J’arrive chez moi en fin d’après-midi. Heureusement, ma colocataire Rachel (et accessoirement ma meilleure amie) n’est censée rentrer que vers 20h30. Pour que vous puissiez imaginer comment nous sommes, je vais faire une description de nous deux. Rachel est une fille merveilleuse, douce et profondément gentille. Bien que les filles ne m’intéressent pas vraiment (je pense être une pure hétéro), je ne peux pas m’empêcher de la trouver magnifique : elle est brune, grande, mince mais avec des formes pile où il faut, et elle a une poitrine que je ne peux m’empêcher d’envier. Cependant, elle parle très peu de sexe mais je sais qu’elle reste très classique dans ce qu’elle aime faire. Quant à moi, je m’appelle Léa, je suis blonde et j’ai 18 ans. Je fais un mètre soixante, je suis mince mais avec une belle petite poitrine. J’avoue être très portée sur le sexe depuis longtemps et je ne manque jamais d’idées pour passer une soirée coquine. Nous venons de commencer les cours à la fac. C’est donc maintenant que notre histoire commence.Dès que je rentre, je préviens Rachel puis vais prendre une douche qui me détend énormément et me réchauffe (au sens propre comme au figuré). Alors que je suis encore sous l’eau, je me demande comment faire pour pimenter ma soirée. J’imagine plusieurs scénarios, comme aller en boîte ou d’autres choses du même genre, mais rien ne me tente vraiment. Je suis vraiment frustrée, et l’effet bénéfique qu’a eu ma douche jusqu’à présent disparaît aussi sec. Pour me calmer, je vais dans la cuisine pour commencer le repas. Je ne sais pas pourquoi, mais faire à manger m’aide à réfléchir et à me détendre. Je commence tout ce qu’il faut mais, bien sûr, il me manque la moitié des ingrédients. Je n’y crois pas. Et là, je reçois un message de Rachel :« Salut, je suis toujours en cours et le prof nous a demandé de rester pour parler d’un travail qu’on devra rendre à la fin du mois. Je serai en retard, je suis désolée. Ne m’en veux pas, d’accord ? :/ »C’est de pire en pire... A croire qu’on veut m’achever. Cette soirée est décidément la pire que j’ai jamais vécu. Je lui réponds : « D’accord, pas grave. Je t’attends pour manger ? »« Oui, je rentre vers 21h. Excuse-moi encore... » Bon, autant finir vite de faire ce repas pour pouvoir me détendre après. Je sors chercher ce qu’il me faut à l’épicerie au coin de la rue. Mais, une fois ressortie avec mon sac de courses, je ne me dirige pas vers notre appartement mais vers le sex-shop où je suis déjà allée plus une fois. Quand je rentre, mon regard est happé par une paire de menottes en fausse fourrure avec un motif léopard, qui se trouve sur le comptoir. Certains me diront que c’est très kitsch, mais elles me font vraiment craquer. Surtout que je suis du genre à adorer être attachée (en compagnie d’un homme en tout cas). Je vais voir le gérant que je connais bien, c’est un ami d’enfance :« Excuse-moi, est-ce que tu sais si les menottes sur le comptoir sont réservées pour un client ?— Non ma belle, je ne crois pas. Tu peux les prendre. Au pire, j’irai en rechercher en réserve si un client les redemande.— D’accord, merci beaucoup. Je vais t’attendre à la caisse.— Je te suis. » Une fois mon achat effectué, je prends la direction de mon appartement. Pendant tout le trajet, je n’ai qu’une seule idée en tête : rencontrer quelqu’un avec qui utiliser les menottes que je viens d’acheter. Cette seule pensée me remet de bonne humeur. J’ai à peine passé la porte que je pose la paire de menottes sur ma table de chevet ; je les mettrai dans un endroit plus discret bientôt. Je regarde l’heure : il est seulement 19h30. Pour voir le côté positif, je me dis qu’au moins, j’ai le temps de préparer le repas et de me détendre après. Après avoir tout fini, je n’ai plus qu’à surveiller la cuisson. Au bout de vingt minutes, tout est prêt. Je mets la table et vais me reposer dans le canapé. Alors que je regarde une série, mon esprit divague. Je suis vraiment en manque de sexe : j’ai envie qu’un homme s’occupe de moi et de m’occuper de lui : qu’il caresse mes seins, qu’il me doigte en même temps qu’il me lèche et enfin qu’il me fasse l’amour en faisant ce que je lui dis de faire. Humm... rien qu’imaginer tout ça me donne chaud, j’ai comme des papillons dans mon bas-ventre. J’entends la porte d’entrée claquer, ce qui m’oblige à quitter mes si agréables pensées. Je vois Rachel entrer dans le salon et regarde l’heure. Il est exactement 21h. J’ai un peu de mal à croire que je sois restée assise dans le canapé aussi longtemps, surtout en rêvant qu’un mec me fasse jouir comme une folle. Enfin bref... Rachel est rentrée et c’est tout ce qui compte pour le moment. Je m’approche d’elle, la serre fort dans mes bras et lui fait un bisou sur la joue, comme à mon habitude, mais je m’aperçois que quelque chose ne va pas.« Qu’est-ce qu’il se passe, Rachel ?— Rien du tout. Pourquoi ?— C’est juste que je te trouve moins joyeuse que d’habitude.— Ne t’inquiète pas pour moi, je vais bien.— Si tu le dis. »
La connaissant, elle me dira bientôt ce qui ne va pas. Enfin, je l’espère.« Je vais mettre le repas à réchauffer. Assieds-toi. » Je reviens avec nos deux assiettes et nous nous installons à table. Contrairement à son habitude, elle ne parle pas. Mais, après quelques minutes, elle brise le silence.« Je vais te dire ce qu’il m’arrive en ce moment.— Ce n’est pas grave hein ?— Non, non... c’est juste très important pour moi.— Dis-moi, Rachel. Tu me fais peur en me faisant attendre comme ça.— En fait, je suis amoureuse.— C’est super ! Qui est l’heureux élu ? Comment s’appelle-t-il ?— En fait, c’est « elle ».— Ah oui ? Et je la connais ?— Oui, tu l’as connais.— Alors c’est qui ?— Toi. » Je suis tellement surprise que je laisse tomber ma fourchette. Rachel se lève, la ramasse et la pose sur la table, à côté de mon assiette. Je me lève à mon tour et lui prend le bras.« Tu es sérieuse ?— Oui. Je t’aime tellement, si tu savais.— Arrête de pleurer, tu sais à quel point j’ai horreur de te voir souffrir comme ça. Mais tu sais bien que...— Je sais ce que tu vas me dire, me répond-t-elle entre deux sanglots, je sais que tu m’aimes « beaucoup », mais comme une amie.— Pas seulement comme une amie, tu es ma meilleure amie, ma sœur même...— Je sais aussi que tu es une pure hétéro, que tu n’aimes que les hommes, mais je ne peux pas m’empêcher de t’aimer. Je t’en supplie, laisse-moi juste de prouver à quel point je t’aime et je tiens à toi.— Qu’est-ce que tu veux dire par là ?— Je pensais à quelque chose de ce style. »Et c’est à ce moment-là qu’elle m’embrasse. Ses lèvres sont tellement douces, on aurait dit de la soie. Elle passe ses mains dans mes cheveux et joue avec. Je vous avoue que tout chez elle m’attire, de sa tête d’ange à ses fesses en passant par son ventre plat et ses seins que je jalouse secrètement, mais... je ne sais pas... je n’arrive pas à la voir autrement que comme ma meilleure amie. Je la prends par les épaules et me sépare d’elle. Je lui dis :« Excuse-moi, Rachel mais... je suis perdue en fait. J’ai besoin de réfléchir. Si ça ne te dérange pas, je vais aller dormir. »Je sors du salon sans me retourner et vais dans ma chambre. Je baisse le store et me glisse dans mes draps. En pleine nuit, je fais un cauchemar où un inconnu m’observe depuis le bout de mon lit. Je me réveille en sursaut et vois Rachel à même place que cette ombre occupait.« Rachel ! Qu’est-ce qu’il t’arrive ? Tu n’arrives pas à dormir ?— Non, je n’arrête pas de réfléchir à ce qu’il s’est passé.— Tu n’as qu’à venir dans mon lit.— Merci. »Elle s’installe à côté de moi. Aucune de nous deux ne dit quoi que ce soit. J’entends Rachel se tourner et se retourner puis, d’un coup, elle dit :« Oh et puis merde. »Elle se met à quatre pattes sur moi, m’embrasse et rentre sa langue dans ma bouche. Elle passe sa main dans mes cheveux et me serre contre elle. Je réponds à son baiser en mettant ma langue dans sa bouche et en posant mes mains sur ses fesses. Elle me murmure à l’oreille :« Laisse-moi faire maintenant, laisse-moi enfin te prouver que je t’aime. »Je laisse mes mains retomber et la regarde. Elle n’a que deux vêtements à m’enlever : une nuisette et une culotte en dentelle. Elle fait glisser les bretelles de ma nuisette de mes épaules puis me fait me redresser pour pouvoir me la retirer. Mes seins apparaissent à sa vue. Par réflexe, je tente de les cacher avec mes mains mais elle me prend mes poignets et me dit :« Tu es magnifique mon cœur. Je vais faire quelque chose, alors ferme les yeux, me dit-elle, et fais-moi confiance, mon ange d’accord ?— Oui. » Je ferme les yeux et sens quelque chose autour d’un de mes poignets, comme un bracelet. Elle attache la première menotte à un barreau de la tête de lit et passe la seconde à travers un autre barreau situé plus loin. Elle m’attache mon second poignet et me dit d’ouvrir les yeux. Elle me tire vers elle pour que je ne puisse vraiment plus bouger les bras. « Rachel, occupe-toi de mes seins s’il te plaît.— Laisse-moi faire, mon trésor. » Elle m’embrasse sur la bouche puis me dévore le cou. Elle me fait même un suçon et m’annonce que désormais, je suis à elle et qu’elle me fera l’amour ou me baisera tous les soirs. Ses paroles me font gémir de plaisir. Elle passe enfin à mes seins. Elle commencer par suivre leur contour avec ses doigts.« Je ne comprends pas pourquoi tu ne voulais pas me les montrer, Léa. Ils sont tellement beaux... J’ai envie de les prendre dans ma bouche.— Fais-le ma Rachel, je t’en supplie.— Tu me supplies déjà ?— Oui...— Alors je me demande ce que ça va être quand je m’occuperai de ta chatte… » Je n’en reviens pas. Elle m’excite tellement... Je voudrais pouvoir la déshabiller et lui faire l’amour, mais je ne peux pas bouger, je suis au summum de la frustration. Elle passe sa langue sur mes seins. Elle suce et mordille un de mes tétons avant de passer à l’autre. Elle tire dessus avec ses dents, ça me fait énormément de bien. Je voudrais qu’elle ne s’arrête jamais. Elle malaxe le sein dont elle ne s’occupe pas, le serre dans sa main et fait durcir mon téton en le caressant avec son pouce.« Mon bébé... C’est merveilleux... Continue... Ah ! Ne t’arrête pas !... » Mais malgré mes paroles, elle s’arrête et enlève tous ses vêtements. Elle est tellement belle. Ses cheveux bruns tombent sur ses seins. Ces derniers sont gros et parfaits avec de beaux tétons roses que je meurs d’envie de prendre dans ma bouche. Je lui demande de me détacher pour que je puisse au moins toucher ses seins mais elle refuse. Elle recommence ses caresses en passant ses mains entre mes cuisses pour écarter mes jambes et se glisser entre elles. Rachel colle son intimité à la mienne et se frotte contre moi, elle fait des va et viens sur mon clito. Son mouvement transforme mes gémissements en cris. Elle m’embrasse très fort, relève la tête et plaque sa main sur ma bouche. Elle accélère ses va et viens contre ma chatte et je me mets à hurler de plaisir. Heureusement que sa main empêche les sons de sortir de ma bouche parce que j’aurais réveillé le voisinage.« Hummm !!! Huummm !!!...— Ma beauté, ta chatte palpite contre la mienne ! » Je ne contrôle plus rien ! Je vais jouir comme jamais ! Elle fait un dernier va et viens et un orgasme foudroyant me libère. Un jet de cyprine sort de ma chatte. Rachel s’empresse de baisser sa tête pour aller lécher tout ce liquide. Je n’arrête pas de trembler et d’haleter.« Humm..., dit Rachel. Tu es une femme fontaine !— Je ne le savais pas, excuse-moi, j’aurais dû te prévenir...— Ne t’excuse pas, j’adore ton goût. J’ai hâte de pouvoir le regoûter. J’ai encore envie de toi, je vais te doigter d’accord ? Et après je te réserve une petite surprise. » Mes jambes sont grandes ouvertes et ma chatte mouillée comme jamais. Elle écarte mes lèvres intimes et rentre directement deux doigts. Son geste m’arrache un petit cri suivi d’une multitude de gémissements qui sortent de ma bouche au rythme de ses va et viens.« Humm… Mets-en deux autres... »Elle s’exécute sans hésiter et me mets deux autres doigts. Ma chatte est dégoulinante de mouille et est vraiment très ouverte. Elle colle sa langue à mon clito et se met à me lécher le long de mes grandes lèvres. Elle continue les va et viens avec ses doigts avant de les remplacer par sa langue. Je ne peux pas retenir mes cris de plaisir pendant qu’elle me fouille comme ça. Elle stoppe toutes ses caresses pour sortir quelque chose de sous mon lit. Je crois tout d’abord qu’il s’agit d’un tee-shirt, mais il s’agit en fait d’un foulard.« Ferme les yeux encore une fois. »Elle place le foulard contre mes yeux avant de l’attacher derrière la tête. Je m’attendais à tout sauf à ça… Mais qu’est-ce que cette situation est excitante. J’ai déjà eu le plus fort orgasme possible et là, c’est comme si je n’avais pas fait l’amour depuis un mois.« Ma belle, je vais te faire hurler mon nom, crois-moi. »C’est dingue : rien que ses mots me rendent toute chose.Elle rentre quelque chose de plutôt fin mais de surtout très froid dans ma chatte. D’un coup, je le sens qui vibre dans mon vagin.« Haan !... Mon dieu !... — Tu n’as pas encore tout vu, là c’est seulement pour faciliter le passage à l’autre. » Quand elle l’enlève, je ressens une immense sensation de vide ; mais cette sensation est très vite comblée par un sextoy encore plus gros. Elle le rentre doucement, avant de s’arrêter et de le lâcher. Elle se recule et ne bouge plus. Rachel me dévore des yeux alors que j’ai un sextoy enfoncé dans mon intimité, les mains attachées et un foulard devant les yeux. Je ne sais même pas si elle s’est arrêtée à la moitié ou non. Je sens seulement à quel point le diamètre est énorme. J’ai l’impression de faire l’amour pour la première fois.« Il est énorme… Han bouge-le dans ma chatte, je t’en supplie !! »Elle reprend ses va et viens qui sont tout de suite très profonds. Mes cris se tranforment en hurlements. Elle tape au fond de mon vagin et pourtant, je veux qu’elle me prenne encore plus fort.« Mon amour ! Tu me fais trop de bien !!... Je t’aime !! »J’ai à peine prononcé ces mots qu’elle accélère encore plus. Je n’en peux vraiment plus.« Rachel !... Je vais jouir !! Encore !!!— Laisse-toi aller, ma Léa.— Haann ouiii !! Encore !!! Rachel !!! » J’ai un orgasme encore plus puissant que les précédents, je crie son nom. Je l’aime comme une folle. Lorsque les spasmes de mon bas-ventre se calment enfin, je m‘effondre dans le lit. Rachel retire le gode et se met à le sucer. J’adore la voir faire ça, elle est tellement excitante comme ça : toute nue avec un gode dans la bouche, les jambes écartées. Je lui demande de m’enlever le foulard et de me détacher, ce qu’elle fait sans poser de questions. Son obéissance me fait sourire, et me fait penser que j’aurai peut-être l’occasion de réaliser mon fantasme : devenir enfin dominatrice. On s’allonge toutes les deux en se collant l’une contre l’autre. Elle m’embrasse doucement.« Merci Rachel pour cette nuit. Je t’aime et je veux faire l’amour avec toi tous les soirs.— D’accord.— J’aimerai te faire l’amour la prochaine fois.— Oui, ma chérie.— Par contre, je te préviens, que tu m’obéisses. Tu me permettras de faire l’amour ou de baiser comme j’aime le faire.— On essayera la prochaine fois si tu veux toujours le faire avec moi.— Bien sûr que je le souhaite. Et si la prochaine fois avait lieu maintenant ? » A suivre...
