayant juste sortit sa queue à travers la braguette, je fus soulagé pour l’enculeur de le voir vite stopper, défaire son bouton, et laisser tomber son pantalon aux chevilles pour butiner sans risque le cul en ébullition.Le trentenaire se contorsionna pour se débarrasser de son pantalon et de son slip, puis de son teeshirt. Nu, il éprouva le besoin de déshabillé entièrement son enculé qui renâcla plusieurs minutes avant de se faire arracher son haut. Enfin le duo était dans la tenue adéquate, comme nous, nus et en érection.Les deux autres s’embrassèrent et se déshabillèrent mutuellement. Ils avaient compris que la dizaine de gars en rut qui les matait allait bientôt se jeter sur eux pour les désaper !Le plus grand et fin des deux amis n’hésita pas à se mettre à genoux sur le canapé pour exposer un magnifique cul en manque. Son pote lui offrit un bel anulingus avant de le doigter, puis de le lubrifier.Quand il s’apprêta à le pénétrer, le trentenaire l’en empêcha en déculant et en le faisant reculer. Cela faisait un moment qu’il les surveillait. L’actif frustré accepta son sort : c’était à l’ainé d’entrer en premier dans chacun des fions. Il caressa le membre du trentenaire et se décala pour entrer d’un coup dans le cul du soumis. Le trentenaire, lui, s’enfonça avec une grande délicatesse entre les fesses du second passif. Quand il colla son ventre aux fesses, ils en furent applaudis.Les deux enculades, de toute beauté, prirent le temps du plaisir anal. Une main se posa sur mes fesses et un corps se colla contre mon flanc. Je n’avais pas besoin de tourner la tête pour savoir que c’était mon métis. Je tendis mes lèvres. Nous nous embrassâmes. Je regardai son sexe, il bandait autant que moi.– Tu en vraiment envie, on dirait… me dit-il.– Oui. Ta queue sera bien entre mes fesses. Ils sont mignons, tu ne trouves pas ?– Oui. Le plus vieux est un pote. On baise parfois ensemble. Mais quand le trio est là, nous n’existons plus pour lui !– Je comprends !– Tu vois l’autre actif ? Il va bientôt venir s’empaler sur la queue de mon pote. C’est comme cela qu’il aime les premières enculades. Après ils pourront alterner les rôles. Mais c’est toujours mon pote qui les déflore en premier.– Un peu caricatural comme jeu ! Le plus âgé encule d’abord les plus jeunes et ensuite chacun fait ce qu’il veut !– Tu as fait différemment avec les trois autres, tout à l’heure ?– Non. Tu as raison. Mais c’est venu comme cela !Après une belle rafale anale synchronisée, l’actif se retira du fion du plus soumis qui se releva, ayant déjà pris une bonne dose. L’autre passif s’assit et il le suça pendant que le troisième s’empalait.Nous nous déplaçâmes tous pour bien voir le phallus s’enfoncer de plus en plus dans le conduit du garçon qui soufflait bruyamment. Nous applaudîmes quand il s’assit complètement sur le ventre de son enculeur. Il écarta les bras et nous salua, la queue encore bandée, fier d’être entièrement possédé.S’il fit pendant un petit moment des mouvements de bas en haut pour diriger son enculade, il ne resta pas bien longtemps dans le rôle du passif. C’est quand le soumis se remit en position d’être pris et qu’une sodomie avec sa troisième queue commença que, progressivement, le garçon extirpa de son cul le sexe du trentenaire.Ils s’amusèrent un moment à fesser et flatter les croupes des deux autres avant que le trentenaire se décide à prendre à son tour une position passive, lui aussi à genoux sur le canapé. Ses fesses étaient incroyablement musclées, comme tout son corps, de toute évidence entretenu soigneusement en salle. Elles étaient blanches, sa peau bronzée ayant été coupée par un bermuda de bain. Ainsi, en fait, elles attiraient le regard.Le jeunot enduisit soigneusement son sexe de lubrifiant.– Direct ? demanda-t-il d’une voix rauque.– Comme toujours ! C’est cela que j’aime.Il s’enfonça d’un coup en lui, sans se soucier du râle douloureux qui sortit bruyamment de la gorge du passif.J’avais beau savoir que la douleur fait partie de la sodomie, la rechercher aussi ardemment n’avait jamais été mon truc. Le gars grimaçait et soufflait comme un buffle pour chasser la souffrance ressentie. Son enculeur n’en eut cure : il déclencha immédiatement ses va et vient, déchirant son conduit, multipliant les brûlures anales.– Rassure-toi je vais te prendre en douceur, me souffla à l’oreille le métis qui avait remarqué mes grimaces.– Tu fais cela, toi ?– Si on me le demande. Mais en général je suis un grand sentimental.Je le regardai. Je vis l’amusement dans ses yeux. Nous éclatâmes de rire. Le trentenaire se prit une multitudes de rafales puissantes qui eurent comme effet, après le difficile encaissement du début, de mettre son corps en ébullition. Il se laissa sodomiser sauvagement pendant un bon moment, se remettant à bander complètement, agitant son fessier, en redemandant.La main du métis posée sur mes fesses s’égara dans mon sillon. Je le laissai parcourir ma raie, et bientôt enfoncer un doigt actif dans mon conduit. J’en grognai de bonheur. Le temps était venu. Nous laissâmes le trentenaire se faire défoncer la rondelle et quittâmes le hall.Nous déambulâmes un petit moment au rez-de-chaussée, retournant au buffet pour déposer nos coupes vides. Et aussitôt nous faire resservir.Nous étions à la fréquentation maximale. Des hommes nus allaient et venaient, dans les pièces comme dans les culs ou les bouches. Cela copulait partout avec une générosité surprenante.Je me remémorais les quelques soirées que j’avais fait au club. Jamais je n’avais vu une telle intensité coïtale. Jamais je n’avais autant de garçons nus, le corps en nage, pour la plupart au sexe amolli, venant de copuler, cherchant à copuler, copuler au milieu de tous. L’ambiance était animale. J’aimais vraiment cela.C’est moi qui donnai le signal du départ au métis. Nous repassâmes par l’entrée. Nous jetâmes un œil sur notre quatuor toujours en action avec son public autour. Le trentenaire était revenu enculer le soumis qui chantait haut son ardent bonheur anal. Les deux autres copulaient plus délicatement, mais tout aussi profondément.La main du métis derrière moi pelota mon fessier tandis que nous montions l’escalier. Je le laissai faire, heureux d’être celui qui allait passer à la casserole.
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