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Ou me menera mon exhibition

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
Désolé pour le délai, voila la suite de mon récit qui c’est réellement passé. Pour vous rappeler un peu du premier chapitre en voila la fin.
Mon mari lui répondit qu’en effet il ne saurait si bien dire puisqu’à sa connaissance, pas beaucoup de femme avait la peau aussi douce que moi. Un peu gênée par ses propos flatteurs, je traitais mon mari de charmeur invétéré et lui demandais de ne pas exagérer. Il me dit alors qu’il n’exagérait pas, que j’avais la peau douce comme un bébé et demanda à Francis de vérifier pour voir qui de nous deux avait raison. À ce moment là, je savais qu’un pas décisif venait d’être franchit mais je ne savais pas encore ou tout ça nous mènerait.
Et voila la suite, bisou xxx

Ou me mènera mon exhibitionDeuxième volet
Quand même un peu pris au dépourvu par la proposition de Denis mon mari, Francis hésita un court instant avant de diriger sa main vers ma jambe. Au moment ou la paume de sa main atterrit sur l’intérieur de mon genoux et que je sentie sa chaleur, ce fut comme une explosion dans ma tête et encore plus ailleurs. Ce simple geste a suffit à me faire liquéfier. Presqu’un orgasme simplement avec une main sur le genou. Quand même un peu honteuse de ma réaction, je voulais fermer les jambes mais n’y arrivais pas. Mon désir de sentir la main de Francis évoluer vers mon entre-jambes était plus fort que mon habituel réflexe de pudeur que m’impose ma condition de femme mariée, fidèle et respectable.
J’aurais dû être encore plus honteuse du fait que quelques uns de nos voisins de table, hommes et femmes s’était aperçu du manège et se régalaient pour certains du spectacle offert. Pourtant rien de cela n’arrivait à me faire reprendre le contrôle de mes sens. Bien au contraire, surprise moi-même de ma réaction, j’aimais cette situation ou maintenant j’offrais à la vue de plusieurs personne la partie la plus intime de mon anatomie. J’espérais ces regards sur moi, et encourageais de ma désinvolture le sans gène des hommes qui convoitait, je le sentais, une place à mes cotés. J’étais surprise de m’apercevoir tout à coup de mon pouvoir de séduction, ce fut comme une révélation et j’en étais franchement très fière.
Mon mari qui me connais parfaitement, me fit un clin d’oil et se penchant vers moi me dit à l’oreille, tu fais tourner les têtes ma belle et je sens que tu commence à aimer. En effet j’aimais beaucoup. J’aimais à ce point que j’en oubliais presque la main de Francis qui continuait à évoluer inexorablement vers l’objet de son désir. Ce faisant, ma jupe remontait et ma cuisse gauche était dénudé presqu’a la limite de ma chatte. Je n’osais bouger et à ce moment je voyais bien qu’un groupe de jeune homme à une table à notre gauche se faisait des signes et regardait le spectacle offert. Je me sentais désirable, objet de désir et en même temps un peu pute. Les regards me violait, me pénétrait, me baisait. Tout à coup dans un malaise soudain, j’avais l’impression de tromper mon mari.
Pour me rassurer et pour me ramener à la réalité, je regardais mon mari et celui-ci m’embrassa et me dit qu’il m’aimait plus que tous, j’étais aux anges, Cette déclaration d’amour je l’espérais, elle m’était nécessaire à ce moment là. En me retournant vers Denis, dans un réflexe j’avais refermé les jambes et c’est à cet instant que je me rappelais pourquoi j’étais si tendue, si excitée. J’avais une main entre les deux jambes et cette main ne pouvait être celle de mon mari qui au même instant m’embrassait en me prenait par les épaules.
Non cette main prise dans l’étau de mes jambes était celle de Francis. Rassurée, je repris ma place et naturellement, sure de moi, je replaçais ma jambe gauche prêt de la jambe de l’homme qui se faisait de plus en plus familier. Ma soudaine attitude l’avait certainement un peu surpris. Spectateur de ce moment de tendresse, il n’avait pas osé aller plus loin. Sa main était bien resté là ou elle était, mais avec une délicatesse qui m’a réjouit, il n’avait rien forcé, rien dit, comme s’il avait compris ce besoin de rapprochement qui était le mien pendant ce court instant.
Surement encouragé maintenant que ma jambe avait repris sa place prêt de lui et peut-être de peur qu’elle ne se referme, son attouchement devenait plus précis et je sentie sa main tout en haut de ma cuisse et son petit doigt effleurer l’extérieur de mes lèvres vaginal. J’étais en transe. Je ne voyais plus nos voisins ni rien autour de nous. L’homme à mes coté qui me caressait n’était plus important, seul la caresse qu’il me prodiguait existait. J’avais fermé les yeux comme pour gouter encore plus cette caresse en attendant qu’elle se fasse encore plus précise, plus audacieuse. Une onde de choc me traversa lorsqu’un doigt toucha l’intérieur de mes lèvres la ou je suis si sensible. Puis plus rien. La main s’était retirée, la caresse avait cessée.
Déçue je rouvrais les yeux pour m’apercevoir que j’avais la main serrée sur le pénis de mon mari qui me regardait avec des flammes dans les yeux. Francis qui avait retiré sa mai, la humait, s’en délectait et dit à mon mari, votre femme est faite pour l’amour, voyez, elle m’a inondé la main. Mon mari excité et taquin me dit, chérie tu n’a pas honte et moi pour toute réponse, je pris la main de Francis et celle de mon mari et les plongeait sous ma jupe.
ouf me rappeler tous ça me donne chaud... à la prochaine xxx
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